
World War COVID Guerre mondiale: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute
We live on WeaponWorld. Why not PeaceWorld? How would that work? What should we expect? Has that transition been discussed to your satisfaction, or was it suppressed?
I'm slopping a ladle full of forbidden PeaceWorld Mulligan Stew onto your WeaponWorld prison zinc tray. Next!
Nous habitons la terre en armes. Pourquoi pas au monde paisible ? Comment cela marcherait-il ? Cette transition t'a-t-elle été discutée de façon satisfaisante ou supprimée ?
Je te verse une louchée interdite de Ragout Mulligan du monde paisible sur ton zinc pénitentiaire de la terre en armes. Au suivant !
World War COVID Guerre mondiale: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute
Nous sommes tous l'homme grizzly
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LEARNER full text (2024)
PeaceWorld or death
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APPRENTI texte integral (2024)
Le monde paisible ou la mort
COVID GUERRE MONDIALE
Poèmes des miens et des leurs
Nous sommes tous l’homme grizzly
Nous nous menons tous en bateau,
Au battement de cœur de Timothy Treadwell,
Soit perchés des mois en haut d’un séquoia,
Soit car les fonds d’étude du petit manquent de primes d’écocide.
À chacun, un peu de son charme féerique
Et la juste part de son narcissisme.
Quelle idée risible : qu’il garda ces grizzlys
Et non dans l’autre sens.
Qu’est-ce qui les retint, d’année en année
De nuits à midi et du jour à minuit,
De fendre et fouiner ses rations
Jusqu'à leur dépôt sanglant ?
Lui, gardant ses ours, gardés à leur tour par des gardiens de parc,
Chacun protégé par le non-profit vandale du développement
De ce paysage d’hivers hideux, ce paradis aux moustiques
Bon à rien que des cartes postales et des gros Grizzlys.
Nous tenons bons nos positions, plus ou moins sensibles
Aux dangers tapis sur chaque azimut :
D’infimes particules radieuses. au virus longuement inerte,
Au désastre cosmique, et à l’homme fatidique interposé.
Nous confrontons la désolation du monde,
Notre parfaite identité rejetée comme indigne.
Nous fabriquons des histoires pour persister à respirer,
Soit à quel point absurdes.
Face à la camera obscure de la mémoire,
Nous commémorons notre absurdité en selfies,
Enregistrons nos défauts nocturnes au filme de l’ADN,
Montons des larmes de rage contre l’indifférence de Dieu.
Nous séduisons des amants dans notre fantaisie,
Les leurrons, à coups de bouquets et de paroles fleuries,
Qu’ils ne seront jamais seuls si nous sommes là,
Mais bercés au lieu en tendres soins affectueux.
Nous renvoyons notre ruine morose,
Soit combien longtemps poliment ignorée ;
Comme un discret entretien avec un agent flegmatique
Qui te flanquerait à l’hôpital en une petite minute.
Nous fredonnons et rions tout bas au petit mignonnet
Apte à nous occire tôt ou tard.
Les amants désespérés de gens et de trucs
Qui ne pourraient pas nous être pires.
Ne te moque donc pas de sa folie.
Ne maudit pas sa hantise qui fit abattre un vieil ours grincheux.
Ni ne susurre pas l'agonie de sa compagne loyale,
Ni ne t’imagine avoir mieux fait.
Nulle part où se cacher, nulle meilleure voie,
Ni certitude ni sécurité sauf dans la délusion.
Parfaitement libres de choisir notre destin catégorique,
Nous sommes tous l’homme grizzly.
IN ENGLISH
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COMMENTAIRE? markmulligan@comcast.net