ENTREPRISE & BUSINESS

MASTERCLASS 3 : VOS SCHÉMAS DE PENSÉE CONDITIONNENT VOTRE RÊVE D’ÊTRE UN ENTREPRENEUR

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Speaker 1:

Alors, salut, salut tout le monde, bienvenue encore de nouveau pour le troisième module de notre formation au sujet de comment faire vraiment un biais sur notre esprit d'une façon exponentielle, honnêtement, ce que j'ai préparé cette semaine. Chaque fois que je prépare le cours, je sens vraiment que je suis content. Voilà, content de voir parce que j'ai des éléments tellement importants. Mais avant toujours de commencer, il faut toujours faire un petit rappel. Donc, depuis un moment donné, ça fait déjà notre troisième incident. Attendez Eric, je suis encore au cabinet, je ne pourrai pas. Ok, eric, lui, il a l'antenne de PL, il ne pourrait pas être là, mais ce n'est pas grave, il aura plus tard le document qu'il faut. Donc, je disais que un tout petit rappel, toujours pour avoir un rappel, c'est que n'oubliez pas, les amis, depuis qu'on a commencé à suivre le cours, je reviens toujours sur un aspect très important. Mais avant d'arriver là, je reviens sur un aspect très important. C'est cet aspect ici que vous savez très bien. Là, j'ai un aspect très important, c'est cet aspect ici que vous savez très bien, c'est l'aspect du sport.

Speaker 1:

Donc, j'essaie de monter toujours, de ramener toujours cette image, parce que l'image en question nous rappelle que les départs sont toujours difficiles, mais il ne faut jamais lâcher, parce que c'est au fur et à mesure qu'on avance qu'on va finir par réussir. Rien ne s'acquiert en une journée. Ça peut prendre le temps qu'il faut, mais il faut garder la patience, il faut être persévérant, il faut aimer ce qu'on veut faire Et il faut être vraiment passionné, travailler fort, ne jamais arrêter. L'endurance est très importante pour finir par réaliser ce qu'on a vraiment besoin de réaliser dans notre vie. L'image que je montre toujours je commence encore par la première c'est toujours de voir mon fils Jérémy, qui essaye de patiner. Au départ, il pense qu'il peut, mais ce n'est pas évident pour lui. Et puis, tout d'un coup, on commence à voir que il n'est pas évident pour lui. Et puis, tout d'un coup, on commence à voir qu'il n'est pas seul.

Speaker 1:

Il a à côté de lui un mentor, quelqu'un qui l'aide à pouvoir avancer dans son projet. Et le mentor est là. Donc, il est là, c'est son grand frère, il est juste ici Et, vous pouvez voir, il le tient par derrière parce qu'il veut l'aider à commencer à faire quelques pas. Et donc, nous tous, on a besoin de mentors. On a besoin de mentors pour réussir notre projet d'entreprise, parce que c'est vraiment important.

Speaker 1:

La nature humaine fait qu'on ne peut pas être seul, on a besoin des autres. Et puis, là, mon fils Jérémy je reviens toujours à l'image là, il pense, en deux jours, que lui peut déjà commencer à marcher seul sur la glace. Super intéressant, mais il y a un danger qui le guette. Quoi? Le danger, c'est ça, c'est que, ah, il est tombé. Et pour dire qu'on peut jamais réussir seul, on ne va jamais arriver, parce qu'on a tout besoin des autres. Qu'une entreprise soit bien fonctionnelle, j'ai des idées, je la crée, mais j'ai besoin d'un accompagnement.

Speaker 1:

Il ne faut pas se dire qu'en un laps de temps, je vais réussir, mais attention, je vais tomber aussi, parce que je vais prendre des erreurs. Alors, là, il tombe et il se relève, mais encore de nouveau, là, il va seul. Il a fait plusieurs jours ça, comment pousser seul? Il n'a pas encore lâché son support, mais il pousse seul. Et puis, il rencontre des amis. Il rencontre d'autres amis qui sont très motivateurs. Il ne les connaît pas, mais presque le même âge. Il file, il court, il pousse, parce qu'il veut compétir avec eux.

Speaker 1:

Donc, là, il commence à être un peu à l'aise. Donc, c'est ça l'image que j'aime toujours partager avec vous, parce que, pour moi, cette image est très, elle est vraiment vous, parce que, pour moi, cette image est très, elle est vraiment importante pour ce qu'on apprend depuis quelques jours. Donc, on va revenir là également. Donc, on était au niveau de l'image. Donc, autre chose, c'est donnez-moi une seconde, oh, là là, qu'est-ce qui se passe là? je suis en train de partager autre chose, continuez à regarder, je vous reviens encore un instant. Donnez-moi juste un petit instant, ok, voilà, ok, ok. Donc, on était là, on était ici au niveau de l'image.

Speaker 1:

Donc, aujourd'hui, comme il dit toujours, on est toujours dans notre, toujours dans notre, notre projet, n'est-ce pas de continuer à bâtir ensemble l'entreprise? mais le troisième mot de dire, aujourd'hui, je vais parler, n'est-ce pas de continuer à bâtir ensemble l'entreprise? Mais le troisième motif, aujourd'hui je vais parler, n'est-ce pas de vos schémas de pensée qui conditionnent votre rêve d'être un entrepreneur? Vous savez, comme je vous ai dit la dernière fois, vous avez rencontré beaucoup de gens qui pensent faire une entreprise, qui rêvent on en parle depuis quelques moments maintenant faire une entreprise, qui ont le désir, qui, peut-être, ont commencé déjà, n'est-ce pas, à chercher quelques infos.

Speaker 1:

Ils sont toujours à la même place. Et une des choses, dans mes lectures quotidiennes et dans mes recherches personnelles, j'ai découvert depuis un certain moment donné, c'est que le fait d'être intentionnel est une bonne chose. Le fait d'avoir eu des idées dans la tête, de se projeter pour quelque chose qu'on veut faire, c'est une est une bonne chose. Le fait d'avoir des idées dans la tête, de se projeter pour quelque chose qu'on veut faire, c'est une autre très bonne chose. Mais beaucoup parmi nous, qu'on soit noir, blanc, rouge, jaune, vert, en tout cas, c'est une façon de vivre. C'est là qu'on bloque. Mais c'est quoi, le schéma de pensée? Il y a un bruit derrière, il y a une musique qui joue. Je ne sais pas qui joue la musique. Donc, comme je disais, tantôt, on est là, on rêve, on y pense, mais on est bloqué. On est bloqué parce que nos schémas de pensée jouent un quart de tour. Ils jouent parfois des tours.

Speaker 1:

Ça fait qu'on n'arrive pas vraiment à avancer. Et puis, au final, pour certaines personnes, ils vont dire vous savez quoi? moi, je pense que je suis maudit. Je pense que mes parents m'ont maudit. Je pense que mes parents, la façon maudit, je pense que mes parents, la façon que ma vie s'est faite, j'aime pas ça, parce que j'ai comme l'impression que mes parents, ils n'ont pas été là pour moi, ils m'ont maudit, ce qui fait que moi, je pense pas que je vais réussir mon projet.

Speaker 1:

Donc, et puis, on est coincé. On se demande pourquoi ça ne fonctionne pas, pourquoi je suis toujours à la même place? Est-ce que ça ne devait pas bien fonctionner? Pourquoi chez les autres, ça fonctionne, mais pas chez moi? Donc, on se pose beaucoup de questions, mais en général, on met souvent le blâme sur les autres. Donc, on dit bon, les autres, c'est eux qui sont mon malheur. Moi, je suis vraiment. Je ne suis pas content de voir que mes projets ne fonctionnent pas. Je ne suis pas content que, depuis des années, j'y pense, je vais réaliser quelque chose, mais je n'arrive pas à le réaliser Et on est au final coincé. Mais on va essayer d'explorer ça ensemble, d'accord, on va voir un peu comment les choses se font très souvent.

Speaker 1:

Donc, la première chose qu'on va voir aujourd'hui, c'est le schéma traumatique qui vous maintient coincé dans le passé et qui vous empêche vraiment d'avancer. Et peut-être que vous ne le savez pas, peut-être que vous vous dites non, ce n'est pas quelque chose qui peut m'arriver. Parce que non, je n'ai pas de schéma traumatique dans ma vie, la vie est cool, moi, je suis bien. Parce que, non, non, je n'ai pas de schéma traumatique dans ma vie. La vie est cool. Moi, je suis bien Dans ma peau. Je pense que c'est juste une malédiction. Ça peut juste être un blocage, ça peut juste être un sorcier. Pour certains, ça peut être un copain, ça peut être quelqu'un qui ne veut pas que je puisse réussir mon projet. Mais quand on parle de schéma traumatique, alors je vais commencer par une histoire d'une personnalité qui a été victime de ce schéma-là.

Speaker 1:

D'abord, avant de raconter l'histoire, il faut bien comprendre ce qu'est un schéma traumatique. Il faut d'abord, n'est-ce pas, définir ce qu'est un schéma, et précisément, un schéma pensée-émotion. En fait, c'est un cycle entre nos émotions et nos pensées qui va influencer nos expériences et nos comportements. Et je vais le redire de nouveau C'est quoi en fait? C'est quoi en fait Le schéma traumatique?

Speaker 1:

c'est précisément, n'est-ce pas un schéma qui est pensée et émotion, pensée et émotion, et c'est un cycle entre ce qui est émotion et ce qui est pensée, et ça va influencer nos comportements et notre expérience. Qu'est-ce que je veux dire? Ça veut dire que j'ai vécu quelque chose dans ma vie il y a de cela quelques années, il y a de cela peut-être 20 ans, 30 ans, qui a fini par rester, qui est là depuis très longtemps, mais moi, je ne sais même pas que la chose est là. Je veux faire une entreprise, mais je bloque À chaque fois, je n'arrive pas à réussir mon cours. Je mets l'argent, je travaille fort là-dedans et puis je me forme pour devenir ce que je veux devenir.

Speaker 1:

Mais qu'est-ce qui fait que ça ne fonctionne pas? C'est quoi le truc? C'est quoi le truc Pourquoi mon projet n'arrive pas vraiment à démarrer? C'est quoi le truc? C'est quoi le truc Pourquoi mon projet n'arrive pas vraiment à démarrer? C'est quoi le problème? Pourquoi je suis toujours à la case de départ, pourquoi ça ne bouge pas?

Speaker 1:

Qu'est-ce qui fait que ça ne bouge jamais? Mais on ne sait pas que ce qu'on est en train de vivre, c'est sur la base de quelque chose. Il y a quelque chose qui s'est passé dans notre vie et on a gardé ça dans notre subconscient. Et à chaque fois qu'on veut faire une entreprise, ce qui nous arrive très souvent, c'est qu'on a peur, on est stressé, on ne se définit pas comme une personnalité qui est capable de faire ça.

Speaker 1:

Notre identité, on l'a perdue. Et puis on patine, on investit beaucoup d'argent et puis, au final, on n'arrive pas à réussir. Mais on va le voir ensemble. Ça, c'est l'histoire de. Je vais vous raconter l'histoire d'une petite fille, une fille du nom de Lola. Alors, qu'est-ce qui s'est passé dans la vie de Lola?

Speaker 1:

Lola, elle a vécu une histoire très intéressante, mais une histoire qui l'a marquée toute sa vie. Une vraie histoire. Elle est en train de marcher dans le parc, elle écoute sa musique, elle est très contente, il fait beau, les gens marchent, et puis, tout d'un coup, un chien arrive devant elle. Le chien va tellement vite, il la boit et tout d'un coup, Lola bloque. Il y a une panique, elle commence à trembler.

Speaker 1:

La musique, elle n'entend plus. Elle est vraiment stoïque. Elle est là, elle panique, le stress monte, la glénaline monte, les émotions sont là, mais Lola ne savait pas que le maître chien était derrière elle. Donc, le chien qui était à partir devant revenait vers son maître pour continuer, n'est-ce pas? leur marche? Donc, lola est sous le choc Et ce choc-là fait que les émotions, les pensées, le traumatisme lui rappellent.

Speaker 1:

N'est-ce pas quelque chose qui s'est passé dans sa vie? Un chien, un jour, l'avait mordu. Et à chaque fois qu'elle voit un chien, les émotions se déclenchent, la pensée, l'information dans sa tête, ça donne une pensée Et cette pensée-là, n'est-ce pas, provoque ce qu'on appelle un électrochoc, l'électricité dans sa tête. Et puis il y a des émotions qui rentrent dedans, les hormones, les émotions qui rentrent dedans, elle bloque.

Speaker 1:

Elle bloque Parce que elle se souvient de quelque chose qui l'a troublée, qui est restée dans son subconscient, ce qu'on appelle un stress post-traumatique, et elle ne peut pas voir un chien et ne pas paniquer. Et je vous ai dit tantôt, quand j'ai dit il faut expliquer c'est quoi un schéma, j'ai dit c'est pensée-émotion. Alors, c'est un cycle entre ce qui est émotion et nos pensées qui va influencer nos expériences et nos comportements. Et par rapport à l'histoire que je vous raconte, je disais tantôt que c'est une fille qui a vécu un événement qui a marqué sa vie Et à chaque fois que cet événement est là, elle retourne dans les souvenirs.

Speaker 1:

Et n'oubliez pas une chose, les amis, et je vais vous le dire aujourd'hui, peut-être que vous ne le savez pas, votre cerveau vit constamment dans le passé. Le cerveau vit constamment dans le passé. Le cerveau, à chaque fois qu'il y a quelque chose qui arrive, on retourne très souvent dans le passé. Même si nous sommes dans le présent, on n'est pas dans le présent. Ah, les présent.

Speaker 1:

Les événements qui m'arrivent, je les associe à telle chose. Les événements qui m'arrivent, je les associe pour telle chose qui était arrivée à tel moment de ma vie. Mais si on regarde le point 1, comme je dis, à chaque fois qu'il y a un choc, il y a un traumatisme, mon cerveau reçoit une information et cette information-là, elle est transformée en pensée qui génère une charge électrique tout de suite Dans l'eau-là, l'information qui vient, elle se rappelle d'une chose Ah, mais tiens, j'avais été mordu par le chien. Et à chaque fois qu'elle voit un chien, l'information remonte Et le cerveau reçoit l'information, et puis la pensée, tout d'un coup, n'est pas touchée, et là, il y a un électrochoc, la charge électrique qu'elle a, et puis elle libère des hormones dans le cerveau Et ces hormones-là, finalement, génèrent des émotions, et les émotions, plus tard, vont se transformer en souvenirs, et on est paralysé, on est handicapé, on est estomaqué, on est enquisté même, je dirais.

Speaker 1:

dans notre pensée, on s'est dit ah, mais c'est fini même. Et toi qui veux faire l'entreprise, tu es exactement comme Lola, tu es exactement comme moi. Et ce qui fait que tu ne feras pas d'entreprise, si tu restes dans ce schéma traumatique que tu as vécu et que tu ne t'es jamais fait libérer par ça, ou tu n'as pas été voir un spécialiste, ou tu ne t'es pas questionné au sujet de toi-même en se demandant mais où je vais Pourquoi ça bloque. Et très souvent, on a ce qu'on appelle, on a une attitude de la fuite en avant. On incrimine les autres, on dit ce sont les autres qui ont fait ça.

Speaker 1:

Ça ne réussit pas. Mais parfois, on est bloqué quelque part et on ne sait pas comment, n'est-ce pas? On ne sait même pas qu'on est bloqué Et on se dit bon, ce n'est pas ma chose. Finalement, j'abandonne. Est-ce que tout le monde le vit? Non, pas forcément.

Speaker 1:

Mais beaucoup de gens que vous allez rencontrer le vivent. C'est pourquoi on va le voir. Plus tard, les gens vont vous dire Ah, mais moi, je ne peux pas faire ceci, moi, je ne suis pas capable de. Je ne pense pas que si je commence un projet un jour, ça va réussir. Moi, je n'ai pas assez d'argent. Ah, mes amis aiment que je chante, mais moi, je ne sais pas en ligne. Moi, ce n'est pas mon affaire, je n'ai jamais fait ça.

Speaker 1:

Mon père m'a toujours dit que ça ne fonctionnerait jamais parce que je n'ai jamais été capable. Donc, on grandit comme ça, vous voyez, avec ce problème-là, et ça nous affecte année après année, et on finit par prendre de l'âge sans vraiment réaliser nos rêves Parce qu'on s'est dit je ne suis pas capable, je ne pourrai jamais le faire. Je vais quand même essayer, Mais peut-être, on verra. De toute façon, ce n'est pas quelque chose que notre père ou nos parents nous ont appris à faire, mais je vais quand même essayer. Et on le vit à différents niveaux. Ça peut être au niveau de la famille, ça peut être au niveau personnel, ça peut être au niveau entrepreneurial.

Speaker 1:

Donc, blocage, je vais quand même essayer, mais je ne suis pas sûr, je n'ai pas la capacité. Et mais je ne suis pas sûr, je n'ai pas la capacité. Est-ce que vous voyez là où il y a le problème? Le problème, c'est que j'ai développé en moi une croyance, et cette croyance qui est en moi fait que je me suis fait un jugement, n'est-ce pas? J'ai fait un jugement, j'ai inquisté un jugement en moi, fait que je me suis fait un jugement, n'est-ce pas? J'ai inquisté un jugement en moi, voilà, et qui fait que à chaque fois que je veux faire quelque chose, ces souvenirs-là reviennent.

Speaker 1:

Comme Lola, ok, j'ai pris un exemple Chanter. On vous demande est-ce que vous pouvez chanter au mariage, à un mariage? Non, je ne peux pas le faire, je veux chanter faux. Je veux chanter faux parce que, depuis longtemps, mes amis, mes camarades, m'ont dit que je ne savais pas chanter, je n'avais pas une belle voix. Je chante dans le monde, ici, parce que depuis longtemps, mes amis, mes camarades, m'ont dit que je ne savais pas chanter, je n'avais pas une belle voix. Je chante dans des scies.

Speaker 1:

Non, je ne peux pas chanter, je ne suis pas capable. Mais si, dans ta tête, tu sais que tu ne peux pas chanter, est-ce que tu vas rester là pendant 10 000 ans en train de dire Ah, moi, je ne peux pas chanter. Ah, moi, moi je ne peux pas chanter. Ah, moi, je ne peux pas chanter. Ah, mais moi, je ne peux pas chanter. Non, à un moment donné, je dois vérifier et chercher à comprendre pourquoi je ne peux pas chanter.

Speaker 1:

D'où vient ce blocage-là? Qu'est-ce qui fait que je n'ai pas la capacité? Qu'est-ce qui fait que je ne m'aventure pas dans cette histoire? parce que les autres aussi ne savaient pas chanter avant moi. Mais qu'est-ce qui fait qu'ils ont commencé à chanter? Il faut que j'apprenne à chanter.

Speaker 1:

Je déplace mes pensées, je déplace ma façon de voir le monde, je déplace la façon de voir mon corps, ma vie personnelle, parce queil y a des choses qui nous hantent. Il y a des choses qui nous hantent parce que on les a développées pendant très longtemps. Ils sont là. Et puis on finit par dire de toute façon, c'est comme ça, ça a toujours été comme ça.

Speaker 1:

Est-ce que je vais chercher de l'aide pour chanter? Est-ce que je dois chercher un chanteur qui va m'apprendre à chanter, un maître de chant? Et là, je dois me faire confiance, je dois quand même me faire confiance en moi. Faire confiance veut dire que chercher un coach, je vais peut-être chercher une chorale. Donc là, je passe à une autre étape, ce que j'appelle l'étape intentionnelle.

Speaker 1:

Il y a un blocage. On m'a dit que je chantais pas bien. Pour moi, c'est vraiment que je chante faux. À chaque fois qu'on me demande, donc, je peux rester en disant de toute façon, je ne chante jamais bien. Mais est famille m'ont dit arrête de chanter, c'est fini, je bloque.

Speaker 1:

Donc, je garde un blocage dans mon subconscient qui va rester là pendant très longtemps Et à chaque fois que je projette, n'hésite pas à faire un projet que je pense qui est meilleur pour ma vie, comme par exemple dans le domaine de l'entrepreneuriat. Oh oui, j'ai un ami qui s'appelle Georgel Éric Ludovic Rostand. Ils sont capables, mais moi, je ne pense pas que je peux le faire. Et les gens essaient de pousser, mais vous savez pourquoi vous bloquez, d'accord, mais dans le cadre, dans le cadre de ce bonhomme dont je viens de dire, je viens de parler, pas plus cadre. Dans le cadre de ce bonhomme dont je viens de dire, je viens de parler de, pas plus de Lola, mais de ce bonhomme qui dit moi, je ne peux pas chanter, chante-faux Pour que ce bonhomme sorte, n'est-ce pas de cette prison-là.

Speaker 1:

J'ai mis quelques mots. Ce bonhomme est statique, quelque chose qui est statique. C'est juste là, mon ordinateur que j'ai utilisé devant vous, il est juste là, il ne bouge pas, il est là, il est statique. Donc, il doit sortir de cette phase statique, d'accord, à la phase dynamique. Donc, il faut un effort de ton côté, de notre côté.

Speaker 1:

Bon, il y a beaucoup de gens peut-être qu'ils ne savent pas qu'ils ont un blocage, mais Il y a beaucoup de gens peut-être qu'ils ne savent pas qu'ils ont un blocage, mais il faut ce qu'on appelle une volonté. Alors, là, je suis fermé, là, je deviens ouvert. Fermer veut dire ça a été dit, ça a été décidé, ça a été comme ça, je ne ferai jamais ça. Mais non, je suis ouvert à comprendre qu'est-ce qui ne fonctionne pas, ok, alors je suis méfiant. À comprendre qu'est-ce qui ne fonctionne pas, ok, alors, je suis méfiant, je n'aime pas chanter, mais je ne veux pas chanter parce que je ne veux pas comme insulte, je veux prendre mes précautions, je me méfie, je n'ai pas fait une erreur. Ah, je ne suis plus méfiant maintenant, je suis confiant. Confiant veut dire je bouge vers l'autre, je vais chercher de l'aide, je vais chercher quelqu'un qui va m'aider, n'est-ce pas, à bien chanter. Je ne chante pas pour l'honneur d'un autre, mais je le chante parce que je le veux. Et puis, de l'autre côté, toujours dans la contraction, ici dans l'expansion, toujours dans la solitude, là, je crée un lien.

Speaker 1:

Donc, et ça, c'est vraiment, je vous dis ce que je veux partager. Là, c'est tellement fort, fort que tu ferais, au point où tu ferais un très bon module avec ça. Là, c'est tellement fort parce que si vous réalisez dans la société, comme je commençais à dire, qu'on soit chinois, noir, blanc, rouge, c'est là où beaucoup bloquent. Personne n'est fait pour être un entrepreneur, personne n'est fait.

Speaker 1:

Ceux qui ont commencé à faire ça avant nous ont compris le secret. Tu dois sortir de ta zone de confort, tu dois cesser de dire Ah, ce qui m'arrive, c'est à cause de». Tu dois bouger. Et je vous ai partagé ça dans mon premier module. Je connais beaucoup de gens autour de nous.

Speaker 1:

Ils parlent beaucoup d'entreprise, d'entrepreneuriat, mais en fait, ils ne font pas de l'entrepreneuriat, ils essayent juste de partager parce qu'ils veulent se sentir bien dans la peau. Ah, moi, je suis un entrepreneur, moi, je suis un entrepreneur. Et à chaque fois que tu leur donnes même des outils qu'il faut ou tu veux les accompagner gratuitement, ça bloque. Donc, tu ne peux pas être un entrepreneur à succès Tu dis bien à succès si tu ne travailles pas sur cet aspect-là, si cet aspect-là est en toi, parce qu'on ne peut pas inventer un aspect qui n'existerait pas.

Speaker 1:

Mais si cet aspect est en toi, il faut d'abord commencer par là, parce que je vais te dire une chose, je vais te faire une confidence L'entreprenariat n'est pas ton lit. L'entreprenariat, je l'ai dit très souvent, c'est un panier de requins. Il y a beaucoup de concurrence, il y a des gens qui mettent des doubles, des doubles. Vous pouvez dire voilà mon ordinateur qui est devant moi, et puis, pour que les gens ne viennent pas atteindre mon ordinateur, je dois mettre des obstacles, je dois mettre des tr. Seule personne sur l'île. Tu ne veux pas que d'autres personnes viennent sur l'île. Et à chaque fois que des gens s'approchent vers toi, tu leur réponds c'est ce que Walmart a fait.

Speaker 1:

Quand on est arrivé à Montaigne, ici, qu'est-ce que Walmart a fait? Il a acheté toutes les petites entreprises, des panneurs, comme on l'appelle les convenience en anglais, des petites boutiques qui vendaient des autour de Walmart. Il les a tués, il les a envoyés loin, il les a démolis, enlevés sur sa route. Parce que c'est ça, le puissant de ce monde Quand ils ont l'argent, ils mettent les douves, les douves, et plus le seul sur l'île autour de cette eau-là. À chaque fois qu'il voit quelqu'un, il achète, il achète, il achète, il achète, il achète, il achète, il tue tout le monde et il rend dans le contrôle du marché. Il devient le contrôleur du marché.

Speaker 1:

Et si toi, tu fais une entreprise et que tu te dis moi, je vais arriver, tout le monde va ouvrir les portes pour moi, mais détrompe-toi, ça ne marche pas comme ça. Et si tu es déjà bloqué d'avance, ça ne marcherait pas comme ça. Donc, il peut arriver qu'il y ait des choses dans ta vie personnelle qui bloquent pour des futurs décisions que tu vas prendre Et tu vas te dire ah non, j'ai essayé quand même, mais ce n'est pas mon affaire, ce n'est jamais l'affaire de personne. C'est une question de volonté. C'est une question de l'état d'esprit que tu as développé toute ta vie. C'est une question d'être intentionnel Et de dire est-ce que je veux vraiment faire une entreprise?

Speaker 1:

Bon, peut-être que tu ne veux pas. Peut-être juste que tu veux faire une entreprise, acheter une maison? Bon, comme je dis tantôt, je dis la dernière fois, faire du commerce entre l'Afrique et le Canada, ce qui va te coûter trop cher en termes de voyage ici. Ou bien, bon, tu veux aller retourner en Afrique, comme exemple. Et puis, moi, je vais être là-bas, je pourrais faire mes maisons, vivre à l'aise, parce que là-bas, c'est mieux qu'ici.

Speaker 1:

Bon, quand tu vas avoir deux, trois maisons en Afrique, tu vas voir deux ou trois maisons en Afrique tu vas penser que tu es un grand entrepreneur. Mais non, tu es juste limité. On va le voir plus tard. Ça veut dire que tu fais quelque chose qui te conforte. Alors, c'est un peu bon, je suis content. Bon, c'est ma limite, parce que je ne peux pas dépasser cette limite-là. Et il y a un autre aspect qui est aussi très important D'où tu viens, pardon, là où tu vis, tu as vécu dans ton enfance.

Speaker 1:

Qu'est-ce que genre de langage tu as entendu les gens dire parfois, Quel genre de propos les gens ont toujours, n'est-ce pas? dit quand il s'agit d'accomplir quelque chose, quand il s'agit de faire quelque chose que toi tu penses qui est bien pour toi, et les autres disent que ce n'est pas bien pour toi, ah, tu commences un projet. Excuse-moi, je vais même parler de notre entreprise. Au début, quand on l'a lancée, on a eu des gens qui nous ont dit ne faites pas ça, ça ne va pas fonctionner. Non, ça ne va pas fonctionner. Non, ça ne va pas fonctionner. Non, arrêtez, ne faites pas ça, je ne vais pas vous endetter pour ça, ça ne va pas fonctionner. Non. Et la majorité des gens qui vous disent ça, ils ont peur que demain, ça ne fonctionne Parce que, peut-être, ils ont imaginé, pensé, faire aussi une entreprise, mais ils sont mal à la capacité.

Speaker 1:

Mais ils ont peuré, pensé faire aussi une entreprise, mais ils sont mal à la capacité. Mais ils ont peur de voir que leurs propres amis à côté d'eux sont en train de réussir leur projet, alors que, pendant ce moment-là, ils passent leur temps à dire ne fais pas ça. Mais si on entendait, si on avait gardé pardon, excusez-moi, mais si on avait juste écouté tout le monde qui ne nous donnait pas faire, on n'habiterait pas ce pays, on n'irait pas à la Lune, on n'aurait pas le numérique, on n'aurait pas des ordinateurs sophistiqués, des hôpitaux sophistiqués, mais parce que déjà, on osait dépasser les limites et partir des sentiers battus pour faire des choses inimaginables. Aujourd'hui, on se rejoue de voir que le monde évolue. L'information est devenue tellement capitale. Tout le monde peut s'informer maintenant plus facilement qu'avant. Mais il fallait qu'il y ait des gens qui osent.

Speaker 1:

Ils sont partis dans cette zone de confort, dans ce côté de Ouais. Tu sais, je suis. Mes parents m'ont maudit Je n'ai jamais, je ne fais jamais rien. Je n'ai jamais, je ne fais jamais rien. De toute façon, j'ai essayé, ça ne fonctionne jamais. Ne me dis pas que je dois continuer à essayer, ça ne va jamais fonctionner.

Speaker 1:

Mais c'est parce qu'on essaye, qu'on sort de cette zone-là, qu'on arrive, n'est-ce pas, à réaliser des choses inimaginables. Il n'y a personne qui va décider à ta place. Pour moi qui crois en Dieu, sauve Dieu le premier, mais en dehors de ça, c'est toi. Si tu veux améliorer ta vie, si tu veux que ta vie soit différente, si tu veux faire une entreprise, il faut se questionner, il faut arrêter de vivre dans le passé. Comme je vous ai dit tantôt, le cerveau je vais revenir encore là, je l'ai écrit là, le cerveau.

Speaker 1:

Le problème de votre cerveau est qu'il vit tout le temps dans le passé. En fait, il vit en terrain connu. Alors, tout ce qu'il voit lui rappelle des souvenirs qu'il connaît déjà. Il connaît chacune de vos actions, de vos comportements. Ça, le cerveau, tout.

Speaker 1:

À chaque fois qu'il y a quelque chose qui a lieu ta vie, hop, tu retournes dans le passé. Hop, hop, hop, ok, ma mère m'avait dit ça. Ma femme vient de me dire ça. Ça veut dire qu'il y a une comment on dit en anglais connecte les deux. Ça veut dire que les deux se joignent, les deux idées. Ça veut dire que, ah, ça revient toujours. En fait, oui, ma mère m'a dit ça, mais non, ma femme m'a dit ça. Maintenant, ma femme me dit ça OK, voilà, ma mère a dit ça, que je ne pourrais jamais rien faire. Ma femme me dit ça Alors, tu vis sur ce que les autres ont dit que de dire bon, maintenant, il est temps que ça arrête et que je passe à un autre niveau de ma vie.

Speaker 1:

Et quand tu passes à un autre niveau de ta vie, tu vas dire que tu prends des risques. Tu sais que tu vas faire des erreurs, Tu sais que des gens vont t'insulter. Tu sais que des gens vont te dire que ça ne marche jamais, mais tu ne le fais pas pour les gens, tu le fais pour toi, parce que si tu te mets à penser, je vais le faire pour les autres, tu ne vas jamais réussir. Je le fais pour moi, parce que c'est mon projet, parce que je crois à mon projet, vais réaliser. Et je sais que ces traumas-là m'ont bloqué depuis très longtemps.

Speaker 1:

Ils m'ont empêché, n'est-ce pas, de croire, de me lever au-dessus de tous ces propos-là et de grandir et de réussir. Un homme d'affaires puissant, on est préparé à aller en guerre contre les ennemis, les idées fausses, ceux qui veulent bloquer nos visions, ceux qui sont là pour mettre les barrières sur notre route. On sait là où on veut aller. Et tous les grands hommes que vous allez voir, toute l'histoire que vous allez lire, des hommes d'affaires qui ont réussi dans l'entrepreneuriat, ils sont passés par là À un moment donné. Ils ont cherché de l'aide, ils ont posé des questions sur leur trauma, ils ont été dénigrés, insultés. Tu ne peux pas le faire. Et puis, je vais faire une parenthèse très rapidement.

Speaker 1:

Barack Obama, quand il décide de se présenter comme futur président américain, et son premier discours, c'était chez lui, à Chicago, tout le monde était allumé. Il a dit je suis noir. Je suis noir. Il dit je sais que parmi vous, dans la salle, là où vous êtes en fait, il y a des gens qui s'émanent, mais qui lui ont donné ce pouvoir-là de vouloir se lancer.

Speaker 1:

Oh, là, là, ça c'est bizarre. De quoi parle-t-il? Est-ce qu'il va réussir? Il ne peut même pas réussir. Qu'est-ce qu'il pense, dans sa tête, là, qu'il pourrait réussir un jour? Oh, diable, oui, le mot était diable. Diable Qui l'a mis devant Devant cette marmaille de blancs, entourés de tout le monde, le rez-autage, les pas, puis les qui ont l'argent.

Speaker 1:

Mais quand vous lisez son histoire, il a été condamné à insulter noir singe, il mange la bana, la quenelle et tous les mots. Mais il avait un objectif qui était puissant Yes, we can, oui, on peut, on peut, quand on met derrière nous ces traumas-là qui nous ont bloqués depuis très longtemps. Et surtout, d'où tu viens, on en a beaucoup, nous tous, des traumaslà qui nous ont bloqués depuis très longtemps. Et surtout, d'où tu viens, on en a beaucoup, nous tous, des traumas. Tu ne feras jamais rien.

Speaker 1:

Je vais faire une deuxième parenthèse. Je vous ai commencé à vous parler de ça l'autre jour. Je pense, une des choses qui m'horripile maintenant, c'est que, dans ma communauté africaine en général, je dis quelque chose qui me trouble, qui me dérange, qui m'énerve. Je rends ça vraiment simple. Qui me dérange, qui m'énerve, qui me met en colère, et je vais faire une vidéo là-dessus. C'est juste Quand Facebook est arrivé, beaucoup de choses commencent par les Américains Au sein de l'Amérique, je veux dire les États-Unis.

Speaker 1:

Très souvent, tu vois l'histoire, ça commence par les Américains. Ça vient d'abord au Canada, ça va en Europe, puis ça va en Chine et ça continue en Inde et puis ça descend en Afrique. Quand Facebook est venu ça fait 25 ans, bientôt 30 ans que le numérique est né on se disait mais c'est quoi cette histoire Facebook? Et puis ça a commencé à devenir populaire Et Facebook s'est retrouvé dans nos marmites. Tu peux prendre une photo aujourd'hui pendant que tu cuisines et tu la fais poster par quelqu'un.

Speaker 1:

Facebook est venu auprès de nos mamans qui vendent au bord de la route, dans nos villages, dans nos marchés. Facebook est venu dans nos universités, nos meilleures écoles. Il est partout. Alors là, l'afrique découvre Facebook. Donc, je peux faire du Facebook, je peux mettre mes vieilles photos, je peux mettre les choses que j'avais avant pour vraiment, voilà, montrer aux gens que j'existe Populaire.

Speaker 1:

Tout le monde a Facebook, hop. Beaucoup d'Africains aujourd'hui ont le téléphone. Maintenant, tiktok est arrivé Et moi j'appelle ça les migrants numériques. Tiktok arrive, hop. Maintenant c'est déplacé. Plus de Facebook, tiktok est devenu le moteur de la pauvreté de beaucoup d'Africains Pas tout le monde.

Speaker 1:

On discute des choses qui ne font pas de sens Et ce qui me chavire, c'est qu'autour de tout ça, il y a des intellos aussi qui sont là, ils sont assis là, ils parlent de l'être romain. Voilà, C'est ce que j'ai commencé à partager De l'être romain. Je suis venu ici, en Occident, j'étais marié depuis le Cameroun, depuis le Togo, le Bénin, la Côte, d'ivoire, et je suis arrivé ici. On a fait trois enfants en France, et puis hop, madame m'a quitté, elle, enfants en France. Et puis hop, madame m'a quitté, elle est partie avec les enfants, elle m'a mise dehors. Je n'ai plus rien. Et si vous écoutez ces gens-là, je vais commencer à vous le dire.

Speaker 1:

La majorité ne parle que des choses comme ça. Après son éreur politique, il veut fixer le Cameroun comme il y a eu au pouvoir depuis longtemps. Oui, comment l'enlever? Comment faire un soulèvement? Comment? depuis 20 ans? c'est de trop.

Speaker 1:

Depuis 40 ans, c'est de trop. C'est les mêmes qui volent. Ok, ça finit toujours par'est trop. C'est les mêmes qui volent OK, good, good, good. Ça finit toujours par les clashs, les insultes Toi, tu es deux Et vous ne serez plus au pouvoir.

Speaker 1:

Nous, nous sommes deux, Nous, on veut prendre le pouvoir. Et puis, quand tu écoutes de nouveau d'autres qui te parlent de la polygamie, c'est le même sujet qui revient très souvent Des femmes seules. Et puis, à la fin, l'histoire est longue. Je résume juste Allez, vous pouvez regarder ce que je vous dis, vous pouvez voir À la fin, il y a ceux qui chantent tout le temps, chantent, dansent, oui, les hommes sont couchés sur l'aile et ceux qui mangent pendant qu'ils sont en train de parler.

Speaker 1:

C'est eux qui ont le live et ils mangent et la bouche s'ouvre comme si parfois ça tombe. Ceux qui ronflent parce qu'ils dorment pendant qu'ils font ça, et ils sont là de 6h du matin jusqu'à 6h du soir. Pour gagner combien? moi, je vais vous dire ce qu'ils gagnent peut-être 10 dollars américains par jour Après tout ça là. Et si tu parles avec ces gens, tout le monde rêve. Mais ils vivent dans leur trauma. Et peut-être qu'il y a des grands entrepreneurs là-dedans, parce que les Américains aussi, qui ont écrit des livres sur l'entrepreneuriat, sont passés par des choses comme ça, les Noirs américains surtout, mais ça a marché finalement pour certains.

Speaker 1:

Et quand je vois ça, on est en Occident, on a la chance que beaucoup n'ont pas eu, qu'ils sont morts dans la mer parce qu'ils voulaient juste avoir une vie, avoir un euro et de survivre. Et nous, on est arrivés. Qu'est-ce qu'on fait? On est sur TikTok.

Speaker 1:

Maintenant, ma question que je me pose, comme quelqu'un qui réfléchit avec beaucoup d'humilité, est-ce que je me pose comme quelqu'un qui réfléchit avec beaucoup d'humilité? est-ce que je veux faire comme eux? Non, c'est interdit d'avance. Non, je ne suis pas allé pour ça. Je suis allé deux semaines.

Speaker 1:

Ok, j'ai vu, j'ai pensé, je vous ai dit la dernière fois j'ai des idées. Je ne dirai pas, mais si je transpose ce que j'ai en train de dire, pendant que nous, on est en train d'être assis, on est en train de se lamenter, insulter les femmes qui nous ont quitté, insulter les hommes qui nous ont quitté et faire des crashs sur internet, pourquoi ne pas penser faire quelque chose qui nous fait gagner de l'argent? c'est démontré et vous partagez ça. Un seul élément. Si tu fais du bon contenu sur internet, c'est démontré. Je vais vous partager ça. Un seul élément Si tu as fait du bon contenu sur Internet et que tu enseignes les gens à faire quelque chose qui marche, tu peux gagner au minimum 10 000 dollars US par mois Parce que ton contenu, tu as été suivi par les gens Et plus tard, tu peux faire des scènes, une usine d'information, et tu peux gagner ta vie Juste étant assis là où tu es assis là. Mais pendant ce moment, ils sont assis pour gagner 10 dollars.

Speaker 1:

Ils font des clashs, ils s'insultent, ils se moquent entre eux, ils veulent faire le sexe avec l'autre Et la Chine. L'occident est en train d'avancer avec le quoi? L'intelligence artificielle. Aujourd'hui, on est en arrière. L'occident est en train de former les gens pour qu'ils tiennent entre leurs mains cet outil-là.

Speaker 1:

J'ai un ami qui a travaillé à la banque, que Georges le connaît. Je ne lui donne pas le nom, mais Georges le connaît. Il dit ça plus tard. Évidemment, il a quitté la banque Juste pour ça, mais il a eu des très bons jobs à la banque. C'est pas n'importe qui.

Speaker 1:

Il est maintenant à la maison Et il ne fait que ça. Et nous, on est assis, on rêve parce que notre cerveau passe son temps. Nous ne sommes pas le seul, nous sommes tous. Le monde entier est fait comme ça. Comme il répète noir, blanc, jaune rouge.

Speaker 1:

Tout le monde est fait comme ça. On est assis, on y pense, et puis on veut voir, je veux voir, je pense vraiment, et Je veux voir, je pense vraiment, et le temps passe, et le temps passe, et le temps passe, et ça, c'est vraiment triste, mais en même temps, c'est très important, ce que je vous partage. Là, maintenant, un élément. Un second élément Si vous laissez votre cerveau primitif décider, vous allez rester bloqué au même niveau toute votre vie.

Speaker 1:

Je viens de vous parler de tes traumas, qui sont des signes qui vous empêchent de rêver, qui vous empêchent de rêver. Mais là je passe à une autre étape. C'est que si vous laissez votre cerveau primitif, qu'on appelle le reptilien, vous bloquez, vous restez toujours au même niveau de votre vie. Et on va voir les trois régions des cerveaux tout à l'heure Le reptilien, le singe et l'encéphale. Et beaucoup de nous, certains d'entre nous, qui veulent faire l'entreprenariat, qui veulent faire des projets, qui veulent rêver, qui ont des désirs de faire des choses, ils se retrouvent quelque part là, ils sont bloqués là, et le cerveau humain est composé de trois régions Le reptilien, c'est ce qu'on appelle dans le langage neurosciences, et puis dans la science, les instincts de survie.

Speaker 1:

Ça veut dire que la manière que je pense. J'ai grandi avec une façon de, je dirais j'ai peur tout le temps. Je suis constamment stressé Et parfois impulsif. Je n'ai pas beaucoup de réfléchis, je n'ai pas envie de beaucoup réfléchir. De toute façon, je suis bien là où je me trouve.

Speaker 1:

Et certaines personnes qui ont le reptilien dans la tête, je vais même dire que nous tous, on l'a déjà en nous, parce qu'il y a différentes régions, tout le monde l'a, mais parmi les trois régions, mais tout le monde l'a, mais parmi les trois régions que je vais développer maintenant. On va comprendre pourquoi ils sont là. Mais en même temps, qu'est-ce qu'il nous faut pour réussir notre projet d'entreprise d'une façon formidable? Quand on a le cerveau reptilien, on n'est pas capable de créer de la valeur. On est beaucoup, on vit beaucoup dans la peur, dans l'agressivité. La réflexion y est moins, dans le stress.

Speaker 1:

Non, je ne peux pas le faire. Ça rejoint ce que j'ai dit dès le départ Les traumas. Non, je ne peux pas, je suis bien. Je suis bien là où je me trouve. J'ai quand même mon petit salaire, je peux payer mes factures. Je suis dans là où je me trouve, je gagne mon petit salaire, je peux payer mes factures, je suis dans le confort. De toute façon, mon boss me paye chaque semaine. Je suis OK avec ça, je n'ai pas à me casser la tête.

Speaker 1:

Les revenus passifs, je les aime, mais je n'ai pas besoin de faire beaucoup d'efforts, pas beaucoup. Non, j'ai une amazone de confort. Tout fait peur, tout stresse. Je suis beaucoup dans le questionnement, mais je bouge pas beaucoup parce que j'ai peur. Je veux pas aller.

Speaker 1:

Je veux m'aventurer, je veux pas aller trop loin, j'ai peur. Mes peurs sont là, je les inquiste en moi, je les garde avec moi. Non, je veux avoir l'argent, mais non, je ne veux pas faire beaucoup d'efforts, je veux juste dans mon confort. Et quand je projette faire quelque chose et que je vais mettre assez d'efforts dedans, je commence à stresser. Donc, ce que je vais faire? je suis bien là où je me trouve. C'est ce que vous allez entendre beaucoup de gens vous dire.

Speaker 1:

Moi, j'aime la sécurité de mon travail, je gagne mon salaire, je paie l'école de mes enfants, j'ai ma belle maison, je peux aller en voyage chaque semaine. Je ne veux pas dormir avec les mots de tête parce que si je commence à faire l'entrepreneuriat, je n'ai pas besoin, j'ai besoin de beaucoup d'énergie, je n'ai pas de beaucoup d'énergie, je n'ai pas beaucoup assez d'énergie pour ça. Et puis, il faut sortir de l'argent si ça ne fonctionne pas. Et qu'est-ce que je vais devenir finalement si je perds de l'argent? qu'est-ce que ma femme va dire? et les autres, qu'est-ce qu'ils vont dire si je ne réussis pas? parce qu'ils vont dire qu'est-ce que tu fais là? non, je suis bien, je suis bien, je vais rester là, je me conforte à ça.

Speaker 1:

Ma vie est vraiment cool. Maintenant, allons voir le singe, qu'on appelle la région limbique, le cerveau limbique. Il dit que qui est impliqué dans les émotions, les relations sociales, la gratification immédiate, le comportement tel que la recherche des récompenses, l'évitement de la douleur, parfois, influence contre beaucoup de choses quand ces instincts-là prennent le dessus, ça se rapproche un peu du côté du singe. D'accord, tout doit être facile. Je ne veux pas souffrir, je ne veux pas me laisser, je ne peux pas passer ma vie à penser que je n'ai pas assez d'argent dans mon compte Parce que là, si je vais prendre un prêt, il faut que je fasse nourrir ma famille. Je ne veux pas souffrir. Je ne comprends pas que moi, je puisse le faire être stressé, parce que déjà, elle me stresse, ma femme, mon entourage me stresse. Je ne veux pas ça. C'est compliqué, c'est difficile. Non, je ne peux pas, je me sens bien.

Speaker 1:

Mais quand on s'engage pour faire quelque chose, le cerveau limbique très souvent le singe, la région qu'on appelle le singe on fait de la post-crastination, on évite les tâches difficiles. Les réactions, parfois, sont très émotionnelles, sont excessives. On veut que tout le monde on a peur du rejet que tout le monde nous accepte et on manque de motivation. On est là, toutes ces choses sont là. Encore une fois, le confort. On proscarcine tout le temps. Nous sommes pareils, on a la même région de cerveau.

Speaker 1:

Oui, j'ai un projet, mais je ne sais pas quand est-ce que je vais commencer? Je ne suis pas encore sûr. J'attends l'approbation des autres. Je ne veux pas que les gens me rejettent. Écoute, tu passes toute ta vie à embellir un vieux projet qui ne réussira jamais. Tu attends l'approbation des gens.

Speaker 1:

Et une des choses que je déteste dans le monde des projets, surtout dans le monde de ceux qui rêvent quand ils commencent à parler de l'argent, moi je pars. Quand tu commences à parler de l'argent avec moi, tout de suite, tu me lèves, parce que l'argent, ce n'est pas ça, ce ne sont pas les idées. Les idées amènent l'argent, l'argent n'amène pas les idées. Forcément, il faut d' encore qu'il y ait une idée pour qu'au final, n'est-ce pas, l'argent continue à être multiplié au centuple, je veux dire d'une façon exponentielle.

Speaker 1:

Donc, j'ai besoin des idées pour réussir mon projet. Non, non, non, je veux commencer, mais non, non, non. Ok, j'en revends ça demain. Ok, je veux faire le sport, mais je veux commencer la première journée, mais la deuxième, je veux aller. La troisième, après une semaine. Non, je n'ai pas le temps, je suis fatigué. J'ai des enfants à courir derrière. Je sais si On est tous là, la majorité dans ce monde dans lequel on vit.

Speaker 1:

90%, nous sommes là, 90%, nous sommes là pour ce castigation. On ne peut pas les difficultés, parce que quand tu te lances dans le monde de l'entreprise, je vous ai dit dès la base aujourd'hui, c'est un monde difficile, tu ne peux pas pour se castigner, tu ne peux pas commencer à dire tel tas, je ne le fais pas, c'était au début. Tu ne peux pas être là, train d'attendre que tout le monde dise que c'est bon pour que, finalement, tu puisses. Non, tu te jettes dans l'eau, tu n'as même pas de gilet de sauvetage. Tu es juste seul, d'abord. Seul dans un monde. Il y a plein de requins, mais qui est-il? Qu'est-ce qu'il vient faire dans notre monde, ici, seul, et tu n'as pas besoin forcément de l'argent. Mais quand tu vois toute cette montagne qui accroche une petite souris, tu te dis ah non, je ne peux pas. Non, c'est trop de choses en même temps, c'est trop, je ne peux pas. Non, ah, ça me motive. Je ne suis pas motivé. Non, je croyais que c'était mon affaire, mais non.

Speaker 1:

Et la troisième région, celle que j'aime beaucoup, c'est la région des bâtisseurs d'empires, parce qu'avec cette région-là, tu peux moduler le monde selon votre envie. Et si vous avez envie de faire une entreprise, vous pouvez avoir le désir, l'envie, sans vraiment le vouloir. Je veux dire que vous pouvez imaginer, avoir une belle idée, penser, mais sans vraiment pouvoir coucher cette idée. Finalement, parce que les deux éléments que je viens de parler, les deux régions reptiliens et le singe, peuvent vous bloquer. Mais si tu as vraiment envie, il y a un travail qui doit être fait en toi. Je commence par le trauma.

Speaker 1:

Le deuxième si tu veux construire un empire, tu dois accéder à l'argent en céphale. C'est quoi? L'empathie, la logique, une grande conscience des choses et une capacité de projection et d'anticipation du futur. Je vais le répéter L'empathie, la logique, une grande conscience des choses et elle a une capacité de projection et d'anticipation du futur. Ça veut dire quoi? Il faut que tu aies une vision très stratégique à long terme. Il faut que tu gies une vision très stratégique à long terme. Il faut que tu gères les émotions.

Speaker 1:

Ça veut dire que des périodes de l'entrepreneuriat, parfois, tu ne gagnes pas. Parfois, il y a des périodes qu'on appelle la période vache maigre Tu n'as pas l'argent assez, tu ne fais pas l'argent assez, tu dois travailler comme 60 heures et parfois, tu dois quitter tes enfants et ton épouse pour aller faire ce job là. Parce que si tu projettes le faire pour le futur, tu peux partir dans la zone de confort. Il faut prendre des décisions qui sont raisonnables. Il y a des gens qui pensent, mais ils ne raisonnent pas. Penser, c'est pas raisonner.

Speaker 1:

La résilience et la persévérance, ça veut dire que des échecs vont arriver, comme beaucoup ont échoué avant nous. Mais ce que je dois abandonner parce que les gens ont dit que ça ne fonctionne pas, si j'avais écouté les gens, je vous ai dit en filigrane ça fait quelques temps maintenant. Voilà mon troisième module. Si je vous montre la facture de ce que j'ai déjà payé pour ce qui est de la formation en ligne et les livres, c'est beaucoup d'argent. Mais quand tu vois mes enfants me dire Mais papa, tu ne gagnes pas encore l'argent».

Speaker 1:

Mais je n'ai jamais abandonné de continuer. Je vais vous faire une confidence. Je suis à l'étape où, hier encore dans la nuit, j' je remerciais Dieu. Maintenant, je suis à l'étape où, dieu le veut Je ne sais pas si Dieu le permet Par sa grâce je vais me faire de l'argent Maintenant. Je suis, c'est maintenant que je comprends, après tant de nombre de chapitres d'ici depuis 22 ans, tant de nombre d'années.

Speaker 1:

Je n'ai pas commencé tout de suite, mais j'ai commencé à lire, à faire des choses qui étaient bizarres. J'ai pu montrer peut-être un jour mes vidéos, même quand je parlais, quand je disais qu'est-ce qu'il fait, il raconte quoi, les mains en l'air, et tout ça. C'était laid. Mes amis me critiquaient. Mais ici, je sens maintenant que c'est mon tour maintenant. C'est pourquoi je vais dans les médias sociaux pour Et moi, je ne suis pas fait comme eux Et je peux me faire de l'argent Par la grâce de Dieu. Donc, je peux être assis chez nous et faire de l'argent Que de travailler pour quelqu'un. Juste ça.

Speaker 1:

Mais est-ce que je suis prêt à accepter les échecs? Est-ce que je suis un leader? Je suis motivé Parce que la communication, c'est le ciment de ta compagnie, tu communiques bien avec les gens, avec tes employés, avec toi-même. Tu réussis tout ce que tu veux faire, l'entreprise, et ça, ce sont les éléments qui sont tellement importants. Le trauma, le trauma que tu vis parce qu'il y a des cultures, le langage est toujours négatif.

Speaker 1:

Est-ce que ça n'affecte pas l'espace que tu veux réaliser demain? Deuxième chose tu es de quel côté? Tu as trois régions dans ton cerveau. Il y a la région reptilien, le singe, qu'on appelle le cerveau limbique, et puis, troisièmement, l'encéphale.

Speaker 1:

Est-ce que tu veux bâtir un empire ou tu veux continuer à proscarciner et que de rester dans la discipline? Parce que ceux qui veulent bâtir l'empire, ils ont un projet, ils sont disciplinés pour, ils savent là où ils vont aller. Quand Armstrong a décidé d'aller à la Lune sur la Lune, pardon, il n'a pas juste dit je vais sur la lune, il s'est préparé, il s'est équipé. La NASA, tout le monde était dans le projet pour que le projet finisse par arriver. Mais nous, nous, humainement, qu'est-ce qu'on fait? On parle beaucoup, on se sent bien quand on dit je veux réaliser un projet Et quand on fait une petite chose, on pense que c'est assez.

Speaker 1:

Mais ceux qui ont bâti les empires, comme les Bill Gates, posaient la question, c'est des gens qui étaient disciplinés sont sortis de la procrastination. Ils ont créé. Bill Gates a toujours dit qu'il était imparissable et qu'il est même encore imparissable aujourd'hui, mais il doit continuer à travailler parce que ça ne vient jamais gratuitement. Donc, après, j'ai une entreprise, oh oui, tu, j'ai une entreprise. Oh oui, tu as une entreprise. Mais qu'est-ce que tu en fais? Tu dors encore, tu procrastines encore. Il y a des choses que tu dois faire cette semaine que tu n'as pas encore faites. Nous sommes tous faits comme ça, nous sommes faits reptiliens et on est passé au singe et on est resté juste entre les deux. Entre les deux, je veux dire le confort, mon salaire rentre, je suis payé pour ça. Je ne vais pas me casser les couilles. En dehors de ça, je n'ai rien d'autre à faire. Très intéressant, très intéressant comme étude. Alors, on continue ça encore quelques minutes Maintenant.

Speaker 1:

Envie de bâtir un empire. Ces dix défis vont transformer ta mentalité et t'amener au niveau supérieur. Est-ce que vous avez vraiment envie? Si vous avez envie, moi je vous donne dix choses qui sont importantes et qui peuvent m'amener à une étape très importante, parce que qui vont transformer ta mentalité, t'amener à un niveau supérieur.

Speaker 1:

La première chose dans ce que je vous ai dit si tu veux bâtir un empire, tu dois clarifier votre vision. Vous allez où? Le GPSF est fait pour nous amener de la case de départ à la case d'arrivée. Tu vas où. C'est quoi ton projet dans la tête? Tu veux amener? comment amener des gens, comment créer cette culture-là, client et le projet pour que tu arrives à réussir. Tu vas où.

Speaker 1:

Est-ce que tu es prêt à élaborer un bon plan stratégique? Parce que, très souvent, les gens avec qui je parle, quand je leur dis mais élabore un plan stratégique, je ne sais pas. Ok, j'écoute les gens, tu veux faire quoi? Oui, moi, je veux faire venir un conteneur de nourriture en Afrique et je trouve qu'il y a beaucoup d'Africains maintenant à Moncton et je pense qu'ils aimeraient ça.

Speaker 1:

Ok, ok, l'idée est bien, mais tu vas où avec cette idée? C'est quoi le plan? idée, c'est quoi le plan? Ah, mais c'est quoi ton plan? C'est quoi ta stratégie?

Speaker 1:

Est-ce que tu as tes outils de tient compte des coûts? Est-ce que tu as fait des sondages? Est-ce que tu as parlé avec des gens? Il y a beaucoup de questions qu'on doit répondre avant d'élaborer un plan stratégique. Et alors là, non, non, non, non, je t'écouter.

Speaker 1:

Pour juste trois patates que tu fais venir la patate douce de l'Afrique, là, il bloque. Et la troisième chose, il faut développer une discipline personnelle. Je l'ai dit tantôt, tout s'aligne, tout est ensemble. Tu ne peux pas faire l'entrepreneur en disant Ah, j'ai pas de trauma, ok, tu n'en es pas, mais attends maintenant, c'est quoi ma région dans le cerveau, de quel côté je me trouve. Et la discipline personnelle, c'est la chose la plus dure.

Speaker 1:

Je vous ai dit la semaine passée, mon fils, à force de le forcer à jouer chaque 10 minutes. Aujourd'hui, mon fils, à force de le forcer à jouer chaque 10 minutes, aujourd'hui, ce n'est plus la discipline, c'est devenu normal. Apprendre, apprendre constamment et évoluer. Un autre problème qu'on a on ne veut pas apprendre, on veut juste aller sur le marché. J'ai une idée géniale. Ton idée peut changer le monde, mais quelqu'un te va l'apprendre. Il doit l'utiliser, parce que toi, tu as passé ton temps à ne pas apprendre. Renforcez votre mindset tout le temps.

Speaker 1:

de croissance, prendre des décisions audacieuses et risquées. Il faut lire. Je le répète si tu ne lis pas, fais pas l'entrepreneuriat, ce n'est pas de l'entrepreneuriat que tu fais. Il faut lire. Il faut lire. Il faut prendre l'idée de Jeff Bezos et faire ça Une idée locale, l'adapter.

Speaker 1:

Tu ne vas jamais inventer la roue. Il faut lire, il faut apprendre des autres. D'accord, il faut construire un réseau qui est solide. Alors, si je veux faire une entreprise, j'ai besoin d'un mentor. Je ne parle pas des finances ici.

Speaker 1:

J'ai besoin de gens avec qui je peux discuter, qui ont des bonnes idées, avec qui on peut partager. J'ai besoin, c'est ça qu'il fait, c'est pas l'argent. Si je te donne aujourd'hui 100 000 dollars, je te dis fais l'entreprise. Je vais te dire tu ne peux pas faire l'entreprise avec, parce que ce que tu vas faire, tu vas t'acheter une belle voiture, tu te masans. Les gens te disent youpi, tu en as des faits.

Speaker 1:

Là, Non, ce n'est pas ça qui fait l'entreprise. Non, non, tu vois les gens qui ont la région, je veux dire reptilien, ou la région du singe, ils n'aiment pas prendre des décisions difficiles, ils aiment le confort. Voilà, non, non, non, non, non, je ne veux pas ça. Non, non, prendre soin de votre santé physique et mentale. Tous les grands hommes que vous voyez, qui ont réussi, n'ont pas oublié cet aspect qui est très important. D'autres font de la méditation, du yoga, d'autres c'est du côté chrétien, mais d'autres, ils font les sports, ils se lèvent le matin. J'ai jamais écouté Dominique de Villepin, ancien premier ministre français et je l' jamais écouté.

Speaker 1:

Dominique de Villepin, ancien premier ministre français, je l'ai écouté depuis très longtemps. Il est revenu sur la scène politique, va être candidat en France en 2027. Mais il a dit quelque chose qu'il dit tout le temps Il court tous les jours. Il a toujours dit ça Et il court tous les jours. Il est âgé, mais il n'a pas l'air de quelqu'un qui est âgé.

Speaker 1:

Alors, lui, ce n'est pas juste faire tout ce que tu veux faire, mais est-ce que tu prends soin de toi, mentalement, psychologiquement, psychiquement? est-ce que tu manges bien Ou tu manges le fast-food? Si tu manges le fast-food, quand tu manges le fast-food, il y a trop de chocs, tu dors. Tu ne peux pas faire une entreprise qui a le manuel de fast-food. Tous les jours, tu dors. Tu peux commencer à manger le fast-food quand tu as l'idée à l'entreprise qui te donne l'argent, mais dès le départ, tu manges le fast-food, tu dors, tu grossis, tu prends du poids. Ça rend le cœur la discipline. Et Alors, quand j'entends mes frères africains me dire Je suis un entrepreneur, est-ce que tu es un leader? Est-ce que tu inspires les gens? Est-ce que vraiment, tu peux dire qu'aujourd'hui, les gens peuvent te voir comme un modèle dans la société, que tu sois chrétien ou non, ce que tu veux faire et tu l'inspires.

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