
World War COVID Guerre mondiale: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute
We live on WeaponWorld. Why not PeaceWorld? How would that work? What should we expect? Has that transition been discussed to your satisfaction, or was it suppressed?
I'm slopping a ladle full of forbidden PeaceWorld Mulligan Stew onto your WeaponWorld prison zinc tray. Next!
Nous habitons la terre en armes. Pourquoi pas au monde paisible ? Comment cela marcherait-il ? Cette transition t'a-t-elle été discutée de façon satisfaisante ou supprimée ?
Je te verse une louchée interdite de Ragout Mulligan du monde paisible sur ton zinc pénitentiaire de la terre en armes. Au suivant !
World War COVID Guerre mondiale: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute
- État maman cosmique
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APPRENTI texte integral (2024)
COVID GUERRE MONDIALE
De la terre en armes au monde paisible
Apprenti, débute
- État maman cosmique
Imaginons une sphère de civilisation cosmique en expansion. Source et histoire inconnues. On peut l'appeler État maman : substitut bureaucratique de la garde d'enfants de longue date, vital à la fois pour nourrir des êtres neuronaux complexes et pour gérer leur gouvernement complexe. Prendre soin des personnes et des choses autant que possible ; négocier cette promesse pour en favoriser le contrôle.
État maman : Nutrition complémentaire, protection climatique, défense contre la prédation, démonstrations d'affection, invitations délibérées à survivre et s'épanouir : autant de conditions nécessaires au développement d’êtres sensibles. Plus un adulte est sensible, le plus il lui sera nécessaire de protections « parentales » élaborées. L’État maman pourrait être une mère de partenariat bisexuel, un lieu de naissance géophysique ou une autre instance sensible, indépendamment de l'espèce et de l'identité d'origine. L’État maman serait un méta-substitut bureaucratique de cette relation parent-enfant initiale, la convergence darwinienne la plus efficace des traits pour croissance de la sensibilité
Les deux sondes Oumuamua confirment les dernières missions de reconnaissance matérielle de l’État maman. Notez leur spirale apparemment « aléatoire ». Comme un avion de chasse qui vrille et tangue (le pilote rêverait de spiraler dans tous les sens !) pour explorer le plus de volume possible avec ses capteurs du devant.
Mon fantasme favori est celui d'un système solaire autrefois envahi par des parias, des vagabonds et des hors-la-loi fuyant un État-mère lointain et centralisé. Ces premières vagues éthérées à traverser le système solaire auraient inclus des exilés, des déviants, des pirates, des esclavagistes et des massacreurs de gènes : nos dieux, monstres et géants d'autrefois. Ces vaut-riens ont soumis les Terriens à la manipulation génétique, à de multiples abus et à l'esclavage ; jusqu'à ce que la vague suivante d'exploration orthodoxe et de police coloniale ne traverse le système solaire, ne les écrase et ne repousse leurs survivants plus loin.
Le géopolymère de l'architecture cyclopéenne était un amalgame de poussière de roche et de lambeaux de corps animaux et humains. Les arcanes de la production et de la téléportation nécessaires à la construction cyclopéenne, ce que nous considérerions comme de la « magie high-tech », nécessitaient la terreur absolue de nombreuses victimes pour fonctionner correctement. Plus leurs cités étaient vastes et magnifiques, plus la terreur et le carnage étaient intenses. L'air empestait la géo manipulation de la pierre de sang, et les cris de terreur et d'agonie fournissaient la force derrière la tonalité géo manipulateur. La Terre était l'île du Dr Moreau, avec des constructions urbaines sanglantes.
Nous ne pouvons reproduire cette architecture cyclopéenne antique économiquement à l'échelle. D'autres indices démontrent que cette infrastructure fut soumise à des inondations du type hyper-tsunami, à des attaques de rayons thermiques (fondant et fissurant la pierre dure) et aux armes radioactives, sans que nous puissions les reproduire. Les preuves nous confrontent : l'OOPArt, ainsi que l'état désertique actuel de Mars, résultant de son érosion par les explosions d'hyper-bombes orbitales, et aucune raison naturelle pour la disparition de son champ géomagnétique. Il existe des preuves d'altérations technologiques du génome humain primitif. Les preuves indirectes sont accablantes, tout comme les preuves plus récentes, mais encore plus convaincantes, de la censure officielle et confiscation de ces preuves.
Qui nous aurait hachés, ainsi que d'autres atrocités des camps de concentration, avec leur sexe l’ADN pervers ? Machu Picchu et ses semblables, c'étaient tout simplement les fondations de gratte-ciels faits de lumière du dure d'acier et de balcons soutenus par ses reflets. Des hypothèses circulent sur les méthodes de construction et le temps nécessaire à cette architecture ancestrale. Des mythes affirment qu'il a fallu seulement des heures pour les construire. Des tentes-abris ornées de bijoux high-tech pour des réfugiés ignorants.
La bulle en expansion lente de la Mère-État a finalement rattrapé les pirates restés sur place, puis les a condamnés à l'extermination planétaire pour comportement contraire à l'éthique. « Vous avez joué des sales tours à ces humains ; vous nous feriez la même chose si nous ne vous éradiquons pas.»
Quelle énergie écrasante a-t-il fallu pour transformer Nang Madol, Gunung Padang, l'œil du Sahara, des cités précolombiennes et qui sait où ailleurs (l'Atlantide) en cure-dents de pierre et éclats de pierre partiellement fondus ? Nous parlons de villes, construites sur des bunkers géants, vaporisées sélectivement, englouties dans le magma ou jetées à la mer comme de la paille.
La vermine locale (nous autres) a pu survivre tels que des rats lors d'un naufrage, tandis que les dieux et les monstres furent incendiés au tire bouchon d’explosifs (voir Iwo Jima). Nous autres, désemparés par la suite (eh bien, pupilles de l'État maman en distante arrière-plan) devions grandir dans ce que nous serions devenus entre-temps, aussi bien ou mal que possible. Notre syndrome de stress post-traumatique et nos cauchemars de dieux et de monstres nous ont permis de jouer au peloton d'exécution circulaire, peut-être jusqu'à l'omnicide. Cela permettrait à l'État-Mère d'éviter une tonne de paperasses. Jouons au génocide tribal millénaire, les uns contre les autres, comme des victimes évidentes du méta-PSDT. L'équipage du navire la Terre en armes se comporte comme un poulet affamé au lieu d'un monde uni (impur !). L'équipage du pont jette des grenades à main dans l'écoutille de la salle des machines, le personnel de la passerelle tire sur quiconque s'aventure sur le pont principal, et le cuisinier empoisonne lentement tout le monde en secret. Alors même qu'ils naviguent dans un ouragan. L'alternatif évident, c’est le Monde paisible.
Des milliers d'années plus tard, nous attendons notre unification politique planétaire afin de négocier de manière acceptable avec l'État-Mère cosmique. Il a déjà rencontré des populations planétaires envahies et maltraitées. Cette Terre en armes, est-elle l’équivalent de l'Île Sentinelle ? Ne grouille-t-elle pas de primates tueurs avec lesquels personne ne pourrait négocier de manière productive ? La Terre sera-t-elle cataloguée comme une région sauvage, avec tous ses inconvénients ? Ou simplement stérilisée, comme l'ont été Mars, Vénus et d'autres planètes, écosystèmes et populations décevantes et éteintes.
L'État-Mère attend que la Terre parle d'une seule voix, sous la représentation d'un monde uni. Un bon diplomate évite de négocier avec des nuages anarchiques d'intérêts disparates. Nous devons mettre fin à cette anarchie militaire entre nous, puis retourner auprès de l'État-Mère pour obtenir sa reconnaissance officielle. Selon le protocole standard de premier contact, la Terre poursuivrait officiellement l'État-Mère pour les abus du passé. L'État-Mère accorderait 0,00001 % des droits exigés, avec parcimonie caractéristique de toute bonne bureaucratie. Brusquement, tout le monde deviendrait milliardaire d’après l’époque de pénurie. Quel est votre problème ? Claquez des doigts et réglez-le.
A présent, c'est une question de négociation.
Nos problèmes s'apaiseront bientôt si l'État-Mère fait appel à une voix unie de la Terre. Aussi fragile soit-elle ; il s'agit du premier contact pour lequel l'État-Mère dispose de protocoles d'amélioration systématique. En supposant qu'une Mairie sur Terre existe, à laquelle l'État-Mère puisse s'adresser directement, sa bureaucratie cosmique défraiera les abus antérieurs liés à la piraterie. Qu'il s'agisse d'un centime pour chaque dollar en compensation de la violation des droits d’êtres sensibles, ou d'un millionième de ce centime, cela enrichira chacun de nous, rien de plus que des petits mangeurs de fond de la Terre à deux mètres de haut, d'autant plus.
Alors, rendez-vous plus intelligents, unissez-vous, parlez d'une seule voix et laissez vos enfants grandir riches, en sécurité et en paix.
Le monde paisible ou la mort.
EN ANGLAIS
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COMMENTAIRE ? markmulligan@comcast.net