Questions laissées sans réponse, l'onze septembre; notes avant la seconde guerre civile #8

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COVID GUERRE MONDIALE
Poèmes, des miens et des leurs

Questions laissées sans réponse, l’onze septembre

Le Pentagon aurait dû être frappé selon un plan plus fatal,

De l’autre coté, du coté des chefs d’état major ;

Non aux boites  de fourniture et de renseignement, au lieu,

Investiguant (d’ailleurs) la plus récente fraude Défense :

L’un de nombreux crimes fossoyés l’onze septembre.

Toute trace écrite  détruite avec l'équipe investigatrice . 

Ce coté venait juste d’être renforcé contre cette sorte de frappe,

Quoique les autres faces du Pentagon, non pas.

Aucune trace d’atterrissage sur le vaste terrain de stationnement

Depuis la verge de l’autoroute jusqu'au Pentagon, 

Peu de tri-jets y toucheraient si posément.

Cette expertise réclame des milliers d’heures aux contrôles.

Afin de piquer au pied d'un mur de cinq étages

Sans labourer l’herbe et les trucs au-devant.

Puis deux approches en courbe de plein fouet dans les tours jumelles ?

Peut-être pas entre des mains expertes, non moins celles de novices.

Trouvée dans les décombres et photographiée 

Une turbine  des deux d’un Lear Jet sinon  celui d'un missile de croisière, 

Au lieu de trois, chacune du triple de cette largeur.

Chaque enregistrement vidéo aux alentours fut saisi,

Les décombres recyclés  illico en Chine 

Malgré la mauvaise affaire qu'entraîna cette livraison.

La scène de crime fut stérilisée sans enquête. 

L’acier des tours jumelles ne fond pas au feu du jet fuel :

Celui le plus calorifique disponible.

Sinon fut-ce l’eau mixte aux fontes d’aluminium ?

L' explication retardataire, semblant à l'improviste.

Arrache la mousse ignifuge des piliers,

Empile-la en fours d’occasion de placoplâtre (tu blagues!),

Tu manquerais toujours par centaines de degrés.

Quatre jours après l’onze septembre, des fontes coulèrent des décombres.

Des explosifs de démolition militaire en font autant.

L'on témoigna de forts coups sourds comme le ronflement de démolitions

Des tours et des sous étages avant la chute.  

À la radio, l'anonyme ordonna le recul des secouristes.

Des fumées de blancheur calorifique soufflèrent par intermittence, 

Dix étages sous l’onde d’écroulement.

Trois bâtiments croulèrent sur place.

Au lieu de chuter en biais de leurs dégâts capricieux,

Tel qu'un arbre frappé par la foudre. Comment ça  ?

Les tours sont tombées comme des  balles de golfe lâchées de la même hauteur, 

Rien ne ralentit la chute de tout ce béton et acier ?

Une équipe de démolition prend des semaines  bien payantes 

A tresser leur immeuble d’explosifs chronométrés à la micro seconde 

Afin qu'il s'effondre sur lui-même.

Leur moindre erreur répand des débris en dehors du périmètre ;

Celle le pire projette des tonnes par étage.

Au lieu, trois démolitions parfaites, gratis ?

Les deux premières percées au hasard par un gros porteur ?

Le troisième, par leur simple chute à ses pieds ?

Fossoyant ainsi tout pleins de crimes.
 

Ce matin même, le vice président Cheney s’assit aux contrôles

D’un exercice continental de défense aérienne contre des bogeys virtuels

Qu’il misa sur le tableau numérique dans son bunker :

Des avions hypothétiques et des pirateries virtuelles. 

Figure-toi la confusion qu’il sema à ce moment là.

Jeux de guerre vice-présidentiels ? Depuis quand ?

La U.S. Air Force tint garde vigilante,

En réponse rapide aux OVNIS, aux Lear Jets en fugue, a n’importe qui : 

Par bon temps ou mauvais, de jour et de nuit le long de décennies,

Le matin de l’onze septembre, ses pilotes angoissés furent cloués au sol, 

Limogés du service ou envoyés en Alaska par Cheney.

La USAF ne nous aurait jamais failli ainsi, sans trifouille occulte.

 Tous ceux impliqués, muselés sous ordres ou balayés.

Grâce à ce second Pearl Harbor prévu d’avance par les réactionnaires,

L’ancienne liberté américaine disparut pour de bon.

Bush le moindre, très impopulaire, devint le héros du jour.

La guerre perpétuelle et sa tyrannie corporative s’installèrent pour de bon.

L'onze septembre chaque année, Popular Mechanics

Publie son attaque ad hominem contre les interlocuteurs de l'onze septembre, laissés sans réponse :s

Rien de plus solide, seulement  des insultes et mensonges retassés. 

Il loue la machine de guerre, au lieu, chaque mois.

Mais ne t’en fais pas.

Le mensonge laissé sans réponse, ça gagne

Avant que la vérité ne reprenne le devant.   

…

COMMENTAIRE?  markmulligan@comcast.net