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🎯 ET SI LE VRAI BOURREAU...C'ÉTAIT TOI? IL NE TE FRAPPE PAS. IL NE CRIE PAS. IL TE FREINE. IL MURMUREđŸ”„

‱ PAULIN BLAISE NGWETH

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Speaker 1:

et si le vrai bourreau c'Ă©tait toi? et si le vrai bourreau c'Ă©tait toi? il ne frappe pas, il ne crie pas, il te freine et il murmure constamment. Il ne porte pas d'arme, il ne t'attache jamais, il n'a pas besoin de crier dessus parce qu'il murmure constamment dans ta tĂȘte, tous les jours, lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche, dans la semaine, chaque mois, chaque annĂ©e. Il est lĂ , il n'arrĂȘte pas de me baigner et si tu l'Ă©coutes, parfois, tu l'Ă©coutes, d'accord, tu l'Ă©coutes chaque jour. Et le vrai bourreau peut-ĂȘtre que c'est toi, c'est toi-mĂȘme qui es le bourreau. En fait, ce qu'on va faire maintenant, d'accord, et un peu parfois, je dirais mĂȘme aussi sensible, parce qu'on va aller dans les zones, je dirais, qui sont cachotes. Et alors lĂ , on va aller regarder qu'est-ce qui se passe dans cette zone qu'on appelle la cage mentale, lĂ  oĂč, constamment, le bourreau, le gĂ©olier, murmure des choses, n'est-ce pas Ă  ton sujet? Alors, est-, si tu veux, sur ta carte mentale, je t'invite vraiment Ă  faire partie de ce voyage. Alors, le billet d'avion, il est gratuit. Le visa, c'est gratuit, alors le pilote aussi, c'est gratuit. VoilĂ , je veux dire l'avion est prĂȘt, n'est-ce pas, pour dĂ©coller avec toi. Mais il y a une chose que tu dois savoir quand mĂȘme absolument comprendre. C'est cette voix-lĂ , constamment, qui est dans ta tĂȘte. Cette voix-lĂ  qui est constamment dans ta tĂȘte, elle est devenue finalement quelque chose qui est familiĂšre Ă  toi. Elle a un ton familier que tu reconnais trĂšs souvent, elle sait exactement oĂč appuyer, elle rassemble constamment. Elle ressemble justement Ă  ta pensĂ©e. Mais la vĂ©ritĂ©, c'est quoi? C'est ton gĂ©olier qui est toujours lĂ  depuis des annĂ©es. Est-ce que tu sais que ce gĂ©olier, tu le nourris? Il existe en toi, il vit en toi, tu l'adules. Il est devenu finalement ton frĂšre, ton membre de famille, n'est-ce pas dans tes qu'on appelle des croyances nĂ©gatives, toutes ces pensĂ©es qui arrivent, et c'est joli. C'est une voix-lĂ  qui est invisible, qu'on ne voit pas. On ne peut pas le toucher, d'accord, on ne peut pas le toucher avec nos propres mains, mais tu vois ce qui se passe, c'est que tu le vois, toi, peut-ĂȘtre que tu ne peux pas le pointer du doigt, mais tu l'entends constamment, tous les jours. Qui est lĂ , il te dit des choses que tu approuves, il te dit des choses que tu acceptes, il te dit des choses qui sont dĂ©jĂ , des choses pour lesquelles, voilĂ , tu crois que c'est vrai, n'est-ce pas? Et il te dit oh, c'est trop risquĂ©, no-transcript, tu n'es pas fait pour ça, tu n'arriveras jamais. Tu n'arriveras jamais parce que les autres, le regard des autres, ils vont se moquer de toi. Tu n'as pas ce qu'il faut, tu n'as pas les moyens financiers, tu ne peux pas risquer. D'accord, tu devrais attendre un peu, kamal, encore un peu, encore un peu. Et ce peu-lĂ  est finalement devenu un peu, un peu, encore et encore.

Speaker 1:

Et enfin, il te dit les autres, qui sont là, qui ont risqué comme toi, n'est-ce pas? Ils sont meilleurs. Tu ne peux pas te comparer, tu n'as pas d'estime de soi. Alors, pourquoi tu veux t'engager? Est-ce que tu veux te faire insulter par les autres? Est-ce que tu veux te faire, n'est-ce pas, moquer par tes amis qui vont te dire mais qu'est-ce qu'il fait là? Ne risque pas, s'il te plaßt. Et le pire dans tout ça, tout ce qui t'arrive, c'est encore terrible.

Speaker 1:

Le p Et cette voix-lĂ . Tu finis par croire Ă  cette voix-lĂ . Tu crois que cette voix, c'est toi qui parles. Pourtant, non, ce sont des paroles nĂ©gatives et toutes ces croyances limitantes qui sont lĂ , enquistĂ©es, figĂ©es en toi, qui d'aller trĂšs longtemps, alors qu'ils rĂ©pĂštent la mĂȘme cassette tous les jours, comme le mĂ©dia streaming tous les jours en boucle.

Speaker 1:

Ça revient constamment. Tu dis c'est moi qui suis en train de parler Ă  moi-mĂȘme, mais pas du tout. Ce n'est pas le cas ici, d'accord. Mais je vais te dire une chose Le piĂšge de l'identification est simple. C'est joli que je donne ce pal. Il est trĂšs malin. Je vous ai dit dĂšs le dĂ©part qu'il n'Ă©crit pas, il ne frappe personne choses, il chuchote constamment dans ta tĂȘte, Ă  ton oreille, il infiltre ton discours intĂ©rieur tous les jours Et, petit Ă  petit, tu commences Ă  t'identifier Ă  lui en se disant mais non, je suis.

Speaker 1:

C'est moi qui s'en parlais. En fait. Avant, tu disais j'ai peur. Maintenant, tu dis oh, lĂ , lĂ , pardon, excuse-moi. Avant, tu ne dis plus j'ai peur, comme avant. Maintenant, tu dis je suis peureux. Alors, tu ne dis plus je doute.

Speaker 1:

En fait, maintenant, tu commences Ă  te dire je suis un imposteur. Tu vois Ă  quel point, n'est-ce pas, ce joli Ă©tait Ă  condamner. En fait, tu as mis dans une sorte de prison avec plein de barreaux, dans le voyage qu'on a commencĂ©, fait quelques minutes, n'est-ce pas? avec un pilote dans l'avion, qui, la personne qui va t'aider, n'est-ce pas? Ă  t'aider Ă  retrouver la clĂ© pour ouvrir ta prison et en mĂȘme temps aussi Ă  t'aider, n'est-ce pas, de revoir, n'est-ce pas tous ces barreaux qui sont vos pensĂ©es, voilĂ  votre enfance, toutes ces pensĂ©es, qu'on appelle les pensĂ©es limitantes, qui vous habitent depuis trĂšs longtemps. Alors, est-ce qu'on est Ă  la premiĂšre pĂ©riode? Est-ce que tout ne va pas bien? ou bien vous commencez dĂ©jĂ  Ă  sentir comme il y a le genre de bruit, ou bien il y a des vides dans l'air. Alors l'avion va rouler plus vite, mais nous sommes juste, on vient juste de dĂ©coller, d'accord? Alors lĂ , je vais te dire une chose. Tu, d'une chose. Tu ne vois pas la diffĂ©rence.

Speaker 1:

Quand toutes ces choses reviennent dans ta tĂȘte, entre toi et tes limitations, tu te dis non, c'est toi qui parles, mais forcĂ©ment, ce n'est pas toi qui parles, c'est une autre voix qui parle en toi, la voix que tu as crue, n'est-ce pas ĂȘtre une bonne voix? elle est belle, peut-ĂȘtre tu l'aimes encore davantage, d'accord, mais d'oĂč vient cette voix? Parce que la question qu'on devrait se poser, c'est la voix vient d'oĂč? Ça? c'est la vraie question. D'accord, elle vient d'oĂč? Est-ce que ça vient par tĂ©lĂ©pathie, ou bien ça vient par quelqu'un qui l'envoie Ă  la poste ou Ă  partir, n'est-ce pas de, je veux dire d'une cassette, d'un CD, d'un iPod? Ce n'est pas une malĂ©diction, c'est un programme mental que tu as tĂ©lĂ©chargĂ© inconsciemment, tous les jours, par ton Ă©ducation, par des Ă©checs qui sont passĂ©s depuis trĂšs longtemps, par les moqueries, n'est-ce pas? et puis les railleries, les rejets, les blessures.

Speaker 1:

parce que la sociĂ©tĂ©, n'est-ce pas? qu'est-ce qu'elle a dĂ©cidĂ© par rapport Ă  toi? Elle t'a dit que tu devrais ĂȘtre ce que tu devrais ĂȘtre. La sociĂ©tĂ© a dĂ©cidĂ© ce que tu devrais ĂȘtre, esclave de toutes ces pensĂ©es nĂ©gatives, de toutes ces croyances limitantes, de tout ce passĂ© qui est inquistĂ© en toi. Et puis ce programme, chaque jour, tourna en boucle, comme les mĂ©dias socialistes, je viens de le dire, comme les mĂ©dias sociaux. Ça n'arrĂȘte pas constamment.

Speaker 1:

Et cette cassette joue, année aprÚs année, toutes les années. Elle est là. Tu n'arrives pas à lùcher prise. Il est temps maintenant, d'accord, dans ce voyage qu'on est en train de faire, d'avoir, je veux dire, je dis que ton parachute, voilà de pouvoir sauter. Depuis, je ne sais pas, à des milliers de kilomÚtres, il dit maintenant, dans cette cage dans laquelle tu habites depuis trÚs longtemps, c'est fini.

Speaker 1:

Mais la rĂ©vĂ©lation essentielle ici, c'est que le gĂ©olier, ce n'est pas vous. Il vous fait croire que c'est vous, c'est juste un vieux programme que vous avez laissĂ© tourner trop longtemps. Je dis bien quand vous laissez tourner des choses trop longtemps, ça prend une habitude, ça fait plus une liquiditĂ©. Ça devient comme un chingom qui est collĂ© comme un sang-suit. D'accord, tu peux l'Ă©couter Ă  longueur de journĂ©e, oĂč tu peux commencer Ă  dire Oh tiens, maintenant, je vais commencer Ă  me remettre en question, j'ai des choses Ă  faire.

Speaker 1:

Je dois me poser quand mĂȘme des questions qui sont rĂ©elles et vraies. Il doit cesser de croire que cette voix-lĂ  c'est moi. Il faut que je me remette en question. Et si je me remette en question, ce qu'on appelle ĂȘtre intelligent, ça veut dire que je pense. Alors Ce qu'on appelle ĂȘtre intelligent, ça veut dire que je pense. Alors, ça veut dire que quand on pense, ça ne suit pas seulement de penser, mais il faut raisonner. D'accord, quand on se remet en question, on raisonne.

Speaker 1:

Est-ce que toutes ces choses que la société a décidées, est-ce que je les accepte? Est-ce que je les veux dans ma vie? Est-ce que je vais les garder pendant tout le long de ma vie, jusqu'à mourir et continuer à souffrir? Et je vais te faire une confidence. Quand tu commences à prendre la conscience, tu te poses des questions comme celles-ci Est-ce que la voix qui est en moi, qui parle tout le temps, est-elle la voix de la vérité Ou juste une ancienne histoire que je traßne depuis trÚs longtemps?

Speaker 1:

Est-ce qu'elle me protĂšge ou elle m'enferme, est-ce qu'elle m'Ă©lĂšve? ou elle m'Ă©teint En gĂ©nĂ©ral. Elle t'Ă©teint Parce que tu ne peux mĂȘme pas faire la rĂ©vision de ta vie, tu ne peux mĂȘme pas prendre une dĂ©cision que tu aimerais, n'est-ce pas, apprendre dans ta vie. Tu ne peux pas, tu n'es pas chic assez, tu n'es pas aussi intelligent. J'ai peur que tu nous choues.

Speaker 1:

Les gens vont se moquer de toi Et cette voix-là, tu l'as enquistée. Mais comment neutraliser les géolumines mentales? Comment? il faut les neutraliser Pour beaucoup de gens, pour nos sociétés, beaucoup de gens vivent avec ces géolumines. Comment? et c'est simple, la premiÚre chose que tu peux faire, il faut d'abord apprendre à l'identifier. Je vais t'expliquer.

Speaker 1:

Alors, si tu es dans une prison, n'importe laquelle au monde, et que tu veux t'Ă©vader, il faut rĂ©flĂ©chir. Mais il faut se demander est-ce que je connais la prison dans laquelle je me trouve? quels sont les gĂ©oliers? oĂč sont les sentinelles, oĂč sont les portes? comment je peux m'ader? Et si je me vade, est-ce qu'on va me trouver vite ou pas vite? Il faut connaĂźtre l'emploi oĂč on se trouve.

Speaker 1:

Parfois, on est dans la cage, n'est-ce pas? Et la retourne comme un hamster qui est dedans. Un hamster, moi, on ne connaĂźt mĂȘme pas sa propre prison. Alors, quand cette voix-lĂ  parle, il faut que tu la mettes en lumiĂšre. ArrĂȘte d'accord. Donne-lui un nom. Si tu veux Grammatise, n'est-ce pas cette voix-lĂ ? Parce que tu dois tenir le joli, sinon tiens-le, il sera de retour.

Speaker 1:

Le deuxiÚme point, qui est trÚs important Réponds-lui consciemment. Tu peux lui dire merci pour tes propositions, merci pour ton avis, mais j'ai choisi autre chose en ce moment, je ne veux plus t'écouter. Fini la galÚre, fini la prison, fini, n'est-ce pas ce monde dans lequel je me suis fait? j'ai construit, n'est-ce pas? des blocs de terre, des étages. Alors, j'ai vient avec ces pensées négatives que j'ai développées depuis trÚs longtemps, depuis dans ma vie, qui sont enquistées finiment.

Speaker 1:

Maintenant, je choisis autre chose. Je veux ma libertĂ©, je veux commencer Ă  respirer, Ă  vivre tant que je vis, je respire, comme disait quelqu'un. Et la troisiĂšme chose? la troisiĂšme chose qui est aussi trĂšs importante, c TroisiĂšme chose qui est aussi trĂšs importante, c'est que tu dois crĂ©er un discours intĂ©rieur. Remplace, par exemple, je suis nul par je suis en apprentissage. Remplace, par exemple, je vais Ă©chouer par je vais apprendre. Alors, une clĂ© Ă  retenir qui est trĂšs importante Tu n'as pas la voix dans ta tĂȘte, d'accord, pas du tout.

Speaker 1:

Tu es celui qui l'entend. Tu n'as pas la voix dans ta tĂȘte? D'accord, pas du tout. Tu es celui qui l'entend, tu n'es pas la voix dans ta tĂȘte? Tu l'entends? Et qui peut choisir, n'est-ce pas, de ne plus jamais lui obĂ©ir? Et pour ne pas jamais lui obĂ©ir, il faut vouloir s'Ă©vader, sortir de la prison, arrĂȘter, n'est-ce pas, de laisser se mettre lĂ  Ce gĂ© qui est constamment qui vient et qui ne veut pas quitter, parce que le joli ne quitte pas la prison.

Speaker 1:

Il attend que tu le dĂ©masques et que tu prennes ta place Ă  l'extĂ©rieur. Jamais il ne va quitter la prison. C'est son job, il est payĂ© pour ça, il reste lĂ , il garde les prisonniers. Il ne veut pas qu'ils s'Ă©vadent. Mais non, il faut le dĂ©masquer et tu dois connaĂźtre l'endroit oĂč tu habites, la cage dans laquelle tu te trouves pour pouvoir sortir. Je vais te faire une confidence, et la confidence, c'est que chaque chose a une fin. Chaque chose a toujours une fin.

Speaker 1:

Est-ce que tu veux vraiment savoir la vĂ©ritĂ© maintenant? la roue ne va jamais s'arrĂȘter toute seule. Tu dois faire partie des gens qui vont faire arrĂȘter la roue. Quand le lanceur rentre dans sa roue et que ça commence Ă  tourner trĂšs fort, il sue, la sueur coule, il transpire, mais il peut continuer Ă  rouler si la roue ne s'arrĂȘte pas. D'accord, la roue ne va pas s'arrĂȘter seule.

Speaker 1:

Tu dois participer, tu dois donner ta part Et le jour-lĂ , il ne veut pas dĂ©missionner gentiment. Parce que tu es un bon garçon, parce que tu fais pitiĂ©, parce que tu as Ă©tĂ© trĂšs bien Ă©levĂ© par tes parents, parce que ces deux-lĂ , ils aiment ta passivitĂ©, ils aiment ĂȘtre confortables, ils aiment collaborer. Ils se nourrissent, n'est-ce pas, de me collaborer. Ils se nourrissent, n'est-ce pas, de ton silence, de tes peurs et aussi de tes je verrai plus tard. Tu repousses toujours plus tard. Tu pousses Christine plus tard.

Speaker 1:

Mais aujourd'hui, tu sais, tu as vu la roue, tu reconnais la cage, tu as démasqué les géolins, n'est-ce pas? Et surtout, tu as compris que la clé est en toi. C'est pourquoi nous sommes en train de faire ce voyage-là, pour te montrer cette clé qui est juste à cÎté de toi. Et la clé, c'est toi.

Speaker 1:

La libertĂ© ne se demande pas dans toutes les sociĂ©tĂ©s au monde, dans toutes les rĂ©volutions au monde, elle se prend. Si vous restez dans votre milieu, inquiĂ©tĂ©, en train de se vous plaindre Ă  longueur de journĂ©e, vous avez perdu la libertĂ©. Et tout commence par un choix DĂ©sobĂ©ir Ă  ce qui t'a gardĂ© enfermĂ© jusque-lĂ  ou dire Non, fini, maintenant, je vais ĂȘtre libre, libre de mes chaĂźnes culpabilitĂ©, ressentiment, blessure, pensĂ©e nĂ©gative, croyance limitante. Je veux ĂȘtre libre, libre de mes chers. Alors, si cet Ă©pisode-lĂ  que tu viens d'Ă©couter, d'accord, t'as parlĂ©, peut-ĂȘtre, t'as bousculĂ©, t'as Ă©clairĂ© et puis t'as piquĂ©, c'est normal. Alors, n'arrĂȘte pas, n'arrĂȘte pas. J'ai créé, n'est-ce pas? je vais t'Ă©crire Ă  partir de cet Ă©pisode, je vais vous aider, n'est-ce pas, Ă  dĂ©monter votre cage mentale dans laquelle vous allez trouver, piĂšce par piĂšce, et cette cage est entourĂ©e, n'est-ce pas, de beaucoup de bourreaux qui sont invisibles Vos pensĂ©es, vos blessures du passĂ©, vos croyances limitantes, j'en passe.

Speaker 1:

On va continuer le voyage, d'accord, nous sommes presque Ă  la fin du voyage maintenant, afin que nous puissions identifier ces barreaux ensemble. OĂč sont-ils? Pourquoi ils sont invisibles? DeuxiĂšme chose, on va apprendre Ă  dĂ©sactiver le geĂŽlier qui est en vous. Si tu dois t'Ă©vader de la prison, il faut que tu le dĂ©sactives. Il faut trouver des façons pour que ces centenaires n'arrivent pas, n'est-ce pas, Ă  vous filer, sinon vous ĂȘtes morts.

Speaker 1:

Et Ă  la fin, et surtout, on va passer le temps ensemble, pas Ă  pas, n'est-ce pas, Ă  l'action, pour pouvoir, n'est-ce pas, finir par dĂ©monter et dĂ©truire cette roue qui est en toi, mentale, qui tourne comme un hamster. Tu n'es pas seul dans cette cage. Il y en a beaucoup de gens qui sont dans la cage, tu n'es pas seul non plus pour en sortir. D'accord. Alors tu t'es reconnu dans ce que je viens de partager. D'accord, et tu es peut-ĂȘtre comme un hamster.

Speaker 1:

Commande premiĂšrement, s'il vous plaĂźt, sur les rĂ©seaux sociaux, ou mieux, je dirais mĂȘme, partagez. Si vous avez quelqu'un que vous connaissez, qui est enfermĂ© comme vous, d'accord, fermĂ© comme vous, d'accord, sans mĂȘme le savoir, vous pouvez l'aider Ă  se libĂ©rer, parce qu'on ne libĂšre pas les autres tout simplement en les forçant, en les poussant, en les menaçant. Non, pas du tout. On les libĂšre. En attendant quoi? En attendant un miroir et une clĂ©. D'accord, ce que j'ai appris dans ma vie On ne libĂšre pas les gens parce qu'on force. On veut le temps des miroirs Le noir, c'est le reflet mĂȘme de mĂȘme Et une clĂ© pour faire sa sortie, parce que parfois, il ne sait pas que la clĂ© est juste Ă  cĂŽtĂ© Et c'est vous qui ĂȘtes la clĂ©.

Speaker 1:

Alors, merci de m'avoir écouté. Et surtout, je veux faire une confidence Ne jamais retourner dans la rue, ne jamais, jamais retourner dans la rue. Alors, il retourne encore dedans, en chante le vieux, il revient au galop, il dit une maxime ne jamais retourner dedans jamais. Prenez un engagement à la base je ne veux pas retourner dedans, je suis libre. Alors, nous sommes à la fin. Les géoliers, c'est cette voix invisible. Et si le vrai bourreau, c'était toi, il ne te frappe pas, il te freine pas, il te freine, il ne t'effraßne, il ne crie pas, il murmure. S'il te plaßt, partage, partage avec les gens que tu connais, et puis partage cet épisode. Et puis, merci de m'avoir suivi de nouveau, merci pour tes encouragements, et inscris-toi, abonne-toi, like, commente, et puis je je vais les lire, tes commentaires, parce qu'en les lisant, ça me permet davantage, n'est-ce pas, de pouvoir améliorer. D'accord, voilà, cet épisode avec toi, et ça me fera vraiment un grand plaisir. Alors, je te souhaite une trÚs belle journée et à trÚs bientÎt, ciao.

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