Cinq ans après la fin de la guerre contre le groupe Etat islamique, plus d’un million d’Irakiens qui avaient été déplacés par le conflit n’ont pas encore pu rentrer chez eux. Parmi eux, des milliers de familles dites « affiliées » à l’organisation terroriste et qui sont aujourd’hui considérées comme des parias. Wilson Fache, consultant pour le BIC, s’est rendu à Bagdad, Mossoul et Erbil pour tenter de mieux comprendre ce phénomène. Il y a interviewé plusieurs de ces familles ainsi que Mélisande Genat, spécialiste de l’Irak et doctorante à l’université de Stanford, et Christophe Reltien, responsable en Irak de « Echo », le programme humanitaire de l’Union européenne. Musique: Khalid Alrawi.
Cinq ans après la fin de la guerre contre le groupe Etat islamique, plus d’un million d’Irakiens qui avaient été déplacés par le conflit n’ont pas encore pu rentrer chez eux. Parmi eux, des milliers de familles dites « affiliées » à l’organisation terroriste et qui sont aujourd’hui considérées comme des parias. Wilson Fache, consultant pour le BIC, s’est rendu à Bagdad, Mossoul et Erbil pour tenter de mieux comprendre ce phénomène. Il y a interviewé plusieurs de ces familles ainsi que Mélisande Genat, spécialiste de l’Irak et doctorante à l’université de Stanford, et Christophe Reltien, responsable en Irak de « Echo », le programme humanitaire de l’Union européenne. Musique: Khalid Alrawi.