
ENTREPRISE & BUSINESS
The best way to get started with something is to quit talking because ‘’Talking doesn’t fly a plane’’. This seems easy at first glance, but moving from words to actions is usually where a lot of us get stuck. Whatever you want to achieve, this is the kick in the pants you need to get to where you truly want to be It’s doing that makes the difference. DO IT.
How to Quit Talking and Begin Doing?
Step 1. Stop talking.
Step 2. Start planning.
Step 3. Set milestones.
Step 4. Start doing.
Step 5. Fell the pace and keep it up!
Did Walt Disney Say: ‘’The Way To Get Started Is To Quit Talking’’?
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ENTREPRISE & BUSINESS
MASTERCLASS 1 - LE MYSTÈRE DES ENTREPRISES À SUCCÈS DONT LE CHIFFRE D’AFFAIRES DOUBLE ENTRE 1 OU 2 ANS
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Exclusive access to premium content!Après avoir atteint les premiers succès, beaucoup d'entrepreneurs s'endorment sur leurs lauriers. Que faut-il pour véritablement propulser une entreprise vers des sommets inexplorés ? Rejoignez-moi, Paul Mblaise, dans cet épisode où je partage notre cursus entrepreneurial en quatre modules, en vous offrant un aperçu du premier module consacré à briser les plafonds de verre des affaires. Nous évoquons les erreurs courantes, comme la complaisance après les premiers succès financiers, et l'importance de ne jamais relâcher ses efforts pour continuer à grandir et prospérer.
En parallèle de ce voyage entrepreneurial, je vous invite à découvrir une facette plus personnelle de mon monde à travers des images émouvantes de mes enfants, Liam et Jérémy. Ces clichés, bien plus que de simples souvenirs, illustrent la persévérance et la résilience nécessaires non seulement sur la glace, mais aussi dans le monde des affaires. Voyez comment les leçons de patinage de Liam à son jeune frère deviennent des métaphores puissantes des défis et des triomphes que nous rencontrons tous sur le chemin du succès. Partagez vos réflexions et laissez-vous inspirer par ces moments précieux qui résonnent profondément avec les leçons de vie entrepreneuriales.
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Alors, c'est parti.
Speaker 1:Comme je le disais tantôt, mon nom, c'est Paul Mblaise. Ce qu'on va voir ensemble maintenant, pendant une heure du temps, je vais parler du mystère des entreprises qui, vraiment, ont une croissance exponentielle dans le monde Et je vais donner quatre modules pour quatre semaines. Donc, quatre modules, pardon, quatre semaines, oui, donc, le premier, c'est aujourd'hui et le deuxième, c'est dans deux semaines. Donc voilà, je disais, le premier module, c'est propulser, n'est-ce pas, votre entreprise vers de nouveaux sommets, notre cursus comme entrepreneur. Mais ce qui arrive très souvent dans le business, dans l'entreprise je vais raconter un peu mon histoire un peu plus tard Ce qui arrive très souvent, c'est que, dans l'entreprise, quand on lance une entreprise, on est tellement excité, parfois, on gagne de l'argent tout de suite, très vite, mais on s'est dit on a déjà une entreprise, et puis ça marche. Donc, on reste vraiment dans une étape de oh, ça me donne de l'argent, et puis on se rend compte plus tard que, finalement, on a lâché, on n'a pas travaillé plus fort pour passer à une autre étape, parce que faire un entrepreneuriat, c'est de travailler constamment et sans arrêt.
Speaker 1:Alors, j'ai quelques images ici que je vais vous présenter. Ce sont les images que j'ai pensé vraiment vous présenter. Donnez-moi une seconde, ce sont des images de mes enfants. Je vais monter chaque image et je vais vous poser la question de ce que vous pensez de ces images-là. Je vais commencer par image et je vais vous poser la question qu'est-ce que vous pensez de ces images-là? Je vais commencer par la première image.
Speaker 1:Alors, la première image ici, c'est Liam, que vous connaissez déjà pour certains, qui apprend à Jérémy comment patiner. Je suis juste à côté, je prends les vidéos. Et la deuxième image, là aussi, c'est Liam, qui est derrière Jérémy et qui pousse, qui apprend à Jérémy comment placer ses patins, parce que Liam, c'est un joueur de hockey, il patine déjà depuis très longtemps. Et la troisième image, on voit Jérémy qui sourit, qui marche. Il est juste au début, ça fait juste la deuxième ou troisième journée. Il marche sur la glace, il paraît content. Et la quatrième image, c'est qu'on le voit, il tombe, il pleure Parce que là il se manque. Il avait quand même un casque avec lui.
Speaker 1:Et la cinquième image, c'est Jérémy et Liam qui sont ensemble. Donc, jérémy essaie de faire la course pour le troisième jour, pour essayer de gagner un espace contre l'IA. Mais j'aimerais que vous partagiez, comme vous êtes là, vous me dites un peu qu'est-ce que vous pensez de cette image. La première, par rapport à l'entrepreneuriat. Qu'est-ce que ça vous dit au sujet de quelqu'un qui veut se lancer en entreprise ou qui a déjà une entreprise? Qu'est-ce que ça vous dit cette image? La première?
Speaker 2:N'importe qui peut commencer. Moi, je pense que ça parle du mentorat qui se fait suivre par quelqu'un qui s'y connaît un peu, et puis aussi ça montre des étapes c'est-à-dire être aussi ouvert.
Speaker 1:Ça, c'est très important vraiment. ce que Georges vient de dire, Et c'est vrai qu'on ne peut pas faire l'entrepreneuriat, on ne peut pas faire une entreprise seule Georges a apporté un mot qui est très important dans l'entrepreneuriat, c'est d'avoir un mentor. On a toujours eu des mentors qui nous ont coachés pendant quelques années. Le mentor est là pour faire quoi, Georges? Pour nous soutenir, pour nous apprendre. Ça me dit qu'il a une expérience dans le domaine. comme Liam, Il patine très bien et il patine très vite, mais là, il doit apprendre à son frère. Alors, il est comme un modèle que Jérémie doit suivre. Et la deuxième image, j'aimerais entendre Eric. la deuxième image.
Speaker 3:C'est quelqu'un qui accepte se faire aider?
Speaker 1:je t'entends pas bien. Tu peux peut-être battre ton volume, s'il te plaît quoi ça va pas.
Speaker 3:La deuxième image est-ce que tu entends là? oui, j'entends. Là, c'est mieux. Oui, c'est mieux. La Là, c'est mieux. Oui, c'est mieux, oui. La deuxième image, c'est quelqu'un qui accepte se faire aider. Oui, qui se laisse accompagner, qui accepte l'aide.
Speaker 1:Voilà, Dans la deuxième image, on voit quelqu'un qui accepte de l'aide. Ça me dit, par rapport à ce qu'Eric était en train de nous dire il y a des gens qui veulent faire l'entrepreneuriat, mais qui ne veulent pas chercher de l'aide. Et on sait très bien que, dans la vraie vie, on ne peut pas réussir sans les autres. On a toujours besoin de quelqu'un d'autre pour réussir. Donc, les deux images qui se ressemblent m'entourent. Vouloir qu'on nous accompagne pour pouvoir réussir notre projet ensemble. Vouloir qu'on nous accompagne pour pouvoir réussir notre projet ensemble. La troisième image, je me demandais, et encore à Jogel, après qu'elle ait vu de nous partager un peu par rapport à ça.
Speaker 2:Troisième image. Je pense que ça montre le progrès, c'est-à-dire du début. il devait attraper quelque chose pour pouvoir avancer mais là il arrive à s'y tenir sur le marché.
Speaker 1:Donc il y a Donc, quand quelqu'un nous soutient, quand quelqu'un nous accompagne, quand quelqu'un est là à côté de nous comme un tuteur, comme un mentor, le but, c'est qu'à un moment donné de notre engagement dans le monde entrepreneurial ou pour faire un business, à un moment donné, le mentor ne va pas être là. Il va d'abord nous lâcher, voir comment on progresse. C'est une façon de dire qu'on passe de l'étape d'un bébé à une étape qu'on appelle une étape d'un enfant. Voilà, donc là, il nous laisse et il est autour. Mais soit vu, il y a un patineau autour. Il n'était pas loin. Donc, il laisse Jérémy avancer seul. Alors là, la quatrième image, c'est Eric là. Oui, vous nous partagez.
Speaker 3:La quatrième image, c'est des échecs qu'on rencontrera dans la vie. C'est des échecs. On ne se rend pas d'être une équipe, d'avoir pris pour acquis un métier. On peut tomber Et on est tombé. Seulement, on n'est pas fort parce qu'on On est fort, on est fort parce qu'on a fait face à des difficultés.
Speaker 1:Good Et ça, c'est vraiment des très bonnes réponses que vous donnez. Vous voyez, jérémy est tombé. Il est tombé, mais il y a un élément qui est très important, parce que moi j'étais à côté c'est que lui, il était sûr que, maintenant qu'il marche, il peut commencer à patiner, mais là, il a perdu l'équilibre. Donc, comme quelqu'un qui veut une personnalité, qui veut faire un entrepren l'entrepreneuriat, et il doit s'attendre qu'il y ait des moments, qu'on appelle des moments de difficultés, des moments d'échecs, dont on n'est pas pensé que si déjà j'ai fait quelque chose, que tout va aller très bien. Je dis souvent que l'entrepreneuriat, c'est comme le rollercoaster, n'est-ce pas la montagne russe. Il y a des périodes où on est en haut, mais toujours être sûr que tout ne sera pas parfait.
Speaker 1:À un moment donné, on va avoir des temps vraiment parfois difficiles, mais il ne faut jamais, n'est-ce pas, abandonner. Parce qu'une autre chose que je n'ai pas montré, c'est que Jérémy, finalement, il se relève. Je suis allé à côté de lui, je l'ai regardé, je lui ai dit ça va bien. Il m'a dit oui, il s'est relevé et puis, après ça, il a commencé à fonctionner de nouveau. Donc, c'est une des choses qu'on va très souvent voir dans notre monde entrepreneurial Des moments difficiles vont arriver, mais il faut jamais rester, n'est-ce pas, sur une planchette en se disant bon voilà, ça va pas fonctionner de nouveau. Maintenant, la dernière image que je voudrais que Jogel commande, c'est la image. S'il te plaît. Donc, la dernière image, jojel.
Speaker 2:Je pense que là, il a l'air de l'armonie. Il a fait beaucoup de progrès, Et puis il peut maintenant commencer à faire une chose Il n'arrive pas à faire de l'imagination. Donc, ça montre encore le progrès. C'est vrai, il a encore deux ans, mais au moins il a déjà passé une certaine phase, voilà, good.
Speaker 1:Donc, tout ce qu'on a vient de voir, en fait, c'est vraiment la vie d'un entrepreneur ou d'une entreprise C'est qu'au départ, on crée quelque chose, on se lance dans quelque chose, une aventure. On ne sait pas là où on va, mais il faut qu'on cherche à avoir des gens qui connaissent bien le domaine. Je sais que, si je prends un exemple très rapide, beaucoup de personnes qui arrivent des immigrantes, elles rêvent vraiment de s'acheter une maison Très rapidement, parce que c'est un bel investissement qui est sûr, selon l'espoir des investisseurs, ce sont les banques, et puis des brokers, des personnes qui investissent dans le domaine immobilier où on vous dit que c'est très rationnel, mais beaucoup n'ont pas de vision, ils n'ont pas de mentorat, ils se disent bon, comme l'autre a acheté. Je pense que c'est un marché qui est bien, qui fonctionne très bien, c'est facile de se faire l'argent, mais ils ne calculent pas beaucoup, n'est-ce pas les coûts? qu'est-ce qu'il faut, comment arriver, n'est-ce pas, à réussir son projet? Ils essaient d'aller seuls Et au final même pour acheter une maison, ce n'est pas un seul problème.
Speaker 1:Ce n'est pas parce qu'ils ont l'argent, mais est-ce qu'on l'achète au bon endroit, à la bonne place, ou on va l'acheter au fond, d'une première maison à une deuxième et qui va nous expliquer que le marché peut être beau, mais ça n'a pas dit que tout va rouler comme du beurre Et finalement, on tombe. Et puis on dit mais voilà, personne ne m'a dit, personne ne m'a jamais aidé, je suis juste seul. On a besoin de se faire entourer.
Speaker 1:Quand on s'est mis là, pourquoi j'ai mis cette musique-là? je vais d'abord l'arrêter. Parce que j'aime cette musique, parce que, pour moi, nous devons rêver grand Et rêver grand. Souvent, beaucoup de gens qui entendent parler à NSY me disent Oh, mais c'est déjà trop tard. Pourquoi tu veux que je pense faire l'entrepreneuriat? Parce que, dans notre société, dans le monde commun dans lequel on vit, professionnel, tout le monde veut travailler pour avoir un chèque qui rentre. Ça rassure, pas de casse-tête. Bon, j'ai quand même un salaire qui rentre, ça fait du bien Et ça fait que ça peut payer mes dettes, ça peut payer ce dont j'ai besoin, ça peut payer beaucoup de choses autour pour pouvoir, n'est-ce pas ne pas être endetté, que je ne dois pas me faire, n'est-ce pas arrêter par les banques? ou bien je veux dire faire tomber dans le fait qu'on tombe en faillite, et puis on perd tout, et puis il nous faut sept ans pour remonter, n'est-ce pas la ponte? Les gens s'assimilent à ça.
Speaker 1:Ils se disent je vais me chercher un travail Parce qu'ils ont peur. Ils ont peur du lendemain, et si ça ne marche pas, et si ça ne fonctionne pas, je suis vieux, je ne suis pas jeune, je ne suis même pas sûr que la banque va me prêter de l'argent. Ils se posent beaucoup de questions. Ils ont l'intention de faire, mais ils ont peur. Moi, c'est que cet esprit-là disait Faites que le rêve dévore votre vie afin que la vie ne dévore pas votre rêve». Ça, c'est quelque chose de formidable. Généralement, ce qui arrive, c'est que la vie dévore notre rêve.
Speaker 1:Nous avons, tout le monde rêve de faire quelque chose no-transcript Walton. Il vient des États-Unis, de l'État d'Arkansas, et puis il a commencé à 44 ans. Vous savez, à 44 ans. Il a travaillé pour certains magasins, mais il a compris qu'il pouvait créer, n'est-ce pas? son propre business. À 44 ans, il lance un magasin qu'on appelle Walmart aujourd'hui, qui est populaire, qui est énorme. Tout le monde ici, je peux dire que tout le monde aime aller à Walmart.
Speaker 1:Je suis le premier, parce que c'est pas une question de je ne suis pas capable de réussir, mais c'est une question de se lancer dans un rêve qui est grand, en disant si les autres ont réussi, ça veut dire que moi aussi, je peux le faire. Autre qu'un chiffre. Ce n'est pas une question de parce que je suis âgé ou je n'ai pas assez d'énergie, mais c'est une question de volonté d'être intentionnelle et dire ah, mais si les autres ont réussi, je suis capable de faire mes bons réussis. On a vu les imams tantôt s'entourer, s'entourer de bonnes personnes, des gens qui sont dans le domaine, qui connaissent, qui ont vécu le business, qui savent les droits et les problèmes qui vont arriver dès le départ. Ils vont nous encader pour nous aider à s'en sortir plus facilement. Mais on ne peut pas le faire seul, en disant je suis seul, j'ai la connaissance, j'ai les moyens, et là on ne peut pas réussir, d'accord. Et puis on revient maintenant mon histoire. C'est très intéressant.
Speaker 1:Alors, 2019, je n'oublierai jamais ça, mon épouse et moi, à marie claire, on décide de se lancer en entreprenariat et une autre première mère entreprise. Et puis on a pris des prêts, et à la banque, parce qu'on n'avaitavait pas tous les moyens qu'il fallait pour pouvoir, n'est-ce pas, lancer notre première entreprise, un camion, un start-up que vous connaissez. Et là, on a décidé, après des études sur le marché, de comprendre que notre cible était ceux-là qui ont les bateaux et qui ont de la misère à sortir le bateau de l'eau et à le mettre de carburant pour revenir de nouveau dans l'eau. Mais alors, on fait des études du marché. On réalise qu'il a acheté quelque part Ces gens-là. Il fallait 3 millions de dollars pour avoir une station d'essence. C'est beaucoup. Il y a 3 millions de dollars pour installer une station d'essence, et maintenant les assurances, ça coûte environ 1 million de dollars.
Speaker 1:Alors, nous, on est une alternative. On vient avec un camion avec deux citernes et puis une pompe, comme à la pompe, et voilà, on a lancé le marché. C'était très innovant. Et là, on a commencé à être appelé par des gens comme, par exemple, toyota, 1000 carburants dans leurs voitures, et puis, finalement, notre vraie cible était vraiment d'y acheter, d'y avoir toute la côte, commencer à avoir des carburants.
Speaker 1:Pendant quelques années, on l'a fait, c'était intéressant, mais on réalise, n'est-ce pas, qu'on est entrepreneur. C'est qu'il faut. Il faut qu'on ait des idées, parce que les idées sont tellement importantes. Mais on peut avoir des idées sans pouvoir les mettre en pratique. Il faut avoir des idées. Et quand on a des idées, ça ne suffit pas. Il faut lire les livres. On a lu beaucoup dans le domaine des startups.
Speaker 1:On a commencé à lire, n'est-ce pas le livre de Jeff Bezos? Parce que là, on a réalisé Jeff Bezos, vu comment il a réussi, n'est-ce pas, à mettre en relation les clients et les livres. Les clients et ce qu'on appelle la commodité, dans le sens que le convenience en anglais, amener le produit juste à côté, là où la personne va avoir son produit, que de courir ou de commander un produit qui est du 2-3 ans. Et puis, on s'en est arrivé à dire que c'est le concept aujourd'hui. On va avoir des études de cas plus tard, comme Uber, comme Airbnb et d'autres entreprises qui ont réussi dans le monde dans le même sens. Puis on dit mais voilà, c'est un concept qui marche.
Speaker 1:Donc, on a commencé à miner le carburant juste là où les gens avaient leur bateau Et ils avaient, n'est-ce pas l'intention de pouvoir acheter le carburant. Ça a commencé à cartonner, à marcher très, très bien. Mais je ne dis pas que c'est quelque chose qui était linéaire dans le sens que tout est beau, tout marche bien. Il fallait mettre le temps, il fallait avoir un calendrier, qu'on appelle ça un calendrier. Pour quand est-ce qu'il faut mettre le carburant? Il faut vraiment, je veux dire organiser, n'est-ce pas la vente du carburant, avec tous ses clients qui sont dans les bateaux, quelque chose qui n'a pas été facile. Mais il y a aussi le timing, même le temps. Parfois, on y allait, il pleuvait, il ne faisait pas beau, donc, au départ, j'étais là pendant toute la journée, longue, et je ne vendais pas toujours. Mais j'ai un peu encore compris bien comment le marché fonctionne. Il y a des moments, comme je dis dans ma petite image, on va gagner, mais en même temps, on va apprendre. Donc, on a appris.
Speaker 1:La première année, on a vendu beaucoup de carburant, on a eu quand même assez d'argent. Mais la deuxième année, la troisième, on a commencé à voir qu'il y a vraiment, c'est un peu, je dirais c'était trop stable, voilà, un peu, on est monté, monté, mais c'est devenu stable. Mais qu'est-ce qu'il faut faire? est-ce qu'il faut baisser les prix? Alors là, à nouveau, marie et moi, on a décidé de monter les prix parce qu'on a réalisé qu'on vendait vraiment moins cher, à comparer, n'est-ce pas, à cette compagnie qui était à pointe du chêne, qui est toujours là et qui vend le carburant, parce que nous, quand on vendait le carburant, la chose qui était très intéressante, c'est que notre carburant ne contenait pas d'eau.
Speaker 1:Mais eux qui ont une compagnie, alors, qui vendent le carburant pour les bateaux. La citerne est enfouie dans le sol. Donc quand le carburant est au repos, ça fait que l'eau descend. Quand, de nouveau, il faut charger n'est-ce pas les bateaux? ou bien il faut mettre le carburant dans les bate. Le moteur des bateaux est tellement sensible, ça tombe beaucoup en balle.
Speaker 1:Les gens se sont rebâchés de notre côté. Ils venaient m'appeler tout le temps pour aller leur livrer du carburant de la côte. Mais au final, ils ont réalisé bon, là, on a commencé à voir que ça fonctionnait. Là, hop, les concurrents sont arrivés. Et les concurrents, c'était quoi?
Speaker 1:C'était des individus qui ont les bateaux, qui se sont dit mais bon, ceux qui ne voulaient même pas acheter chez nous, qui ont dit mais le concept est super intéressant, mais qu'est-ce qu'il faut faire? Mettons-nous ensemble. On a des camions, mettons un camion à la disposition de tout le monde, faisons construire le même concept, mais un peu différent, parce que chez lui, ça coûte trop cher pour Pony. Mais très pragmatique, simple, juste une pomme qui est posée sur la citerne et comme ça, on va lui couper l'herbe aux pieds. Et puis, c'était arrivé comme ça, rapidement. Et puis j'ai commencé à voir les gars qui viennent me questionner comment tu fais ça. Et moi, je ne comprenais rien parce que c'était naïf. Et puis, là, tiens, je me rends compte que finalement, en fait, ce sont des gens qui sont venus me couper leur bas aux pieds.
Speaker 1:Ils se mettent dans les groupes de personnes pour refuser, n'est-ce pas, d'acheter, je veux dire le carburant chez nous, et voilà. Donc, ça a été quelque chose de très compliqué pour nous. On s'est rendu compte que ça ne fonctionnait plus comme on veut. Et puis, qu'est-ce qu'il faut faire? Est-ce que tout le monde est toujours là? Eric et Georgiel, comme je ne vous vois pas. Enfin, est-ce que vous êtes toujours là? Allô?
Speaker 2:Allô, oui, nous sommes là. J'étais soumis Désolé. Je suis là, c'est la série de ma plaie.
Speaker 1:Eric est toujours là. Josette, est-ce que tu le vois? Est-ce que tu vois son?
Speaker 3:image Non.
Speaker 1:OK, attends, je vais l'appeler, donne-moi une seconde, je vais le voir. Là, je vais le voir, il doit être quelque part là. Il est parti. Ah, ouais, il est parti. Ah, oui, il est là. Ok, good.
Speaker 1:Donc je disais que Eric, désolé, je ne t'avais pas vu. Donc, je disais qu'au final, ce qui était arrivé au final, c'est que là, les gens ont commencé à mener leur propre carburant et à me couper leurs beaux pieds. Donc, je me disais tiens, comment je vais arriver à réaliser ce projet-là avec des gens qui me coupent leurs beaux pieds? Donc, ça a été vraiment des moments très difficiles, effectivement, des moments, c'est difficile. Mais ce qui est intéressant, dans tous ces moments qu'on a vécu, je me suis dit bon, est-ce qu'on va finalement arriver à réaliser le projet quand les gens commencent déjà à vouloir faire, n'est-ce pas, leur propre business à eux, sans vouloir ne plus l'acheter chez nous? Ça a commencé à devenir dur, mais il y a eu des gens qui nous ont défendus, quand même, Défendus, en disant mais c'est pas juste. Et puis, plus tard, je réalise dans ce projet que j'étais vraiment novice.
Speaker 1:J'ai un client que j'ai connu à partir de la vente du carburant auprès des marinas. C'est une agrofond qui a fait beaucoup d'argent dans le domaine du transport et de la construction des routes. C'est un des groupes clients que j'ai. Pendant l'été, j'arrive à gagner autour de 5 000 $ avec lui parce que j'ai fait beaucoup de choses avec lui. Il y a beaucoup de choses. Il lave ses voitures, en tout cas, il lave sa maison chaque année.
Speaker 1:Mais bref, il m'a dit essay, on va essayer de réfléchir ensemble, parce qu'il n'a pas m'affiché pendant que je faisais le business de carburant. Il m'a dit que l'heure que tu as commise, quand la marinette a contacté la première marina, il fallait leur dire vous me payez environ 100 dollars par heure. Si vous m'appelez et qu'au final je n'ai pas de client, sachez que vous allez me payer 100 dollars par heure. Si vous m'appelez et qu'au final je n'ai pas de client, sachez que vous allez me payer 100 dollars par heure. Donc, tu partirais de là autour de. Si je t'appelle pour 8 heures, tu t'es payé 800 dollars, parce que le problème, c'est qu'eux, ils n'ont pas de citerne, mais tu es la personne qui est là, valable pour eux, 24 heures sur 24. Je me dis tiens, wow, s'ils me disent ça. Ils me disent ça tard, mais je ne peux plus revenir en arrière Parce que les gens l'ont mangé. Vraiment, ils m'ont eu quoi? Donc, j'étais naïf Et c'est la raison pour laquelle, finalement, on a décidé de ne plus aller à la marge, parce qu'on n'automarche, on ne gagnait pas grand-chose au final.
Speaker 1:Donc, on a perdu beaucoup d'argent parce qu'on n'avait pas de manteau au début, on n'avait pas des gens avec qui on pouvait s'asseoir comme ça et nous dire voilà, le bon deal. Et si j'avais fait ça de cette manière-là, je pense qu'on serait encore là aujourd'hui. Alors, mais ça n'a pas fonctionné. Donc, après ça, on a lancé Film Wash. Film Wash, c'est là où on lave les voitures.
Speaker 1:On-side, ça veut dire qu'on va vers les gens Et puis on lave les voitures chez eux, d'accord, et on lave les maisons. Ça nous permet, n'est-ce pas, de pouvoir, ça nous a permis de créer autre chose que seulement, pas seulement ce qu'on avait, la seule chose qu'on avait. Donc, il faut diversifier en même temps aussi. On ne peut pas juste rester avec une seule chose, et si cette chose-là ne marche pas, qu'est-ce qu'on fait en ce moment-là?
Speaker 1:Donc, ça, ça marche bien. À chaque été, on est vraiment busy. Et puis, à la fin, j'ai créé Pagog Innovation, donc une compagnie de rénovation de maisons, avec un frère qui s'appelle Christian. Il vient d'ici. Donc, c'est comme ça qu'on a continué à travailler, n'est-ce pas pour l'entrepreneuriat? pour dire à la fin que c'est un monde vraiment qui est compliqué, comme on a vu la première image des enfants qui patinent, jérémy qui tombe et qui se relève, qui se met à apprendre à patiner.
Speaker 1:C'est ça, le monde du business. Ce n'est pas un monde qui est vraiment stable. Il y a des moments de haut et de bas, mais il faut continuer à travailler jusqu'à ce qu'on ne jamais arrête de réfléchir les idées, de lire beaucoup, de téléphoner Le timing est très important Et ainsi de suite. On finit par trouver l'idée générale pour continuer. Alors voilà, c'est que six businessmen connus dans le monde qui ont connu l'échec, des gens vraiment qui n'ont pas eu ça facile, et le premier, c'est Harry Ford.
Speaker 1:C'est lui qui a écrit Ford, les voitures que vous entendez qu'on appelle Ford, c'est lui qui a créé ça. Il a créé ça très jeune. Il n'a pas réussi il y a 12 ans, mais il a travaillé pour que quelqu'un d'autre ne le revenaisse pas au sujet de sa première idée. Alors voilà ce qu'il a dit Échouer, c'est avoir la possibilité de recommencer de manière plus intelligente. De recommencer de manière plus intelligente. Donc, si je reviens aux images qu'on a vues.
Speaker 1:On échoue, mais il faut toujours recommencer. On ne peut pas échouer en disant Je reste là, c'est fini, tiens, va marcher. Il ne faut jamais se dire Si je ne pouvais pas marcher, ça ne marcherait pas demain, comme quelqu'un disait, tony Robbins il dit toujours demain. Comme quelqu'un disait Tony Robbins, et Robbins en est toujours la chose qui ne marche pas aujourd'hui pourra marcher demain. Et Shoshiro Honda, et alors le chef de Honda, lui, il a dit beaucoup de rêves, beaucoup de rêves de succès.
Speaker 1:Mais à mon sens, les sujets ne peuvent pas être atteints qu'après une succession d'échecs et d'introspections. Ça veut dire que, oui, il n'y a pas de succès si on n'échoue pas. Mais quand on échoue, on doit quand même se poser des questions Mais pourquoi j'ai échoué? Qu'est-ce qui n'a pas marché? Comment faire pour ne plus échouer prochainement? Comment faire pour réussir mon projet?
Speaker 1:En fait, parce que le succès représente 1% de votre travail, qui comporte, lui, 99% de ce qu'on peut appeler échec. Le succès représente juste 1% Dans tout ce que vous faites. Il y aura tellement d'échecs, mais au final, il ne faut pas abandonner, parce que c'est là où beaucoup de jeunes abandonnent. Alors, aujourd'hui, si je prends un exemple très courant, c'est l'exemple des médias sociaux, et tout le monde rêve de devenir un influenceur, parce que les influenceurs, beaucoup, sont intelligents.
Speaker 1:Même si ça nous intéresse, c'est pas par rapport à ce qu'ils font. Mais c'est très heureux ici, n'est-ce pas, à captiver les gens pour qu'ils achètent des choses qui sont parfois des conneries Pour la jeunesse maintenant, rêve d'être une influenceuse. Alors, chacun veut devenir une influenceuse pour ressembler à telle personne. Mais une chose qu'ils oublient même ceux-là qui sont des influenceuses ont aussi échoué pendant longtemps. Ça n'a pas été quelque chose de facile pour qu'ils arrivent là. Donc, 1% de retravail comporte du succès, alors que le reste, on appelle ça l'échec 99%. Alors qu'est-ce qu'a acquis Morita? C'est lui qui a appris.
Speaker 1:La compagnie Sony a dit n'ayez pas peur de faire une erreur, mais faites en sorte de ne pas faire la même erreur deux fois. Et ça, c'est très, très important. On est tous pareils, on a toujours fait les mêmes erreurs, au vrai. Alors un Italien me disait si tu fais la même chose tout le temps et que ça ne marche pas, même erreur, même erreur, c'est que tu es stupide. Ce qu'il dit est très intéressant mais ne fais pas, ne fais pas en sorte de ne pas faire la même chose, la même heure, deux fois. Mais qu'est-ce que Bill Gates nous apprend? Le succès est un mauvais professeur. Il pousse les gens intelligents à croire qu'ils sont infallibles. Et c'est vrai.
Speaker 1:Quand on a gagné beaucoup d'argent, quand on a une idée géniale qui nous permet, n'est-ce pas, d'avoir une stabilité financière, on se dit on peut dormir sur ses lauriers Et dire oh, mais cool, c'est fini. Je me ferai toujours de l'argent. Mais on oublie une chose Non, on va continuer à se faire de l'argent si on continue à travailler toujours et toujours, sans s'arrêter. Mais si on arrête un instant, on ne peut plus être tempérant, parce que quelqu'un va venir avec une idée géniale, pareil que toi, pareil que vous. Il va trouver les failles de ton projet, il va juste faire la chose qu'il fallait. Il va faire encore plus d'argent que toi.
Speaker 1:Et finalement, ton idée quoi? Elle n'est plus là. Cette idée-là, elle est morte définitivement. Et qu'est-ce que Walt Disney disait Alors? on parle de Disneyland.
Speaker 1:Tous les enfants arrivent à aller, n'est-ce pas en Floride pour aller à Disneyland? Excusez-moi, je prendrai ma bouteille d'eau Pour aller voir. N'est-ce pas toutes ces histoires qui sont racontées? ces gens qui jouent, n'est-ce pas la scène de Disneyland? Et cet homme? il a vu des milliards de dollars depuis des années et des années Et tout le monde révalait avec les enfants, mais lui, il a échoué.
Speaker 1:On ne peut pas compter le nombre de fois qu'il a échoué. Et à la fin, il a dit croyez en vos rêves, peu importe l'impossibilité. Les gens n'ont pas cru en lui quand il a eu ce projet. Ils sont que de lui. Ce n'est pas possible. Mais il a cru et les impossibilités étaient devant lui Et, au final, les gens ont investi dans son projet, qui est devenu un projet gigantesque dans le monde, qui apporte énormément d'argent. Ils sont même à la business par Walt Disney.
Speaker 1:Donc, il ne faut jamais abandonner, même s'il y a des impossibilités. Et, thomas Edison, je n'ai pas échoué, j'ai simplement trouvé 10 000 solutions qui ne fonctionnent pas. C'est lui qui a créé cette ampoule-là qui nous donne la lumière. Il a essayé 6 000 fois, 6 000 fois, tous les jours, tous les jours et tous les jours, et tous les jours, et il a réussi finalement, n'est-ce pas? à créer quelque chose de formidable. Il a un brevet. Tout ce qui veut créer des ampoules doit payer, n'est-ce pas? la famille Edison? parce qu'il a pris du temps.
Speaker 1:Donc, c'est pour nous dire au final que, par rapport à l'image qu'on a vue tout à l'heure pour les enfants qui est en train de son petit frère. On va tomber, on va échouer, mais le succès est un mauvais professeur. Et ne vous attendez pas que si vous avez eu du succès, je vous dis que tout est beau, c'est fini. C'est pourquoi Bill Gates, warren Buffett, elon Musk, tim le PDG d'Apple, jeff Bezos, mark Zuckerberg, tous ces hommes-là qui sont des gars femmes aux États-Unis, n'arrêtent jamais de travailler Parce qu'ils ont compris le secret.
Speaker 1:D'accord Que si ils ne le font pas, si ils ne le font pas, voilà, ça ne peut pas fonctionner. Et un Japonais disait que le succès s'est tombé sept fois. Et la huitième fois, n'est-ce pas? On va finir par réussir, parce que l'échec fait partie de la réussite. Alors, le succès repose sur une combinaison de facteurs clés. Excusez-moi, je dois boire un peu d'eau.
Speaker 1:Le succès repose sur une combinaison de facteurs clés. Alors, qu'est-ce que ça veut dire? Parce qu'il est essentiel de comprendre le secret derrière cette croissance. Si vous voulez, n'est-ce pas, que votre entreprise passe de l'étape 0 à l'étape 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, vous devez comprendre qu'est-ce qui se passe derrière cette croissance-là. C'est très important, d'accord? Et toutes ces clés-là? j'ai noté quelques clés.
Speaker 1:La première clé, c'est la stratégie bien définie, si vous voulez, n'est il faut avoir une stratégie qui est très bien définie. Ça veut dire que vous devez avoir un plan, un plan pour l'investissement avec des timelines, le plan. Quand le plan est bien défini, on va le voir plus tard dans un module, vous allez voir que c'est plus facile de réussir une espace en projet. Mais si on n'a pas de plan, alors beaucoup de gens que je rencontre, comme moi et comme les autres, j'ai lancé l'entreprise avec Marie, on a lancé deux entreprises en même temps, plus qu'en même temps, et là, je suis dans une autre histoire d'entreprise avec un ami. Mais ce que je réalise avec le temps parce que c'est pourquoi j'ai vraiment aussi voulu faire ce cours pour le préparer Ce que j'ai réalisé avec le temps, c'est qu'il me manque quelque chose sur ma route.
Speaker 1:Je suis capable de prendre une idée, je suis capable de commencer quelque chose, mais il me manque des éléments sur ma route. J'ai dit, j'ai commencé à chercher comment je peux développer mes entreprises. De l'étape que je me trouve actuellement à une étape qui est différente, j'ai réalisé qu'il y a beaucoup de choses à faire. En fait, c'est beau de dire j'ai une entreprise, j'ai un nom, mais c'est quoi? ma stratégie qui est bien définie. Alors, si ma stratégie est bien définie, je peux passer à une autre étape. Alors, tous ces grands hommes que je viens de citer, tout en des stratégies bien définies, mais si vous parlez avec un entrepreneur, ils n'ont pas de stratégie.
Speaker 1:La deuxième chose l'exécution rigoureuse de mon projet. Est-ce que comment je vais l'exécuter, où je vais, avec qui? Comment je peux réussir? Parce que sur ma route, il y a des requins, il y a d'autres entreprises qui existent avec moi, avant moi. Comment ils ont pu le faire? pour réussir, j'ai besoin des autres.
Speaker 1:La troisième chose, c'est l'innovation. Là, il faut innover. Nous, on a vraiment aujourd'hui d'innovation. Alors, les gens parlent d'une idée géniale qui n'a pas existé avant. Ça devient une idée qui devient révolutionnaire. Alors, l'histoire d'Uber, je veux dire, on va parler des études, des cas plus tard du sein d'Uber.
Speaker 1:Uber, qu'est-ce qu'il a fait? Il a rapproché le client, et quoi? Et le transport? Il n'y avait pas ça avant. Aujourd'hui, uber fait l'élevé de fonds de plus de milliards de dollars parce que les gens ont cru à ce projet et ils allaient dans le domaine de la nourriture. Donc, transformer ces idées en actions et les actions en succès, c'est ça qu'il-ce qu'ils font pour faire grandir leur chiffre d'aff.
Speaker 1:technologie dont la ressource n'a pas de limite, qu'on appelle la technologie des déformations. Ces ressources-là n'ont pas de limite. C'est quoi, une technologie des déformations? Aujourd'hui, tout est bâti sur le numérique. Alors, si je lance une entreprise, je reviens à mes propos de la base.
Speaker 1:Quand j'ai lancé l'entreprise avec Marie-Claire, et même celle qu'on vient de lancer avec Christian, on vient de faire quand même assez d'argent pour la première année. On vient juste de fêter une première année, c'est-à-dire le 10 février qu'on a lancé l'entreprise. Mais ce n'est pas assez. Toutes les entreprises qui ont eu une croissance exponentielle ont bâti toute leur force sur la technologie de l'information.
Speaker 1:La technologie de l'information, ça veut dire qu'aujourd'hui, on a l'info partout. On peut savoir comment les gens dorment, combien de pas ils ont fait quand ils ont fait leur sport, qu'est-ce qu'ils achètent tous les jours, qu'est-ce qui les intéresse, n'est-ce pas où ils vont faire leurs courses, à quelle place ils vont faire la nage, à quelle place ils vont faire la nage. Donc, on est capable de les traquer, n'est-ce pas? Parce qu'il y a des outils aujourd'hui qui sont capables de traquer tous ces gens-là, pour savoir leur façon de vivre, leur rythme de vie. Et c'est sur cette base-là qu'on va, n'est-ce pas, leur faire vendre nos produits et c'est tellement facile. Avant, pour faire un million de dollars, il fallait attendre peut-être 40-50 ans.
Speaker 1:Aujourd'hui, c'est facile. Vous pouvez créer une entreprise tout de suite. Deux ans plus tard, vous devenez millionnaire. Pourquoi? Parce que vous avez compris comment la technologie de l'information marche. Mais quand on fait une comparaison avec des entreprises traditionnelles, le chiffre d'affaires, n'est-ce pas, le font.
Speaker 1:Ils construisent leur business sur des principes de production et vente. On s'avait dit que leur production est tellement limitée par rapport, n'est-ce pas, à ce qu'ils ont commandé. Par exemple, s'ils veulent faire 200 voitures en un mois peut-être, l'unité va coûter 20 000 $. Ça fait presque 600. Bon, disons 300 $, ils vont faire 200 voitures. Donc, ça revient parce qu'il y a 500 000 voitures qui vont faire.
Speaker 1:N'est-ce pas dépendant, n'est-ce pas de la période ou bien de l'année? ils ne passent pas la limite Parce que, comme d'hab, ils ont toujours fonctionné, mais par contre, ils sont capables aujourd'hui parce qu'ils ont déjà un coussin. Ça veut dire qu'ils ont assez d'argent qu'ils peuvent, n'est-ce pas, passer à l'étape des entreprises à croissance exponentielle et utiliser les technologies de l'information? Et ça dépend de la taille de leur revenu. Ils se limitent là 5.
Speaker 1:Cette différence aussi, c'est quoi? C'est que les entreprises exponentielles réduisent le nombre d'employés. Ils ne veulent pas avoir, forcément, n'est-ce pas, une entreprise pignon sur rue, parce que ça coûte trop cher d'avoir un bâtiment, de pouvoir l'entretenir. Et puis aussi, qu'est-ce qu'ils font, les entreprises, n'est-ce pas à caractère de la croissance exponentielle? Ils vont louer, par exemple, le matériel. Je vais te raconter ça à terre à terre.
Speaker 1:Ils vont louer le matériel à la place de pouvoir les acheter, les garder, parce qu'il faut les entretenir, comme par exemple, une entreprise qui gagne des millions de dollars, mais là, on va acheter des engins où, non, on ne les achète pas, mais on va les louer. Quand on finit de travailler, on les fait retourner, n'est-ce pas, à la maison mère qui nous les engins? Et là, ils économisent énormément d'argent. Alors, dans le modèle traditionnaliste, qu'est-ce qu'ils font? Ils ont un building qui coûte énormément cher, avec les taxes foncières, ils ont une panoplie de gens qui travaillent pour eux, jusqu'aux petits détails. Il faut qu'ils entretiennent le matériel, la maison. Donc, c'est énorme comme argent à dépenser. Mais voilà, ils ne sont pas assez. Donc, c'est le modèle qui fonctionne aujourd'hui.
Speaker 1:Alors, si vous voulez créer une entreprise à croissance exponentielle, vous devez travailler tellement fort, comprendre l'économie de l'information, comment ça fonctionne, pour aller à un outil puissant et qui a des ressources illimitées, aller chercher les informations auprès de tous ces gens-là, qui sont souvent vos clients pas encore vos clients dont j'ai oublié de mettre quelque chose très important, de mettre un entonnoir dans le monde du marketing qu'on nous enseigne. Je vous dirai plus tard Comment prendre un client, l'amener dans votre entonnoir, ne pas le laisser repousser pour qu'il finisse, n'est-ce pas, par payer autre produit et le garder et le fidéliser comme un client futur. C'est ça le gros travail. Mais ça passe aujourd'hui par la technologie de l'information, donc un outil simple. Oui, ça demande quand même assez d'argent, pas beaucoup, mais un peu d'argent, pour pouvoir payer des logiciels et vous aider à traquer tout ces gens partout dans le monde.
Speaker 1:Alors je vais vous prendre un exemple. Quand vous remplissez quelque chose sur Internet, peut-être que vous voulez acheter je ne sais pas quelque chose, à Témin, une entreprise qui est concurrence Amazon ou bien Alibaba, ils vous demandent quoi? Votre numéro de téléphone, votre e-mail, parce que qu'est-ce qu'ils font? Plus tard, ils vont vous traquer Et là, on fait des propositions faciles en disant ah, nous vendons ça à tel prix parce que vous êtes le premier client, et c'est facile. C'est vraiment des appâts Et on y va très vite.
Speaker 1:On achète parce qu'on est dans le besoin, parce qu'ils comprennent notre façon, n'est-ce pas, de fonctionner? Et c'est comme ça qu'on peut arriver, n'est-ce pas facilement, à avoir un bon en termes, n'est-ce pas, d'entreprise, en termes d'argent. Et c'est sur ça que je travaille beaucoup, n'est-ce pas dernièrement, parce que je suis passé de l'étape de l'information et être capable, n'est-ce pas, de vendre mes produits avant que d'être agressif, et n'est-ce pas de trouver ma niche, si je veux vraiment devenir et rester entrepreneur au 21e siècle. Donc, alors, huit traits communs aux personnes qui réussissent en entreprise. La première chose que j'ai lu dans un livre de M Richard St John, c'est lui qui parle de ces huit traits en commun. La première chose, c'est la passion.
Speaker 1:Donc, beaucoup d'entrepreneurs que vous allez rencontrer, ce sont des gens passionnés. Ils sont passionnés par rapport à ce qu'ils veulent réaliser. Ils en parlent 24 heures sur 24. Je fais une parenthèse avec mon fils, liam, que vous avez vu, n'est-ce pas tout à l'heure, sur la vidéo. Liam, peut-être que les gens ne le savent pas, mais il aime le hockey. Il est passionné du hockey Jusqu'à ce stage qu'il vit, jusqu'à ce moment-ci.
Speaker 1:Il peut jouer un match intense, tellement intense qu'il a joué un. Il avait un classique dans les matchs qui n'étaient pas dans le même portrait que les matchs qu'il jouent pendant la période du championnat, mais c'était trois jours de matchs intenses, des équipes qui étaient organisées et préparées par des entraîneurs d'une façon personnelle. On est arrivé en demi-finale. Mais c'est un gros joueur. Je ne le dis pas parce que c'est mon fils, mais il est arrivé à la maison, il est brûlé.
Speaker 1:Il me dit j'ai mal au corps, papa, mais avant de dormir, il doit toucher à son bâton, il doit toucher à sa rondelle Et il doit la manipuler. Il est parfois venu chez nous. Le bâton est dans la cuisine, les bâtons, les patrons sont au salon, là, ils jouent avec une balle ronde. Et j'ai fait un endroit au sous-sol pour lui. Là, il tape les rondelles. J'ai sacrifié un côté du mur que je dois réparer plus tard, d'accord. Il est tellement passionné que même quand il est fatigué, il doit toucher à sa rondelle avant de dormir.
Speaker 1:Tout ça, pourquoi? Parce que tous les hommes que j'ai rencontrés, qui aiment faire ce qu'ils veulent faire, ils travaillent beaucoup. Les passionnés, ils aiment ce qu'ils font, mais ils travaillent fort. Ils n'arrêtent pas de travailler. Ils sont quelque part, n'est-ce pas des alcooliques de travail? Voilà, ce qu'on appelle alcoolique en anglais.
Speaker 1:C'est des gens, vraiment qui n'arrêtent pas de travailler. Mais ça ne suffit pas d'avoir la passion de travailler, mais ils la concentration. Alors, notre problème aujourd'hui, pourquoi beaucoup d'entrepreneurs abandonnent? Les gens abandonnent parce que si vous calculez le nombre d'heures que nous passons, nous tous, sur les médias sociaux, c'est énorme, c'est énorme. Et à chaque fois qu'il y a une notification, hop, on se détourne, on ne regarde pas et on commence à regarder autre chose. Je suis le premier, mais j'ai acheté ça. Ça s'appelle Pomodoro, n'est-ce pas ça? c'est une machine qui est vendue par les italiens pour la cuisine.
Speaker 1:Dans mes lectures, ils ont dit vous l'achetez, vous le mettez, ça dépend de 45 minutes, et à chaque fois, 50 minutes, ou 1 heure, ou 15 minutes, mais à chaque fois que ça sonne, vous devez prendre 5 minutes pour marcher ou bien faire autre chose. C'est ce que je fais de temps en temps. Je vais sauter, je fais des pompes, j'ai des poids à soulever. Ce n'est pas dans mon bureau, ici, mais il y a des moments où ça marche. Mais le monde ne peut pas être construit si on n'a pas des gens qui ont le focus. Le focus, ça veut dire que je dois savoir où je vais aller, combien de temps il me faut pour arriver là, est-ce que c'est juste à la balade, Est-ce que c'est juste d'avoir une idée? Ça me demande beaucoup de concentration.
Speaker 1:Aujourd'hui, dans ma vie, avec mon âge maintenant, je parle avec des gens. Alors, aujourd'hui, dans ma vie, avec mon âge, maintenant, je parle avec des gens. Alors, l'autre jour, on me parlait d'une amie. Le gars m'a dit mais je ne la vois pas, je dis c'est une distraction pour moi. Elle aime beaucoup parler, mais elle me perd beaucoup de temps. Donc, nous devons travailler.
Speaker 1:Ce n'est pas facile, n'est-ce pas, de se concentrer, mais il y a des façons, aujourd'hui de l'information dans le monde, qu'on peut étudier, comment se concentrer pour réussir beaucoup de choses. On est bombardé par toutes sortes de choses. On ne peut pas faire l'entrepreneuriat et réussir dans la technologie de l'information si on n'est pas capable de se concentrer. Mais il ne faut pas seulement se concentrer, il faut que ça aussi peut aller. Parfois, il faut donner plus. Moi, j c'est fou, c'est fou de faire ça, mais c'est pas fou Parce qu'un jour, depuis les années que je travaille là-dessus, ça va finir par marcher.
Speaker 1:Tu pousses parfois, c'est dur Quand on a les enfants, on dort pas assez. Et la quatrième, la cinquième chose, les idées. Alors là, j'aime vraiment ça. Toute idée est géniale quand on veut vraiment faire l'entrepreneuriat. Mais comment maintenant transformer son idée à devenir la meilleure idée au monde? Comme Uber, airbnb, ils ont mis en relation les clients et la maison Airbnb. Alors, aujourd'hui, je n'ai pas besoin d'aller forcément dans l'hôtel, je paie moins cher pour aller habiter dans un Airbnb qui est bien aménagé.
Speaker 1:Uber, la voiture, qui dit alors, là, le taxi, c'est compliqué, c'est trop de réglementations, trop de lois. Alors, moi, je vais rendre l'adresse à son client, et puis voilà, le taxiste qui conduit Et la voiture vient chez toi. C'est un personnel, il vient te chercher. Il y a une idée qui n'a jamais existé. Il faut qu'il passe son temps à réfléchir.
Speaker 1:Moi, les idées, c'est l'éducation. Moi, je lis énormément de bouquins, des gens qui le savent, ils le savent, mais d'autres ne le savent pas. Je lis tous les bouquins. Une idée, je commence à lire.
Speaker 1:Aller, ça veut dire que je m'améliore Parce que je ne connais pas grand-chose. Et puis, tous les hommes que vous avez rencontrés, les hommes qu'on appelle les hommes d'affaires, je vais te faire une confiance. Ils servent la société. Parfois, ils vont servir, servir. Quand tu sers la société, c'est ce que la société t'a donné. Fais des dons, trouvez une cause qui peut marcher, alors ça donne aussi.
Speaker 1:En même temps, ça fait en sorte que la publicité d'entreprise va continuer à être à jour et il faut persister. On vit dans une société dans laquelle, aujourd'hui, la jeunesse ne persiste pas. Comment c'est un plus abandonner? C'est comme ça. J'ai une idée géniale, mais j'ai tellement d'idées et au final, je perds cette idée-là.
Speaker 1:Le succès n'est pas une vraie, une voie à un sens unique. Ne vous enfermez pas dans une zone de confort nécessaire de faire tout ce qui vous a permis de réussir, parce que, pour maintenir le succès, vous devez continuer à faire les choses qui vous ont permis de réussir. Premièrement, travailler et vous dépasser et vous améliorer davantage, et puis investir dans la formation. Moi, c'est une de mes choses. Je dis ça à mes enfants si vous me montrez le chiffre d'affaires de ma formation, les choses que je paye, c'est énorme. Alors là, j'ai payé ces logiciels. J'ai dépensé énormément pour des gens qui devaient payer en ligne pour pouvoir, n'est-ce pas, me faire tout ça? C'est moi qui ai monté tout ça là, mais aujourd'hui, parce que j'ai de l'expérience, donc, je paye des outils qui sont utiles pour moi.
Speaker 1:Investissez dans la formation. C'est indispensable pour toutes les entreprises. Même si vous avez acheté une maison, vous devez lire pour savoir comment, n'est-ce pas, avoir une idée géniale, parce que quand vous investissez, c'est pérenne, d'accord, et vous allez voir que ça vous permet d'avoir une perte de la performance, de fidéliser le talent et puis de renforcer l'image de votre marque. C'est important parce que les bénéfices vont être là de la formation Et ça va se faire sentir sur plusieurs années, n'est-ce pas? C'est ce que j'ai vu. Maintenant, tu me rends compte que, waouh, depuis les années que je me forme, j'ai tellement d'expérience, je peux donner tellement de formations dans ma vie, parce que j'ai appris beaucoup de choses. C'est un g D'accord, et un facteur de motivation à la formation montre aux employés qu'un entrepreneur a leur potentiel. Donc, même si tu as un petit business, investis dans la formation. C'est très utile.
Speaker 1:Alors là, maintenant, quelques questions-réponses avant qu'on finisse. Alors, quels sont les principaux défis auxquels vous êtes confrontés en ce moment? Si vous avez commencé une entreprise, vous voulez commencer une entreprise. Quelle est votre culture d'entreprise et quel est votre budget pour la formation? Et quelle est votre vision à long terme? Quelles sont les valeurs de votre entreprise? Quels sont les résultats que vous attendez de cette formation à la fin de cette formation?
Speaker 1:Alors sont des questions qui vont révéler dans les autres modules et j'aimerais vraiment que les gens répondent plus tard s'ils vont ce jour-là plus tard pour la formation. Malheureusement, ça va coûter plus cher parce que les gens pensent que comme c'était à 50$ pour ceux qui l'ont acheté tout de suite, ça va continuer à 50$. Quelqu'un veut entrer maintenant à la, maintenant la formation, ça va être 75 $. Donc c'est ça. Les questions sont là. Réfléchissez-y. Il nous reste encore 4 minutes, mais quels sont les principaux défis auxquels vous êtes confrontés en ce moment Et quelle est votre culture d'entreprise Et quel est votre budget pour la formation?
Speaker 1:Est-ce que vous avez une vision à long terme? Parce que toutes ces questions doivent être répondues. Les défis sont là. Comme je vous ai dit, moi j'ai les défis.
Speaker 1:Un de mes défis, c'est de comprendre en profondeur la technologie de l'information, comment investir Et comment les utiliser pour passer de cette étape que je suis maintenant pour mes entreprises à une étape qui va donner plus de sous. C'est possible Pour moi. C'est un des mes gros défis. D'accord, et chaque entreprise doit avoir une culture. Et c'est quoi le budget que vous mettez pour votre formation? C'est très utile Et si vous voyez beaucoup de gens dans la vie qui ont des entreprises, ils se font un peu.
Speaker 1:Ils veulent juste gagner de l'argent. S'ils peuvent le gagner, tant mieux. Ils ne peuvent pas faire de l'entreprise et créer autre chose. Et chaque entreprise a des valeurs, les valeurs fondamentales. On vous reconnaît sur la base de vos valeurs. Et si je finis l'histoire, je vous raconte l'histoire de Nike.
Speaker 1:En arrivant du Nike, nike a des valeurs incroyables. Vous savez bien un de ses slogans Just do it. Nike ne fait pas de publicité sur les Regardez dans les médias sociaux. Jamais Nike ne fait pas de publicité à la télé. Pas du tout. Nike ne fait pas ça. Qu'est-ce que Nike fait?
Speaker 1:Nike a dit aux athlètes toi, tu es un grand athlète, j'ai investi en toi. Tu es un grand athlète, j'ai investi en toi. Tu es un futur grand athlète, je vais m'investir en toi. J'ai créé ma marque, elle est là pour toi. Juste, fais ce que tu as à faire, donc te sponsorise. Et les athlètes sont devenus finalement la valeur de la marque de Nike.
Speaker 1:Tous ces grands joueurs tennis, football américain, anglais et tous ces gens-là. Voilà Le hockey que Liam fait. C'est Marc derrière ces grands joueurs, parce que quand vous les portez, ceux qui sont derrière vont dire ah, mais wow, crosby, un joueur de hockey, un des meilleurs joueurs d'aujourd'hui, c'est un joueur d'Edmonton que Liam aime beaucoup. Donc, c'est ça, david, le nom, c'est le code-man David. Donc Mike Vauguin va être derrière.
Speaker 1:Ils vont financer, ils vont essayer de gros contrats, ils voyagent au Japon, partout, mais au final, quand tu vois ce qu'ils font, et pour finir, merci pour votre écoute, ça a été un plaisir, n'est-ce pas, d'être là ce soir, de passer le temps pour la première phase. Comment de passer le temps pour la première phase? Comment je peux arriver, n'est-ce pas, à faire passer mon Comment, dirais-je? Qu'est-ce qu'il me faut? voilà, pour pouvoir passer, pour pousser mon entreprise vers des nouveaux sommets Et des nouveaux sommets, c'est ça au début.
Speaker 1:Parler d'abord de notre psychologie, comme personnalité, on a peur, parfois, on va tomber, on ne veut pas s'engager, on se dit est-ce que c'est ma chose, est-ce que je peux? Mais si Nike l'a fait, si Jeff Bezos l'a fait, si Walton Wabad a fait, nous aussi on peut le faire, mais juste qu'il faut qu'on ait une planification qui est vraie et stratégique, et avec des ressources qui sont là, je pense qu'on est capable Et nos ressources, illimitées aujourd'hui, c'est la technologie des formations. Alors, je vous salue et merci encore une fois, À très bientôt. Donc, si vous avez des questions, je pense que vous pouvez.