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TU ES PRISONNIER...MAIS TES BARREAUX SONT INVISIBLES ET LE PIRE TU APPELLES ÇA ''TA ZONE DE CONFORT''

PAULIN BLAISE NGWETH

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Speaker 1:

tu es prisonnier, mais les barreaux sont invisibles. d'accord, tu es prisonnier, mon ami, mais tes barreaux sont invisibles. voilà. Mais la prison mentale ne tient que si tu acceptes d'y rester. Beaucoup de gens vivent dans les croyances limitantes. Ils ont laissé leur cerveau depuis très longtemps de rester dans cette prison mentale. Ils aiment tellement y rester. Ils nourrissent cette prison. Ils sont dans cette prison, ils se nourrissent eux-mêmes en se disant on m'a dit que je n'étais pas intelligent, je ne suis pas capable, je ne peux pas réaliser des choses dans ma vie, je ne connais pas chanter. alors tu peux rester là pendant toute ta vie et tu vas mourir et être une personne. je veux dire, tu vas mourir d'une manière malheureuse, mais dès que tu décides d'accord de t'en sortir, elle cesse d'exister. Ça veut dire quoi? Ça veut dire que vous devez être intentionnel, vous devez vouloir, n'est-ce pas, s'en sortir. Quelqu'un disait que si tu veux, tu peux. Alors, si tu dit en anglais Est-ce que tu es prêt de faire ce voyage avec moi pour, ensemble, trouver la meilleure façon, comment prendre une décision pour t'en sortir?

Speaker 1:

Exactement, la prison mentale, moi, je l'appelle un mirage. un mirage qui maintient les croyances limitantes, nos peurs, par exemple, et nos habitudes. Mais dès l'instant que vous choisissez de ne plus lui accorder le pouvoir, tout s'effondre, tout s'estompe. Donc, c'est à nous de décider. non, je ne te donne plus le pouvoir Maintenant.

Speaker 1:

moi, je veux m'en sortir et je décide parce que je deviens intentionnel. je sors de cette prison qui est mentale. je me sens libre, libre de mon mindset, libre, n'est-ce pas que j'ai dit en anglais break free. je peux réaliser énormément, beaucoup de choses, mais comment prendre la décision de sortir? C'est la vraie question, n'est-ce pas, qu'on pose.

Speaker 1:

Moi, je pense que la première chose qu'il faut faire, c'est de prendre conscience. Prendre conscience plutôt que l'automatisme. Vous savez, en général, nous vivons, moi je dirais, comme sous-pilote automatique, d'accord, et parfois, qui est régi par beaucoup de schémas, des schémas répétitifs dans notre vie. Alors, sortir de la prison mentale commence par une prise de conscience Je peux, je veux. Alors je deviens quoi? Intentionnel? La première chose que je dirais, pour choisir la conscience, ce n'est pas plutôt que l'automatisme. La première chose qu'il disait il faut toujours observer tes pensées et les questionner constamment. Observe les questions.

Speaker 1:

Un exemple si on vous a dit dès le jeune âge, au travail, au sein de votre mariage, je ne sais pas, avec un collègue, un cousin, lors d'un party de Noël, quelqu'un vous a dit que vous n'étiez pas intelligent. Mais questionnez-vous pourquoi on dit que je ne suis pas intelligent. Est-ce que moi, je considère que je ne suis pas intelligent? Mais non.

Speaker 1:

Deuxième chose que vous devez faire débusquer toutes ces croyances-là qui vous empoisonnent, qui t'empoisonnent depuis fort longtemps. On m'a dit que je ne suis pas intelligent, je ne suis pas capable. Alors, je vais passer toute ma vie à dire je ne suis pas intelligent, je ne suis pas capable. Chaque fois qu'on me demande de faire quelque chose, je ne suis pas capable, je ne peux pas le faire. Oh, j'ai vu.

Speaker 1:

par rapport aux autres. Ils ont dit ça, alors il faut que tu vérifies. Alors, d'accord, le regard des autres remet en cause les vérités qui ne servent pas à ton évolution. Il faut les remettre en cause. Est-ce que ces vérités que les gens ont dites par rapport à moi, est-ce que ça me fait évoluer, ou bien ça me donne du dette dans un monde de prison, là où je ne me réjouis pas? je vis dans la souffrance depuis fort longtemps Et c'est important de choisir la conscience plus que l'automatisme. Alors, le deuxième point remettre en question, n'est-ce pas, ces limites-là, remettre en question toutes ces croyances limitantes.

Speaker 1:

Demande-toi qui a décidé que je ne pouvais pas. Qui a décidé ça? Qui a donné ce pouvoir à l'autre de me dire que je ne pouvais pas? Qu'est-ce qui me retient vraiment? Et la troisième question et si je ne craignais rien, que ferais-je aujourd'hui?

Speaker 1:

Imaginez-vous un instant que vous posez tes trois questions. je vais les répéter, d'accord. Quand vous les mettez en question. c'est limite. et puis c'est croissance limitante, demande-toi.

Speaker 1:

mais qui a décidé que je ne pouvais pas? qui a décidé que je n'étais pas intelligent? qui a décidé que je ne sais pas chanter, je ne sais pas faire à manger? Mais qu'est-ce qui me retient vraiment? Qu'est-ce qui me retient?

Speaker 1:

Qu'est-ce qui fait que je n'arrive pas? Pourquoi je porte tout ce poids depuis très longtemps, pourquoi je laisse les autres contrôler ma vie au lieu d'être vivant dans cette liberté totale? Et si je ne craignais rien, que ferais-je aujourd'hui? Mais de grandes choses, en fait De grandes choses. si tu ne craignais rien, tu ferais de grandes choses.

Speaker 1:

Tu sortirais prendre une marche, aller prendre une bière, chanter à une chorale, aller faire de la cuisine, aller accompagner peut-être les enfants pour la répétition, faire du bénévolat. Alors là, toutes ces questions-là te permettent d'y penser et de réfléchir autrement. En ce moment, tu te rends compte que la plupart des limites sont simplement des illusions héritées de ton passé et non des vérités qui sont absolues. Et la troisième chose, pour savoir comment s'en sortir Agir comme si la prison n'existait pas. Oh, là, là, on appelle ça de la liberté, parce que les pensées seules ne suffisent pas, les amis.

Speaker 1:

L'action est la clé. Il ne faut pas simplement dire oui, je pense, non, peut-être que je Non. il faut poser l'action. Chaque petite action compte, n'est-ce pas? Et sortir de votre zone de confort, c'est un coup de masse, n'est-ce pas?

Speaker 1:

Je dirais que vous vous donnez sur le mur de la prison en disant non, c'est fini, maintenant, je suis une personne lourde. Ça veut dire que vous devez quand même, n'est-ce pas? réfléchir, oser, faire ce que tu repoussais d'avant Parler, agir avec confiance, répéter. n'est pas aux autres de choisir à ma place, d'accord. le quatrième point, qui est important comment m'en sortir?

Speaker 1:

réaliser que tu as toujours la clé. tu as toujours eu la clé qui est en tes mains. voilà, cette clé, c'est la liberté. tu as toujours eu la clé. alors, la liberté ne vient pas de l'extérieur. c'est pas quelqu'un qui va venir t'aider à ouvrir la porte. c'est pas quelqu'un qui va venir t'aider à ouvrir la porte. d'accord, personne ne viendra ouvrir votre porte, pas du tout. La porte n'a jamais été verrouillée, jamais, je dis bien jamais, d'accord.

Speaker 1:

Et le moment où tu cesses, je veux dire tu cesses d'attendre, que tu fais ce que tu fais, un pas en avant, tu es déjà, n'est-ce pas? dehors. Le moment où tu cèdes d'attendre et que tu fais un pas en avant, je le répète, tu es déjà dehors. Donc, le blocage ne vient pas des autres, le blocage vient de vous. D'accord? Si je résume ce que je viens de dire tantôt, tu es prisonnier, mais les barreaux sont invisibles. Alors, comment m'en sortir? Alors, je vais répéter ça, n'est-ce pas? Je vais résumer ça très rapidement.

Speaker 1:

Première chose, choisir la conscience plutôt que l'automatisme. Deuxième chose, remettre en question ses limites. Troisième, agir comme si la prison n'existait pas. Et la quatrième chose, réaliser que tu as toujours eu la clé. Elle est en teum, la porte n'a jamais été verrouillé, d'accord. Alors, le moment que tu cesses d'attendre et que tu fais un pas en avant, tu es déjà, n'est-ce pas, à l'extérieur. Tu es prisonnier, mais les barreaux sont invisibles. Alors, ces barreaux-là, c'est juste, n'est-ce pas cette barrière-là que tu t'es créée autour de toi? D'accord de t'en sortir, de sortir des croyances limitantes, parce que tu es prisonnier. Sinon, tu es prisonnier, n'est-ce pas? Mais les barreaux sont invisibles. Alors mon nom, c'est Paul Mblaise, et à très prochainement pour un autre épisode. Merci, ciao.

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