WORLD WAR COVID GUERRE MONDIALE: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute

- CONCLUSION EN FRANCAIS

March 14, 2024 mark Season 23 Episode 3150
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WORLD WAR COVID GUERRE MONDIALE: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute
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Mar 14, 2024 Season 23 Episode 3150
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Le développement soutenable de technologies paisibles. Activisme, commentaire social, prévision du futur, prophétie politique, théorie politique, écologie paisible, idéalisme, renouveau urbain, fédération globale. La représentation du monde paisible qui nous manque.

Prier lire "L'Avenir" d'abord.

Show Notes Transcript

Le développement soutenable de technologies paisibles. Activisme, commentaire social, prévision du futur, prophétie politique, théorie politique, écologie paisible, idéalisme, renouveau urbain, fédération globale. La représentation du monde paisible qui nous manque.

Prier lire "L'Avenir" d'abord.

COVID GUERRE MONDIALE
De la terre en armes au monde paisible
Apprenti, débute

- CONCLUSION -

« Il est difficile de faire comprendre quoi que ce soit à quelqu’un quand son salaire dépend de ne pas le comprendre. » 

Citation d'Upton Sinclair, prise de la rubrique de Mike Mailway, (pseudonyme pour le feu L.M. Boyd) syndiquée dans l’ancien journal The Seattle Post-Intelligencer. Il ne subsiste plus chez nous que le Seattle Times, qui escamote la politique progressiste en battant du tambour pour des Republicans invendables et leurs politiques de vendus.  

Je te prie de parcourir « L’Avenir » d’abord. 

D’une manière ou d’une autre, une ère sinistre grince à sa fin. Des directeurs d'armes ne peuvent plus tirer profit de la guerre … même faux profit. Ce temps est révolu. L’énergie gaspillée naguère en célébrant des mythes d'armes ne peut plus être considérée excédentaire. Il ne reste plus d’excuses pour l’ignorance réflexive, la pauvreté faite exprès, le désastre stimulé, l’injustice autorisé et le surpeuplement à base de dogme : les usages sociaux de loin les plus coûteux. Ceux de rechange nous rendront moins de souffrance et davantage de profit ; encore mieux, elles tariront la mauvaise volonté qui nous infecte.

 

Nous les terriens consumons environ 151.600 litres, ou 130,6 tonnes, ou quatre et quelques camions citerne de pétrole à la seconde. Ça ne parait pas si mal, pas vrai ? Multiplie par 86.400 pour chiffrer notre dose quotidienne.  

Il y a une dizaine ou deux d’années, nous nous sommes catapultés par-dessus l’intersection en cime de la demande pétrolière en ascendance et de son rendement en diminution, sans en avoir été avertis par les fonctionnaires. 

L’impulsion inertielle de la terre en armes est trop massive pour être stoppée. Elle nous rend en héros de dessin animé, suspendu au-delà du précipice et moulinant des pieds et des bras pour se maintenir à la hauteur. Il reste peut-être quelques moments pour choisir ce que nous emporterions par-dessus ce précipice. 

On pourrait s’y jeter muni de l’appareil lance-flammes le plus récent qu’ait su fabriquer la terre en armes : la mort hypertechnique du bout des doigts, coûtant fortune et parée à carboniser quiconque ose nous l’arracher. Pourquoi pas plusieurs, puis autoportés à chenilles et lourdement blindées ? Pourquoi pas des régiments de tels ? Cet ensemble rendra de grands éclats et boums quand il s’écrasera au fond du gouffre. Feu d’artifice spectaculaire : de fuligineux tessons de corps et de débris rougeoyants en virevolte tout autour !

Autrement pourrait-on endosser un parachute : soigneusement tissé, de fiabilité éprouvée, empaqueté avec soin et consciemment sécurisé sur nous. S'exercer assidûment pour atterrir en félin comme des secouristes parachutistes experts.

Sans doute nous y jetterons-nous fournis à mi entre ces deux extrêmes : pourvus d’une miteuse parachute d’urgence pour soutenir la tankette lance-flammes en boite à sardines dans laquelle nous écraserons de façon exemplaire, contre l’avis d’experts. 

Si seulement nous nous serions penchés sur la maitrise de ces problèmes aux années 1950s, quand nous aurions disposé de réserves pétrolières suffisantes pour réduire cette chute au poids de plume ! Si seulement un précurseur plus convainquant qu’Apprenti avait été propagé en millions d’exemplaires il y a une génération ou trois ! 

Mais les responsables de la terre en armes étaient trop myopes pour entreprendre le nécessaire et leurs remplaçants n’ont démontré aucune vision supérieure depuis, bien au contraire. Battant des pieds en l’air avec le dévouement de nageuses synchronisées, ils nous ont suffis, sots qu’ils étaient et que nous sommes.

Tendant aux lance-flammes, le sacrifice de l’Autre ; à la parachute, la célébration des Apprentis.

 

Ce n'est pas du simple profit auquel nous aurions du discourir mais, en paraphrase de Mengzi, l’octroi des Apprentis : le devoir d’apprendre et l'humanité du monde paisible. 

Notre avenir est menacé par les pires habitudes de nos sociétés : la présomption d’élites, l’ignorance prolétarienne et notre soumission mutuelle à ces erreurs. Le préjugé, la crainte et l’avarice neutralisent la sagesse ordinaire ; l'ignorance, la paresse mentale et l’isolement particulier court-circuitent le bon sens. 

Apprenti fait appelle à la dictature de la compassion et à la tyrannie de la conscience morale : la contemplation sérieuse de solutions de rechange et leur application immédiate. 

De puissants intérêts privés peuvent retarder cette transformation  (la retardent exprès); ils pourront bloquer (bloquent exprès) des réseaux immatures de communication d’Apprentis, l'Internet en particulier, à coups de n’importe quoi « fake news ». Des élites d'info en rangs serrés de monologue corporatif vendent aux masses des priorités éphémères. Des conspirateurs de convoitise s’accroupissent derrière leurs droits de propriété et d’autres mythes d'armes afin d’outrager sans entrave la commune. 

Quand l’Apprentissage prévaudra, des techniciens d'armes (globalement inférieurs quant à la pratique paisible) seront insatisfaits par leur nouvelle condition de vestige, car souffrant du retrait clinique de tant d'argent, d’autorité et de prestige : ce dernier l’ultime bénéfice des militaires. Des élites de bataille temporiseront, au lieu de se soumettre aux nouvelles priorités de leurs hôtes prolétaires et coopérer avec leurs anciens ennemis, sauf pour promouvoir des dégâts supplétifs. 

Les fondamentalistes religieux sont des carnassiers ressuscités en retraite sournoise. Ils ne trouveront aucun appui en Apprenti pour leur déification de soi. Prêchant les contradictions jumelées de bigoterie religieuse et de meurtrissure bénie, ils se maudissent avec tous ceux qui les suivent. Mais ces mêmes individus pourront multiplier les célébrations et réduire le sacrifice, rendre des gens plus heureux et moins belliqueux, et parfaire ainsi leur dévotion à Dieu. 

Pareillement, ceux qui s’exaltent dans la catastrophe, qu’elle soit puisée du livre de la révélation dans la bible,  d'une interprétation rageuse du Coran ou d'un autre texte sacré qu’ils enveniment. Ils ressemblent à un chauffeur homicide d’autobus, rêvant de l’accident incandescent qui consumera ses passagers confiés. Il s’agirait de ne plus embaucher de tels comme nos guides.

C’est avec des miracles éblouissants que l’on devrait s’amuser comme un bébé gloussant parmi ses jouets, non gémir de catastrophes instopables. 

Toi, activiste révolté ! Suspend ton hypnose à base de raisonnements périmés ; dégage-toi de ta léthargie, de tes préoccupations futiles et du vide véhément que tu as hérité. Epaule au lieu le joug d'or de l’Apprentissage et observe sa luminosité fleurir dans tes traces autant bien que celles du monde entier. 

Nous devons faire sonner le rassemblement, en déroute comme nous sommes devant les forces de la réaction, afin que nos Apprentis compagnons nous rejoignent des fins fonds du monde. Nous qui ne partageons aucune vision hormis nos craintes, formons carré autour d’Apprenti et tenons bons sur cette position jusqu'à ce que l’assaut des ultras ne s’épuise contre le mur de nos corps, et que leurs résultats n’aboutissent en rien de mieux que le pire imaginable (comme d’habitude) ; puis retournons une fois pour toutes à leur encontre avec élan. 

Ce texte propose quelques répliques aux pires de nos problèmes. Attends-toi aux meilleures solutions une fois que des nouvelles coopératives d’abondance animent la créativité des Apprentis et que nos voix s’ajoutent à chaque entretien qu’illumine notre curiosité. Chaque pas de bébé, chaque antinomie résolue gagnera un autre round pour les Apprentis.

Nous devons d’abord vanner notre constellation de métaphores politiques de son contenu d'armes ; seulement alors pourrions-nous nous affranchir du Reich de mille ans de la mentalité d’armes. 

 

Ce texte hèle l’idéalisme réformateur de la jeunesse. A défaut de mieux, appelons-le  « ferveur révolutionnaire. » Ceux modérément raisonnables partagent leur kalotropisme, leur attraction innée au bien. Une fois que nous cesserons de la réprimer, notre conscience morale nous guidera avec certitude. 

A présent cette ferveur reste assoupie, sans voie d’expression. La mentalité d'armes la transforme en exclusivité de prisme, en nationalisme rabique, en chauvinisme, en haine de soi et, somme toute, en intention de devenir soldat. Sous l'emprise de cette déception, le lait de la bonté humaine se caille en exaspération létale. Hypnotisés depuis l’enfance par des experts menteurs d'armes, nous rejetons nos idéaux et résistons au progrès, puis nous demandons : pourquoi ma pièce du puzzle refuse-t-elle de s’imbriquer ? 

La plupart  des gens défient ces perversions, du moins au fond de leurs pensées intimes, bien que ce défi se fonde sur vocabulaire désuet, des politiques démodées et des appels faiblards pour de la justice circonstancielle. Suffoqué par des sociopathes, notre esprit libéral, méliorative et atomiseur est tombé en panne. Pour le redémarrer, il faudra qu’une majorité d’Apprentis s’engage partout en coopératives d’abondance. 

Les Apprentis amants du monde paisible transformeront leur idéalisme réformateur en dynamo de transformation sociale. Une fois cela mis en jeu, nous serons en route à la gloire. Etant donné un métier mécanique de connaissance-valeur assez robuste pour retisser la toile à mille rives de la réforme et la fortifier de nombreuses côtes de ferveur révolutionnaire, on pourra réparer le tissu social et retisser son drap de toutes les couleurs, tout ça en une seule génération. 

Des vieilles âmes ont emmitouflé leur conscience contusionnée en moelleux mysticismes et positivismes, en pseudo philosophie et en patacroyances ; elles s’anesthésient par l’abus de drogue, la pathosexualité et le vide de sens compulsif du faux raisonnement de prisme et de mauviette. Nous parcourons des rames de livres et de journaux et endurons des années de télévision qui ne parviennent qu’à souligner notre impuissance et futilité sociale. En désespoir de cause, nous nous adonnons à une succession de dispositifs de dénie : paralysie mentale, inertie fort scientifique, nihilisme post-moderne, fondamentalisme sans fondement, jusqu’à la foi religieuse dans l'impraticabilité du progrès. Nous nous réfugions dans le « cool » particulier, le canular évasif et refus de prendre quoi que ce soit au sérieux hormis notre ego bien gavé. 

Nous ne prêtons plus attention à rien, ces jours-ci, sans que cela confirme nos préjudices et nous emmitoufle dans notre zone de confort. De peur nous rendre en fanatiques, nous rejetons de manière rotulienne chaque nouveauté et inspiration à part celles banales. Nous nous rendons en crédophobes : des névrosés trop « cool » pour ne plus croire en rien. 

La mentalité d'armes gaspille du talent et de l’intellect, elle prise la moiteur de ton « cool. » Toi et ta passion, celle paisible les priseraient pour leur brillance flambant vive. 

Ne compte plus sur aucun avantage de grâce, ni du cru, ni acheté ailleurs, ni appris de livre, sans avoir établi le monde paisible. Cinq millénaires de perfectionnement particulier à l’unilatéral, de sanguinaire aménagement national, de dissidence nulle et du renouveau de culte fanatique, c’est tout ce qui nous reste de l’histoire : un comble aberrant de temps et d’effort gaspillé en vain.

Ces notions démodées ont eu leur meilleure chance de réussir et bénéficié  de plus de latitude que ne dicterait la sagesse prudente, étant donné leurs retombées désastreuses. Elles ont échoué aussi minablement qu'elles ont été adroitement annoncées et entretenues avec tendre fanatisme. Il est temps qu’elles soient balayées de la scène comme les loques pourries qu’elles sont en réalité, autrement portées au toit pour être lessivées au savon de Marseille puis laissées sécher dans la chaleur du jour, que leurs coloris reprennent éclat.

Nous devons améliorer la scène globale. D’autres remèdes, d’atteinte si difficile auparavant, se prouveront de démarrage immédiat et de croissance autonome une fois que les Apprentis auront réaménagé ces préliminaires. 

L’Apprentissage haussera le niveau de vie autant des gens ordinaires que de ceux extraordinaires. Développée avec sagesse, l’authentique abondance remplacera les embarras auxquels nous nous sommes accoutumés, jusqu'au partage de chaque essentiel au monde paisible : notre droit de naissance pour lequel nous avons déjà versé le plein comptant. Les menaces et pénuries restantes seront des problèmes isolés aux résolutions rapides et décisives ; moins souvent la prochaine catastrophe imprévue, balayée sous le tapis par nos institutions séniles. 

Les indigents contemporains prennent pour donné certaines astuces pour lesquelles un empereur de l’antiquité aurait troqué l’un de ses royaumes : des téléphones et des vaccins, par exemple. Au monde paisible des Apprentis, les pauvres réclameront sécurité et conforts surpassant les luxes piteux dont se vantent les milliardaires assiégés d’aujourd'hui. 

Ce texte présente aux proto-élites ambitieuses et aux élites satisfaites le seul défi digne de leur braggadocio. Leur coopération sera essentielle à la réussite de cette entreprise. Leurs accomplissements contemporains sont insignifiants et voués à l’échec à défaut de la renaissance des Apprentis. Pourvu que les élites d’info l’entament, ils s’assureront que leurs descendants jouiront de richesses, de pouvoirs et de luxes surpassant leurs rêves, même (surtout !) après que les besoins légitimes soient satisfaits.

 Alors, au boulot ! Délaissons-nous de la surconsommation paramilitaire que nous confondons avec le succès, abandonnons des rapports suicidaires entre les riches et les pauvres de plus de quinze et de cinq à un. Accordons plutôt choix libre entre la modération sereine et les aventures périlleuses que les Apprentis trouveront utiles. 

Nous, les proto-élites d’Apprentis, venons à peine de nous rendre compte de nos responsabilités. Face à la plus récente nécessité de transformation, nous nous trouvons à tour rôle mauviette, prisme et chaosiste ; élite et prolétarien d'info ; progressiste, modéré et conservateur ; du reste, de moins en moins dispos à pétrir notre identité politique dans de tels recoins claustrophobes. Nous rejetons des vieilles valeurs mais sommes déroutés par les actualités. Aucune vision valide du futur ne nous inspire ; aucune conviction soutenable ne réchauffe notre cœur glacé. Telle qu’un nouveau-né, nous fixons le regard sur des babioles luisantes, sans pouvoir nous concentrer sur le vrai progrès, soit le zèle de notre application,

 

« Quand j’étais enfant, je parlais comme enfant, je comprenais comme enfant et je pensais comme enfant : mais quand je suis devenu homme, j'ai mis de côté les choses infantiles. » La bible, le livre des Corinthiens, 13-11. 

 

Les Apprentis trouveront des alliés des deux côtés de chaque cloison sociale : soit de richesse, classe, ethnie, nation, religion soit d’emploi. Délivrés de leur crainte, des anciens rivaux émergeront adoucis de leur nid de mitrailleuse  Les ségrégations restantes au monde paisible afficheront des distinctions culturelles et artistiques, pas grand-chose d’autre. Elles ressembleront à l’Oktoberfest allemand et aux Pow-wows des Indiens aux Etats-unis : des sources culturelles de fierté et de réconfort, non celles d'hostilité et de soupçon. La plupart de nos adversaires présomptifs s’assortiront comme des alliés naturels. La résistance du restant ronchonneur ne posera même pas un dos d’âne devant le progrès des Apprentis.

 

Ces pages ne sont pas taillés sur pierre ; au contraire, je les ai tapées en pixels éphémères. Prier les traiter comme un programme de discussion et scène en rond, depuis quoi projeter un avenir étincelant. Des professionnels enthousiastes et des amateurs doués doivent reconsidérer chaque postulat trouvé ici ; leurs discussions, engendrer une brillante commune de biens d’Apprentis. Notre première et dernière question : « Qu’accomplirions-nous si les cieux tout seuls en démarquaient les limites ? » 

Ou bien les Apprentis arracheront l'humanité contre gré  au monde paisible, ou bien des gérants d’armes nous défileront somnambules, la main dans la main, le sourire béat aux lèvres, jusqu’au néant militaire. 

Toi. Oui, toi ! Baisse ta pelle et cesse d’approvisionner la plus salle des machines d’armes (quit stoking the WeaponWorld Jive Drive.) Défie la mentalité d'armes partout où tu la trouves. Sois anarchique selon ta disposition incomparable, sinon branche-toi dans de nouvelles collectivités pour accomplir tes projets favoris. Consacre ta vie à la sainteté discrète, comme ont pu certains de tes ancêtres, ou fais posément croche-patte à la prochaine brute qui pourchasse sa victime devant ta porte. 

De toute façon, tends le bras ! Le miracle que nous manquions depuis le début du temps humain, le voici à peine dans notre porté ! 

« Notre façon de concevoir la justice et la vérité, elle est infailliblement condamnée à être dépassée dans les âges à venir. Nous le savons ; et, loin d’abattre notre courage, cette certitude, cet espoir, sont les plus efficaces stimulants de notre élan actuel. Le devoir strict de chaque génération est donc d’aller dans le sens de la vérité, aussi loin qu’elle peut, à la limite extrême de ce qu’il lui est permis d’entrevoir,  —  et de s’y tenir désespérément, comme si elle prétendait atteindre la vérité absolue. La progression de l’homme est à ce prix.

« La vie d’une génération, ce n’est qu’un effort qui en suit et en précède d’autres. Eh bien, mes amis, notre génération a fait le sien.

« La paix soit sur nous. »

Roger Martin du Gard, Jean Barois, Edition Gallimard, Paris, Le livre de poche, 1921, pages 327-328.

Alors, qu'attendons-nous encore ?

COMMENTAIRE?  markmulligan@comcast.net