
World War COVID Guerre mondiale: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute
We live on WeaponWorld. Why not PeaceWorld? How would that work? What should we expect? Has that transition been discussed to your satisfaction, or was it suppressed?
I'm slopping a ladle full of forbidden PeaceWorld Mulligan Stew onto your WeaponWorld prison zinc tray. Next!
Nous habitons la terre en armes. Pourquoi pas au monde paisible ? Comment cela marcherait-il ? Cette transition t'a-t-elle été discutée de façon satisfaisante ou supprimée ?
Je te verse une louchée interdite de Ragout Mulligan du monde paisible sur ton zinc pénitentiaire de la terre en armes. Au suivant !
World War COVID Guerre mondiale: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute
- ECOLOGIE CONSTITUTIONNELLE ? Ajouts 2025
L’écologie soutenable comme droit constitutionnel.
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LEARNER full text (2024)
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APPRENTI texte integral (2024)
COVID GUERRE MONDIALE
De la terre en armes au monde paisible
Apprenti, débute
- L'ECOLOGIE CONSTITUTIONNELLE ?
« Ce ne sera qu’après que le dernier arbre sera abattu, après que la dernière rivière sera contaminée, après que le dernier poisson aura été attrapé. Seulement alors trouvera-t-on que l'argent ne se mange pas. » Prophétie des Crees indiens, prise de Mutant Message, Marlo Morgan "Two Hearts", MM CO. , 1991.
Cela me dégoûte d'observer des sociopathes rembourrés en costume cannibaliser ce qui reste de notre unique installation d'oxygène. Nous voici emboîtés à bord du seul sous-marin de notre connaissance (la microbulle de l’habitat humain) qui croise la noirceur sans limites de l'espace sans opportunité de « remonter à la surface. »
Sots, ils tirent des composants vitaux de cette unique installation par voie de torpille dans l’abîme. Ils se compensent leur réalisation géniale en se payant les uns aux autres des ronds et des vieux papiers dénombrant tout plein de zéros. Quelle manque de sagesse ! Ils cavalent une course acharnée au néant.
Et dire que ça fait plus de deux mille ans depuis la naissance de l’enfant Jésus. Quel joli progrès que le nôtre !
On ne peut pas compter sur les protections de la constitution américaine comme mise en vigueur à l’aube de ce troisième millénaire EC. Son projet de droits, « Bill of Rights » n’invoque même pas la pureté de l'air ni de l'eau. Comment adhérer aux « intentions originelles » d’un tel document ? Ses auteurs l’ont rédigé pour proclamer l’égalité des hommes et préserver l’esclavage!
Faisons-en face : la constitution américaine est obsolète comme couramment ordonnée. Ce fut un document remarquable il y a deux cents ans, durant l'ère de transport à cheval et à voile, de correspondance à la plume d’oie et aux cires à cacheter, de terres gratuites sans limite en contrepartie du droit noble au domaine. Comme d’autres instruments révolutionnaires, elle exige défense active de la part de responsables désintéressés supposés la remettre à jour souvent selon ses propres directives. Mais nous ne pouvons plus bien la régler sous le diktat d’intérêts spéciaux allergiques au bien commun.
Le cercueil de la liberté américaine a été scellé par deux lois récentes:
· Citizens United » (citoyens unis) approuvée par la cour suprême ultra, leur meilleur moyen de désunir la citoyenneté. Elle octroi personnalité légale aux simples corporations, et légalise le pot-de-vin politique sans limite et anonyme;
· le Defense Authorization Bill de 2012, légiféré par un Congrès de malveillance équivalente et un Président à la République Weimar. Il autorise la détention indéfinie (ou l'exécution) de citoyens américains par le pouvoir militaire sans voie de droit. En bref, elle renvoie la Writ of Habeus Corpus de la Magna Carta (une loi de clef de voûte.)
L’égalité sous la loi Américaine ne s’attend a rien de plus que son enterrement aux mains d'imitateurs de Hitler, favoris politiques avec leur meute de Répugnants de la dernière fosse. Ci-git Trump, en rampe du par-dessous de sa pierre : prototype le plus récent.
Sinclair Lewis : « Quand le fascisme viendra en Amérique, il sera enrobé du drapeau et portant la croix. »
En Grande Bretagne, la loi commune s’est embrouillée lors du mouvement de clôture. Ces temps-là, les droits communautaires aux pâturages, aux ressources forestières et aux champs collectifs furent sacrifiés à la consolidation de grandes plantations pour les riches. En plagiat de ce décalage des valeurs traditionnelles anglo-saxonnes, le droit souverain de la propriété fut fourré dans la constitution américaine.
Les Amérindiens furent abasourdis par cette définition légale de la propriété n’étant fondée que sur des paperasses certifiées d’élite et assez de puissance de feu pour ratifier ces certificats pour la plupart nuls. Cela aboutit dans le génocide d’anciens propriétaires communaux, habitués depuis la nuit du temps aux conventions collectives « de l'usufruit ». Moins arbitraire, particulière et contestable, elle était davantage fiable et mieux adaptée à la façon intuitive de penser, donc plus facile à appliquer paisiblement par consentement universel.
Dans la transition au monde paisible, ce sujet sera de grande importance. Les Apprentis laisseront choir les réglementations d’intimidation appliquées en faveur d’intérêts d’élite, et les remplaceront avec des règles appliquées aux moyen paisible de la confiance réciproque et du consentement quasi-universel.
A vrai dire, les anciens villageois de ce qui devint la Grande Bretagne furent aussi ahuris que les Indiens américains par le banditisme arrogant de leurs supérieurs sociaux, appuyé par la puissance de feu irrésistible et enthousiasme d’en abuser.
« L’usufruit : Le droit de … jouir des profits et avantages des avoirs d’autres, [dans ce cas, Dieu] tant que ces biens n’en soient ni endommagés ni transformés en aucune manière. » Webster’s II, New Riverside University Dictionary.
Nos propriétaires contractuels doivent surexploiter leur propriété afin de défrayer des impôts baroques d'armes. Des profits et avantages cumulent de cette exploitation dégradante, en dépit de leurs mauvais résultats et peut-être à cause d'eux. La plupart de ces redevances d’armes doit aboutir dans les caisses de la sécurité sociale sinon rester avec le propriétaire pour compenser sa bonne intendance.
Des éconologiciens refusent d'honorer le soutènement, (en anglais, sustainability – je ne trouve pas le mot correspondant en français – la capacité d’être utilisé tout en se perpétuant malgré son usage) le préalable obligatoire de la bonne intendance et le socle de l’usage légitime. C’est le meilleur moyen d’accélérer notre décrochement de la misère, de pratique beaucoup plus robuste que toute « poursuite » fantaisiste du bonheur. Ni les défis ni les récompenses de la propriété ne diminueront sous les lois d'usufruit, mais le soutènement en bénéficiera certainement.
Comme des vaguelettes concentriques refluant de pierres jetés dans un étang, nous rayonnons des anneaux d'autorité déléguée. A partir de notre naissance, nous déléguons des affiliations préréglées de famille, de religion, de culture, d’éducation, d’affaires et de gouvernement. Une agence quelconque ne peut pas nous « accorder » ces privilèges, libertés, responsabilités et obligations ; nous les déléguons ainsi qu’il nous semble davantage convenable et attrayant — sinon, sur la terre en armes, moins terrifiant.
Quelques idées, négligées jusque-là, doivent gouverner la délégation de cette autorité :
· Prérogative personnelle : un individu bien mûri et en bonne santé est responsable en particulier pour son autorité et sa vie privée. Il n’appartient à aucune institution de les lui accorder en tant que « privilège » ni d’en abuser pour profit. Au pire, l’individu doit y consentir « pour le dossier » au cas par cas, surtout quant aux atteintes à sa vie privée. La publication ou l’utilisation de données privées en atteinte à l'individu sans son consentement serait un méfait pénale. Les seules exceptions : des psychopathes certifiés et des sociopathes condamnés qui aboutiront sous permanente liberté conditionnelle.
· Limite institutionnelle : l’instrument social doit se borner aux problèmes qu’il a fait preuve d’avoir bien résolus et déléguer les autres aux spécialistes adaptés
· Service dirigé : les priorités du passé doivent être renversées ; les instruments sociaux, servir une fonction populaire et non des patrons institutionnels par hypocrisie furtive.
Les Apprentis amenderont la constitution mondiale pour accorder des droits conformes à ceux qui lui jurent fidélité, non seulement aux États-unisiens géographiques. Inclus seront tous ceux qui lui souhaitent du bien mais refusent de jurer, ainsi que ceux qui préfèrent honorer un autre texte, (le coran ou la bible, par exemple) à condition qu’ils coopèrent paisiblement. Cela devrait mériter l’approbation presque unanime du consensus de bonne conscience morale.
Bientôt, la lutte de meutes politiques tourbillonnera autour de projets d'amendement de la constitution américaine : une série rédigée par les réactionnaires pour perpétuer la gestion d'armes ; l'autre progressiste, par les Apprentis. Comme d’habitude, ces premiers accuseront les seconds de leurs propres abus du pouvoir et les seconds accepteront ce blâme en silence.
Les Apprentis laisseront « la poursuite du bonheur » à la conscience morale et aux talents particuliers : là où elle appartient en premier lieu. La législation valide éloignera chacun de sa misère : ce que les gouvernements actuels bloquent avec obstination querelleuse. Ils préfèrent abuser leur gibier préféré, en poursuite du bonheur sans restreinte d’élites.
Le gouvernement ne peut pas savoir ce qu’est le bonheur, une subjectivité trop intime pour être honnêtement constaté. En revanche, Il peut facilement compter, analyser et réduire la misère au moyen de procédés que n’importe quel adulte sensé peut répertorier les yeux fermés : provision d’eau et d’air propres ; nutrition adéquate ; habits, logement et éducation ; libertés de rassemblement et d'expression ; justice (garde contre la corruption), etc. … Comme chaque individu et institution, le gouvernement doit effectuer ce auquel il excelle : rien de plus ni de moins.
Les Apprentis reconnaîtront des droits particuliers à la vie, à la liberté de choix, à la justice et au décrochement de la misère. Par ailleurs, ils rendront honneur aux droits suivants évidents en soi, à savoir : droit aux nécessités de survie de qualité supérieure et bon marché ; droit aux sol, air et eau purs ; droit aux soins médicaux supérieurs d’avant la conception jusqu’à la mort ; et droit à la poursuite de son Apprentissage de toutes ses forces. Les droits actuels, bornés sans merci par la régie d’armes, croîtront sous celle paisible.
Par exemple: (pris du chapitre Rapture)
En douceur décisive, on s’est mis à replanter Eden. On pouvait cultiver des plantations de pin écossais (Pinus sylvestris) dans la latérite nue de forêts tropicales dépouillées. Ces plantations ont attiré des oiseaux et des bêtes et leur crotte remplie de graines. La jungle amazonienne se rétablit spontanément. Des millions de telles plantations se répandirent, conçues par la communauté de Gaviotas.
Des bosquets de chêne sacré ont été replantés sur le terrain favori des premières communautés humaines. La vie quotidienne se soutint par la purée du marron, de l’âge de pierre jusqu’à celui de bronze. Les anciens Grecs et leurs contemporains à travers la planète, et plus tard des monothéistes primitifs, ont scié et brûlé au raz les bosquets de chêne de leurs ennemies. Au nom de la loyauté d’armes, chacun exécuta le maximum de profanation environnementale. Cela, l’esclavage et le meurtre de masse ont plus ou moins définie la terre en armes, de l’âge de bronze jusqu'à présent.
D'autre part, les sources de rivières grandes et petites se peuplèrent a nouveau de castors indigènes. Sur les hautes terres en amont de plaines arides, ces castors ont reconstruit leurs barrages afin de restaurer la vie animale, végétale et aquatique. Leurs zones de nidification protégées, s'étendant naturellement sans autre soutien humain, ont attiré de plus en plus de pluie, de croissance et d'autres avantages. La sécheresse et l’inondation diminuées en aval. Les agriculteurs et les promoteurs d'immobilier, auparavant méfiants, sont devenus des partisans enthousiastes de l’augmentation de rendement agricole. Avec un minimum d'aide de notre part, la nature, en apparence détruite de manière irréparable, a regagné sa fertilité luxuriante comme si par miracle.
Apparemment, les écologies régionales que nous avions exterminées pourraient se restaurer d'elles-mêmes, pourvue que nous y plantions un ensemble soigneusement adapté d'espèces clés dans cette région. Idéalement, cet ensemble comprendrait des microbes, des insectes (fourmis et termites), des rongeurs tunneliers et constructeurs de barrages. Les oiseaux et les animaux migrateurs pourraient alors prendre le relais.
Bientôt, l’application agro-industrielle de la terra preta succédera à celle des engrais minéraux et entamera la restauration des sols mondiaux, celle-ci favorisée à son tour par l’optimisation des colonies microbiologiques en agriculture et sylviculture. Les colonies microbiologiques seront étudiés en vue d'optimiser les symbioses d'agriculture et de sylviculture.
Les périlleux réacteurs nucléaires seront remplacés par une technologie propre et fiable car alimentée au thorium.
A travers la planète, les pauvres ont découvert qu'ils pouvaient bâtir leur propre demeure: fraîche en été et chaud en hiver, à l’épreuve de tempêtes et de tremblements de terre, au moyen des dômes de Roumi fabriqués à leur propre compte avec des briques de terre cuites en foursolaire particulier. Personne ne dut demeurer sans abri, maintenant que les pilleurs de maison s’en étaient Allés et que Nader Khalili nous démontra meilleur dispositif.
Partout sur son périple, un voyageur las pouvait frapper à la porte et s’attendre au bienvenu, à un bon repas et à de l’eau propre. Partout sur terre, des braves fermiers pouvaient cultiver leur récolte bio avec de bonnes eaux jamais plus polluées par erreur humaine.
Dans Comment penser de la guerre et de la paix, Mortimer J. Adler écrit :
« L'épreuve la plus élémentaire de la vraie conception du bonheur humain, c’est qu’elle doit être abordable par chacun sans entraver ni prévenir en aucune manière l’obtention des mêmes biens par les autres. Tous ceux qui considèrent la poursuite du bonheur comme une entreprise compétitive … » [souffrent d'une illusion fatale : mon ajout.]
Je recommande ce livre.
Le gouvernement mondial rationalisé rassemblera des milliers des meilleurs biologistes sur terre (la majorité dans cette réunion) avec des chimistes, physiciens, technologues et industriels ; aussi leurs acolytes brillants, dont la bride philosophique sera laissée au cou s’ils se distancent de leurs doyens vieux jeux. Ils s'assembleront pour le projet Manhattan numero 3. Projet numero 2 : photosynthèse de par la peau humaine. Projet numero 1 : bombe atomique.
Chacun recevra une copie d’étude de La connaissance : Comment rebâtir le monde à partir de zéro (Lewis Dartnell, The Knowledge: How to Rebuild our World from Scratch, The Penguin Press, New York, NY, 2014.).
Ensuite obtiendront-ils ces ordres de marche coriaces :
« Laissez tomber tout ce que vous venez de lire. Rien de cette technologie n’est soutenable à notre palier de population sur cette planète – ni sous la luxure du vingtième siècle ni l’austérité sans merci d’après l’apocalypse. Faites provenir celles plus durables en biomimant résolument des systèmes naturels. A partir de ces données fondamentales, œuvrez vers le haut. Rien n'est sacré sauf la survie de la civilisation humaine, même si elle doit se transformer au-delà du reconnaissable. Supplantez toute la technologie qui vous barre le chemin. »
« Avis : le feu est un outil extraordinaire à être utilisée avec grande circonspection, le plus souvent en profondeur souterraine ou en isolement industriel dans l’espace, voire longtemps auparavant et à grande distance de l’objet en question. Aussi, la compétition entre des êtres vivants et leur destruction doivent être plus souvent secondaires à leur coopération et croissance. »
« Surtout concernant les relations humaines avec des espèces clés écologiques : predateurs, rongeurs de tunnel ou de barrage, insectes (fourmis et termites), puis des habitats microbiologiques sous terre. Ces insectes et microbes peuvent remplacer nos industries d'extraction mécanique et celles de rassemblement par ingénierie civile; avec, dans l'ideal, des formules a temperature et pression ambiante, pour remplacer les nôtres d'énergie folle.
« Ne revenez pas avant de vous satisfaire de votre recherche préliminaire. »
« Puis dépêchez-vous ! »
…
COMMENTAIRE? markmulligan@comcast.net