WORLD WAR COVID GUERRE MONDIALE: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute

- QUE FAIRE ? -

March 12, 2024 mark Season 23 Episode 3100
- QUE FAIRE ? -
WORLD WAR COVID GUERRE MONDIALE: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute
More Info
WORLD WAR COVID GUERRE MONDIALE: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute
- QUE FAIRE ? -
Mar 12, 2024 Season 23 Episode 3100
mark

Sois gentil et traduis dans ta langue natale tes chapitres favoris d’Apprenti, puis dissémine-les gratis sur l’Internet. Une liste plus ou moins sage de suggestions intimes.

Show Notes Transcript Chapter Markers

Sois gentil et traduis dans ta langue natale tes chapitres favoris d’Apprenti, puis dissémine-les gratis sur l’Internet. Une liste plus ou moins sage de suggestions intimes.

COVID GUERRE MONDIALE
De la terre en armes au monde paisible
Apprenti, débute

- QUE FAIRE ? -

« Je n'ai pas conçu ma mission comme étant celle d’un chevalier errant urbi et orbi pour délivrer des gens de leur difficulté. Mon humble fonction a été de leur exposer comment résoudre leurs difficultés... Ma tâche sera achevée si je parviens à présenter à la famille humaine la conviction que chaque homme et femme, nonobstant sa faiblesse corporelle, est le gardien de sa liberté et de son respect de soi. » Gandhi, cité dans Raghavan Iyer, La pensée morale et politique de Mahatma Gandhi, Oxford University Press, New York, 1973, page 373. 

 

Ma sœur Karen m'a rendu le service de feuilleter un brouillon d'Apprenti alors que je débrouillais son bagout. Elle prit au sérieux ce que j’avais écrit et s’en est bouleversée. « Rien de tout ça n’est de ma faute » m’a-t-elle dit sinon quelque chose de pareil, « Qu’attends-tu de moi ? Comment protéger mes petits ? Dis-moi ce que je dois faire ! » 

Ne t’attends pas à ce qu’un héros solitaire, cambrant son cheval blanc, ne rende fin à ce cauchemar. Très souvent jadis, des enthousiastes se sont jetés la main dans la main dans le bout profond de la piscine d’acide, endolorant ainsi une foule d’innocents et amochant de grandes terres : la matérialisation du rêve des psychopathes.

Ou bien un consensus international d'Apprentis parviendra à résoudre ces problèmes, sinon personne.

Gandhi, d’ailleurs, nous apprit une autre vérité : que personne ne mérite de louange ni de plainte que selon ses actions. Ce n’est que la démarche de l'autre qui mérite condamnation ou approbation. L'autre, lui- ou elle-même, est une manifestation divine, donc analogue à la nôtre. Comme telles, toutes sont exemptes de notre haine. On échoue aussitôt qu’on rejette cet avis salutaire.

 

Inscrits en bas sont quelques priorités particulières que je désigne en rigolant des politiques. Espérons que des obsédés du contrôle (control freaks.) n’amorceront pas des erreurs supplémentaires. Adopte celles-ci que tu favorises ou poursuis tes propres.

 

Politique avant et après : Célébrer davantage, sacrifier moins.

Nous ne parlons pas ici d’un paradis terrestre sans tare, mais de l'amoindrissement des sacrifices à part ceux de soi et l’accroissement correspondant de célébration. Choisis-en une ou plusieurs et célèbre-les ! Evite de sacrifier quiconque sauf toi. Célèbre tes liens aux autres ! 

 

Politique la première & non pas : Réaliser ce que tu fais le mieux et laisser tomber le reste. 

On ne peut trop accentuer cette politique. Elle s’applique autant aux individus qu’aux assemblés ; au travail, à l’art et à l’adoration ; aux institutions et aux instruments. Elle s’applique au pouvoir, à la gérance et au défi : à chaque entretien. 

La brève réponse ? Concentre sur ce que tu fais le mieux. 

Chacun accomplit au moins une astuce de son mieux. Quant à nos poursuites, nous occupons un point d'excellence sur une courbe de cloche d'intérêt et de prouesse. Tu pourrais clique-claquer comme personne sur certaines de ces montagnes russes ; sur d'autres, tu t’écraserais avant d’atteindre vitesse respectable. Concentre ta passion là où elle s'accorde le mieux avec tes talents. 

Les directeurs d'armes préfèrent produire des légions de généralistes interchangeables qu’ils peuvent battre comme des cartes à jouer et distribuer là où ils démontrent quelque utilité marginale mais rarement l’ultime accomplissement. Quand s’éteignent nos compagnons guerriers, nous devons prendre leur relève selon priorité d'âge et de routine. Le monde des « ressources humaines » (quelle expression infâme !) c’est un vaste dépôt de remplacement pour la guerre. 

La plupart des activités humaines se réduisent en rafistolage. D'une manière ou d'une autre, nous nous débrouillons – compte tenu d’inefficacités et de coûts monstrueux – dans la pratique de travaux dérisoires qui ne parviennent qu’à nous excéder et dégoûter. Ceux-ci se décousent en tâches élémentaires et répétitives. Afin de gagner notre pain quotidien, nous répétons quelques routines enfantines jusqu’en étouffer de leur futilité. De nombreux rêves et initiatives personnels sont pilonnés et leurs aspirations, viciées en frustration et désespoir. Les embarras du sans-abri et du chômage semblent être nos seules options à la médiocrité professionnelle, au mépris de soi, à la requête existentielle que cela finisse et pas grand-chose de plus. 

Prends donc le conseil qu’offre un bon docteur à son patient en proie à la mélancolie : va trouver un hobby. Tant mieux si tu peux en extraire de quoi vivre. Quelques-uns jouent bien au piano, d’autres nous rapprochent à Dieu ou réussissent un risotto tueur ; d’autres encore obtiennent que des enfants sourient. 

Trouve ce qui te captive et va le réaliser. Aucun talent spécial ne doit être gaspillé. Si tu ne sais pas à quoi tu es bon, (un échec de partage quasi universel en cette civilisation avachie) la solution est simple : fais de ton mieux pour les autres et du plus gratifiant pour toi-même. 

Considère le sens inverse. Si tu n'as aucun talent pour une tâche, ne la mets pas de travers ; abandonne-la plutôt et laisse aux enthousiastes l’opportunité de prendre ta place. Si tu n’es pas un adorateur d'enfants, n’en fais pas ni n’en grandis ni ne leur enseigne. Si tu n’es pas confortable avec des langues étrangères, ne t’en ennuie plus. Ne colporte rien auquel tu ne crois pas. Ne compromets aucune affaire par incompétence ou indifférence. Ne protège pas des patrons égoïstes qui ne traverseraient pas la rue pour te protéger. Plus important encore, ne force pas des autres d’accomplir une tâche à laquelle ils n’excellent pas. 

La seule exception à cette règle touche aux socio/psychopathes. Sans doute saisiront-ils ces paragraphes pour justifier les pires tourments que permet leur talent. D’une manière ou d’une autre, ils doivent être détournés du mal qu’ils commettent si astucieusement et contraints d’accomplir autre chose sinon rien. Que la cure soit trouvée pour leur infirmité démoniaque qu’ils estiment comme talent distinctif et source légitime de bénéfices ! Qu’on en paye la plupart bien mieux, au lieu, pour se contenir.

 

Ainsi de même, la plupart de nos institutions agissent comme des arriérés. Sans trop se soucier de leur gamme de compétences, elles se prétendent capables de résoudre n’importe quel problème qu'elles croisent sinon offrir un compromis acceptable. 

Bien. Chaque système et institution effectue certaines astuces assez bien ; la plupart d’autres remarquablement mal. 

Prends le capitalisme (je t’en supplie, prends-le-moi !) Aucune institution n’est supérieure pour créer et concentrer de la richesse : souvent des activités essentielles ― surtout a l’appui de poursuites d’armes. Le capitalisme pur devrait régner dans ces cas et réaliser de son mieux. En revanche, il manque (a toujours lugubrement manqué) de réduire la misère. Si la demande est de réduire la pauvreté, d’équilibrer un écosystème ou de maintenir vraie croyance, par exemple, les capitalistes déclarés devront se soustraire de telles responsabilités. 

La même logique s’applique au militarisme, au communisme, à la science et la foi religieuse, ainsi qu’à d’autres procédés de raisonnement, de conviction et d’idéologie. Si démontrés efficaces à un tel sujet, ils doivent être éprouvés avec bienveillance et largesse d’esprit ; si défectueux, peu importe la raison, ils doivent être refoulés en clôture. Aucune méthodologie ne mérite interdiction absolue, seulement recueillement aux milieux qui bénéficient le plus de son intervention — et uniquement là. 

 On ne peut donc repousser l'organisation de commerce mondiale, (l’OCM) soit les maux qu’elle ait commis jusque-là. On aura besoin d’une cour du monde et d'une OCM pour bien régler le bazar mondial. De telles expertises seront essentielles. On doit simplement persuader ces associés de stimuler le monde paisible et réprimer la mentalité d'armes et ses technologies. 

Il faut, par exemple, que l’OCM police le commerce d'armes. Il y a couramment six cents millions de hargnes à feu au monde : une pour dix individus sur terre. Encore pis, beaucoup d’entre elles sont marchandées, fournies et entretenues par des vauriens, des tyrans et des assassins sans merci, alors que des citoyens décents circulent sans défense. On doit se demander : « Pourquoi tant d’innocents sont-ils persécutés, occis et chassés si fréquemment et si facilement ? » Les gérants de l’OCM doivent mettre fin à cette prolifération. Ils ne pourront plus s'absoudre de cette surveillance avec l’excuse qu’elle nuirait à la souveraineté nationale. 

Voici un autre point ardent à prendre en main. Chaque nation doit jouir d’autodétermination à l’égard de ses membres volontaires, pourvu que très peu d’entre eux ne composent le numéro 1-MES-DROITS pour se plaindre à la cour du monde. En aucun cas le simple Etat ne doit-il bénéficier de souveraineté externe : permis d’attaquer d’autres nations ; exactement pour la même raison que le citoyen moyen n’en dispose pour attaquer un autre. 

Qui plus est, on ne peut plus tourner le dos aux riches comme l’ont décrété les révolutionnaires d’antan. Ceux-là doivent se sentir libres d'accumuler toute la richesse qu’ils nécessitent, à condition que ceux qui restent subsistent en bon confort. Il n’est plus question de lutte de classe (ni de race ni d’autre position d’identité) mais du bien-être de la superconscience collective et de nos mœurs. 

Au fond, on ne peut ni repousser ni embrasser chaque pratique sociale dans son ensemble. On doit d’abord distinguer qui fait quoi avec compétence et les encourager, puis assortir ceux qui échouent et réorienter leur attention vers une meilleure alternative. Nos critères fondamentaux doivent être : est-ce que la paix en est rehaussée ? Encourageons-le. Serait-ce la mentalité d'armes ? A partir de là, surveillons-le de près et préparons-nous à le rétrograder. 

Selon Apprenti, aucune astuce ne doit être acceptée ni repoussée dans son intégralité. La vérité exige que chaque point de vue soit écouté et ses principes les plus valides, honorés. Nous n’en sommes pas encore parvenus parce que nos systèmes d’info n’ont pas encore évolué à ce crêt de raffinement. La coopération par-dessus la compétition et la célébration par-dessus le sacrifice, sauf aux cas où ces pratiques secondaires marcheraient mieux.

Selon la mentalité paisible, nos pires institutions sont celles qui s'attribuent domination intransigeante, obéissance absolue et rejet d’influences externes. Bien sûr, de telles institutions d’armes sont les plus foudroyantes, vigoureuses et persistantes : celles que nous vénérons le plus malgré leur venin.

 

Ces recommandations, à elles toutes seules, prendraient des vies entières à mettre en œuvre. Nous sommes supposés réussir des tours auxquels nous ne pouvons ni aspirer ni bien accomplir ; nous nous soumettons de toute façon à cette folie collective. Notre communauté se prend de grandes peines pour briser nos talents et souhaits les plus élémentaires. Jusqu'à ce qu’elle ne rende appui sincère à nos priorités intimes, nous ne pourrons matérialiser nos meilleurs chefs-d’œuvre sans lutte de titan. 

Nous sommes arrivés au point d’exiger cette lutte. Ce gaspillage véreux de temps et d’effort c’est transformé dans le préalable obligatoire de toute créativité artistique. On doit bel et bien souffrir avant d’être permis de poursuivre ce que l’on souhaite faire le plus. Nous devrions plutôt l’accomplir en premier lieu et l’améliorer constamment, tout en jouissant de l’appui enthousiaste et continu de notre culture. 

 

Politique la 2eme : S’assembler.  

Va trouver le monde qui partage tes intérêts et poursuites: lecture, art, hobby, charité, Apprenti, n’importe quoi. Agissez en groupes quant aux inquiétudes et célébrations mutuelles. Trouve de nouvelles recrues, forme des groupes distincts aux buts différents. Branche-toi dans des réseaux informatiques et bases de données. Assiste à l’assemblée d'adoration de ton choix et laisse-lui refléter ton esprit. Mets-toi en contact avec des Apprentis pairs, même de l'autre côté de la planète. Débarrasse-toi de l'aliénation dont dépend la mentalité d'armes. 

 

Politique la 3eme : Se rendre politique. 

Pas pour moi, celle première ; uniquement pour ceux passionnés. Rappelle-toi que je dois d’abord épuiser ma tâche initiale (rédiger Apprenti) avant d’avancer à celle suivante (le prédiquer.) La corvée des politiciens ne m’intéresse pas.

Toi, assiste aux fonctions politiques et fais-y entendre tes opinions. Prends en charge la plus importante responsabilité de gérance dont tu te sens capable. Grimpe aux cimes de responsabilité politique, aussi haut que tu puisses supporter la chaleur. Mets-toi en contact avec des ouvriers médiatiques. Ecris, appelle et rends visite aux représentants politiques ; emplis leur oreille ! Mets-toi en contact avec des individus et des corporations selon leurs accomplissements soit bons ou mauvais. 

Vote, même quand tes choix te paraissent des options insignifiantes qui semblent rendre tout le monde en perdant. Affirme tes convictions politiques et apprends celles de tes voisins. Chaque fois que tu trouves tes choix de scrutin inacceptables, insiste sur ton droit de marquer une abstention dégoûtée. L'anonymat peut offrir sanctuaire analogue, aux victimes comme aux bourreaux, mais cette forme d'évasion politique est trop onéreuse pour nous autres et profitable pour les rares. Nous jouirions davantage de prospérité et de tranquillité en affrontant nos responsabilités au lieu de les laisser tomber.

 

Chaque fois tu que refuses de voter,
Tu approuves des politiques et des politiciens
Que tu hais le plus !

 

Ceux qui se proclament « pas politique » le sont en réalité. Ils ont inopportunément conclu que leurs besoins sont mieux servis par le statu quo. Quant à ceux qui refusent de voter par pur dégoût, ils ne parviennent qu’à aigrir leur nausée existentielle. 

 

Politique la 4e : La charité. 

Le plus de fonds que tu contribues aux bonnes causes, le moins qu’en obtiennent les directeurs d’armes. Applique ton temps et tes biens aux individus nécessiteux et aux instruments dignes. Dîmes, mais astucieusement. Ne pellette pas bêtement de l'argent dans la gueule de charités monolithiques et de corporations ecclésiastiques. Leurs directeurs déforment sans doute leur mandat légitime avec des ordres de jour tordus, soit d’origine particulière ou institutionnelle. 

Trouve des nouveaux moyens de rendre aide aux autres. Lance-toi en dehors de ton cercle d'amis et de clients. Sois bon et fais bon compte de ta bonté. 

La charité déverrouille le miracle. 

 

Politique la 5e : Réaliser ce que tu visualises.  

Note  au pare-chocs l'autocollant affiché du texte : « Visualise la paix globale. » 

La visualisation constructive doit être introduite à chaque jeune Apprenti. C’est une autre compétence de survie que nous sommes attendus à absorber, si seulement par osmose, par procès et erreur ou pas du tout. Quelle éducation misérable que l’on doit endurer !

Par exemple, inscris une liste de souhaits et attache-la sur ton miroir de salle de bain. Note et raye ceux qui se manifestent dans ta vie. Rafraîchis ta liste de temps en temps : une forme élémentaire de visualisation. 

Sinon rêvasse sans componction. Tes rêveries, si ornées de l’amour pour l’humanité, peuvent mieux compenser (le feront, en toute probabilité) que la besogne byzantine de ceux mieux rémunérés.

Parmi les compétences qui doivent être apprises : le judo et un autre art martial qui enseigne à tomber sans se casser l’os. Quelque chose d’analogue devrait être enseignée à chaque bébé qui apprend à marcher. Aussi, la natation.

Transcender cette ignorance, ce n’est que la bataille à mi gagnée. Une fois que tu visualises tes idéaux, réalise-les

 

Politique la 6e : Embrasser la responsabilité.  

Disons que quelque chose de remarquable t’advienne pour le mieux ou le pire. A toi de te demander, « Pourquoi j'ai attiré ça dans ma vie ? » Mes remerciements à Context, Inc., pour avoir verbalisé cette conviction subliminale. Quel dommage qu’Andy Revell, son fondateur, disparut en 2004. 

N’en fais pas là une raison pour te culpabiliser d’avoir fréquenté un intervalle troublant, d’avoir été rompu ou de te trouver dans un pétrin. Fais-en une méthode d’attirer des circonstances améliorées pour toi et les tiens.

Transformons ce que nous pouvons pour le mieux et expirons en tentant de changer ce dont nous nous présumerions incapables. Au diable « patienter avec ce qu’on ne peut pas changer ! » N'accepte rien de moins que l'excellence particulière et la somptuosité communautaire. Prends des grands risques, aie du cran et aime sans crainte. Rappelle-toi les propos du Révérend Jesse Jackson et « Raviver l’espoir ! » 

Chacun doit être assoiffé, abreuvé et soul de la paix de Dieu. 

 

Politique la 6e et demi : Rire davantage. 

Des maîtres de rires devraient inaugurer des rencontres formels et spontanés ; les initier en public pendant des cérémonies formelles et en privé lors de fêtes particulières. Ha, ha, ha, ha ! Gandhi fut si sévère, nonobstant sa bonne humeur continue ; toi, déborde de rires. Le rire est approprié dans toutes sortes de situations que l’on n’admet pas. C’est une autre clef de passe au miracle. http://www.newyorker.com/online/blogs/newsdesk/2010/08/video-laughter-yoga.html

 

Politique 6,75 : Pleure d’honnêtes larmes quand le rire ne vient plus. 

 Te repentir et transformer l’ensemble, du fond de ton âme jusqu’aux fins-fonds de l’univers.

 

Politique-les 7e & 7e et demi : Saisir le rôle principal si l’acceptant bien, sinon t’ôter du chemin.  

Le texte d’Apprenti est en grande partie rédigé pour des chefs à venir. Quiconque honorera sa passionmènera dans cet enclin. 

Jusqu’à présent, des gens d'énorme profondeur d'esprit, de grand cœur et de sagesse exemplaire se sont retirés en dégoût de la gérance du monde, bien qu’elle ait toujours été leur obligation naturelle. Ils doivent reprendre la lutte et nous remettre sur la bonne voie abandonnée. Nous les nécessitons tous : hommes et femmes partout, aussi bienfaisants qu'ils peuvent devenir, en amélioration constante et coopération massive. La dictature de la compassion exigera de la coopération mieux appuyée. Ceux supérieurs doivent gagner droit de passage à leur passion. 

L’ère est venue et partie de sainte contemplation et de non-intervention lettrée ; il est l’heure de descendre de la montagne au dos du bœuf de la sagesse (selon le Tao.)

Aux esprits moins doués, (orientés ailleurs) ôtez-vous du chemin ! La contestation de cette gérance ne parvient qu’à perdre du temps qui ne reste plus à perdre. Autrement, aux ordres de la mentalité d’armes et à défaut de mieux, la plupart des rôles principaux sont brutalement saisis par des malveillants officieux. Il n’y a que des individus de moralité pourrie capables de justifier, dans la sournoiserie de leur médiocrité, les contradictions tarées de la mentalité d’armes. Ils sont les seuls à se contenter, eux et leurs exigences triviales, d’une récompense si piteuse.

La seule chose qui puisse améliorer la direction moyenne, c’est l'exemple transcendant de chefs remarquables à chaque palier. Etant donné le fourmillement actuel de mauvais modèles de rôle, ce n'est pas difficile de saisir pourquoi nos chefs font la queue autour du bloc de rue pour enregistrer leur faillite morale.

La terre en armes n’est qu’un rapiècement de mauvais quartiers mal régis par des chefs de guerre. L’humanité doit la transformer en Eden sous la gérance de chefs de tribu les plus honorables que nous puissions trouver. Le salut militaire est rendu aux galons plutôt qu’à celui les portant ; la salutation politique doit l’être aux individus exceptionnels plutôt qu’à leur placement, fortune ou statut social.

 

Un chef solitaire ressemble à la proue d'une barque moins sa quille et sa coque ; l’ensemble est toujours plus fort que ses composants. Apprenti fait appelle à ceux qui ne souhaitent pas mener autant qu’à ceux qui le veulent. 

Le prolétariat d'info cultive son élite sur demande, un peu comme une colonie d'abeilles, sa nouvelle reine. Alors que les prolétariens d’info soutiennent leur élite actuelle, ils doivent aussi bien élever un complément varié de proto élites. Elevons les meilleurs chefs que nous pouvons repérer et portons-les en triomphe dans la salle de ville. 

Condamner la gérance actuelle, ce n’est que demi-mesure. Quiconque se satisfait de si peu, abdique sa prise de décision aux autres et à leur mauvaise interprétation de son malheur. Si l’on ne souhaite pas mener, soit ; on doit chercher ceux qui le peuvent, trouver ce qui les motive et s’ils sont capables d’aimer et d’être aimés sans crainte, les soutenir et les inspirer à satisfaire leur devoir, puis vérifier leur droiture. Veiller sur eux, les corriger quand ils s'égarent et insister qu'ils fassent mieux. Sinon les remplacer avec ceux préférables.

 

Politique-les 8e et 8e et demi : Etudier Apprenti, devenir Apprenti. 

Lis ce texte. Familiarise-toi avec, traite de ses propos et démêle-les là où ils ne tournent pas rond. Trouve des meilleures alternatives et envois-les moi pour incorporation ou remplacement céans. Fais publier tes meilleures idées indépendamment. Parle aux autres, d’idées exposées dans ce livre, et découvre ce qu'ils en pensent. Identifier crimestop et l’affronter. Défie la mentalité d’armes dans tes propres pensées et tes ronds journaliers de conversation et d’Apprentissage. 

 

Politique la 9e : Satyâgraha. 

Saisis la victoire mutuelle. Trouve ce que les autres nécessitent, sache ce dont tu as besoin et fais paraître les deux. Pratique la règle d'or avec tous y compris toi-même. Si tu ne t’en souviens pas, trouve-la et mémorise-la. Comme tout ce qu’il y a de mieux dans la mentalité paisible, elle fait partie de l’héritage de toutes les langues et cultures. Je te la répète ici : 

Fais aux autres comme tu souhaites qu’on te fasse. 

Avec cette stipulation : que tu sois toujours attentif aux besoins des autres, qui peuvent différer des tiens.

 

Politique pas la 10e : N’ai pas d'enfants à moins de le devoir.   

C'est simple. Des couples qui n’ont pas d’enfants ou un seul ajoutent aux Apprentis ; ceux qui en font deux se reproduisent ; ceux de trois ou plus produisent des guerriers et des génitrices de guerriers en série. Ceux qui inséminent et fuient, et celles qui sont rendues enceintes et se tapissent, produisent la progéniture qui doit être sustentée avec toute la force du monde paisible. Aucun enfant ne sera abusé sans réparation immédiate au monde paisible, à la différence de la terre en armes. Des abus par-ci deviendront une disgrâce inédite par-là.

Nous avons été traumatisés par la mentalité d’armes, intoxiqués par sa violence et sa contre-vérité. De façon perverse, ces terreurs nous ont semblé avantageuses. Nous pouvons exorciser ce cauchemar collectif en coupant en deux le nombre de naissances humaines plusieurs fois dans les décennies à venir. 

 

Politique la 11e : Apprends ! 

Nous sommes tous des Apprentis, l’avons toujours été et le serons pour aussi longtemps que nous errerons ici-bas sur terre. 

Un aéroport jongle des avions et des voyageurs ; le tout révolue autour de leur transition. Les êtres humains sont construits pareillement, pour apprendre. Quant à l’humanité, chacun de ses besoins et désirs et chacune de ses aspirations et frayeurs se réunissent dans l’Apprentissage. Celui-ci ne s'augmente pas dans le luxe ni ne diminue en pénurie. Le matériel et l’esprit l'absorbent également. La pratique du bien et la souffrance du mal sont des scénarios comparables d’Apprentissage ; la naissance et le trépas, parmi ses leçons les plus instructives. Vis pour apprendre et apprends à vivre.

Une fois l’idée saisie que l'apprentissage du refrain de l'ADN justifie bien chaque moment passé sur cette belle planète affligeante, (telle que révélée dans Le serpent cosmique ainsi qu’en Jean 1 5 et Genèse XXVIII 12 dans la bible, parmi d’autres) tout le reste prendra sa place légitime dans l'ordre des choses. Peu importe quel destin nous attend, nous retiendrons toujours l'option de bien mourir et de réincarner dans la vie du Christ. Une fois ta croyance amarrée à ce quai, personne ne pourra la remettre à la dérive.

 

Politique-les 12e, 12e et tiers et 12e virgule six, six, six… : creuser des étangs, cultiver du sol et planter des arbres et des haies. 


Des étangs artificiels de petite profondeur sont des aimants naturels pour de la terre arable aéroportée, du pollen et des sédiments érodés. En tombant en déchéance, des plantes aquatiques se rendent en engrais parfait. Des déchets de domicile et de jardin sont plus utiles, une fois fermentés en méthane et terre arable, à condition que les demeures restent propres et salubres et que ces déchets soient tournés de temps en temps pour permettre leur levure oxygénée et prévenir leur pourriture anaérobique en cendres d'incinérateur et liqueurs de décharge d'ordures : le produit industrielle aujourd’hui.

 

Les technicités de la régénération du sol amorceront bientôt une renaissance de nouvel âge qui compensera des milliers d’années de négligence et d’abus officiels.

Selon le livre de Krisin Ohlson, The Soil Will Save Us: How scientists, farmers, and foodies are healing the soil to save the planet, (Le sol nous sauvera : Comment des chercheurs, des fermiers et des gourmets guériront la terre afin de sauver la planète) Rodale, Inc., NY, NY, 2014 ; l’agriculture soi-disant bio peut élever le même volume de récoltes que celle industrielle, de façon plus renouvelable (sustainable) et à moindre coût (avec moins d’entrés chimiques et mécanisées. En théorie, le CO2 en surplus que l’humanité produit chaque année peut être incorporé dans de sols de haut Carbone très fertiles. Leur restauration comprendra quelques procédés de base permettant de nombreuses perspicacités et innovations avec de fort dur labeur.

Cesser d’ajouter des fertilisants, des pesticides et des herbicides en gros sauf de manière temporaire en localité, avec précision microscopique et au but bien défini.

L'agronomie sans labourage : ne plus désagréger la terre. Se servir de ses méninges et de la nature au lieu de force brute et de chimies inertes à base de pétrole.

La plus complexe la communauté écologique sur une domaine, le plus élevé le taux de Carbonne dans son sol. Etablir un mélange de couverture végétale tant pérenne qu’annuelle en localité. Soutenir la communauté microbienne sous terre avec la même application que celui dévoué aux troupeaux et aux récoltes sur la surface. Planter des arbres et des haies sur les marges. Soutenir la plus grande diversité génétique de semences précisément adaptées par l’agronomie artisanale aux conditions locales. Se servir de techniques naturelles de contrôle d’insectes nuisibles et de fléaux. Les pratiques de monoculture industrielle et de bétail encellulé en enclos statique sur un terrain autrement ruiné, ce ne sont que des manifestations de bêtise suicidaire.

Diriger des troupeaux sur des champs en jachère : soit des animaux d’exploitation entre des petits enclos mobiles, soit des herbivores sauvages braqués, pressés et concentrés par des carnassiers à travers des terres extensives. Tu souhaites beaucoup d’empreintes, d’urine et de fumier par terre, mais seulement le quart de la couverture végétale rongée avant que le troupeau ne passe ailleurs. Planter une diversité de moissons sur le terrain que le troupeau vient de piétiner.

Il se trouve que l’ancienne technique agricole « abattre et brûler » peut-être remplacée par celle plus pensive, appelée terra preta. D'après elle, des tas de flores peuvent être abattues et laissées couver, recouverts de terre ou de foins. Cette brûlure anoxique, appelée biocarbonisation (biochar ?) séquestre des grandes quantités de Carbonne et d’éléments de trace, qui, semés aux terroirs pauvres et blêmes, les rendent en semblables foncés et gras de façon quasi miraculeuse. Au boulot !

Des champignons peuvent augmenter le volume du sol et améliorer sa qualité au moyen de la mycéliation (l’infusion de réseaux de fils à travers le sous-sol), le donner, la désagrégation et la propagation. La première étape rend structure au sol, concentre les minéraux et applique contrôle sélectif aux microbes ; le donner nourrit des bêtes de passage tant grandes que petites, accumulant ainsi leurs déchets, pollen et graines ; la décomposition alimente des communautés de plantes et de micro-organismes. L'application ds’adresse humaine peut accélérer ces étapes. Et puis, au meilleur cas, ça se mange bien sauté au beurre et à l’ail !

Célébrer chaque fête locale en plantant des haies, des arbres, et des arbrisseaux hardis dans ce climat et natifs de cette localité. Coaliser avec ses voisins pour propager des nouveaux bosquets, parcs, vergers et forêts. Planter des arbres le long des lignes de démarcation biologiques décrites dans ce texte, encore plus d’arbres et de haies ! Obtenir que des politiciens promettent de planter davantage de forêts : une promesse que même nos politiciens vendus peuvent honorer. 

Je répète : la communauté micro-organique du sol doit bénéficier de la même attention au détail et des mêmes soins de la part de fermiers et jardiniers que leur récolte sur le champ. 

 

Politique la 13e & bienheureuse : Cultiver notre jardin. 

Laisse-moi te citer la dernière ligne de Candide par Voltaire : le chef-d’œuvre d’un de mes maîtres d'enfance et pionniers de science-fiction.  

« Cela est bien dit, répondit Candide ; mais il faut cultiver notre jardin. » 

Chaque jour, des milliers de pièces de rebut voguent légères sur les rues de notre quartier pauvre planétaire. Notre terrain du devant est un amas de litières et de verres cassés qui nous prendra un bon bout de temps pour déblayer. Entre ces couches gisent encore plus de haine, de frayeur et de douleur psychique. Une fois ces ordures ôtées, on dispose d’un terrain vague et d’une nouvelle décharge quotidienne. Que faire ? Tout abandonner ? Endurer dans la crasse ? Gémir de réduction de marges de bénéfice ? S’abandonner aux demi-mesures à demi-réconfortantes ? 

Jamais de la vie ! Chaque jour, tant que nos cœurs tiennent le coup, nous retirerons ces saletés. Leur ampleur importera peu. Nous le ferons repousser, ce jardin, le sèmerons, l’arroserons et le soignerons avec tendresse. Nous planterons des arbres et des arbrisseaux et les soignerons de même. Avec un peu de veine, les meilleurs de nos voisins nous imiteront, attirés par notre exemple. Dès que ces lieux minables se muteront en jardins resplendissants, notre voisinage répugnant se rendra en espace vert digne de notre affection. 

Accru un peu, c’est précisément ce que l’on doit accomplir à travers la planète. La mentalité d’armes, traînée dans la lumière du jour, sera jetée aux ordures comme du chiffon pourri. Des tergiversations de fausse économie ne seront plus reçues.

 

Politique XIV : Jeûner quand c’est convenable.

Dès qu’en conviendrait un Apprenti guérisseur digne, sens-toi libre de t’abstenir de nourriture solide, que ce soit pour une journée par semaine, un jour tous les quelques mois ou aux conjonctures particulières. Abreuve-toi de liquides salubres et casse-croûte quand cela te convient, sans remords. 

Les Apprentis doivent se rendre intimes de la faim, en être si familiers qu'ils ne la permettront à aucun étranger dépourvu, ainsi qu’ils en épargneraient les membres de leur famille. 

Cette politique ne s’applique pas aux enfants et aux jeunes gens qui doivent manger quelques fois par jour pour grandir forts et futés. Cette forme d’abstention n’est propice que pour des adultes. 

 

Politique XV : Renverser la polarisation sentimentale entre les armes et la paix.

Selon Roland N. Stromberg, dans La rédemption par la guerre : Les intellectuels et 1914, presque tous les Européens furent emportés par des sensations comparables quand la guerre débuta, peu importe leur origine.

L’exaltation, l’éveil spirituel, la transformation, l’affranchissement des petitesses et des mesquineries ; surtout la montée subite du consentement qui réunit des individus de toutes sortes : braves gens et intellectuels, ceux de droite et de gauche... Le mysticisme de l'union sacrée, l'extase de la communauté récupérée, l’union des cœurs, l'appel au rassemblement de l'empire, l'ardeur ravivée, le renouveau de la force et du courage, la camaraderie, l’esprit de la discipline et du sacrifice. L’extase révolutionnaire en vue d’épurer à grands feux un monde complètement corrompu. La révolte contre une société rationalisée et mécanisée, et l’évasion d'un certain incident malencontreux. Etre rattrapé par quelque chose de monumental et d'importance historique. L’émancipation sexuelle des guerriers. Le rendement au silence provisoire de ceux opposés à la guerre et leur amortissement permanent. Une fièvre. La sauvegarde du christianisme (soit ta religion préférée.) Cette force physique chargée d’énergie morale, elle s’approche à l'amour. La guerre mène au sentiment religieux d’apocalypse, même parmi les antireligieux. L’abandon de l'internationalisme et de l'objectivité scientifique ; le triomphe des émotions par-dessus la raison. La poursuite de l’héroïsme, de la noblesse et de la générosité ainsi que l'aventure, le danger et même la mort. Les impératifs de la solidarité et du sentiment de parenté, la recrudescence de consonance entre l'individu et la nation entière ; la camaraderie des tranchés. La guerre martèle le monde en nouvelles formes ; elle dit vraie à l’existentielle. L'ennemi et le danger au combat se rendent suprêmement véritables. Par contre, la paix semble abstraite au point de dépouiller l'individu de son identité. L’unification fondée sur quelque chose de très simple : l'ennemi commun. L’immersion des minorités patriotiques dans le fleuve primaire, harmonie sociale, solidarité, justice distributive et salut par la souffrance. Les anciennes raisons pour la guerre inclurent la nécessité, le devoir et la justice ; en 1914, celles « nouvelles » sont devenues le renouveau, l’aventure et l’apocalypse. 

Du moins jusqu’à ce que le massacre de masse ne se soit rendu sérieux, de là quelques semaines et sans arrêt pour des années à venir.

Les citoyens américains ont ressenti la même chose après l’onze septembre. Stromberg déclare que les soldats en première ligne retiennent ces sentiments plus longtemps que les civils d’arrière secteur qui réintègrent beaucoup plus rapidement l'aliénation ordinaire en temps de paix … Ce qui peut expliquer pourquoi beaucoup de combattants ont tant de mal à réintégrer le monde civil dont ils ont perdu contacte après s’être trempés dans le creuset de la guerre. 

 

Il appartiendra aux Apprentis de transformer la terre en armes dans le monde paisible par la même sorte de campagne militante pour laquelle les êtres humains semblent encablés. Ils amplifieront le monde paisible en se servant de sentiments analogues, représenteront la guerre comme l’ultime formule d’égocentrisme, de rabais spirituel et de discorde (« C’était lui ou moi ; eux ou nous. Les fins justifient les moyens. C’est moi qui commande ici, va mourir. ») Ils exalteront la paix en parfaite sincérité et ne laisseront aucun non-dit quant à la guerre. 

Cet exercice spirituel sera très coriace. Les Apprentis devront empoigner la droiture de leur cause, raffermir leur conviction de par leurs études et persuader les autres par la pureté de leurs actions. La moindre trace d'hypocrisie, d’hésitation et de faiblesse dans le renversement de ces sentiments rendra discrédit au monde paisible.

 

Politique XVI et surtout pour les petits : Protéger leurs yeux et leur peau !

Alors que tu lis ces mots, la couche d'ozone s’effile et le soleil lui-même adopte un air fatalement désapprobateur. Les habitudes de la vie en plein air, autrefois davantage salubres, n’offrent plus rien que le cancer de la peau et l’aveuglement prématuré.

STP, assure-toi que tes gosses portent de bonnes lunettes de soleil et un chapeau ombré quand ils vont dehors, et le plus souvent une chemise longue et des pantalons longs ! Ils te remercieront après, de tes intrusions agaçantes, quand leurs contemporains deviendront des aveugles prématurés et cancéreux de la peau entre les deux âges. 

 

Politique la 17e et quelque : Le nez, c’est pour respirer ; la bouche, pour manger et discourir.

L’Oxygène est une drogue d’addiction à cent pour-cent fatale  : les déchets de plantes et de cyanobactéries, semblables à l’alcool. Le corps humain fut conçu pour en consommer le minimum nécessaire, l’inspirant peu à peu par le nez. A moins de s’exercer à la course à pied ou à une autre activité vigoureuse, on en prend beaucoup trop en respirant par la bouche, ce qui diminue la vitalité humaine et sa pensée, de façon cumulative . 

Les voies nasales sont souvent étroites dans la figure caucasienne et nous forcent parfois de respirer par la bouche. Cette faiblesse raciale doit être résistée. Si tu t’attrapes à respirer par la bouche, mets-toi consciencieusement à respirer par le nez. Si beaucoup d’Apprentis se mirent à respecter cette simple règle, de nombreuses sottises diminueraient en proportion, ainsi que beaucoup de vieillissement prématuré d’organes corporels, surtout ceux en contact direct avec l’air respiré : poumons et voie digestive, aussi les yeux et le cerveau, qui saisissent de façon réflexive davantage d’oxygène qu’ils ne nécessitent quand ils en trouvent l’opportunité. Après tout, tu es en train de respirer par la bouche (n’étant essentiel dans la nature qu’en cas d’urgence) cela doit donc leur exiger un surcroît de concentration et de vision au coût de décrépitude en aval du temps. A longue échéance, trop d’oxygène est presque autant nuisible que pas assez.

 

Politique XVIII : En mourant, prends-moi des nouvelles de Jésus.

Je t’invite à réincarner dans la vie de Jésus. Y apprendre ce que tu dois pour être sauvé. Te dégager, lors de Son agonie, de la Roue du désir et de la mort, et intégrer aussitôt le paradis en Sa compagnie.  

Ainsi cuirassé dans la vie et n’ayant plus rien à craindre, on doit bâtir le monde paisible. 

 

(Retour à l’onzième politique.)

 

C’est bien, ma sœur chérie. Cela résume mon point de vue pour le moment. Tu as créé des tas de choses d’élégance spontanée et de grâce à merveille, sans grand encouragement. Tes réussites surpassent celles d’autres dont j'ai témoigné. Tu as élevé tes enfants du mieux que t’as pu ; ils grandiront donc aussi bien qu’ils peuvent. Espérons que nos descendants, tant ceux spirituels que de souche, prospéreront au-delà d’imaginer.

COMMENTAIRE?  markmulligan@comcast.net 


on es le gardien de son respect de soi et de sa liberté
liste de politiques