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MY RANT : PRESIDENT TRUMP, I REFUSE TO BE AN AMERICAN

PAULIN BLAISE NGWETH

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Speaker 1:

Écoutez les amis. Je ne veux pas devenir un Américain et je ne veux pas le devenir, Je refuse d'être un Américain. Alors, je réponds à M Trump qui, depuis qu'il a été élu par les Américains, il n'arrête pas de nous agacer tout le temps en parlant de notre frontière, de vouloir qu'on s'allie aux Américains parce que, pour lui, dans son rêve, il veut qu'on soit le 51ème État. C'est mon coup de gueule, m Trump. Je ne veux pas devenir un Américain Et je résiste, parce que je crois que nous sommes un grand pays démocratique avec une constitution, et vous n'êtes pas là en train de nous imposer ce qu'on doit devenir demain. Ça y va, n'est-ce pas rapport à ça? Vous voyez mon énergie? Je ne veux pas devenir un Américain et je suis désolé de vous le dire. Voilà, je refuse de l'être. D'accord? Je vais vous rappeler une chose, m Trump Il y a un dirigeant soviétique du monde du vieux monde, m Khrushchev, qui disait ceci d américains à vous, ils disaient ceci ils disaient on va vous vaincre sans même avoir besoin de vous envahir, on va vous détruire de l'intérieur.

Speaker 1:

Et peut-être, c'est ce que vous en êtes en train de faire maintenant. Depuis un certain moment, vous cherchez à nous vaincre. D'accord, vous divisez pour mieux régner. Vous avez imposé des tarifs qui sont vraiment durs pour tout le monde et ça crée une crise économique, une récession qui s'en vient.

Speaker 1:

On a vu les marchés aux États-Unis, ils sont finalement voilà, ils sont devenus, voilà, tout a été plombé, tout est vraiment dans le bras cadabra, voilà, depuis un certain moment. Et puis tout le monde est nerveux, nerveux pour les finances, nerveux pour tout ce qui se passe dans le monde. Mais vous avez profité, parce que vous êtes super intelligent, je le crois. Vous avez profité, n'est-ce pas, du fait que le Canada était dans une période très faible politiquement. Et là, j'en veux au Parti libéral, surtout à M Trudeau, qui est parti il y a quelques jours. Vous savez, le Parti libéral a fermé le Parlement pendant huit mois. Il n'y a pas eu de discussion, il n'y a pas eu de débat politique Et on s On s'attendait à ce qu'il y ait des revirements, des changements qui vont arriver, parce que M Trudeau nous a promis une élection.

Speaker 1:

On ne s'est pas su. Il s'est latalié avec le NPD Et puis, deuxièmement, il n'est pas parti, et puis il y a eu des bisbis dans le parti, au point où Mme Freeland, qui vient juste de perdre une élection libérale, elle a dû poing quitte. Finalement, on l'a forcée, on l'a poussée par la porte pour qu'il parte, n'est-ce pas? Il fallait qu'il sorte. Il est parti.

Speaker 1:

Toujours, les libéraux gèrent le Canada. Ils ne gèrent pas le peuple Et ce n'est pas le peuple qui décide. Ce sont les libéraux qui décident jusqu'à date. Et finalement, on a attendu jusqu'au 20 mars, avant le 20 nouveau chef du parti politique et qui deviendra plus tard le premier ministre selon notre régime parlementaire, m McCartney, que je félicite, d'accord, il n'est pas encore sermenté. Alors là, c'est encore les libéraux qui gèrent. Ils ne parlent pas au nom du peuple.

Speaker 1:

Donc, les libéraux nous ont bloqués pendant plus d'un an, je dirais même un an, en train de décider qu'est-ce qu'ils vont devenir. Et Trump en a profité, n'est-ce pas? Il a trouvé ce petit chemin-là pour nous faire mal, parce qu'on est faible. On a besoin d'un leader politique qui nous représente, qui a été élu démocratiquement par le peuple canadien. Et nous sommes là aujourd'hui, n'est-ce pas à cause de toutes ces conneries, incompétences, et Trump en et qu'il veut faire de nous un 51ème État, parce que son but, c'est quoi? C'est de gérer nos ressources minières, notre eau. Il a tous deux partis Hier, ce qui est surprenant. Le nouveau chef du parti qui a été élu, qui n'est pas encore premier ministre, m Macarnay. Il va où Il va rencontrer le maire de Ottawa. C'est quoi le lien quand le pays va mal? C'est quoi le lien pour le remercier? Trump nous menace. Trump n'arrête pas de nous cogner dessus.

Speaker 1:

Je vais vous dire une chose ça m'horripile, parce qu'il ne peut pas appeler notre grand pays paisible un lieu d'accueil, un lieu formidable qui reçoit, qui accueille beaucoup de gens qui viennent partir dans le monde, tout le monde à sa place chez nous, il qu'il y a beaucoup de gens qui viennent partout dans le monde, tout le monde a sa place chez nous. Il nous appelle un État, un petit État, non un grand État, parce qu'il pense qu'il va faire du salesman, comme il en a fait avec Tesla. Et puis là, m Doug Ford, le nouveau premier ministre d'Ontario, qui a été réélu avec un score quand même, je veux dire formidable. Il sort comme à parler au nom des dix provinces. Il augmente les prix davantage. Et puis là, m Trump s'est fâché contre lui, il a tapé dessus, d'accord, sur ses doigts, Il a fait un marche arrière. Alors, qui donne le droit à M Ford de parler au nom de toutes les provinces, de parler au nom de la province du Nouveau-Brunswick.

Speaker 1:

Mais Pourquoi? Parce que M Trump, il voit la faille. Elle est énorme Comment pouvoir reconstruire tout ce qui a été détruit par le Parti libéral depuis plus de 12 mois, depuis plus de 10 ans maintenant? Et Trump en profite Pour remettre la charge, il n'arrête pas. Alors là, je vois qu'aujourd'hui M McCartney, le chef du parti, il a rencontré M Dufourne. Mais c'est ce qu'il devait faire hier Parler avec le maire d'Ottawa. Vous voyez, et Trump en profite, il en profite.

Speaker 1:

Et M Trump, je vous dis c'est mon coup de gueule, je ne veux pas devenir un Américain Et ça ne m'intéresse pas, je suis un Canadien. Et pendant ce moment voilà, pendant ce moment que le holtisme a été Lui, ça fait quelques mois. D'accord, elle nous a promis mon merveille, comment elle va changer des choses, comment elle va aller contre les Américains. Mais écoutez ce qu'elle a dit. Elle a dit c'est là quelques jours. Elle a dit voilà des choses au sujet de Trump, au sujet des Américains, au sujet de notre économie. Mais je vous rappelle quelque chose qu'elle a dit Elle a peur, n'est-ce pas, de brandir la menace d'électricité aux Américains.

Speaker 1:

Elle nous a dit que son gouvernement est là seulement pour protéger les travailleurs, n'est-ce pas de notre province et de notre économie. Et plus tard, elle dit je ne mène, n'est-ce pas? Ils achètent des électricités chez nous. Mais, madame la Holti, est-ce que vous savez que M Trump nous nuit inlassablement? Tous les jours, on parle du Canada. Il veut nous conquérir, il veut prendre nos ressources minières Et vous, pendant ce moment, vous dites que je ne veux pas les nuire, mais dit que je ne veux pas les nuire, mais vous avez un adversaire qui nous nuit.

Speaker 1:

Alors, si vous voulez aller avec cet adversaire-là, il faut un rapport de force, d'accord, pas juste cette mentalité libérale qui traîne des choses et qui nous a laissé dans ce désordre-là. Et on voit aujourd'hui combien et comment Trump en profite pour nous faire davantage. Tellement mal. Mais là, je vous parle, aux politiciens qui, depuis 50 ans, ont dirigé notre province. Vous imaginez, 92% de nos échanges vont aux États-Unis, 63% c'est pour la famille Irving et le reste, c'est ce qu'on produit tous les jours. Mais c'est tellement stupide excusez-moi de dire ça de voir que, depuis plus de 50 ans, on a mis tous nos yeux dans un seul panier.

Speaker 1:

Où est la Chine pour les échanges commerciaux? Où est l'Inde, où est l'Union européenne? Alors, maintenant, on est coincé, on se lamente, on se dit Ah, mais le méchant le mauvais, il est là». Mais si on avait diversifié, n'est-ce pas, nos échanges, on ne serait pas là aujourd'hui. C'est pourquoié. Mais il ne raisonne pas. Tout le monde très bien. Il ne raisonne pas parce que ils nous ont mis dans la merde, excusez-moi l'expression. On est là et on attend aujourd'hui tout le monde qui s'est plaint.

Speaker 1:

Les prix sont montés, les prix vont monter. Au nom de quoi? Au nom de qui? D'un seul homme, qui s'appelle M Trump. Alors, je vais vous dire une chose, les amis, ça ne peut pas perdurer. Let's take New Brunswick again. Réveillons-nous, réveillons-nous. Let's take New Brunswick again. Réveillons-nous, les amis, réveillons-nous et reprenons la main, parce que l'heure est grave. Le résistant ne peut pas rester taiseux face à tout ce qu'on entend de vivre actuellement. Alors, je veux dire de nouveau à M Trump, alors, je vous le dis étant encore plus fort désolé, m Trump, je ne suis pas un Américain, je ne veux pas le devenir et je vais résister pour le devenir, parce que ça ne m'intéresse pas. D'accord, merci, parce que vous êtes devenu finalement un vrai salesman des Tesla de votre ami M Elon Musk. Je vous sal.

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