ENTREPRISE & BUSINESS

TON CERVEAU REPTILIEN TE SABOTE SANS QUE TU T'EN RENDES COMPTE, SI TU VEUX VISER GRAND VOICI CE QUE TU DOIS FAIRE IMMÉDIATEMENT

PAULIN BLAISE NGWETH

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Speaker 1:

tu n'as pas encore atteint tes ambitions. Voilà, ce n'est pas ta faute, en fait, c'est ton cerveau qui te sabote. Alors change ça même. Je sais que c'est une affirmation qui est vraiment radicale, parce que je touche, en fait, je me le dois dans la plaie d'accord pour une vérité qui est aussi importante, parce que nos schémas de pensée et nos croyances sont là tout le temps, peuvent avoir un impact considérable, n'est-ce pas? Quand il s'agit de nos capacités à atteindre nos objectifs, alors c'est un gros problème. Nos croyances et nos schémas de pensée jouent un rôle très important. Il faut qu'on prenne des décisions qui sont importantes pour notre vie. On se questionne, on se demande est-ce que je vais le faire? Est-ce que c'est possible? Est-ce que, dans mon état actuel les choses, j'ai des doutes, j'ai peur, je n'ai pas confiance en moi, je suis dans l'instinct de survie, et puis mes émotions débordent. Mais comment le cerveau, n'est-ce pas, peut saboter vos ambitions? Ça, c'est quelque chose de très important. Mais je vais commencer par parler, n'est-ce pas, des croyances limitantes. C'est quoi une croyance? en fait, une croyance, c'est quelque chose qui est, je dirais, qui est enquisté en vous depuis très longtemps, et elle est figée d'accord. Elle est là pendant longtemps, elle revient très souvent, c'est comme elle part et elle revient de temps en temps parce qu'on aime, n'est-ce pas, les garder, les adorer, les protéger. Je vais prendre un exemple. Voilà une des croyances limitantes.

Speaker 1:

Alors, vous êtes jeune, vous avez des amis, ou vous êtes vieux, ou vous avez, n'est-ce pas, un club, un groupe de gens avec qui vous rencontrez tout le temps, et il s'un vous entendait chanter. Il a dit mais vous chantez faux, vous n'avez pas à chanter parce que vous ne connaissez pas les notes. Et tout d'un coup, vous êtes triste parce que vous avez mis un effort, une intention, été là d'accord pour pouvoir chanter, bien pour la personne que vous représentez. Et là, vous êtes déçu. Vous partez en disant mais ils ont décidé que je chante faux. Vous grandissez comme ça.

Speaker 1:

Pendant un certain moment de votre vie, vous dites oh, je chante faux, je chante faux, voilà, je ne peux pas. Alors, un jour, un autre ami, n'est-ce pas au travail, elle vous demande, n'est-ce pas, de venir chanter à son anniversaire? Et ça tend à ce que n'est vous fassiez un pas, un pas quand même très important, parce qu'elle veut vous voir chanter pour elle ou bien pour lui. Alors, vous dites non, non, non, je ne peux pas chanter parce que je chante faux. Parce que toutes ces choses-là sont acquistées en vous et vous avez développé un doute.

Speaker 1:

Vous avez développé, n'est-ce pas le fait de? vous avez développé, je vais dire le chèque dans un sens, et puis le manque de confiance, et puis le regard des autres, et vous vivez ça tout le temps. Pourquoi? Parce que le problème de notre cerveau, c'est quoi En fait? c'est qu'il vit toujours dans le passé. Alors, tout ce que vous faites, il vit dans un terrain qui est très connu pour lui. Tout ce qu'il fait, le cerveau nous rappelle, n'est-ce pas des souvenirs, des actions qu'on a posées, des comportements n auprès des gens qui nous entourent.

Speaker 1:

Donc, toutes ces choses sont inquiétantes. Mais quand je découvre que nos amis, mes amis, m'ont dit que je n'étais pas un bon chanteur ou une bonne chanteuse, est-ce que je m'assois sur mes louris en me disant c'est fini, c'est fini, je ne peux plus rien faire, j'en ai marre. Non, mais qu'est-ceique d'accord? À l'état de Quand? je parle de statique, à l'état de dynamisme, ça veut dire que je m'ouvre, voilà, j'ouvre mon cœur à moi. Je me questionne C'est ça la raison? en fait? Je me questionne, ce n'est pas juste penser, mais c'est raisonner. Je me dis mais est-ce que je vérifie si c'est vrai, ou si ce n'est pas vrai.

Speaker 1:

Alors, qu'est-ce que je vais faire? la première fois que je peux poser Comme exemple, j'ai dit bon, là, je vais payer un coach, je vais travailler pour le champ, ou bien je vais m'adhérer à une chorale et je vais m'améliorer au fur et à mesure pour sortir de mon gondole, de ma zone de confort, de ma zone de. Je vais le démonter au fur et à mesure que je vais développer ces quelques points, parce que ça, c'est très important, et quand ça vient pour nos décisions aussi personnelles, on est très limité. Je parlais de croyances limitantes. La première chose, comment je peux m'en sortir, comment le cerveau peut autant saboter mes ambitions, Comme je dis, la première chose, excusez-moi de me répéter, ce sont les croyances limitantes.

Speaker 1:

J'ai donné un exemple du chant. Là, vous vous dites mais le monde qui m'entoure, qu'est-ce qu'ils vont dire? Alors que vous avez du potentiel, d'accord, Quand vous restez dans les croyances limitantes, ça vous empêche, d'accord, de réaliser votre potentiel. Et là, vous êtes tellement la personne la plus triste au monde. Et c'est l'exemple que j'ai donné, n'est-ce pas du chant. Alors, quelqu'un vous dit voilà, vous savez pas chanter. Vous arrêtez d'en dire moi, je sais pas chanter, pas du tout.

Speaker 1:

La deuxième chose n'est-ce pas comment le cerveau s'aborde nos ambitions? c'est aussi la peur de l'échouer, parce que la société a mis la barre très haute, d'accord. Mais pourtant, l'échec est quelque chose de normal. Si on n'échoue pas, on ne peut pas réussir d'avantage, d'accord.

Speaker 1:

Mais si nous, nous sommes en même temps, qui est très puissant, qui nous embrigarde, qui nous paralyse, qui nous rend stoïques dans un sens, et elle nous empêche vraiment de sortie de nous, de cette zone de confort, n'est-ce pas, qu'on a développé depuis très, très longtemps, parce qu'on est confortable, d'accord. Et puis, c'est comme on dirait pendant l'hiver, tu es sous les couettes, alors tu me sens bien, je garde ma peur, mon échec, le regard des autres, je m'en fous, je porte ça sur moi, je dors avec tous les jours. Mais je vais te faire une confidence L'échec est inévitable, d'accord. C'est un processus qui va arriver, d'apprentissage et de croissance en même temps. Donc, quand tu échoues, tu apprends des échecs, d'accord.

Speaker 1:

La troisième chose comment, n'est-ce pas, notre cerveau s'aborde nos ambitions? le manque de confiance. Oh, là, là, il y a beaucoup de gens autour de vous. Vous aussi, vous n'avez pas confiance en vous. D'où ça vient, le manque de confiance?

Speaker 1:

Ça, c'est grave, parce qu'on ne peut pas atteindre ces objectifs si on n'a pas confiance en soi-même, si on n'a pas confiance par rapport à ce qu'on veut réaliser. Je dis souvent aux gens je donne des formations sur l'entrepreneuriat il faut avoir une confiance. Quand vous voulez parler devant les gens, quand vous avez un projet, il, quand vous voulez parler devant les gens, quand vous avez un projet, il faut avoir une confiance, il faut développer cette capacité. Ce n'est pas le doute qui vous dit je crois en moi, j'ai la foi que ça va fonctionner, j'ai la foi que ça va marcher. Et ça va marcher, parce que le manque de confiance peut amener à beaucoup de tout, beaucoup de nos capacités, n'est-ce pas? à devenir finalement des incapacités, à abandonner facilement notre projet. Autre chose qui sabote le cerveau, une autre chose que le cerveau fait pour saboter vos ambitions, alors ça, ce sont des biais cognitifs. Ça, c'est très important Parce que, n'oubliez pas, les amis, la science nous a démontré que nous avons trois régions de cerveau.

Speaker 1:

On appelle le cerveau reptilien, le cerveau singe. Qu'on appelle le cerveau reptilien, le cerveau singe, qu'on appelle le cerveau limbique et en même temps aussi, on a un cerveau qu'on appelle le cerveau encéphale. Je vais m'arrêter pour les deux premiers aspects, les deux premiers cerveaux. Le premier cerveau, c'est le cerveau reptilien, c'est le cerveau survie, en mode survie constamment. Il a peur de prendre des décisions, Il a peur de s'aventurer dans des nouvelles choses, il a peur de tout. Il s'est mis dans un mode de confort. Je n'ai pas besoin de ceci, je n'ai pas besoin de cela.

Speaker 1:

Et quand il s'agit du cerveau, je veux dire ce qu'on appelle la région, le Singe ou le cerveau limbique. Là aussi, c'est un peu dans le même sens, comme le reptilien, un peu dans le même sens. Oh, beaucoup de procrastination, beaucoup de procrastination. J'ai peur de ce que les autres vont penser de moi. Je ne veux pas avoir des problèmes avec des gens, je vais les satisfaire malgré quoi. Que ça m'écoute. Je ne veux pas le regard des autres, je veux mon confort. Alors, si je travaille et que je gagne un petit argent, ça me suffit. Je n'ai gagné un petit argent, ça me suffit, je n'ai pas besoin de plus que ça. Donc, beaucoup de gens vivent comme ça, dans ces biais cognitifs.

Speaker 1:

D'accord, parce que notre cerveau, il faut le savoir, comme je dis, il va dans des terrains qui sont bien connus d'avance. Il aime les raccourcis de son manteau, qu'on appelle les biais cognitifs, à prendre des décisions qui sont irrationnelles, comme par exemple, le reptilien, voilà, ou bien je dirais aussi, le singe, le cerveau singe, le cerveau limbique. Et puis, en même temps, on décide, à un moment donné, d'interpréter les informations d'une manière sélective, selon notre vouloir, le temps, la période, l'année, et on est confortable. Et au lieu de chercher, n'est-ce pas, à sortir de cette zone de confort et à sortir, n'est-ce pas, de toutes ces fausses croyances qui sont là, qui nous limitent, qui nous inquiètent, qui nous ont rendu la vie tellement figée et malheureuse, d'accord, et autre chose. Je vais n'est-ce pas aussi citer la cinquième chose? Non pas la cinquième, mais excusez-moi, c'était quatre choses.

Speaker 1:

Simplement, je disais c'est très important, n'est-ce pas de savoir ces choses-là pour sortir de ces limites, ces croyances limitantes que nous avons et qui nous empruntent. N'est Parce que, quand j'ai dit il faut que ça change, je n'ai pas dit enlever votre cerveau de votre boîte crânienne, mais comment changer? La première chose que je pense que j'ai notée sur ma petite feuille il faut prendre conscience des schémas de pensée. Il faut accepter d'abord qu'ils existent, d'accord, et savoir qu'ils sont là. Moi, je pense que vous prenez le temps, n'est-ce pas, d'observer vos pensées, de remarquer des schémas qui sont récurrents, qui reviennent très souvent dans votre vie et qui vous empêchent, n'est-ce pas, d'avancer. Et c'est une façon de prendre conscience, parce que si on ne prend pas conscience, ça veut dire qu'on a accepté tout. Et puis on souffre jusqu'à la fin de notre vie.

Speaker 1:

Et comment changer en question n'est pas toutes ces croyances. Alors, je vous ai pris un exemple. On vous dit vous savez pas chanter, par exemple, est-ce qu'il faut rester sur le vol orien en disant mais c'est tout, c'est correct, je sais pas chanter, je chante faux parce que j'ai pas une bonne note, parce que j'ai un bon ton de voix. Et non, mais questionnez-. Einstein a dit si vous ne vous questionnez pas, c'est que vous êtes stupide. Questionnez-vous.

Speaker 1:

Moi, je cherche à comprendre, à identifier ces croyances qui sont limitantes, parce que si vous passez à cette étape, ça veut dire que la guérison arrive. D'accord, remettez en question, demandez-vous si elles sont vraiment des choses qui sont vraies ou qui vous ont rendu finalement esclaves de vous-même, qui vous ont rendu finalement esclaves de vous-même. Et la troisième chose, toujours, développer une mentalité de croissance. Moi, j'aime énormément ça. Ça veut dire que c'est une condition que nos capacités peuvent être développées.

Speaker 1:

Grâce à quoi? Grâce à la formation, grâce à l'apprentissage. Ça veut dire que si je ne sais pas chanter, est-ce que je vais dire que je ne sais pas chanter, fille, peut-être que vous avez du potentiel, peut-être que vous avez une capacité immense, peut-être que votre voix va devenir une voix qui va rassembler des millions de gens. Mais non, non, non, non, il faut pratiquer, il faut apprendre. Je passe à une autre étape chercher un coach pour chanter. Ou bien je m'adhère à n'est-ce pas? à une communauté des gens qui chantent, ou bien je m'admets n'est-ce pas, à une chorale quelque part qui chante chaque semaine. Et là, je veux voir que je passe à une autre étape.

Speaker 1:

C'est ma croissance, en fait, parce que beaucoup de gens autour de vous n'ont pas cette mentalité de croissance. Ils ont la mentalité de la décroissance, ils veulent rester dans cette étape. J'aurais dû, j'aurais pu, d'accord. Donc, adopter cette mentalité de croissance est très importante.

Speaker 1:

Ça peut vous aider à surmonter beaucoup d'obstacles Le manque de confiance, la peur. Ça atteint vos objectifs. Et puis, autre chose que j'aime aussi, n'est-ce pas l'avant-dernière chose, c'est pratiquer la pensée positive. La pensée positive est très importante. Je ne peux pas vous le cacher. Qu'on ne se le cache pas. Elle est très importante.

Speaker 1:

Donc, tous ces gens qui ont réalisé énormément de choses dans leur vie, ils ont pensé positif, ils ont cru que c'était possible. Donc, ça vous permet, n'est-ce pas, de vous concentrer sur les aspects, je veux dire positifs de la vie, parce qu'en la pratiquant, vous vous entraînez à renfor, forcer constamment votre confiance, et puis, je dis même, à réduire aussi la peur de l'échec. Ça ne veut pas dire que l'échec ne va plus exister, elle est là, elle est là toujours. Mais vous réduisez ça davantage Parce que quand vous commencez, quand vous, par exemple je reviens dans le cadre du chant quand vous allez voir un coach, quand vous allez venir se parler avec quelqu'un d'une chorale et, et que vous commencez à les chanter chaque soir, ou bien chaque midi, je ne sais pas, ou bien dans la semaine, vous vous mettez dans la confiance, vous vous sentez accepté par les autres, vous sortez de votre zone de confort. Et le dernier point agir malgré la peur.

Speaker 1:

Et ça, c'est hyper important. Vous savez la peur, elle a peur d'elle-même. La peur vous limite, elle vous stresse, elle vous supervise, elle décide à votre place, elle vous donne, je veux dire, votre 10 pièces de la vie en disant vous ne pouvez pas faire ceci, vous ne pouvez pas faire cela. Parce que quand dira-t-on, qu'est-ce qu'elles vont dire? Ils ont dit que mais vérifiez, vous l'avez vérifié ou pas, vérifiezronter Une façon de l'affronter. Dans le cas du chant, je sors, j'en ai marre de rester, j'ai envie de chanter, j'ai envie de vérifier si ces croyances sont vraiment vraies. Et puis, on se rend compte qu'en chantant avec les autres, on devient une personnalité épanouie, une personnalité qui a plus de caractère, plus de joie de vivre. Toutes ces choses étaient peut-être enfouies en elle. D'accord, donc, à force d'aller contre la peur, elle commence à diminuer. D'accord, mais imaginez-vous un instant Si tout ce qui a été conçu dans notre société, que les gens avaient tout le temps peur de ne pas le faire, on ne serait pas là aujourd'hui, on n'aurait pas allé sur la Lune, on n'aurait pas le numérique, on n'aurait pas les stations spatiales, ou bien la station spatiale pas du tout, on n'aurait pas l'informatique, on n'aurait pas des ordinateurs, parce que les gens ont aussi dit mais je vais dans l'inconnu, je ne connais pas d'où je vais aller, mais je pense que c En prenant conscience de tous ces mécanismes-là et en adoptant les stratégies pour les surmonter, je pense que vous pouvez vous libérer, libérer votre potentiel et vivre une vie épanouissante.

Speaker 1:

Si vous acceptez que, oui, certes, le cerveau passe son temps à saboter vos ambitions, c'est la fin. Maintenant, je prends un engagement et je dis à mon cerveau que je ne vais plus saboter vos ambitions. Ok, c'est la fin. Maintenant, je prends un engagement et je dis à mon cerveau tu ne vas plus saboter mes ambitions, parce que je connais. Maintenant, tu utilises ce qu'on appelle d'accord, tout ce qui est j'appelle ça aujourd'hui des croyances limitantes. Tu me limites dans ce que je veux réaliser, tu me limites dans mes rêves, tu me limites dans ce que je projette faire, alors que j'ai la capacité, alors que j'ai le vouloir, alors que j'ai envie de le faire, alors que je ne veux pas nuire, d'accord, fais-le. Je vais vous dire une chose ça marche. Donc, n'oubliez pas, les amis, c'est très important que qui te sabote, chance à même. Mon nom, c'est Paul Emblaise. Alors, je vous aime Et à très bientôt pour un prochain épisode. Ciao.

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