
ENTREPRISE & BUSINESS
The best way to get started with something is to quit talking because ââTalking doesnât fly a planeââ. This seems easy at first glance, but moving from words to actions is usually where a lot of us get stuck. Whatever you want to achieve, this is the kick in the pants you need to get to where you truly want to be Itâs doing that makes the difference. DO IT.
How to Quit Talking and Begin Doing?
Step 1. Stop talking.
Step 2. Start planning.
Step 3. Set milestones.
Step 4. Start doing.
Step 5. Fell the pace and keep it up!
Did Walt Disney Say: ââThe Way To Get Started Is To Quit Talkingââ?
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TU ES LIBRE SUR PAPIER đ⊠ES-TU VRAIMENT LIBRE đ§ âSI TON MENTAL TE DIT OĂ ARRĂTER âïž?
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Tu te savoures, sans comprendre pourquoi. Alors, tu as des idĂ©es, tu as de l'Ă©lan, mais au moment d'agir, alors tu te ralentis constamment, tu bloques, tu t'Ă©teins, un petit peu Comme un malade qui est en fin de vie. et ce n'est pas l'apparition. En fait, c'est un signal intĂ©rieur, un bip silencieux, bip qui te rappelle Ă l'ordre, comme la police nous rappelle Ă l' alors, quand on viole un feu ou qu'on est en train de rouler au-delĂ de la vitesse, de la limite de vitesse. Tu repousses constamment, toujours ce qui compte le plus dans ta vie. Tout le temps, tu renvoies tout Ă demain, tout demain. Demain est devenu finalement pour toi quelque chose que tu adores, que tu adules depuis des annĂ©es. Tu sais que c'est trĂšs bien, tu sens que c'est vital, toutes ces choses que tu as dĂ©cidĂ©, mais tu fuis. Tu passes ton temps Ă fuir, comme un canard, comme une oie, n'est-ce pas? qui fuit la personne qui est en face d'elle? c'est ton bracelet mental qui t'empĂȘche de sortir de cette zone, qui t'a limitĂ©. Ăa s'appelle la zone sĂ©curisĂ©e. Tu n'as pas le choix de sortir de lĂ . Tu es n'est-ce pas? sous contrĂŽle? Tu vis dans un monde camouflage. Tu essaies de te cacher constamment. Tu parles, mais tu ne dis pas vraiment ce que tu penses du fond de ton cĆur. Tu souris, mais tu voilĂ , tu es Ă©teint Ă l'intĂ©rieur, comme un petit feu. Tu t'adaptes un tout petit peu, tu Ă©vites tout ce qui peut dĂ©ranger parce que tu as un esprit. Tu as appris Ă se faire petit pour survivre Devant une foule de gens, devant quelques personnes. Tu as choisi le raisonnable et tu t'Ă©teins lentement, lentement, depuis fort longtemps, depuis des annĂ©es maintenant, depuis fort longtemps, depuis des annĂ©es maintenant, parce que, depuis un certain moment de ta vie, tu as enquistĂ© toutes ces paroles limitantes, depuis ton enfance jusqu'Ă aujourd'hui, jusqu'Ă l'Ăąge adulte, d'accord, tout ce que les autres ont dit. Les autres ont dĂ©cidĂ© comment tu devais vivre. Les autres ont dit tu n'es pas capable, tu n'es pas intelligent, tu n'as pas les moyens pour. Alors, toute ta vie est basĂ©e sur les ondilles. Tu es sur les ondilles, tu t'Ă©teins un petit peu. Tu n'es plus le pilote, voilĂ , tu n'es plus le pilote de ton programme. Tu n'es plus le pilote, c'est ton programme. Tu n'es plus le pilote de ta propre vie, c'est ton programme. Qui conduit maintenant Ce programme-lĂ ? c'est ton gĂ©olĂ©e dans la tĂȘte, c'est ce bracelet Ă©lectronique que tu portes depuis trĂšs longtemps. Tu as l'impression de faire des choix, mais en vĂ©ritĂ©, c'est ce que tu rĂ©agis, tu reproduis. Alors tu dirais mĂȘme que tu obĂ©is. VoilĂ , ton bracelet te dicte les limites. Elle n'est pas franchise, elle n' franchir. Et tu l'Ă©coutes chaque fois, parfois inconsciemment, quand il te dit tu veux rĂȘver, mais arrĂȘte, tu ne peux pas, ce n'est pas possible. Mais je vais te donner, je vais te dire une vĂ©ritĂ©. Peut-ĂȘtre qu'il va te choquer, d'accord, mais ce n'est pas ça le but.
Speaker 1:Le bracelet que tu portes lĂ , il n' ton corps, il est lĂ -dedans, il est connectĂ© dans ton systĂšme de pensĂ©e de la maniĂšre que tu penses. Il te connaĂźt du fond de ton cĆur, il te connaĂźt du fond de ton comble. Tant que tu ne vas pas le tĂ©lĂ©-dĂ©sactiver, d'accord, tu ne seras jamais libre. Mais pour toi, la libertĂ©, c'est sur papier. Parce que pour toi, voilĂ , c'est sur papier, mais tu es prisonnier dans ta tĂȘte. Tu es prisonnier ici, Ă l'intĂ©rieur. Tu as laissĂ© ce bracelet vivre en toi depuis fort longtemps. Il est temps maintenant que tu dises Halt, stop. Maintenant. Je connais les symptĂŽmes Et je connais mes symptĂŽmes, et je connais les symptĂŽmes.
Speaker 1:Est-ce que tu vas continuer Ă laisser l'espace, ce bracelet Ă l'intĂ©rieur de toi, ce bip silencieux qui est lĂ , qui te dit que tu n'es pas capable. Tu ne peux pas, oh, lĂ , lĂ , tu ne sais pas. Tu ne sais pas cuisiner, tu ne sais pas chanter, tu ne peux pas Ă©lever tes enfants. Alors, bienvenue, n'est-ce pas, dans parler de ne pas piloter l'avion Ici. C'est l'espace oĂč on essaie davantage de dĂ© toutes les idĂ©es bĂ©antes, limitantes et toutes ces paroles enquistĂ©es en toi, d'accord. Et on essaie aussi d'explorer avec toi toutes les zones qui ne sont pas explorĂ©es, toutes ces barres invisibles de votre esprit, pour vous aider Ă s'en sortir.
Speaker 1:Parce que, si, je sais trĂšs bien que vous ĂȘtes en prison, et cette prison-lĂ , elle dure trĂšs longtemps, mais nous sommes lĂ pour vous aider, n'est-ce pas, Ă pouvoir cheminer ensemble. C'est pourquoi, aujourd'hui, nous allons parler, n'est-ce pas, de tu es libre sur le papier, mais es-tu vraiment libre Si ton mental te dit oĂč t'arrĂȘter? Alors, dans cet Ă©pisode-lĂ , on va mettre, n'est-ce pas, un nom sur ce qui te ressemble. Tu sais, ça va faire mal, c'est parce que le but de moi, c'est de se poser, n'est-ce pas, les schĂ©mas qui sont en toi, les piĂšges, les virus mentaux, et surtout, on va commencer ce que j'appelle l'insurrection intĂ©rieure Ă l'intĂ©rieur, pour que tu arrives Ă t'Ă©vanouir, finalement, Ă sortir de la prison. Alors, s'il te plaĂźt, s'il te pla, Ă©coute cet Ă©pisode au complet, tu ne penseras plus jamais pareil. Prends le temps d'Ă©couter cet Ă©pisode au complet. Jamais tu ne penseras pareil. Alors, on va parler des symptĂŽmes.
Speaker 1:Aujourd'hui DĂ©jĂ , on a parlĂ© du bracelet, on le sait, comment il s'installe dans nos vies, dans ta vie, dans la vie des autres. Maintenant, on va parler de ce qui provoque, quand il est lĂ , parce que ce n'est pas juste une image mentale Ă©lectronique qui est lĂ , d'accord, c'est un systĂšme actif, qui bouge, qui fonctionne, qui insĂ©rer, qui veut pas partir, qui dans nos pensĂ©es intĂ©rieures. LĂ , il est lĂ , Ă l'intĂ©rieur de nous, il a acquistĂ©, il nous paralyse, il nous condamne, il nous juge, il se moque de nous, il montre notre incapacitĂ© Ă faire des choses. Il nous a enlevĂ© toute la confiance. MĂȘme l'estime de soi on n'a plus. C'est un poison lent qui te vole ta joie, ta puissance, ta forme, ton Ă©ducation, tout Sans mĂȘme faire le bruit. Il ne fait pas de bruit, lui, il est tranquille. Il est tranquille comme une voiture Ă©lectrique.
Speaker 1:Tu n'entends plus de bruit quand tu dĂ©marres la voiture. Tu potes ce bracelet depuis trĂšs longtemps. Si tu procrastines, sans comprendre pourquoi, c'est lĂ , si tu t'assoies pour crĂ©er au lieu d'enregistrer, tu crawles tout le temps Et tu veux parler, mais tu t'Ă©teins. Alors tu veux en mĂȘme temps poster, partager, mais tu doutes. Si tu veux lancer Un projet, alors lĂ tu bloques tout le temps, tu es paralysĂ©.
Speaker 1:Ce n'est pas que tu manques de motivation, en fait, c'est un systĂšme intĂ©rieur qui t'interdit, n'est-ce pas, de poser aucune action dans ta vie. Mais c'est de l'esclavage, c'est de la souffrance totale, c'est de la dictature. En fait, ce bracelet Ă©lectronique mental, il t'Ă©dite, c'est ton dictateur. Quand tu le portes, il sabote tout ce qui peut ĂȘtre crĂ©atif, tous les Ă©lans crĂ©atifs qui viennent de toi. Alors, quand tu as une dĂ©primĂ©e brillante, un flash, oh lĂ , lĂ , ça c'est grave, c'est tout un frison dans la colonne. et lĂ , une voix surgit, qui vient de nulle part, de quelque part.
Speaker 1:Mais qu'est-ce que tu fais? c'est pas original, original, tout le monde l'a dĂ©jĂ fait. Mais on a dĂ©jĂ vu ça. De quoi tu en parles et pourquoi tu fais ça? pourquoi? qui donne le droit de faire ça? alors lĂ , tu te dis Ă mĂ©tier, il vient encore de m'Ă©crit, si j'avais posĂ© mon stylo, un fini. Je dĂ©pose mon micro, je le ferme et tout de suite, je la tuer, l'idĂ©e qui Ă©tait dans ma tĂȘte.
Speaker 1:Alors tu commences continuer Ă saboter toi-mĂȘme ton existence, parce qu'il ne veut pas que tu existes. Ce bracelet, ce n'est pas seulement ce qui t'enchaĂźne, mon ami, ce n'est pas seulement ça qui t'enchaĂźne, mais c'est ce qui t'empĂȘche de donner naissance Ă ce que tu portes. Tu portes Ă©normĂ©ment de choses positives que tu n'arrives pas Ă partager Parce que tu as passĂ© tout ton temps Ă s'auto-censurer pour ne pas dĂ©ranger personne. Tu vis sur les autres. Tu veux dire ce que tu penses, ah, mais lĂ , tout te retient tout d'un coup Quand tu penses. Tu veux ĂȘtre vrai, mais tu modules.
Speaker 1:Tu veux dĂ©noncer, s'exprimer, je dirais mĂȘme affirmer, mais Ă chaque mot, tu as cette pensĂ©e qui revient trĂšs souvent. Et ça ne les plaisait pas. Et si je les dĂ©rangeais, et si ils n'aimaient pas ce que je vais dire? Et si je perdais tous ces gens autour de moi? Peut-ĂȘtre que je suis en train de faire tout simplement trop de bruit? Et tu vois lĂ , encore une fois, comment ce bracelet te muselle. Il devient musĂ©liĂšre pour toi. Tu n'es pas libre Et tu n'es plus libre. Tu es devenu finalement diplomate avec ta vĂ©ritĂ© Et pendant que tu fais semblant de prĂ©server la paix, tu dĂ©glares la guerre Ă ton authenticitĂ©, Ă toi-mĂȘme.
Speaker 1:Tu vis dans la peur constante d'Ă©chouer ou de se faire rejeter par les autres, tu n'oses plus Et tu, tu n'oses plus et tu n'oses mĂȘme pas parce que tu as peur de tomber. Mais ce n'est pas la chute qui fait peur pour toi, c'est le regard des autres. Alors, tu vis sur les autres. Qu'est-ce qu'ils vont dire? c'est l'idĂ©e de dĂ©cevoir, de critiquer, de se faire juger. Et tu veux savoir ce qui est tragique par rapport Ă tout ça. Je vais te faire une confidence. Ce qui est tragique par rapport Ă tout ça, tu peux te faire une confidence, ce n'est pas le rejet des autres.
Speaker 1:En fait, c'est que tu as fini par te rejeter toi-mĂȘme, ta personne, ton identitĂ©. Tu as fini par te rejeter toi-mĂȘme Quand tu acceptes toutes ces idĂ©es antistantes en toi, tu finis par te rejeter toi-mĂȘme. Mais oĂč est ton identitĂ©? OĂč est ta prise de dĂ©cision? Et Ă chaque fois que tu dis non Ă toi-mĂȘme pour dire oui aux autres, ton bracelet se resserre d'un cran, ton bracelet Ă©lectronique mental se resserre d'un cran. Ă chaque fois que tu dis oui aux autres et non Ă toi, ce bracelet-lĂ , ce bip, continue. Et le diagnostic final ici, tu ne dĂ©cides plus.
Speaker 1:C'est lui qui te commande, c'est lui qui te dicte comment vivre ta vie. Alors, tu ne fais plus de choix, tu ne crois plus, mĂȘme par rapport aux choix que tu fais. Alors pourquoi? Parce que ça ne marche pas. Et parfois, tu penses que tu fais des bons choix. Mais non. Mais regarde prĂšs, regarde prĂšs, regarde prĂšs auprĂšs de toi, quels sont les bons choix que tu as fait?
Speaker 1:ce n'est pas toi qui choisis, c'est lui qui choisit, c'est ce programme intĂ©rieur qui est en toi qui a dĂ©cidĂ© de choisir ce bracelet mental. C'est lui qui dĂ©cide Ă quel point tu peux briller, jusqu'oĂč tu peux parler. Il t'a donnĂ© mĂȘme les limites, il te contrĂŽle. Tu es dans un cadre bien prĂ©cis. Alors Ă quel rĂȘve tu peux te toucher Et quand il faut reculer, c'est lui qui dĂ©cide De tout De tout.
Speaker 1:Mais j'ai une question pour toi. Je vais te dire quelque chose de trÚs important. Pour moi, c'est une confidence. Et tant que tu ne laisses pas ce programme tourner en arriÚre plan, tu n'es pas libre, tu es télécommandé, tu es conditionné et tu es domestiqué. Tu connais un animal domestiqué dans une maison.
Speaker 1:Mais la bonne nouvelle, c'est que ce programme peut ĂȘtre dĂ©sinstallĂ© par toi, pas en fermant les yeux, pas en disant je m'en fous, pas en disant je veux rien savoir, mais en ouvrant ton esprit. Et c'est justement ce qu'on va faire, n'est-ce pas pour la prochaine partie, le prochain Ă©pisode, parce qu'il est temps de briser les chaĂźnes, de sortir la cage et de cesser de tourner, n'est-ce pas, dans le roue comme un hamster, de réécrire ton code et de te rappeler d'une chose la seule vraie autoritĂ© sur ta vie, ce n'est pas moi, ce n'est pas les autres, ce n'est pas la clĂ©, ce n'est pas le cadenas, ce n'est pas la cage, mais c'est toi. C'est toi.
Speaker 1:Alors, en conclusion, alors tu sais, maintenant que tu le portes ce bracelet, il est mental, c'est un systĂšme qui est intĂ©rieur, il est lĂ , il existe, il est guidĂ©, n'est-ce pas? Il a guidĂ© tous tes choix depuis fort longtemps. Il t'a dictĂ© encore, il dĂ©tecte ton rythme de vie, il contrĂŽle mĂȘme ton expansion. Mais ce bracelet, peut-ĂȘtre que tu ne le sais pas. Il y a une faille Ă©norme. Il ne peut pas rĂ©sister Ă ta dĂ©cision.
Speaker 1:La journĂ©e oĂč tu vas dĂ©cider, tu vas dire Finis ce bracelet, je prends un engagement, je me conforme Ă mon engagement et je refuse que ce bracelet continue Ă me dominer. C'est cette journĂ©e-lĂ qui va ĂȘtre une des plus grandes journĂ©es de ta victoire, de la reconstruction de ta vie. D'accord, parce qu'il n'est jamais trop tard. Il n'est jamais trop tard, jamais tu peux rester lĂ oĂč tu es, dans cet espace qui est connu par toi, dans ce confort qu'on appelle, n'est-ce pas, vie, mais qui est parfois juste une belle prison mentale que tu as bien dĂ©corĂ©e. Tu peux continuer, n'est-ce pas, Ă faire mine en disant mais voilĂ , moi je m'en fous. Peut-ĂȘtre que tu n'oses pas regarder le problĂšme en face.
Speaker 1:Alors tu veux continuer à appeler ça raisonnable, mais ce n'est pas raisonnable, parce qu'ici il y a un problÚme, d'accord. Ou bien tu peux activer aujourd'hui une insurrection mentale et dire alors, c'est fini. Voilà , j'ai décidé que c'est fini. C'est fini. Je ne veux plus reculer maintenant. Je ne demande plus la permission, je ne veux plus vivre 40% de mon temps, de ma lumiÚre, en la donnant à quelqu'un d'autre. Plus jamais je vais réallumer ma torche intérieure.
Speaker 1:Alors tu peux dĂ©cider que ton cerveau ne sera plus une prison, mais un terrain d'envol. Tu peux choisir de briser la laisse et de courir vers la victoire, et tu peux t'Ă©vader. Parce que j'ai appris une chose Il y a des types d'hommes dans ce monde, ceux qui s'adaptent Ă des rĂȘves, Ă leurs rĂȘves, qui sont Ă la cage, et ceux qui disent non, je vais faire exploser la cage, je veux ma libertĂ©. De quel cĂŽtĂ© te trouves-tu Alors, si c'est pour ça que tu as bousculĂ©, kik, piquiner, dĂ©ranger, Ă©clairer, ou bien je dirais mĂȘme piquer au vif, c'est normal.
Speaker 1:Mais ne t'arrĂȘte pas lĂ , parce que moi, j'ai créé une masterclass, que je vais donner plus tard, qui va dĂ©monter, n'est-ce pas, piĂšce par piĂšce, excuse-moi, tous ces barreaux-lĂ , tous ces barreaux, on sera capable, n'est-ce pas? on sera capable, n'est-ce pas, de les identifier mĂȘme si ils sont invisibles. On va apprendre, n'est-ce pas, Ă dĂ©sactiver les gĂ©oliers et, surtout, Ă passer Ă la leçon ensemble, pas Ă pas. Alors, tu n'es pas le seul qui vit, n'est-ce pas, dans cette situation. Il y a beaucoup de gens, comme toi, d'accord, qui vivent lĂ .
Speaker 1:Alors, merci de m'avoir éc désactivée ton bracelet. Si tu te plais, par exemple, partage et veille la conscience. Alors, partage à ton tour. Commande sur les réseaux sociaux. Ou mieux, partage aussi, si tu as besoin, avec quelqu'un que tu connais, qui est enfermé, comme toi, sans le savoir. Et puis, surtout, ne te rendors pas. Ta liberté commence maintenant.
Speaker 1:Une chose que j'ai apprise dans ma jeunesse par mes parents on ne libĂšre pas les autres en les forçant, on les libĂšre en leur tendant un miroir, une clĂ©. Je suis lĂ pour ça. Je suis lĂ pour qu'ensemble, nous puissions trouver des solutions communes et que tu puisses ĂȘtre libre de tous ces barreaux invisibles, toutes ces pensĂ©es limitantes qui sont en qui, c'est en toi, d'accord? Alors, la deuxiĂšme chose que je vais te dire on est terminĂ© Et n'oublie pas de partager, de s'abonner davantage et de partager aux autres, parce que votre succĂšs, c'est aussi mon succĂšs, en mĂȘme temps. D'accord, je vous aime, je vous aime. C'est trĂšs intĂ©ressant, n'est-ce pas ce que je vous apporte comme Ă©lĂ©ment, je veux dire de langage, mais Ă©lĂ©ment, n'est-ce pas trĂšs important, instructif pour votre libĂ©ration, pour la sortie de cette prison dans laquelle vous vous trouvez. Alors, je vais te faire une confidence.
Speaker 1:Pour finir, tu connais ce que je vais te dire, parce que je venais de te dire, n'est-ce pas? depuis longtemps? tu es libre sur le papier, mais es-tu vraiment libre si ton mental te dit oĂč t'arrĂȘter? Est-ce que tu es vraiment libre? Est-ce que la libertĂ© veut dire que ton mental te conduit, te dirige, te dicte Quoi faire, ou tu te dis je vais m'Ă©vader et je vais sortir de cette prison. Je vais finir par sortir de cette prison. Je vais ĂȘtre une femme et un homme libre, libre de mes chaĂźnes, libre de tout. Il n'est jamais trop tard. Mon nom, c'est Paul Mblaise Et, encore une fois, merci pour le prochain Ă©pisode Et Ă trĂšs bientĂŽt, ciao.