
Kaolo Bar
Le podcast qui met en lumière les réussites exemplaires des camerounais et camerounaises qui osent et brillent dans leur domaine de spécialité en Allemagne.
Kaolo Bar
Bryce Ngatchou de Baskamerun: „The game is the same wherever you play“
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Bryce Ngatchou fondateur de Baskamerun nous raconte l'histoire de Baskamerun, une association née de l'envie de rassembler les joueurs camerounais de basket dispersés dans toute l'Allemagne à la fin des années 90. Ce qui a commencé comme un simple match amical entre étudiants est devenu une institution culturelle et sportive majeure pour la diaspora africaine.
“The game is the same whatever you play” résume parfaitement l’esprit de cette aventure : le basket comme langage universel. Face à l’évolution de la communauté, Bryce a su adapter le concept avec “Germany's Douala vs Yaoundé” à Francfort, permettant à chacun de s’inscrire individuellement.
Aujourd’hui, Baskamerun va bien au-delà du sport. Sous le hashtag #PasQueduBasket, l’association promeut l’entrepreneuriat, la culture et mène des actions caritatives au Cameroun. Bryce partage aussi une réflexion sur l’intégration et les défis d’organiser des événements multiculturels.
Que vous soyez passionné de basket ou curieux de voir comment une passion rapproche les cultures, ce récit vous inspirera.
Un épisode rempli d'anecdotes croustillantes comme on les aime. :)
Contact de Bryce
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Entretiens menés et podcast réalisé par Paul junior Samangassou
Générique: Stressed by artbybigvee https://pixabay.com/music/search/afro/
Jingle: Cocktail sounds (pixabay)/ Michèle Kuemo
Le Vaux-René-des-Tiquettes. Je ne sais même plus s'il existe aujourd'hui. Il coûtait 35 démarques, dont, disons, à peu près une quinzaine, à peu près 13 euros.
Speaker 2:Là, tout de suite, tu viens de prendre un coup de vieux de malade. Tu as dit démarque, on a vécu la chute du mur de Berlin on a vécu beaucoup de choses.
Speaker 1:On a vécu au moins 3 cancers mais vas-y, allons-y continuons de vos rennais de tickets comptaient 35 démarques, si on conçoit que le démarque était la moitié, de l'euro, donc disons à peu près dans les 17 euros. Donc, on prenait ce ticket et le ticket là, il était valable pendant deux jours, de samedi à dimanche minuit. Samedi matin à dimanche minuit, cinq personnes pouvaient prendre le train dans le régional Ban dans tous les sens de l'Allemagne aller retour, monter, descendre, tout et tout à ce prix. C'était ça, le ticket du weekend.
Speaker 1:Mais c'était pas, attention, c'était pas les ICE, c'était pas les, tu prenais seulement les régios donc il fallait dès que tu sortais de ton, de ton régio, tu sortais, tu reprenais un autre train, il y avait beaucoup de correspondance, il fallait rattraper la correspondance. Donc, c'était long, mais on était jeunes, on avait le temps Et surtout, on voulait se voir. Parce que, je rappelle, nous sommes là, on parle de fin des années 90, début des années 2000. Il n'y avait pas d'Internet, c'était par la portée de tous. Il n'y avait pas de téléphone portable, il n'y avait pas de WhatsApp, il n'y avait pas de Facebook, il n'y avait pas de réseaux sociaux, il n'y avait pas de tout ça.
Speaker 2:Salut et bienvenue dans Kaolo Bar, le podcast qui met en valeur la communauté camerounaise en donnant la parole à celles ceux qui connaissent une vraie réussite dans leur pays d'adoption, l'allemagne. Mon épaule, junior samarga, sous les juges et en bavière, chaque mois, je discute avec une ou un caméra au profil, au parcours remarquable. Les sujets évoqués couvre aussi bien les études, la création d'entreprises et les investissements que le sport ou la musique. En un peu plus de 50 minutes, avec mon invité, nous passons en revue son parcours, ses, ses réussites, sa perspective, le tout agrémenté d'anecdotes. Si, comme moi, tu souhaites trouver des réponses aux questions que tu te poses sur la vie en Allemagne, je te propose de démarrer avec notre invité. Bonjour à tous et bienvenue dans votre podcast préféré, karol Obar, le podcast dans lequel on vous partage les parcours captivants et les initiatives intéressantes et communes de la diaspora en Allemagne.
Speaker 2:Si vous me suivez depuis le début, depuis longtemps, vous devez sûrement déjà savoir que je suis un passionné de sport, de foot en particulier. Mais ce que vous ne savez pas, c'est qu'il y a d'autres sports qui m'intéressent. Parmi eux, le basket. Et avec le basket, j'ai une relation très particulière parce que je suis plutôt grand comme personne Et depuis mon tout jeune âge, mon père a tout fait pour que je joue au basket. En fait, il voulait, il souhaitait que je m'y intéresse parce que lui-même, il a joué au basket. Il a joué au volet avec sa famille, mais Dieu en a voulu autrement. Mais malgré tout, je reste très intéressé à ce sport et l'épisode d'aujourd'hui va avoir un lien avec le basket. Vous allez comprendre ce que je veux dire.
Speaker 2:Bref, mon invité aujourd'hui est Bryce Gatchou. Corrige-moi si je me trompe, c'est Bryce Gatchou, n'est-ce pas Bryce Gatchou, effectivement? Ouais, mon invité est Bryce Gatchou. Il vient de Munich et il a créé une association qu'on appelle Basque Cameroun, une association dont vous avez sûrement entendu parler, qui existe depuis déjà quelques années en Allemagne et qui organise un tournoi pour la plupart des gens reconnus grâce au tournoi qu'ils organisent chaque année du côté de Frankfurt. C'est ça, non, exactement. C'est avec lui que je vais parler. On va parler de son association, les débuts de l'association, de l'édition qui s'annonce, et voilà, j'espère que ça va vous plaire Comment tu vas.
Speaker 1:Bonjour, ça va. Merci bien de me mettre à l'antenne. Bonjour Paul Junior. Bonjour Kaolo Bar, bonjour à tes auditeurs, fidèles auditeurs. Je vais très bien Super.
Speaker 2:Merci d'avoir pris de ton temps. Je sais que tu as un programme très chargé. On est dimanche, tu es père de famille, donc tu dois soutenir les enfants dans les différentes activités. C'est notre lot de parents. donc, on ne va pas perdre de temps, on va commencer tout de suite L'apéro. Dis-moi, Bryce, qui es-tu?
Speaker 1:Bon, les points les plus importants, tu les as déjà cités et on les a corrigés. Je m'appelle Bryce Ngachou, je vis à Munich, donc en Allemagne, comme certainement beaucoup de tes auditeurs. Je suis père de famille, époux aussi, et je viens d'Albanie depuis plus d'une double décennie déjà. Vous allez aussi comprendre pourquoi peut-être plus tard, ou bien comment, et de profession, ou bien de formation. Déjà, je suis ingénieur en télécommunication, donc diplômé en électrotechnique, télécommunication, et de profession, je suis manager de projet dans une entreprise de la ville de Munich qui est active dans la gestion de la construction de l'agglomération routière.
Speaker 2:Ok, Quand tu dis que tu es là depuis un peu plus d'une double décennie. Malheureusement, vous ne verrez pas ça par vidéo, mais j'ai Bryce devant moi. Il a la tête d'un enfant de je ne sais pas, je ne sais pas 27 ans, mais j'ai price devant moi. Il a la tête d'un enfant de jeu. C'est pas du coup. On te donne quoi 27 ans, j'ai doublé des séances et de mangas. Y arrivera. Moi. J'aime des petits cheveux blancs qui commencent et toi rire. Tu fais comment pour rester en focus le black, le black.
Speaker 1:Je vois que je vais sur le black.
Speaker 2:Ce pas tout, partout à l'estomper tu le black, je verse le black partout, partout. Ah, laisse tomber. Tu fais quoi avec ta peau? Ta peau n'a pas de riz. Tu fais comment. Tu fais aussi du lifting. Tu sais comment? Non, mais c'est quoi le secret?
Speaker 1:Non, On dit manger trois fois par jour, faire du sport, prier, dormir, Mito, avoir une seule femme. avoir une seule femme, très important. Ah, parce que quand on a plusieurs femmes.
Speaker 2:C'est trop de problèmes, trop de soucis, Trop de problèmes.
Speaker 1:les cheveux blancs viennent trop vite.
Speaker 2:Ah ok, j'espère que vous avez entendu. Voilà le premier conseil important quand vous êtes sortis dans le podcast. Voilà, c'est ça. Ah non, c'est super. Franchement, tu maintiens la femme, tu es très fort.
Speaker 1:C'est pas tous les jours qu'on voit ça, mais dis-moi ta passion pour le basket, comment elle a commencé pour faire cours. Je viens de Douala et j'ai fait mes classes, ou alors, disons, mon secondaire, au collège Iberman. Et qui dit collège Iberman pour ceux qui connaissent Douala, je ne sais plus si c'est exactement comme ça aujourd'hui, mais à mon époque, qui dit collège Liberman dit d'abord basketball. Donc, c'était vraiment Oui, oui, oui, c'était le sport premier. C'est vrai qu'on jouait aussi au football. J'ai aussi joué longtemps au football, mais quand même, à Liberman, il fallait, il fallait apprécier le basket, il fallait suivre le basket, il fallait regarder les matchs de basket et, à un moment même, pour être cool, il fallait jouer au basket non vous étiez toujours cool à Yaoundé.
Speaker 1:C'était pareil.
Speaker 2:Les joueurs de basket, nous, on était déguisés par les filles. Tu vois, il n'y avait jamais des filles au foot comme dans les matchs de basket donc, j'ai toujours joué au foot vraiment passionnément, passionnément, jusqu'à seconde première et tout.
Speaker 1:Mais j'ai pris le basket en route à partir de la troisième, comme ça aussi, ok donc tu étais sur les deux sports, en fait, sur les deux sports.
Speaker 2:voilà Ok. et vu qu'on parle de basket, tout le monde pense NBA. Tu t'intéresses à NBA, je suppose, forcément. C'est quoi ton équipe préférée? Maintenant, on va savoir si on s'entend ou pas.
Speaker 1:Bon, mon équipe préférée, si on veut, sur le basket actuel d'aujourd'hui, mon équipe préférée serait les Golden Seed Warriors. Oh, yeah, yeah, yeah. Mais sur la durée, sur l'histoire, mon équipe préférée, c'est les Lakers. Ah, ça, ça va pas. Je m'attendais à ce que la deuxième équipe soit une autre. C'est quoi, toi, ton équipe préférée?
Speaker 2:moi, mon équipe préférée sur la Duran, c'est les Bulls, c'est les Bulls. Et maintenant, mon équipe que j'aime bien, laisse moi réfléchir l'équipe que j'aime bien c'était Dallas.
Speaker 2:Je dis c'était parce que tu as sûrement vendu trade qu'il y a eu dernièrement là. Oh, bien sûr, c'est pas choqué. Ça m'a touché, ça m'a vraiment touché parce que, à côté ou dans le foot, je suis fan du Real Madrid. Donc, comme il sort du Real, on parle de Dante. Je pense qu'il ne sort pas parce que, comme il réel, moi j'étais derrière le pitié. J'aime sa manière de jouer, j'aime son flow, mais voilà, c'est un peu ça.
Speaker 1:Mais bon, quand même, pour revenir, si je dois rajouter une équipe qui est d'ailleurs la toute première, c'est-à-dire que mon équipe préférée serait naturellement les Chicago Bulls, parce que je suis de la génération Michael Jordan. Michael Jordan, voilà, je suis de la génération Michael Jordan.
Speaker 2:Et qui est de la génération Michael Jordan est forcément après la génération Kobe Bryant. Donc les deux, Ouais, ouais, ouais. Tu ne peux pas être l'un sans l'autre.
Speaker 1:C'est vrai. Et si tu es de la génération Kobe Bryant, je continue mon raisonnement. Ça veut dire que tu ne peux pas être du bloc Lebron James.
Speaker 2:Merci beaucoup.
Speaker 1:Finalement on s'entend Voilà, et si tu n'es pas du bloc Lebron James, donc tu es automatiquement du bloc Stephen Curry.
Speaker 2:Ah non, C'est là où je prends ma route. Jusqu'à présent, on est ensemble. Là, j'ai des qualis, donc voilà. Là, j'ai des qualités, donc voilà. Mais toi, tu vois le basket d'aujourd'hui. comment Est-ce que c'est aussi intéressant qu'avant? Moi, je ne peux plus sortir, je ne peux plus me lever dans la nuit pour regarder les matchs. Non, ça se fait.
Speaker 1:Ça, je le faisais encore jusqu'au décès de Kobe Bryant, il y a 5, 6, 7, 8 ans. Je ne le fais plus. Je ne le fais plus vraiment, et plus ça passe moins Vraiment. Moi, je ne le fais plus du tout, parce que c'est plus, c'est plus la même chose. J'aime bien regarder les highlights, j'aime le basket. Quelques rares joueurs, mais le seul qui me plaît encore, c'est Stephen Curry, parce qu'ils sont encore dans un mode de dynastie dans ce genre de gens en équipe. Et puis lui aussi, il est phénoménal tout seul.
Speaker 1:Moi je ne l'aime pas parce qu'il a gâté le basket. Bon voilà, on peut se dire ça comme ça.
Speaker 2:C'est vrai, je ne l'aime pas. Mais même comme toi, moi je trouve qu'il n'y. Tu vois, si eux, ils partent, ils ne le feront pas, ils ne le diront pas, ils ne rient pas. C'est tous ces gars de l'ancienne génération qui partent. Je ne vois pas qui ne va pas.
Speaker 1:Je comptais sur notre frère Embiid, mais lui, il a été mélaché, il a été mélaché. Voilà, je suis complètement dépassé.
Speaker 2:Allons-y. Je crois que là, maintenant, vous avez une meilleure idée de qui est Bryce, de ses goûts discutables en termes de basket de NBA. Maintenant, on va passer à la deuxième partie, le happy hour. Le happy hour. On va évidemment commencer par le début.
Speaker 1:Dis-moi déjà pourquoi Basse-Cameroon. Alors, basse-cameroon, c'est un nom, une appellation que j'ai formée à l'époque, venant d'un jeu de mots Basketball aus Cameroon. C'est donc en fait, je créais quelque chose à l'époque où j'avais une vision pour le basket. Venant du Cameroun, parce que nous étions en Allemagne, je voulais regrouper des gens, des Camerounais, qui jouent au basket, donc du basketball importé, et donc j'ai commencé à faire Basketball aus Cameroun et coller les trois mots et ça a donné Bas Cameroun.
Speaker 2:Association créée, si je ne me trompe pas, en 1998 99 99 à Naufre, où j'ai étudié.
Speaker 1:Donc, j'ai su arriver en Allemagne.
Speaker 1:J'ai commencé à étudier en 1999 à Nauvre et en 98, je sais même plus et en 1999, j'ai eu l'idée de regrouper des camerounais, des amis, pour jouer au basket. Vous étiez combien au début. Si je dois commencer au tout début quand j'arrive à Nouveau, je cherche, comme toute personne, où est-ce que je peux jouer au basket. Je vais au centre de sport et je regarde le rendez-vous, je vois à telle heure, tel endroit, ça joue au basket. J'y vais, je rencontre trois Camerounais qui jouent aussi. Donc, la connexion passe bien, on joue ensemble. À l'époque, c'était Alan, florentin et Paul qui étaient aussi arrivés quelques temps dans la même période que moi, et on jouait comme ça tous les vendredis un peu. Voilà comme ça se passe un peu partout. Et j'avais aussi des connaissances du Cameroun qui étaient arrivées aussi en Allemagne, plus ou moins la même période que moi, et on savait à peu près où ils étaient Après les cours de langue. L'un est parti à Karlsruhe, l'autre est parti à Brunswick. Donc, je savais dans quelques points où il y avait des Camerounais.
Speaker 1:Donc, j'ai commencé à organiser d'abord des matchs. Brondjeva étant à 50 kilomètres d'Anneauvre, j'ai commencé à organiser un match amical. J'appelle mon ami de Brondjeva et je lui dis Mais vous êtes combien là-bas? Il me dit On est 5 ou 6.». Je lui dis Bon, nous aussi on est 5 ou 6.
Speaker 1:On va prendre le train et on fait un match amical. Et on rentre, on a fait deux fois ce match, bonjour avec un offre, et après, à nouveau branche bail. Et après, j'appelle un ami qui a cassé mais vous êtes combien là bas? et des rôles aussi. Ce bon cas, soit l'époque, avait un bon groupe qui venait de doigts, qui jouent au basket, et il me dit oui, on est quand même une bonne dizaine de bon gars, de bons noms. J'ai dit OK, moi je vais venir avec ma connexion Brondjevaeg et Hannover, on va faire un match amical contre vous. Et à l'époque, nous nous déplaçions par un train, ce qu'on appelait à l'époque le Vorendeticket, pour le ticket du week-end. Le Vorendeticket, je ne sais même plus s'il existe aujourd'hui. Il coûtait 35 démarques, dont, disons, à peu près une quinzaine, à peu près 13 euros.
Speaker 2:Là, tout de suite, tu viens de prendre un coup de vieux de malade. Tu as dit démarque, Mais vas-y, continue ton histoire, C'est ça, c'est ça.
Speaker 1:Tu n'es pas habitué. On a vécu la chute du mur de Berlin. On a vécu beaucoup de choses. On a vécu au moins trois cancers.
Speaker 2:Oh, Dieu, mais vas-y, allons-y, continuons.
Speaker 1:Le vol de tickets coûtait 35 D-Mark, si on conçoit que le D-Mark était la moitié de l'euro, donc disons à peu près dans les 17 euros, 17,5 euros. Donc, on prenait ce ticket Et le ticket là, il était valable pendant deux jours, de samedi à dimanche minuit. Samedi matin à dimanche minuit, cinq personnes pouvaient prendre le train dans le régional Bann, dans tous les sens de l'Allemagne, aller retour, monter, descendre et tout et tout. C'était ça, le ticket du week-end.
Speaker 1:Mais c'était pas attention, c'était pas les ICE, c'était pas les, tu prenais seulement les régios donc il fallait dès que tu sortais de ton régio, tu sortais, tu ton régio Braille, tu sortais, tu reprenais un autre train. il y avait beaucoup de correspondance. il fallait rattraper la correspondance. donc, c'était long, mais on était jeunes, on avait le temps et, surtout, on voulait se voir. parce que, je rappelle, nous sommes là, on parle de fin des années 90, début des années 2000 il n'y avait pas d'Internet, c'était par la portée de tous. Il n'y avait pas de téléphone portable, il n'y avait pas de WhatsApp, il n'y avait pas de Facebook, il n'y avait pas de réseaux sociaux.
Speaker 2:Il n'y avait pas de tout ça, il n'y avait pas de tout ça.
Speaker 1:Donc, pour se voir, il fallait seeler. Plusieurs de tes auditeurs ne connaissent même pas à quoi ressemble une cabine téléphonique. Nous, il fallait sortir avec des pièces, lancer la pièce dans la cabine téléphonique pour téléphoner. Et quand tu téléphonais, tu parlais, tu voyais comment ton argent décompte. Tu parlais vite, tac, ça se coupe. Tu cales, comme ça, tu dis merde, tu dis mon argent est fini tu renvoies encore une pièce. C'est un peu ça, notre génération. C'est alors grave quand tu voulais appeler ou payer, quand tu voulais appeler tes parents ou ta maman tu lances une pièce à moins.
Speaker 1:Tu as lancé un euro, tu as dit allô, c'est fini. Tu as lancé un démarre, tu as lancé ta pièce. Dès que tu fais allô, c'est fini, tu te dis je n'ai même pas expliqué mon problème, envoyez-moi la. Vas-y la jambe.
Speaker 2:Ça doit deviner. Ça doit deviner à l'autre bout du fil Envoyez-moi l'avion. Envoyez-moi l'avion, c'est l'argent.
Speaker 1:La sienne, je ne sais pas, c'est vrai, c'était ça. Donc, comme on avait ce besoin de se rencontrer, on prenait donc ce ticket avec les gars. On fait cinq heures de train en Ouvre-Karlsruhe, on joue un match. On joue un match Le soir, on mangeait beignets, haricots, après on dort, superposé dans des chambres d'amis, et le lendemain, il fallait reprendre le premier train à 6 heures, puisque le train pouvait faire 5 à 6 heures pour remonter le dimanche. donc, c'était comme ça, les week-ends, tous nos week-ends de ma génération, c'était comme ça si tu sortais 5 personnes, on cotisait, chacun mettait 5, 5, 5, 5 euros, 7, 7 euros, enfin, des marques. on se déplaçait soit pour les matchs, soit pour se rencontrer, soit pour faire la fête. donc, quand j'ai fait ces deux matchs, je me suis dit je connais des gars à Bonchoua, je connais des gars à Karlsruhe, je connais certainement quelques gars isolés. donc, j'ai eu l'idée, en 4 pour 99, de faire un tournoi de basket camerounais. et je me suis dit comme je connais déjà ceux-là, je connaissais un autre à Gießen, je connaissais un autre à Berlin, je connaissais un autre à Darmstadt, ça me faisait déjà 7 personnes, plus le bloc d'Anouf, ça faisait 8. C'est comme ça que j'ai donc parlé à mes personnes de contact, comme je les appelais. Comme tu es mon pote, tu me rassumes que tu vas te battre pour ramener ton groupe de basketeurs ici tel jour, telle heure, dans la même manière de voyager, par ticket de week-end. Donc, ça ne coûtait pas très cher, il fallait avoir du temps. Donc, j'ai motivé tout ce monde, j'ai eu sept, tout ce monde, c'est cette personne a motivé leur personne. Tout ça, comme je dis, c'est un coup de cabine téléphonique à la pièce, il n'y a pas de réseau, rien de gratuit.
Speaker 1:Et après, j'ai cherché à louer le gymnase de l'université d'Hanovre. J'ai eu un gain de cause. Je ne sais pas comment ou est-ce que j'avais pris cette inspiration. j'ai fait une première affiche et j'ai réfléchi sur le nom de l'événement et je me suis dit je vais appeler ça Basketball of Cameroon. et ensuite, j'ai réfléchi sur un logo. j'ai fait un logo sur un outil rudimentaire à l'époque, rudimentaire de l'époque. J'ai mis connaissance avec une amie, nous avons fait ça, et c'est comme ça que j'ai invité ce monde. et alors, plus le temps arrivait, enfin, les chances se rapprochaient.
Speaker 1:tu vois, cette équipe qui vient, fois 10 personnes, ça fait 70 personnes 70 personnes et si tu penses que derrière chaque personne, il y a une personne, peut-être un ami, une copine. Ça faisait 140 personnes qui venaient où à Nour, qui aé? C'est Bryce Qui a commencé, c'est Bryce. Je ne le savais pas, mais subitement, je ne savais plus où mettre les gens Parce que, oui, vu qu'ils venaient en Tchéka du week-end, ils sortaient à 6h, 5h de route, ils arrivaient à 12h par là. Donc, le tournoi commen. Ils devaient rentrer le lendemain. Et c'est là où je me dis mais c'est pas possible, j'ai plus de 150 personnes qui viennent à la ville. Je vais les mettre où pour dormir, où mes potes? ils allaient tenir dans ma petite chambre, dans mon couloir d'étudiants. Et c'est là où m'est venue l'idée. Comme on sait pourquoi on va les mettre, on va faire une fête pour qu'ils dorment à la fête, dans l'idée de la fête, la vie de la fête, ce n'était même pas pour faire la fête, l'idée, c'était pour que les gens, l'idée de la fête n'était pas pour la fête, pour mettre un tour au-dessus de la tête des gens, voilà, c'est tout.
Speaker 1:Donc, on finissait de jouer à 21h, 22h, on remettait les trophées, ensuite chacun prenait sa douche dans le gymnase, et puis là, on était juste dans un vonheim, juste à côté, on préparait à manger et tout. On avait un ami qui mettait la musique. Les gens dansaient jusqu'à 5h, 6h du matin. Les premiers sont allés prendre leur train et sont rentrés chez eux. C'était ça, la toute première édition de Basse Camero dans 1999. Je ne m'attendais pas à ça. Je ne m'attendais pas à ça, à autant de personnes qui viennent à autant d'enthousiasme. Ça demandait beaucoup de travail et puis, à la fin, je ne pensais pas en faire une série. Dès le lendemain, les gens rentraient chez soi. C mais c'est mes prises. Oh, c'était balèze. Faut nous refaire ça au mois prochain. Je dis mais les gars, vous êtes fous quoi? Vous croyez que Tu n'as pas de vie? Vous croyez que je dis que ça a fait?
Speaker 2:En tout cas pour l'organisateur.
Speaker 1:Voilà, subitement, je, je ne sais pas ce que ça a fait, ça m'a coûté du temps, et puis, donc, c'est comme ça, j'ai fatigué et tout, et puis il fallait se reconcentrer sur les échéances et les examens, et tout, j'ai laissé passer, et en fin d'année, c'est revenu dans ma tête, et puis j'ai refait la deuxième édition et la troisième, et tu as combien d'éditions là déjà. Donc, basque Amourou, à Lanovre, a fait 12 éditions, une par un, 12 éditions, c'est-à-dire que le temps même de mes études, 10 éditions, le temps où j'étais là-bas. Et après, quand j'ai quitté la ville, j'ai quand même réussi encore à faire deux éditions, étant hors de la ville, vu que j'avais tout un groupe d'organisation, j'avais déjà tout un réseau, les équipes étaient là. Donc, ça allait crescendo, comme ça. On est quitté de huit équipes, on est monté jusqu'à 16 équipes.
Speaker 1:À l'époque, ça venait de partout. Ça venait justement par le réseau des basketteurs qui arrivaient dans la diaspora, d'allemagne, de France et de Belgique. Ça venait de tous les pays, de toutes les villes, de France, de Bruxelles, de Liège, de Namur, de Paris, de France, et tout, et tous ceux qui étaient vraiment les basketeurs, ou alors la crème de la crème du basketball camerounais en Europe, sont passés par le tournoi d'Anouf, tout le monde des joueurs qui étaient vraiment des sommités au Cameroun, à Lille, en Allemagne ou en Europe, se sont dit Waouh, ça se joue où Là-bas, venons, allons jouer. Donc, c'est comme ça que ça s'est déroulé Et, au fil du temps, parce que j'avais toujours besoin de rendre tout le monde satisfait et de mettre une bonne, d'avoir une bonne note à la fin, j'ai toujours essayé d'améliorer le concept, d'agrandir, de peaufiner certaines choses, et c'est comme ça que moi-même, d'abaye, chemin faisant, que je me suis formé dans plusieurs canaux de l'organisation d'événements tu me disais ça au téléphone dans la discussion la communication, le marketing, le sponsoring, la gestion du personnel, gestion des ressources, le timing, le showtime, Tout ça, et puis, au fur et à mesure, les réseaux sociaux, ainsi de suite.
Speaker 1:Donc, à Nour, ça a duré jusqu'en 2010,. Je crois 2012,. À Nour, ça a duré jusqu'en 2010,. Je crois 12, je ne sais même plus, mais là déjà, j'étais à Munich où j'avais déménagé pour des raisons d'emploi, Et ensuite, en 2012, on a fait un break parce que c'était difficile de gérer à distance no-transcript.
Speaker 2:Votre slogan, c'est the game is the same whatever you play. Yes, est-ce que tu peux un peu expliquer l'idée? d'ailleurs on comprend ce que ça veut dire, mais pourquoi tu as choisi ce slogan?
Speaker 1:ce slogan aussi, je l'ai créé. Je ne sais pas d'où m'est venue l'inspiration, mais je l'ai aussi créé en 2000, dès la deuxième ou la troisième édition, et ça disait vraiment de ça. Ça reflétait exactement l'essence même de ce que j'avais en vision, c'est d'avoir ce sentiment de juste jouer, juste jouer, juste jouer, juste jouer. Peu importe où tu es, l'essentiel, c'est d'avoir le ballon. Que ce soit sur un terrain boueux, sur une plaque tordue, sur un anneau penché, dans un gymnase de haute facture, dès que tu joues, dès que vous jouez, le jeu reste le même, parce que tu n'as besoin que de coéquipier, vous n'avez même pas besoin de parler la même langue, parce que le ce qui est beau dans le sport, et surtout dans les sports de sport des clics, c'est que le ballon est une langue universelle. Le jeu est une langue universelle, n'a pas besoin de de trop de verbe. Il ya des, il a des choses évidentes On sait quand tu sais jouer, on sait quand tu sais pas jouer.
Speaker 1:Ben, oui, c'est clair. Et oui, quand tu vas sur un terrain, il y a des joueurs qui ont comme ça une manière magique de communiquer ou alors de s'entendre, de se retrouver automatiquement. Donc, c'est ça. Donc, le game is the same whatever you play, c'était ça de se dire. L'objectif, c'est de continuer à jouer, parce que, derrière le jeu, il y a tout un effet d'intégration d'abord, de rapprochement, de connexion, et la santé avant tout, c'est ça qu'on ne voit pas?
Speaker 1:Oui, pas seulement la santé physique, mais d'abord la santé mentale, parce que nous Oui, vas-y, je t'écoute.
Speaker 2:Ce que je voulais dire, c'est que c'est ça qu'on ne voit pas quand il y a ce genre d'événement. Parce que moi, j'ai assisté à un de tes tournois, c'était à justement à Francfort. J'étais passé par un ami qui vient maintenant aux Etats-Unis, qui était très fan de basket. On a fait des cours de langue ensemble et il m'appelle donc de rien. Il me dit hé, viens, on va à Francfort, il y a l'événement et tout, il y a le tournoi, et je me dis bon moment ennuyé. Mais finalement, je ne me suis pas ennuyé, parce que il y avait des stands d'entreprises qui étaient là, qui faisaient de la pub. Tu te fais des contacts parce que tu es assis dans l'examen avec d'autres personnes, vous rigolez des actions qui se passent dans le stade et c'est comme ça que les petits liens se créent. Tu revois même des anciens basketers avec qui tu étais au collège. Tu vis en Allemagne, tu es là.
Speaker 1:Depuis quand tu es ici.
Speaker 2:Et tu te dis Mais ça fait longtemps, je ne savais même pas que toi, tu étais là». C'est comme ça que tu te refais ton petit net, ton petit réseau, non, c'est important.
Speaker 1:Les gens négligent ça. Les gens négligent ce point santé Santé, pas seulement physique, mais mentale. Comme je dis, et c'est toujours valable aujourd'hui, mais même de ma génération. à l'époque, c'était difficile en Allemagne pour nous.
Speaker 2:Ouais, parce que tu me dis téléphone.
Speaker 1:Oui, téléphone, l'intégration, le racisme Exactement, comprendre même comment fonctionne le système académique pour lequel on est venu. L'information n'était pas comme telle aujourd'hui, où tu tapes sur Google, tu lis des choses, où tu sais exactement ce que tu es venu étudier, où tu connais déjà où ça va aboutir, comprendre même le système de l'université, les clausos, etc. Mais on était comme dans une jungle, dans l'obscurité. Donc tu ne comprenais rien, tu étais seul, tu ne maîtrisais pas et tu avais très peu de soutien. Donc tu avais besoin de rester avec les autres pour vivre de leur expérience, en apprendre. C'est vrai qu'il y a des gens avec des connexions qui étaient peut-être néfastes, mais tu avais besoin de ça, sinon tu'étais vraiment tout seul Et donc cette santé mentale était très importante aussi Et c'était le moyen, justement, de se retrouver.
Speaker 2:Mais dis-moi, tu as dit Germanis Douala versus Yaoundé. Comment tu as commencé ce concept-là?
Speaker 1:Quand nous avons, entre ces deux blocs, entre le tournoi d'Anour et le Germanis Douala versus Yaoundé, il y a encore un troisième, disons un deuxième, pour ne pas dire pour rester chronologique, et un deuxième Pan de Basque Amour qu'on n'a pas encore évoqué, mais on va revenir dessus. Donc, pour celui qui se passe l'événement, ou alors le tournoi, un autre produit qui se passe à Frankfurt depuis déjà 10 ans, on va dire c'est la 10e édition en 2025. Donc, dans les années 2012, 11, 12, 13, on s'est rendu compte que cette première génération, les 10 premières, c'était comme moi d'ailleurs, j'en étais l'exemple vivant c'était un peu dispersé. Donc, du coup, les blocs des équipes qui se déplaçaient toujours n'existaient plus. C'est-à veut dire que c'était difficile de pouvoir maintenant inviter l'équipe de Francfort, parce que ceux qui tenaient l'équipe sont devenus diplômés, sont devenus papas ou mamans, avaient des enfants.
Speaker 1:Donc, c'était difficile de bouger comme on bouge avant, parce que, par exemple, l'un voulait partir en voiture, les autres étaient encore étudiants, les uns voulaient dormir à l'hôtel parce qu'ils étaient déjà un peu plus plus stables financièrement, les autres ne pouvaient pas, il fallait qu'ils dorment. Donc, ça commençait à être compliqué. Donc, inviter un groupe ne fonctionnait plus. J'ai observé pendant quelques temps qu'est-ce qu'on peut faire pour inviter les gens à ce qu'ils viennent. Et l'idée donc m'est venue de ne plus inviter en équipe dans un événement, mais d'inviter les single players, comme on dit. Donc, on invite juste le joueur.
Speaker 1:Donc, le concept de base de Germanis Dolas versus Yaoundé, c'est que si tu es basketteur, si tu veux jouer, si tu es basketteuse, tu ne t'occupes que de toi-même, tu t'inscris tout seul, tu payes tes frais d'inscription, tu payes pour ton maillot personnalisé, tu choisis juste dans quel bloc tu veux jouer. À gauche ou à droite, on a la Team Yaoundé ou Team Douala. Ça ne veut pas dire que seulement les ressortissants de ces deux villes peuvent participer. Non, c'était juste une manière de d'avoir deux blocs de joueurs, mais d'avoir des symboles du Cameroun. On aurait pu dire Team Bafosam contre Team Yagoua, mais on s'est dit bon, chaque Camerounais a quand même une affinité par rapport à Yagoundé ou à Douala.
Speaker 1:Donc, tu choisis où tu veux jouer, ce sont nos conférences, ce. Donc, tu choisis où tu veux jouer, ce sont nos conférences, voilà. Ou c'est des notes de Tangano Tanga Sud, si tu as lu l'oeuvre là, voilà. Donc, c'était vraiment ça de dire ok, on a deux blocs, chaque personne s'inscrit tout seul, donc, tu t'occupes que de toi et le jour J, tu prends tes baskets, tu les mets dans ton sac, tu te retrouves à Francfort et c'est sur place que de toi. Et le jour J, tu prends tes baskets, tu les mets dans ton sac, tu te retrouves à Francfort et c'est sur place que tu rencontres tes coéquipiers.
Speaker 1:Donc, c'est un peu ça, le concept de Do La Vé, si A On D, et quand tu rencontres tes coéquipiers, chaque bloc est composé de maximum 40 joueurs, donc 40 à gauche, 40 à droite. Ce fait que les 40 ne se connaissent pas Et, surtout, ils ne connaissent pas le niveau. Il fallait créer un tournoi, un concept qui permet à tous les niveaux de jouer, de s'inscrire Et tous les niveaux de jouer, parce que on voyait ça par observation sur d'autres tournois, comme on est, qui avaient été créés par la suite en France et autres, c'est que c'était réservé seulement à certains niveaux. Quand tu n'as pas un bon niveau, tu ne pouvais plus jouer, tu étais lésé, tu étais sur le banc et tout. J'ai dit non, on ne veut pas ça.
Speaker 1:Tous les niveaux peuvent jouer, parce qu'il s'agit de jouer d'abord. Quand les 40 viennent, il y a suffisamment de temps pour en allouer 3 heures de jeu. Comme on dit au karate le bonbon, vous faites vos des caras, vous en faites cette équipe, et les sept équipes de yaoundé joue contre les sept équipes de douala sur des petits matchs, des mini games, dont croisement doit la rencontre yaoundé 1, yaoundé 3 contre ya douala 5, ainsi de suite, ce qui fait que tous les joueurs, peu importe le niveau 6 d'abord, à jouer là, et ça permet à chacun de ces joueurs de connaître le niveau de l'autre, de connaître les aptitudes de l'autre, de connaître les limites de l'autre, de connaître les aptitudes de l'autre, de connaître les limites de l'autre, ainsi de suite. Et pendant que c'est en train de se jouer comme ça, il y a des responsables des blocs, il y a des doigts là, ou bien les coachs qui observent les niveaux de chaque joueur. Et il vient maintenant le moment où on a besoin des coachs pour dire coach, quels sont les 5 meilleurs shooters de Yaoundé qui vont faire le concours de shoot à 3 points contre ceux de Douala?
Speaker 1:Quels sont les 5 meilleurs dribblers qui vont faire le concours de dribble, quels sont les 5 joueurs qui vont faire le 1 contre 1? Parce qu'après on fait des phases 1 contre 1, Yaoundé contre Douala. Donc, on prend meneur contre meneur, pivot contre pivot, on prend des calibres, parce qu'il y a aussi les femmes. On prend des femmes. Si elles sont nombreuses, on fait un match d'âmes, doala contre Yaoundé. Si elles ne sont pas nombreuses, on fait des deux contre deux, des trois contre trois.
Speaker 1:On a aussi un bloc qui fait juste formation des enfants, apprentissage au basket, de 6 à 14 ans. Ils viennent, ils sont suivis par des moniteurs toute la journée. Après, ils ont même le match de Gala aussi, douala contre Yohande. Et après, on a la petite finale, disons le rookie game, dont les 12 meilleurs joueurs de Yohande et Douala jouent d'abord le match. Enfin, les 12 meilleurs joueurs amateurs jouent un premier match final et après, les 12 meilleurs joueurs les plus compétitifs jouent la plus grande finale. Ce qui fait que tout le monde, vraiment, selon ton niveau de jeu, tu réussis quand même à intégrer un palier où tu vas jouer jusqu'au bout. Donc, sur le plan sportif, c'est un peu ça, le concept de Germanis Doualas vs Yandé.
Speaker 1:Tout ça sur une journée, tout ça sur une journée, journée de 10h à 20h. Ok, c'est cool. Ça donc pour résumer pourquoi on est arrivé à ça. C'était une solution pour permettre aux joueurs, indépendamment du groupe, de se déplacer et d'avoir une logistique vraiment individuelle, mais quand même de trouver des partenaires, des coéquipiers, sur place pour pouvoir jouer.
Speaker 2:Le tournoi de cette année se tient le 31 mai 2025.
Speaker 1:Le 31 mai 2025 à Francfort. Comme je dis, c'est la dixième édition de Dua La Vezo Siaronde.
Speaker 2:C'est pas quelque chose de spécial.
Speaker 1:Oui, dixième édition, c'est un âge rond, c'est pas quelque chose de spécial. Oui, 10e édition, quand même c'est un âge rond. C'est vrai que, sur les 10, on doit enlever deux années de Corona, il faut souligner. On a supporté, on a survécu Corona, parce que beaucoup de choses, beaucoup d'entreprises, beaucoup d'événements, après Corona, n'ont plus jamais pu se relever. Nous, on a réussi quand même de belles manières. Et puis, aujourd'hui, 2025, 25 ans, ça fait 2000. Donc, on va souhaiter 25 ans d'anniversaire à Pascal Marron, créé en 1999. Mais bon, pour faire rond, on dit 99 à 2025. Ça fait 25, pour ne pas dire 26. Mais bon, pour faire rond, on dit 99 à 2026, ça fait 25, pour ne pas dire 26. Donc, il y a de belles choses quand même à fêter de manière symbolique 25 ans, et puis 10 ans de Germanist, toile à verre de Siongdé moi, quand j'entendais, je ne pouvais même pas imaginer que c'était aussi vieux que ça si c'est ça, la première édition est à Frankfurt.
Speaker 1:Pourquoi est-ce qu'on l'a mis à Frankfurt? c'est parce que Frankfurt, on l'a trouvé, comparément à Hanour à l'époque, c'est plus central, c'est au centre d'Allemagne, ça fait un chemin un peu plus court pour ceux qui viennent de France et je peux te dire que sur les 80 joueurs que nous avons, 30% viennent de France. Oui, quand même.
Speaker 1:Ils viennent de l'extérieur, vraiment de France, de Suisse. Nous avons des hommes, des femmes et, en général, on a une vingtaine d'enfants dans le Kids Training Camp qui sont aussi en activité toute la journée. Ça, ce n'est que le pan sportif, Ça, ce n'est que le pain sportif.
Speaker 2:Maintenant, passons à l'autre pain.
Speaker 1:Passons à l'autre pain.
Speaker 2:Comme il y a plusieurs autres pains, Le pain dont tu ne voulais pas laisser le quelques jours.
Speaker 1:Peut-être que ça coûte Le gros pain, c'est qu'on a un hashtag qu'on essaie de nourrir depuis quelques années, qui est hashtag pas que du basket. Donc, vraiment, l'événement n'est pas que du basket Et dans pas que du basket, nous mettons et j'explique aussi c'est vraiment le développement de la communauté qui nous a amenés à ouvrir ces différents autres pans, autre que le basket. Je parle toujours sur moi et, du fait, je reste humble en pensant que je ne suis pas une, Je suis un comme tout le monde. ça veut dire que j'ai les mêmes problèmes que tout Camerounais dans ce pays. Donc, j'ai le même développement. J'étais étudiant, J'ai été diplômé, Je suis employé quelque part, Je suis chef d'entreprise quelque part, j'ai une famille, j'ai une épouse, j'ai des enfants. Ça veut dire que je ne marche plus seul. Donc, je dois trouver dans cet événement des choses qui intéressent mon entourage, Mon épouse, mes partenaires, mes amis, mes enfants.
Speaker 1:Donc, Basketball Moon est vraiment une communauté qui n'offre pas que du basket, mais qui offre aussi d'autres points d'intérêt Pour les enfants. j'ai parlé, on a introduit cette formation pour les enfants. Pour ceux on s'est rendu compte, s'asseoir dans un gymnase pendant 10 heures, pour les gens qui ne sont pas forcément en train de jouer, ça peut être fatigant. qu'est-ce qui pourrait les intéresser en plus. et il y a le vent de l'entrepreneuriat qui est aujourd'hui au centre de notre communauté et du monde même d'ailleurs, parce qu'il faut penser pas seulement en tant qu'employé, mais surtout en tant qu'entrepreneur dont nous permettons aux gens de faire leur business, de faire du réseautage, de présenter leurs produits, de faire de vendre leurs services, ainsi de suite.
Speaker 1:Donc, nous avons un espace vraiment grand qui prend cette année, qui prendra une vingtaine de stands diversifiés, de tout horizon, tout type de produits et de services, où chacun peut venir faire son business, gagner en visibilité, gagner en contact, en échange Et le grand public. l'année dernière, nous avions à peu près 400 personnes en visiteurs dans les gymnases. Donc, ces personnes ont vraiment de quoi s'entretenir. pas seulement que du basket, mais aussi des idées nouvelles, des produits nouveaux, la famille la bienvenue, les enfants aussi. le coin gastronomie Zouviso ne manque pas chez les.
Speaker 2:Camerounais, il y a toujours à manger, c'est pas bon du tout.
Speaker 1:Ça peut pas aller. Ceux qui viennent pour la nourriture, il y en a. Ceux qui viennent pour la nourriture, ily en a ceux qui viennent pour business, c'est là ceux qui viennent pour la musique.
Speaker 2:Je me souviens, j'ai vu des photos de ténors quand tu m'appelles que j'ai reçu dans le podcast, ça y a passé chez toi aussi exactement, exactement.
Speaker 1:on essaye aussi. et puis, on essaye de travailler avec tout le monde. Et parlant de ténors, parce qu'on travaille en collaboration avec Ebony Event, qui est à Frankfurt, on fait notre after-party. chaque année, à la fin du tournoi, on fait une boîte de nuit, soirée dansante, et Ebony Event prend les reines de cette soirée. Et donc, nous avions prévu pour cet after-party, ténor en boîte de nuit. Après, on s'est rendu compte, on s'est demandé tant qu'à faire, s'il est déjà là pour la boîte de nuit, est-ce qu'on ne va pas le produire aussi dans le gymnase, gratuitement, pour le grand public? Gratuitement? l'entrée était encore à l'époque gratuite. Et puis Ténor est venu, il a fait ce spectacle qu'on voit un peu partout sur les réseaux sociaux. C'est très bien. Et cette année, quelle sera la surprise? Je ne peux pas encore le dire.
Speaker 2:mais on y travaille. Croise les doigts. Je ne sais pas ce que tu peux parler, mais je croise les doigts pour toi. Maintenant, essayons un peu de parler du côté caritatif de l'association. On a jusqu'à présent parlé de basket, on a parlé de tout. J'ai vu, si on va sur votre page, on va se rendre compte même sur YouTube, on va se rendre compte qu'il y a beaucoup d'éléments qui parlent des actions caritatives que vous menez Au Cameroun particulièrement. Est-ce que tu peux en parler un peu?
Speaker 1:Oui, Nous avons ce pan aussi de Basque Cameroun qui se veut être social Dans tous les cas, on est déjà social parce qu'on connecte les gens mais qui se veut être caritatif, justement, qui veut aider, mais surtout qui veut give back, comme on dit en anglais, c'est-à-dire que tu veux redonner un peu quelque chose à la communauté au milieu du pays vers lequel, d'où on vient. Et on s'est dit on a créé donc Basque Cameroon Cares, basque Cameroon Cares. Donc on essaie de soutenir ce qu'on peut avec ce qu'on peut, à l'aide de notre réseau, de nos participants, de nos fans, de nos supporters, de nos sponsors aussi, parce qu'Amazon KS a souvent eu à faire des dons. Parfois, je crois en 2018, par exemple, on demande aux participants du tournoi de venir avec leurs anciennes chaussures. Vous, les gars, si vous avez trop de choses dans lesquelles vous ne portez même pas Toi, tu as au moins 50 chaussures. Vous, les gars, si vous avez trop de choses dans lesquelles vous ne portez même pas toi même, je suis sûr que toi même, tu as au moins 50 chaussures. Tu parles de quoi?
Speaker 2:il y a des chaussures gâtées. Si je cherche au Cordonnier, je ne trouve pas. Je sais qu'au Cameroun quelqu'un peut utiliser 50, voilà même des chaussures de bonne qualité.
Speaker 1:Donc, si vous ne savez pas quoi en faire, rapportez-le avec vous à Francfort. On va les rassembler, on va faire un groupage, on les envoie au Cameroun et on les partage là-bas à des nécessités. Donc, c'est ce qu'on fait Pour les habits aussi. On a eu à le faire parce que Cameroun a aussi offert des masques, des masques pendant Corona au Cameroun, corona en grande quantité dans des villages à l'ouest, parce qu'Amouron a aussi eu à offrir deux lits, des lits médicaux, des lits médicaux quelque part aussi à l'ouest. Cette année, en 2025, nous voulions absolument avoir une activité, ou alors rendre visite à des centres encadreurs d'enfants, des centres d'autisme, des orphelinats, et nous avons pointé deux entités, une à Yonde et une à Douala, où nous avions rendu visite personnellement en apportant du matériel de première nécessité, mais surtout aussi du matériel didactique pour les enfants, surtout des enfants qui ont besoin d'un encadrement spécial autisme Là tu fais référence à la vidéo que j'ai fait.
Speaker 1:Si tu sais YouTube, si tu tapes Basque, cameroon Cares, c-a-r-e-s, tu peux voir cette visite ou bien ces deux visites. Et on est assez content parce que ça s'est bien passé. Les gens ont vraiment accroché. On n'a pas voulu en faire un tapage bien trop longtemps, en faire une médiatisation, mais sur une semaine, on a fait cet appel à la participation, on a pu rassembler plus de 1500 partagés sur les deux entités choisies Et on compte le refaire l'année prochaine et chaque année.
Speaker 2:Très intéressant, Comme d'habitude. dès que tu as quelque chose, tu envoies un Merci encore à tous.
Speaker 1:Ils sont nombreux les gens, plein de gens, ont participé, même sans connaître l'événement Basque Cameroun, mais ils ont senti certains sérieux dans ce qu'on fait, dans la présentation Et surtout parce que la difficulté, chez nous, camerounais, c'est que parfois, on n'est jamais sûr que ce qu'on donne arrive là où on l'a donné. Tu vois, et donc nous, on a quand même eu cette crédibilité. Enfin, on a eu l'impression que beaucoup de gens nous donnent encore une certaine crédibilité et ils se sont dit OK, prends 5 euros, 10 euros, 50 euros, ça allait de tous les montants, 50 euros, ça allait de tous les montants Et à 100%, nous avons reporté ces montants dans cette action. C'est vraiment bien ça.
Speaker 2:J'ai une question. par contre, sur la vidéo, on ne te voit pas. Il y a un monsieur qui parle. C'est qui le?
Speaker 1:monsieur Le monsieur qui parle, il s'appelle Christian Pondo. Christian Pondo, c'est un de mes partenaires de longue date, parce qu'il est dans Basque Amouron depuis 2000 ou 2001. Et on organise jusqu'à aujourd'hui les tournois ensemble. Il est dans le groupe Basque Amouron parce qu'on a quand même un groupe de Un noyau, un noyau Et en général, lui, on le connaît plus parce que c'est lui qui est le chef des arbitres, parce qu'il est arbitre aussi, entre autres les arbitres, il est arbitre de, à ces temps perdus, arbitre licencié en allemagne. il habite aussi des matchs de basket dans sa région, où il vient. je te regarde donc christian, responsable de l'arbitrage, déroulement du match, des matchs du tournoi. et donc, christian était le porte parole, le porte-étendard de ce Basque Cameroon 15 en décembre cette année-ci. Et moi, on ne me voit pas. Je suis le seul chef d'entreprise qui ne veut pas se faire voir.
Speaker 1:Parce que quand je l'ai vu, je me suis dit attends ce n'est pas le brest que je connais, non, non, ce n'est pas moi. Et je trouve même bien, c'est-à-dire que Tu n'aimes pas la lumière. Non pas que je n'aime pas la lumière, j'ai suffisamment de lumière. ça a trop à chercher, oui. mais pour moi aussi, c'était une manière de montrer que je n'ai pas besoin d'y être pour la réaliser.
Speaker 2:En fait, c'est ça. Il ne s'agit pas de toi, il s'agit du geste, il s'agit des enfants et tout.
Speaker 1:C'est ça que je vois. Et je ne voulais pas non plus attendre le jour où je vais aller au Cameroun pour le faire. Non, on s'est dit nous, dans le noyau qui va au Cameroun, ceux qui partent au Cameroun, allez dérouler le projet, il n'y a pas de problème, on se fait confiance. bien fait. Donc, christian allait au Cameroun en décembre, et puis il a fait magnifiquement le job.
Speaker 2:C'était le Happy Hour, la grosse partie de l'interview. Maintenant, on va à l'open bar. L'open bar, c'est quoi le plus dur dans l'organisation du tournoi Gemini Stola vs Cameroon. Qu'est-ce qui te casse?
Speaker 1:la tête Le plus dur dans l'organisation du tournoi, c'est notre caractère camerounais. Ouh.
Speaker 2:Je commence déjà, Vas-y explique, développe.
Speaker 1:Le plus dur, c'est notre Camerounais, parce que, bon, déjà, grâce à mon expérience, je vois les choses très loin venir. On sait déjà à peu près comment les gens sont, comment les gens réagissent. Donc, c'est le plus dur, c'est-à-dire de pouvoir proposer un produit à une communauté qui est toujours très critique, malgré tout ce que vous allez proposer, essayer de faire jamais satisfait, même pas insatisfait, mais critique. Au mieux, on veut tout gratuit. Voilà, au mieux, on veut tout gratuit. C'est un peu trop cher, c'est toujours un peu trop cher, c'est toujours un peu trop oublie. On veut ceci, en même temps, on veut cela. Mais si c'est pas Doi, là, yaoundé, il faut qu'on fasse, qu'on s'en bat et qu'on s'aie ri. Oui, oui, oui.
Speaker 1:Donc, le Cameroun avait toujours quelque chose en plus. Tu vois, chapo dit que c'est Doi Yaoundé, mais ça ne veut pas dire que c'est seulement ce doigt-là et c'est seulement Yaoundé. Tu expliques, tu dis que non, moi, je suis un gars, même de, je suis un gars de baganté. Il me faut l'équipe bagantée, sinon je ne participe pas. Tu vois, tu expliques que non, ce n' Je peux tout expliquer.
Speaker 1:Donc, en fait, on a un caractère qui en demande toujours, sans forcément d'abord comprendre pourquoi ça a été comme ça Et surtout comprendre que ça a aussi été expérimenté dans un autre sens, mais vaut mieux ce sens-ci, parce que, tu vois, j'ai fait tout à l'heure, j'ai bien fait, de dire tout à l'heure, et même préciser tes noms gratuits, rappelle-toi. Tu vois, j'ai fait tout à l'heure, j'ai bien fait de dire tout à l'heure, et même préciser ténors, gratuits, rappelle-toi. J'ai dit gratuits. Là, personne a dit oh, ténors et gratuits. Oh, ils font comment pour que ténors soient ici.
Speaker 1:On va Et ça nous a drainé du monde dans le gymnase. Ténors gratuits, ils sont venus. Bien, qui aiment Ténor? des enfants qui aiment Ténor, mais ils ne peuvent pas le voir en boîte de nuit. Il y a des gens qui aiment Ténor mais qui ne vont pas en boîte de nuit. Donc, on a dit on fait un truc comme ça, gratuit, venez, ça nous a fait du bien. Mais personne ne se demande ce que nous, ça nous coûte.
Speaker 1:Et le jour où, l'année d'après, tu dis que bon, l'entrée dans le gratuit, pourquoi rien n'est gratuit, rien n'est payant ici en Allemagne, pourquoi vous voulez payer. Et c'est là où tu veux expliquer au gars que, easy, les gars, quand tu vas au cinéma, tu payes nous. Quand tu vas dans les festivals, tu payes nous. Partout où tu pars, dans cette Allemagne, tu contribues minimalement, non, est-ce que si tu payes 5 euros, là, ça va te tuer? Oh, ah, tu vois, bon. Et là, tu entres maintenant dans un jeu de communication.
Speaker 1:Et quand tu sais à qui tu as fait, il faut savoir emballer, mais expliquer exactement où est-ce que tu es en train de partir et toi-même être convaincu de ce que tu fais. Sinon, très vite, tu peux chanceler ou bien croire que tu n'es pas dans le bon. Donc, c'était gratuit.
Speaker 1:Mais l'année dernière, par exemple là je prends un exemple, par exemple on a dû, une semaine avant le tournoi, annoncer que cette fois-ci, ce n'est plus gratuit, on va payer l'entrée à 5 euros. C'était vraiment une semaine, ou peut-être même pas, c'était à quelques jours, un ou deux jours, quelques jours, un ou deux jours, on était obligé. On était obligé parce que entre-temps, inflation oblige, on nous a doublé le prix du gymnase. Donc, quand tu entends ça, subitement, tu es obligé de réagir. Et puis, bon, 5 euros, ce n'est pas la meilleure à boire non plus. Donc, il y a ce caractère camerounais qui est là, qui est toujours critique, qui est toujours réclam, clairement. Pourtant, tout ce que vous faites est déjà très, est de haute facture, est à très bon prix. Les frais que chaque joueur paye sont pratiquement réinvestis sur leur.
Speaker 1:On parle de 60 euros par joueur. Ils sont réinvestis sur leur maillot et short personnalisé. Je crois que tu as vu les maillots. C'est des très beaux maillots. Moi, je dois être fier. Nous en sommes très fiers. On essaie chaque année d'en faire de nouveau. Il y a toute une batterie logistique et des coûts qui sont derrière une telle organisation Un gymnase n'est pas grave.
Speaker 1:Et on ne parle même pas encore du manpower qui est derrière. Donc, du coup, c'est difficile de rester dans le gratuit, surtout quand vous voulez de bonnes choses, surtout que aujourd'hui, c'est la nouvelle génération, c'est comme ça, c'est bon, de bonne guerre, tout est monnayé, tout. Tu veux quelque, tu veux l'aider, que tu me paies combien. Ma part dedans, c'est quoi ça? je parlais justement, tout ce caractère camerounais. Aujourd'hui, la réponse à tous, et ma, c'est ma part de danser quoi, et c'est ça qui est Peut-être c'est de bonne guerre, peut-être je suis vieux jeu, mais c'est ça qui est parfois dommage, c'est que tout le monde est dans ma part de danser quoi, que j'ai mes factures à payer, c'est vrai. Mais pour que les choses fonctionnent, ou bien s' toi, tu puisses te développer, t'établir, parfois tu as besoin de cette apprentissage, cette phase bénévole. Tu vois, et de mon propre cheminement, j'ai appris beaucoup de choses de manière bénévole et j'en suis reconnaissant pour tout ce que je fais.
Speaker 1:Mais il ne faut pas toujours placer d'abord l'argent devant, après chacun sa philosophie Pour en finir. C'est d'abord l'argent de vent, après chacun sa philosophie Pour en finir, c'est que le dévouement. Dernière fois, sur ce que j'appelle le caractère camerounais, c'est qu'il est difficile de planifier avec les camerounais, parce que le camerounais n'est pas un être qui va en forfait, coffre Donc un ticketing en avance. On ne peut pas planifier le nombre de personnes. Combien de personnes seront dans ce gymnase, dans cet événement? 300, 400, 500.
Speaker 1:Donc, du coup, quand tu veux le faire, je prends juste un petit bloc. Si tu veux faire la gastronomie, tu ne sais pas combien tu dois préparer. Tu peux en préparer moins, tu peux en préparer plus, tu peux transporter les choses dont tu es toujours en train de de de sous-peser. Tu vois, il te faut beaucoup d'espérance pour bien comprendre où tu pars, mais il y a un risque que tu dois calculer. Mais c'est le problème aujourd'hui, parce que je suis aussi membre, enfin, je suis quand même un pion central des événements en Allemagne. C'est le problème de beaucoup de promoteurs d'événements il est difficile de planifier. C'est le problème de beaucoup de promoteurs d'événements, il est difficile de planifier. J'en connais. Ils font des spectacles, ils proposent des choses. La veille, ils ont vendu zéro ticket. Ils ne savent pas combien ils doivent préparer pour la boîte de Nubien, pour la soirée de gala, et le jour J, il y a 100 personnes dedans. Pourtant, ils se sont battus dans leur communication à vendre, mais ce n'est pas possible. Donc, le karaté kamoné.
Speaker 2:C'est peut-être un travail d'éducation qu'il faut faire sur le nom et ça prend du temps. Mais dis-moi, on a parlé au téléphone avant du tournoi de foot de Munich. On n'a pas évoqué ça, on avait parlé d'une soirée comédie-show. C'est des trucs qui m'intéressent Moi. Je suis fan de foot et j'adore les comédies-shows, les stand-up shows. Est-ce que tu peux dire brièvement de quoi c'est?
Speaker 1:Merci Moi-même. Parfois j'oublie que Basque Cameroun n EFAO est une association. C'est déjà une EFAO.
Speaker 1:Et après, il y a l'événement, le premier événement qui s'appelait Basketball of Cameroun. Ça, c'est un événement, un produit. Après, il y a le deuxième produit, qui est German, et c'est un deuxième produit. Il y avait d'autres événements basketball qu'on faisait. Par exemple, basketball est le porteur du basketball ou l'intégrateur du basket dans le Challenge Camerounais. Donc, nous avons, en 2005, 2006 et 2008,. Nous avons forcé Bagare pour que le basket entre là-dedans Et nous avons fait le basket à nos frais, apporté même des coupes pour le Challenge, pour que le basket soit entité du Challenge Camerounais, exactement comme le foot et le handball féminin et d'autres segments du basket. Nous sommes vraiment. Donc, il y a ce côté basket. On a fait aussi des tournois de basket à Paris, à Aix-la-Chapelle, à Munich.
Speaker 1:On en a fait aussi. Outre ce basket Basket, cameroon est une association qui prend l'intégration, le regroupement, les valeurs camerounaises et la culture camerounaise. Depuis 3 ans déjà, une fois l'année, on fait venir des artistes comédiens, des artistes culturels. C'est pas des chanteurs du bas, si je peux dire comme ça, mais c'est vraiment un certain type de culture d'art qu'on essaie de mettre sur le podium, surtout la comédie. On a fait venir Takam il y a deux ans, on a fait venir La Légende, on a fait venir des chanteurs et danseurs folkloriques du Sénégal, de la Gambie, par exemple, sur notre plateau. Donc, c'est une fois l'année le Afro Comedian Variety Show. Donc, vraiment, pour la culture, tu le feras cette année. Cette année, nous sommes en réflexion. On va certainement le faire en septembre, c'est pas encore fixé, mais cette année, il y a de bonnes chances qu'en septembre, de nouveau, nous le faisons. L'année dernière, on l'a pas fait, on l'a fait les deux années d'avant. Donc, il y a ce produit que Basque Cameroun présente aussi Il y a depuis trois ans. Ça s'appelle African Giants. C'est un tournoi de football que Basque Cameroun présente aussi à Munich.
Speaker 1:C'est une espèce de coupe d'Afrique. C'est une coupe d'Afrique avec 16 équipes africaines, dont il y a les équipes camerounaises et d'autres pays africains qui se retrouvent en été. C'est toujours à la fin, le dernier week-end du mois de juillet. Donc je peux déjà le dire cette année, la troisième édition sera le 26 juillet à Munich, plus précisément à Dachau. C'est à 20 kilomètres de Munich, dans le nord, où on est vite. J'espère que Regensbourg reviendra. Non, on reviendra.
Speaker 2:Vous avez vu, il a dit qu'il reviendra parce qu'on était venu, je crois, il y a deux ans, j'avais joué, on avait perdu en finale. Oui, oui, oui, en même temps j'étais le meilleur joueur. j'ai dit ça comme ça, en passant, comme ça, si C'est mon petit troufait, tu veux me donner calmement?
Speaker 1:Non, il n'y a pas de problème, on va gérer ça.
Speaker 2:Mais on parle déjà de ça entre nous. Donc je crois que j'ai guéri ça.
Speaker 1:Le 26 juillet, il y a African Giants. Là, on s'est dit qu'il faut qu'on sorte un peu du trop, trop camerounais. Il faut qu'on aille vraiment pour mieux s'intégrer dans la ville et surtout dans les instances de la ville. Il faut qu'on présente un truc qui rassemble vraiment l'Afrique, qui présente l'Afrique sous les plus vastes couleurs, sous les plus vastes drapeaux, parce qu l'allemand, ou bien les entités allemandes, ou bien leur faire prendre conscience que votre communauté est plus riche que ce que vous voyez.
Speaker 1:À gauche, à droite, on travaille ensemble donc, c'est ça, african Giants, c'est prévu pour le 26 juillet, donc, c'est un peu ça. On essaye, de manière globale, de se dire on profite toujours d'un ballon, que ce soit le basket, que ce soit le football, pour rassembler la communauté africaine ou vers l'ordre camerounaise. Et puis, autour de cette communauté, on crée les mêmes modules le sport, les enfants, la culture, l'entrepreneuriat, l'éducation et l'intégration.
Speaker 2:Maintenant on va finir avec l'afterwork, les dernières pratiques, l'afterwork. Quelle personne me conseillerait-tu pour un prochain épisode?
Speaker 1:Ça dépend Tu veux que je Envoie, seulement moi, je fais d'un tout.
Speaker 2:Tu veux d'un?
Speaker 1:tout. Si tu veux, bon, je vais commencer par mes partenaires les plus prochains. Si tu veux quelqu'un qui fait dans l'événementiel Quand je dis événementiel, les gens pensent souvent que quand tu fais dans l'événementiel, tu es quelqu'un, un homme de la nuit, un homme de la nuit ou bien du spectacle. Mais derrière, il y a toute une stratégie et surtout beaucoup de soft skills qu'il faut avoir. Si tu veux quelqu'un, ou bien une marque quand même, qui se tient bien je laisse même citer tu peux contacter Ebony Event. Tu peux contacter son responsable, franck on l'appelle Francky Franck Changu, quiappelle Francky Franck Chanchou, qui est aussi un bon gars. Avec son groupe, ils font de bonnes choses Et moi, je suis un adepte de ceux qui sont dans la résilience. Comme Basse Cameroun, tu fais 25 ans je ne sais pas s'il y a quelque chose d'autre qui fait 25 ans non-stop. C'est pas ça, forcément, qu'on veut vendre, dans le sens de la résilience de bonne qualité. Tu peux te proposer, te suggérer Francky, ebony et Vint. Ils peuvent te raconter l'épopée. Qu'est-ce qu'il y a derrière?
Speaker 2:qui me raconte, je suis à la plus jeune de ces fêtes, qui viennent me dire Voilà, il peut être intéressant.
Speaker 1:Si tu veux, je reste sur mes partenaires. Si tu veux une personne qui impacte sa communauté, j'ai ma très chère amie Stefania Bianda, qui est aussi, entre autres, dans l'événementiel, mais elle impacte aussi du point de vue de sa carrière, de sa carrière de médecin et aussi de speaker dans les événements pour la femme. La position de la femme dans la société Stéphania, je peux se dire, la recommande. Donc, voilà deux noms. Ça, c'est les personnes avec lesquelles je suis plus ou moins tout le temps au téléphone sur tel ou tel projet. Tu m'envoies les contacts.
Speaker 2:Je vais, Je vais le faire, si Comment on peut te contacter Mon numéro.
Speaker 1:franchement, comme je dis souvent, mon numéro est le plus le plus accessible au monde. J'ai failli dire un mot là qui commence par B, mais bon, c'est bon. Celui qui veut me contacter, c'est facile 716 609 349 78 par WhatsApp Sur Google, basque, cameroun vous trouvez mon numéro là-dessus. Je suis aussi chef d'entreprise de Brain Strategies, qui est une agence de communication, de marketing et de branding. mon numéro est aussi. donc, si tu remarques, communication, branding et événementiel. c'est en fait tout ce que j'ai appris sur mon chemin de Basque-Cameroun et finalement, j'ai créé une entreprise qui essaie de soutenir les personnes qui font ça.
Speaker 1:Donc, je suis sur tous les réseaux sociaux. Bryce Ngachou, voilà mon nom.
Speaker 2:Je mettrai dans les notes de l'émission Quelles sont les trois choses que tu aurais aimé savoir avant de commencer avec Pascal.
Speaker 1:Moroni? non, non, je ne vois pas Pascal. En fait, le parcours, c'est fait de manière très spontanée et c'est toujours dans le souci de faire mieux que j'ai donc appris de nouvelles choses. Donc, je n'avais vraiment pas de plan au départ, j'avais juste une vision que j'ai vite bien encadrée, comme ça, en donnant un nom, en donnant un slogan et une vision vraiment sur le long terme. Mais je ne savais pas que ça allait aussi loin. Donc, qu'est-ce que j'aurais voulu savoir avant?
Speaker 2:Je n'en sais rien, je ne peux pas te dire pour l'instant Quelles sont les trois recommandations que tu feras à nos auditeurs. Ça peut être des podcasts, ça peut être des émissions.
Speaker 1:Si un livre vu qu'on a parlé beaucoup de basket, je crois que je l'ai dit si un livre que je veux bien recommander à certaines personnes même pas une vie que je voudrais bien recommander à certaines personnes c'est d'aller checker la vie de Kobe Bryant. Ça, c'est une vie que j'ai suivie au détail, une fin tragique, mais je recommande d'aller prendre le livre Kobe Bryant Ça s'appelle comment Mamba Mentality, how I Play Ça ressasse un peu son cheminement, mais surtout ça ressasse, ça explique son mindset, son mindset gagnant persévérance, abnégation. Oui, il était réputé pour ça. Voilà, il est très réputé pour ça, donc, réputé pour ça. Mais pour moi, ce sont des natures qu'il faut avoir aujourd'hui, dans tout ce qu'on fait, d'avoir vraiment un instinct de conquérant, une abnégation au travail, être résilient et toujours chercher à faire le mieux qu'on puisse faire. Et je retrouve tout ça dans son cheminement. C'est pour ça que je l'aime bien. Il m'inspire toujours.
Speaker 2:Moi j'ai lu un livre sur son coach. Il avait un coach personnel qui a travaillé avec Jordan à l'époque. Il faut que je retrouve le nom du livre. Je vais vous mettre ça aussi dans les notes de l'émission. C'est un livre qui m'a beaucoup marqué et ça parlait de résilience. Le maître modulé, c'était la résilience, la capacité à performer au haut niveau. Quelles que soient les turbulences qu'il y a dans ta vie, tu restes constant, à haut niveau et tu performes convenablement. C'est ça qui est le plus difficile, ça c'est Maintenant.
Speaker 1:Je ne vais pas encore proposer un autre livre, parce que c'est un peu mon type de lecture. Ça s'appelle The Four Agreements, the Four Agreements. Ce que je peux aussi recommander, c'est écrit par, il s'appelle Don Miguel Ruiz R-U-I-Z. The Four Agreements, qui est très intéressant. Ça reste dans le même sens, c'est que ce livre est centré sur la communication, l'interaction entre les personnes, c'est à dire que la vie est basée sur les rapports entre personnes. Des rapports, pardon, des accords conclus entre personnes, que ce soit avec Dieu, que ce soit avec ton partenaire, que ce soit avec tes collaborateurs. Donc, tout est basé sur les accords Et finalement, les accords doivent être conclus, doivent être discutés, doivent être revus, doivent être évalués. Mais avant ça, il y a comment est-ce que ceci est dit, comment est-ce que c'est perçu Et quel impact ça a? Donc, finalement, tu as un livre qui te, qui demande, qui parle de quatre accords, qui dit en général soyez impeccable avec votre parole.
Speaker 1:Donc, ce que tu dis, c'est ce que tu fais. Ne prenez rien personnellement. Donc, il faut éviter les présomptions, par exemple, il faut éviter de prendre ça vraiment tout à fleur de peau. Ne faites pas dans l'hypothèse et faites toujours de votre mieux. Donc, voilà les quatre agreements qui sont expliqués dans ce livre, que je recommande vraiment à toute personne qui veut grandir en soi, qui veut faire vraiment une introspection et surtout améliorer sa communication, même déjà dans un groupe. C'est très important. Ce livre t'ouvrira ou bien t'empêchera de s'éteindre des bois.
Speaker 2:Le livre dont je parlais moi, c'était Lentless de Tim Grover. Je vais vous mettre ça aussi en haut. Et dernière recommandation qui vient de ma part le film Air sur Amazon. Je ne sais pas si tu l'as vu, c'est Jordan, comment il a fait pour signer avec Nike, celui-là, je ne l'ai pas vu. S'il te plaît. Je suis tombé par hasard comme ça un jour dessus sur Amazon.
Speaker 1:Franchement, c'est une pépite, c'est une vraie pépite.
Speaker 2:On met l'accent sur les négociations, le côté négociation avec sa mère, au centre de l'histoire. Lui, tu le vois de temps en temps, son père, tu le vois même pas.
Speaker 1:Je crois que son père ne le voit pas une fois Jordan lui-même, on ne la mère qui est au centre du truc et qui mène les négociations Et elle est, franchement, si ce qu'on dit là-dedans apparemment c'est vrai, Si ce qu'on dit là-dedans est vrai, Je sais juste de qui il voulait. Bon, je connais un peu l'histoire.
Speaker 2:Il était parti pour Adidas après la réunion, exactement, et sa mère a vraiment eu du flair. Mais c'est vraiment très intéressant, très enrichissant. C'est sur.
Speaker 1:Amazon. Tu as dit Oui sur Amazon. Si tu as Prime, tu peux voir ça. Je vais checker ça. C'est le genre de truc que j'aime bien.
Speaker 2:OK, voilà, ce sera tout. Est-ce qu'il y a quelque chose dont tu voulais parler et qu'on n'a pas évoqué?
Speaker 1:Non, je suis vraiment bien content d'être sur ta chaîne aujourd'hui, kaoloba, que j'ai découvert l'année dernière, c'est même toi qui m'avais fait découvrir, donc tu fais déjà du bon travail qui suivent les podcasts. On va tâcher de mettre un peu de force derrière pour que ça fonctionne. Il y a, il y a, il y a des sincèrement des bonnes personnes qui passent avec des thématiques très intéressantes, et ça permet à chacun de grandir. Donc, c'est, c'est un bon projet que j'encourage. Je suis bien content d'être l'inviter aujourd'hui.
Speaker 2:Moi, je ne suis pas content que tu sois là.
Speaker 1:On a pu profiter de ton temps, tout le monde de 26,. pardon, le 31 mai à Francfort pour les 25 ans de basketball.
Speaker 2:Rendez-vous le 31 mai 2025 à Francfort pour le tournoi. Quand tu as la date pour le comédie, moi je vais être. Je suis allé plusieurs fois à des stand. C'était un top show à Munich. Donc, dès que tu as la tête, fais-moi six mois, je réserve tout de suite, je vais te faire aussi.
Speaker 1:On y travaille. Là aussi, comme j'ai dit, le challenge reste le même, il faut juste bosser. Ce n'est pas évident, parce que tu cherches les artistes et tout, tu ne sais pas quand ils sont là. Tu essaies de planifier à l'avance, mais ils viennent courtes prestiges, après pas le temps de faire la promo, ou bien les conditions sont très difficiles. Donc, et après, quand tu vas mettre le tarif, les gars vont te citer au quartier gros, tu veux construire ta maison et notre argent non, mais je te souhaite beaucoup de force.
Speaker 2:On se voit sûrement à munich pour d'africains. Giant, parce que je serai mpg, aime bien la compagnie, être là, j'en prôtaaccompagner, être là.
Speaker 1:Je suis à côté un peu de tout ça, il faut les amener. On a besoin vraiment de la force qui vient de cette nouvelle génération tout autour de Munich, regensburg, ulm, osburg, nuremberg, et puis il y a les Africains de la ville aussi qui sont là. Un bon niveau de football quand même, la lignée, c'est un très bon niveau.
Speaker 2:Un très bon niveau Et si vous avez l'occasion de participer à des événements de Basse-Cameroun, allez-y, foncez. C'est généralement posé entre les jours fériés, les vacances, c'est très facile d'être là. Amenez les enfants, ramenez les enfants. Ils ne vont pas s'ennuyer. Déjà, ils n'ont pas besoin de beaucoup de choses pour s'amuser. Dès qu'ils vont à d'autres affaires, ils vont courir ensemble, Mais il y a des activités pour les accompagner. Si vous avez une entreprise j'ai vu, tu m'as fait suivre, j'ai contacté quelques entreprises de personnes qui sont passées dans le podcast s'il vous plaît, allez-y, sponsorisez, soutenez l'événement parce qu'à la fin c'est toute la communauté qui profite.
Speaker 2:Voilà, ce sera tout. On a fini dans les temps, on a fini dans les temps. Ce n'est pas tous les jours que ça arrive. Je dois te dire la vérité. Ce n'est pas tous les jours que ça arrive. Généralement, il y a beaucoup plus de temps que ça. Je suis content que tu puisses continuer tes programmes que tu avais dans la journée. Voilà.
Speaker 1:Merci pour tout. Merci beaucoup, paul Junior. Merci pour tout. C'était un bon temps, bon plaisir. Allez, on se dit au revoir et à la prochaine. On se dit au revoir et à la prochaine, allez, bye, bye.
Speaker 2:Bye. Voilà, c'est terminé. Merci d'avoir écouté cet entretien. Kaolo Bar est disponible sur toutes les plateformes de podcast, que ce soit Apple Podcast, Google Podcast et Spotify. N'hésitez pas à donner 5 étoiles sur Apple Podcast si vous avez aimé le contenu. C'est une étape importante pour faire découvrir le show. Vous pouvez également le suivre sur Instagram sous le nom Kaolo Bar-le-podcast, et tous les liens sont à retrouver dans la description de cet épisode. Je vous dis donc à très vite pour une nouvelle discussion autour de la vie en Allemagne. Ciao.