Ceci n'est pas du coaching

Épisode #1 - Leadership & IA: Trouver l'Équilibre

October 11, 2023 François Deschamps Season 1 Episode 1
Épisode #1 - Leadership & IA: Trouver l'Équilibre
Ceci n'est pas du coaching
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Ceci n'est pas du coaching
Épisode #1 - Leadership & IA: Trouver l'Équilibre
Oct 11, 2023 Season 1 Episode 1
François Deschamps

Bienvenue dans l'épisode 1 de notre tout nouveau podcast, Ceci n'est pas du coaching. Dans cet épisode inaugural, notre hôte, François, vous emmène dans un voyage fascinant à travers le monde des affaires et de la croissance personnelle. Pour inaugurer ce podcast, François invite un invité spécial, Nathan, à se joindre à la conversation.


Nathan St-Hilaire, co-propriétaire de l'agence Bronko Marketing, apporte une richesse d'expérience et d'idées au podcast. Sa perspective unique et ses connaissances approfondies enrichissent la discussion, offrant des idées précieuses pour vous auditeurs.


Au cours de cet épisode, François et Nathan discutent de l'équilibre entre travail et vie personnelle, les compétences en communication, l'intelligence émotionnelle en affaires et d'autres sujets intéressants. Cette conversation inaugurale vous donne un aperçu de ce à quoi vous attendre dans les épisodes futurs.


Rejoignez-nous pour ce voyage captivant à travers les défis et les triomphes du monde des affaires. Abonnez-vous pour ne pas manquer nos futurs épisodes et pour rester inspiré.


Nous attendons vos commentaires et suggestions d'invités pour nos prochains épisodes. Merci de vous joindre à nous pour cette passionnante conversation.


Pour nous suivre sur nos autres plateformes :

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Pour suivre notre invité :

► Bronko Marketing : https://www.linkedin.com/company/bronko-marketing-inc/?originalSubdomain=ca 
► Linkedin : https://www.linkedin.com/in/nathan-st-hilaire-7067b717b/?locale=fr_FR

Pour suivre le podcast et votre animateur François Deschamps :

► François Deschamps : https://linktr.ee/francoisdeschamps
► Facebook : https://www.facebook.com/fdcoachneurosciencesappliquees
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► Youtube :https://www.youtube.com/@francoisdeschamps996
► Instagram : https://www.instagram.com/francois_deschamps_coach/
► Tiktok : https://www.tiktok.com/@francois_deschamps_coach


🎬 Production : GB Studio - https://www.gbstudio.ca/

📣 Marketing : Bronko Marketing Inc. - https://brkm.ca/

Show Notes Transcript

Bienvenue dans l'épisode 1 de notre tout nouveau podcast, Ceci n'est pas du coaching. Dans cet épisode inaugural, notre hôte, François, vous emmène dans un voyage fascinant à travers le monde des affaires et de la croissance personnelle. Pour inaugurer ce podcast, François invite un invité spécial, Nathan, à se joindre à la conversation.


Nathan St-Hilaire, co-propriétaire de l'agence Bronko Marketing, apporte une richesse d'expérience et d'idées au podcast. Sa perspective unique et ses connaissances approfondies enrichissent la discussion, offrant des idées précieuses pour vous auditeurs.


Au cours de cet épisode, François et Nathan discutent de l'équilibre entre travail et vie personnelle, les compétences en communication, l'intelligence émotionnelle en affaires et d'autres sujets intéressants. Cette conversation inaugurale vous donne un aperçu de ce à quoi vous attendre dans les épisodes futurs.


Rejoignez-nous pour ce voyage captivant à travers les défis et les triomphes du monde des affaires. Abonnez-vous pour ne pas manquer nos futurs épisodes et pour rester inspiré.


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🎬 Production : GB Studio - https://www.gbstudio.ca/

📣 Marketing : Bronko Marketing Inc. - https://brkm.ca/

Bienvenue dans le podcast captivant, Ceci n'est pas du coaching. Ici votre animateur François Deschamp. On explore ensemble la liaison fascinante entre la science cognitive et le développement professionnel dans le monde des affaires. Avec une approche unique et clairée, ce podcast vous amène dans un voyage passionnant à la découverte de votre voie unique en affaires. Bonjour tout le monde. Ici François Deschamps. C'est vraiment un immense plaisir pour moi aujourd'hui de vous accueillir dans ce nouveau podcast qui va être lancé très bientôt. Donc, podcast qui s'adresse aux entrepreneurs, aux gestionnaires en entreprise pour en apprendre davantage avec l'approche de la neuroscience, neuroscience appliquée, sur des éléments fondamentaux pour vous permettre de vous réaliser pleinement entièrement et découvrir votre voie unique en affaires. Donc, je suis vraiment fébril à l'idée de lancer cette série de podcasts et j'ai pensé aujourd'hui à inviter quelqu'un, puis on va s'amuser, lui et moi, par personnes interposées, à approfondir davantage le sujet, que le titre, bien entendu, du podcast « Ceci n'est pas du coaching », vous en livrez davantage et vous permettent de mieux visualiser et de mieux voir qu'est- ce qui s'en vient à l'intérieur des différents podcasts avec des personnes invitées à chaque fois pour mettre en relief des aspects humains, relationnels, des entrepreneurs hommes et femmes et également de leurs compétences qui les amènent à avoir du succès et même à l'occasion des insuccès, et comment ils s'estirent d'affaires et comment ils apprennent des leçons à l'intérieur de leurs activités d'affaires à faire pour grandir, se relever de mauvais coups et d'accomplir des coups de circuit, si je prends un terme de baseball. Aujourd'hui, j'ai le plaisir d'accueillir avec moi Nathan Saint-Hilaire de Bronco, c'est bien ça? Absolument. Salut François, comment ça va? Ça va très bien. Même chose pour toi? Absolument. Une belle journée, une belle journée occupée. On les aime comme ça en business, il faut que ça roule, il faut que ça yale, il ne faut jamais qu'il y ait de temps morts. Oui, c'est ça, se tenir occupé, puis de bien faire les choses, puis aussi de pouvoir écouter la personne qu'on est et notre besoin vital et viscéral de s'accomplir, de se réaliser. Absolument, s'accomplir, se réaliser, c'est des bons objectifs à titre d'entrepreneur, mais aussi, on oublie souvent l'équilibre. Je pense que justement, dans ton podcast, ce qui est le fun, c'est qu'on explore des aspects clés, des aspects fondamentaux des entrepreneurs. Souvent, on va passer sur c'est quoi les compétences qu'on met en relief en entreprise? C'est quoi le rôle que ça joue dans nos vies? Par exemple, pour moi, en entreprise, une des difficultés que j'ai, c'est au niveau de l'équilibre, comme bien des entrepreneurs, c'est d'équilibrer la relation avec le travail, la vie personnelle, les amours, la famille. Ça, c'est quelque chose qu'on pourra explorer au cours du podcast. C'est quoi le rôle que l'équilibre joue dans ma vie? C'est difficile souvent, puis je pense qu'il y a plein d'entrepreneurs qui vont pouvoir relate, pour dire un terme anglophone, à ce sujet- là. François, j'ai hâte qu'on en discute, j'ai hâte qu'on parle de ton podcast. Je suis sûr que ça va bénéficier à plein d'entrepreneurs. Moi, personnellement, j'ai 25 ans, j'ai 20 ans. Je pense que c'est un podcast qui peut s'adresser de 16 ans à 75 ans, les entrepreneurs en phase de démarrage, les entrepreneurs accomplis, eux autres en croissance, peu importe où ils sont dans leur vie, je pense que ça peut leur parler, ils peuvent trouver des aspects clés pour grandir, pour croître en entreprise, puis ultimement, croître également au niveau personnel. Tout à fait. Tu touches à un point important, le fameux équilibre. Le fameux équilibre, on entend souvent parler de vivre dans le moment présent, mais de vivre dans le moment présent, on vient de sortir à peine, il y a encore des reliques de la fameuse pandémie, là où c'est venu bouleverser, chambarder nos vies, chambarder l'économie également. Ça continue parce que ce que la COVID a provoqué, c'est une série de changements qui s'est mis en place plus rapidement que le temps usuel aurait apporté et nos vies sont affectées davantage de technologie, davantage de intelligence artificielle. On parle de pénuries, de raretés de main- d'œuvre et on voit ce qui se passe à l'échelle planétaire. Donc, on est en plein processus de grands changements, de bouleversements. Et là- dedans, c'est facile de s'y perdre et d'oublier ce que tu viens de mentionner, de conserver son équilibre. Absolument. Moi, c'est particulier dans mon milieu, entre autres, qui est en marketing numérique. On a connu une croissance dans la durée de la pandémie de 10 ans en trois mois au niveau du commerce en ligne. Je ne parle pas principalement de l'entreprise, je parle de mon milieu où ça s'est diversifié sur tous les canaux. Les canaux de communication possibles. On va parler des médias sociaux, on va parler de la publicité en ligne, on va parler du commerce en soi, de la vente de produits, de la vente de services. Les entreprises n'ont pas eu le choix de s'adapter. Dans un contre- balan, ce déséquilibre- là que ça a créé au niveau de la société, c'est que « first », ça m'a créé justement... Ça a créé un emploi. Nous autres, on est nés durant la pandémie. Ça a créé mon entreprise. C'est le fait de surfer sur cette vague- là du numérique, mais aussi ce que ça a créé, c'est un monstre au niveau des problèmes neurologiques, des problèmes comportementaux de la société. L'isolement, l'échange, les relations entre entrepreneurs, ça a été très difficile pour moi et pour des collègues, parce qu' on a perdu le human touch. On a perdu la possibilité de faire du PR, de s'en aller sur le terrain, de serrer des mains, de voir des sourires. Le switch vers le virtuel a été très difficile parce que pour les gens qui sont en vente comme moi, les gens qui sont en communication, ça nous prend ça pour triver, ça nous prend ça pour s'élever au- dessus de la mêlée. Il faut rencontrer des gens, on apprend des gens, on grandit à travers les leçons qu'on apprend, puis on ressent les émotions des autres aussi. On le sait tout en vente. Le feeling d'avoir quelqu'un à l'autre bout de la table, puis qu'on sait soit qu'il est désintéressé ou qu'il est « into it », qu'il a le goût d'aller dans un deal, tu le sais tout de suite avec le ressenti. En virtuel, c'est pratiquement impossible. Ça crée une espèce d'écran de fumée. Quand ça a redescendu, parce qu'on est rendu loin un peu de la pandémie, mais quand ça a redescendu, le renouveau, le nouveau souffle que ça a créé, premièrement, mon milieu a été renforcé parce qu'il a été compris durant la pandémie, l'importance de tout ça a été compris. Je pense que ça a permis aux gens de réaliser la valeur non seulement du numérique, mais des relations humaines vraiment de manière beaucoup plus poussée et puis on revient à l'équilibre. L'équilibre des relations humaines, le fait de faire une scission dans la société entre le fait de ne plus pouvoir voir les gens, cette scission-là a créé des manques. Je pense que là, on est tombé en excès suite à le retour de la pandémie. Puis là, il y a comme un débalancement qui s'est fait. Il y a un rebalancement qui s'est fait pour dire que les gens reviennent à la normale. Je le ressens dans mes communications en affaires. Je le ressens dans tout ce que je fais. Je entretiens, autant au niveau du numérique que du présentiel. Les gens craivaient ce sentiment-là de revenir à la normale. Je pense que le retour du balancier s'est fait. Maintenant, on remet toutes les choses en perspective. En ce moment, dans la société, c'est plus difficile au niveau financier. On est dans une récession. Au niveau de la pénurie de main-d'œuvre, c'est plus difficile. Moi, je le ressens au niveau des besoins des entreprises également. Oui, ça a soulevé beaucoup de points. Je pense que le retour de l'équilibre fait un grand bien, mais je pense qu'il y a beaucoup d'entrepreneurs qui ne sont pas revenus. Entre autres, moi, ça a été très difficile de retrouver le ballon parce qu'on a pris des habitudes, des comportements qui ont été quand même assez ancrés dans nos relations. Être à la journée longue devant un ordinateur, tu ne peux pas effacer ça du jour au lendemain quand ça fait deux ans que tu es là. C'est excessivement difficile de couper dans le sport, dans les activités physiques, dans les relations familiales et amitiés. Là, je commence à voir un peu la lumière au bout du tunnel, de me dire que c'est possible de revenir en arrière, mais ça a laissé des marques, ça a laissé des cicatrices. Tu le sais comme moi, François, au niveau neuronal, il y a des blessures qui sont très difficiles à effacer. Elles sont difficiles à effacer, à compenser, à compresser. Dans ce que tu viens de soulever, il y a plusieurs points, Nathan, qui sont cruciaux à mes yeux. Oui, la pandémie, oui, l'impact au niveau des gens, mais imaginons au niveau de nos enfants. Parce qu'en bas âge, il y a toute la formation de l'esprit, du mindset qui se forme chez l'enfant, puis qui est prédominant. E ntre l'âge de 0 à 7 ans, la science démontre que 80% de la personne dans sa vie adulte, son cerveau, ses croyances, ses pensées, ses valeurs, ses comportements sont issus de ces sept premières années- là de sa vie. C'est vraiment majeur. E ntre 7 et 20 ans, ça va compter pour un autre 10-15%. Là- dessus, ça a un impact et. Également, dans ce que tu soulèves, tout dépendamment du secteur d'activité, tu es dans un secteur d'activité où vraiment la présence, la relation humaine, comportementale de personne à personne revêt un volet particulier, différent. Il y a d'autres secteurs, parce que comme consultant, coach, formateur, j'ai des clients dans tous les domaines, il y a d'autres domaines que ça a permis de faire émerger le business. Donc, d'une activité commerciale à une autre, c'est relatif. Il faut considérer que dans un monde idéal, c'est un équilibre dans toutes les sphères d'activité économique. Si c'est une activité économique qui est en difficulté, inévitablement, sur la chaîne, on peut parler d'une chaîne d'approvisionnement, mais sur la chaîne, il va y avoir une rupture à quelque part. Donc, c'est important d'avoir bien en vue cet équilibre-là. Également, dans ce que tu mentionnes, moi, ça m'amène à une étude qui a été faite par une firme spécialisée en RH, c'est la firme Robert Half. Au mois d'août 2019, cette firme-là a fait une étude nord- américaine sur les compétences, puisqu'à l'intérieur du podcast « Ceci n'est pas du coaching », on parle de mettre en relief des compétences. Robert Half a identifié cinq top compétences pour les 10 prochaines années. Il disait en 2019, pour 2020 à 2030, voilà les cinq top compétences les plus prisées, les plus recherchées en entreprise et la première top compétence, c'était la pensée stratégique. La pensée stratégique, je fais le lien directement avec le changement qui est provoqué par la pandémie. La pensée stratégique, c'est de sortir des horizons connus et d'aller vers l'inconnu. Ce que tout le changement provoque actuellement, c'est d'aller vers l'inconnu. Parce que j'arrive et si j'essaie comme entrepreneur de gérer mon avenir au niveau de mon entreprise avec une pensée, avec des croyances, avec un mindset d'avant la pandémie. Ça ne marche pas parce que tout était en train de changer à vitesse grand V. Donc, je me dois de développer cette pensée stratégique-là, de penser différemment. D'ailleurs, Einstein disait « La folie, c'est de répéter jour après jour les mêmes gestes, puis de penser à avoir des résultats différents.» OK? Donc, je pense que ça, c'est important pour innover, pour aller plus loin, pour créer, sortir de notre mindset traditionnel, aller voir ailleurs, aller voir ailleurs ce qui se passe, de remettre en question nos modèles d'affaires, de remettre en question notre business model, de se prendre et de se projeter dans l'avenir, un peu comme le font les écrivains de films de science- fiction. Ils se projettent dans l'avenir, puis ils vont voir plus loin. Comme par hasard, tu regardes par exemple certains livres ou certains films, tu te dis « Écoute, on est rendu là.» Absolument. Comme l'intelligence artificielle, tu en parlais tout à l'heure, c'est capoté. Au niveau de la pensée stratégique, du connu vers l'inconnu, de mettre en place des systèmes d'optimisation qui vont faire en sorte qu'on ne répétera pas les mêmes patterns qu'on avait avant, puis qu'on va s'en aller vers des processus qui sont plus optimisés. Parce que le boom que ça a créé technologiquement parlant les dernières années, c'est exponentiel. C'est dans mon milieu en particulier, qui est en marketing web, personnellement, j'utilise fortement l'intelligence artificielle à tous les jours. À tous les jours, j'utilise l'intelligence artificielle. Souvent, les gens vont prendre ça de mauvais œil, mais l'intelligence artificielle, ce que les gens comprennent, c'est que c'est comme un cerveau dans un bocal. Il pense plus vite que toi, rationalise plus vite que toi, il accède l'information plus vite que toi. Il est capable de prendre une pensée. En fait, c'est la transformation d'un modèle de pensée. Moi, j'ai une idée, je veux l'explorer. Pourquoi est-ce que l'intelligence artificielle ne peut pas m'aider à atteindre mon objectif? En faisant la recherche, pour moi, mon thinking avec l'intelligence artificielle, c'est« Be the laziest you can be, u ntil you can be the best you can be.» Lazy anymore.» Tu poses ta question, tu fais du retour en engineering, puis là, tu t'atteins à un objectif précis. Au niveau de la pensée stratégique ou ce que ça m'amène tout cela, c'est que oui, il y a un niveau d'équilibre aussi. Il y a un équilibre, mais je vais avoir entre les nouvelles méthodes de pensée puis les anciennes. Ce n'est pas vrai que je vais remplacer du jour au lendemain toutes mes méthodes avec les téjons artificiels. Je m'en sers comme un outil, comme un levier, parce que c'est un outil qui est disponible. De ne pas l'utiliser, c'est dire à mes clients « Moi, ça me tente pas que ça prenne moins de temps à réaliser vos affaires parce que j'ai des outils plus performants.» J'ai utilisé ces outils- là, je permets mes clients de bénéficier d'autres services supplémentaires, puis eux autres qui prenaient plus de temps avant, là, ils sont considérablement réduits en temps de production. Moi, de mon côté, j'ai réduit mes temps de production. Mes clients, ils en bénéficient parce que je peux investir dans d'autres projets. Après ça, j'ai une équipe autour de moi qui valide l'intelligence artificielle, ce qu'elle dit, parce que si tu ne valides pas tes concepts et tes principes que tu utilises avec l'intelligence artificielle, tu fais tout simplement faire confiance à la machine, puis à un moment donné, il y a des limites à tout ça, il y a un équilibre. Tout à fait. On pourrait sortir plein d'exemples, mais je regarde une entreprise qui est disparue de grande envergure, puis on n'est pas le même âge toutes les deux. Je tiens légèrement quelques années en avant sur toi. Sears ont inventé le catalogue. Oui, le fameux catalogue Sears. Ils ont oublié de le mettre en ligne. Ils sont là à faire ta règle. Quand ils y pensent. Ils ont inventé un moyen incroyable. C'est la pensée stratégique, l'utilisation des technologies que tu dis aujourd'hui, il ne faut pas se fermer à l'idée de son soi- même, de « je me moelle » et d'ouvrir son esprit, puis d'utiliser à bon escient les technologies, l'intelligence qui est là pour pouvoir créer une réponse favorable afin de répondre adéquatement aux besoins des consommateurs. Donc, on est rendu là aujourd'hui. La pensée stratégique, c'est vraiment un gros must. J'arrive à ma deuxième top compétence. Vas-y donc. Le leadership. Le leadership, comme je disais, le podcast s'adresse essentiellement aux entrepreneurs puis aux gestionnaires en entreprise, mais comment on assume notre leadership? Comment notre leadership est inspirant et non pas aspirant? Parce que dans le tumulte aujourd'hui de la pression, du stress, de la production, de la performance, de répondre aux attentes, le fameux « just in time » de il y a quelques années passées qui est toujours encore très présent dans notre mindset, dans notre esprit. On veut faire vite, mais faire vite et faire bien, puis faire vite et faire mieux, ça ne matche pas toujours ensemble. Donc, sans m'en rendre compte, je peux me laisser prendre au piège dans ce jeu- là du stress, il faut le prendre avec une pincette, mais dans ce jeu- là du stress, de tomber dans ce piège- là, puis finalement, je suis un propre saboteur de mon entreprise en exerçant un leadership où j'exerce beaucoup de pression, où mes employés cadres, où mes employés terrains, mes employés usines vont casser sous la pression. Là, je suis constamment en mode recrutement, puis recrutement, puis recrutement, puis je mets de l'argent, puis je mets des efforts, puis je mets du temps. Finalement, je fais du sur place, je n'avance pas. Donc, d'assumer un leadership qui est inspirant, qui est structurée, qui est organisée et qui est alignée sur les personnes qui composent notre société aujourd'hui. Dans les années 60-70, les gens disaient« Je suis chanceux, j'ai un job.» Donc, il y avait probablement cinq personnes de disponibles pour un emploi, peut- être même dix. Aujourd'hui, on est à l'inverse. Et il y a un développement sociétal qui est arrivé aussi, donc les familles beaucoup moins nombreuses que dans les années 50-60. Aujourd'hui, le niveau de scolarité est beaucoup plus grand, beaucoup plus élevé, ce qui fait qu'on se retrouve demain des personnes qui sont curieuses, qui ont développé un niveau d'intelligence, de curiosité pour aller plus à fond. Ce n'est pas des personnes qui veulent obéir à des ordres et des commandes. Ils veulent être impliqués, mieux connaître, mieux savoir où on s'en va, comprendre comment ça fonctionne, puis de participer et de contribuer d'une façon différente. Mais si mon leadership est resté attaché à la période des dinosaures, donc à faire des choses mécaniques, artisanales, c'est sûr que je ne serai pas inspirant. Je vais être aspirant, puis je vais me faire du sabotage moi- même. Ça, c'est une compétence qui est hyper importante à acquérir, à développer. Je suis d'accord, puis je vais surfer là- dessus, François, parce que moi, je viens d'un milieu familial où mon père était un entrepreneur, entrepreneur qui a malheureusement pas réussi. Ça, je veux dire, on a plusieurs histoires comme ça. On n'en parle pas souvent, on ne les entend pas, ces histoires-là, souvent, mais moi, il n'a pas réussi, puis j'ai eu un mauvais exemple de ce que c'est être en affaires. Tu comprends? Moi, à l'âge de 10 ans, je travaillais déjà. J'ai toujours été dans le travail, j'ai toujours été entrepreneur. Avant de lancer ma business, j'étais un entrepreneur. Moi, quand je travaillais dans une business, c'était comme si c'était la mienne. Les fenêtres, il faut qu'elles soient lavées, le devant de l'entrée, il faut qu'elles soient propres, les clients, il faut qu'ils soient bien servis, il faut que ça look good. Il faut que la business fasse « Je suis fier de travailler là », puis il faut que ça paraisse comme ça. Ça, j'ai amené ce thinking-là d'indépendance, du fait que les propriétaires d'entreprises me respectaient, puis me faisaient confiance, je l'ai amené dans mon entreprise. Ça, c'est un comportement qui est excessivement difficile à s'enlever de la tête, de se dire « On est autonome, on est indépendants, on fait tout soi- même », puis d'avoir des employés. J'ai 25 ans, il faut que je deal avec le fait que j'ai des employés qui sont plus vieux que moi, qui sont dans la trentaine, dans la quarantaine, dans la cinquantaine. J'ai des pigistes autour qui sont plus vieux que moi, qui ont plus d'expérience, puis c'est moi qui ligue le bateau. Il faut que j'apprenne justement à dire « Mon leadership, c'est quoi? Comment il faut que je m'adapter? C'est quoi les questions qu'il faut que je pose? C'est quoi l'attitude qu'il faut que j'aille avec cette personne-là, il faut que je les comprenne? La communication, c'est la clé. Il faut que tu saches comment cette personne-là va réagir, ce que tu dis comment, c'est quoi les mots qu'il faut que tu utilises, c'est quoi la couleur qu'il faut que tu ailles avec cette personne-là pour être en mesure d'atteindre tes objectifs, puis qu'elle, à travers le processus, s'accomplisse, qu'elle ait de la gratitude envers tout ça, puis que la passion soit au rendez- vous. Moi, ça a été difficile de faire la scission, puis j'ai encore souvent de la difficulté de demander de l'aide quand tu as été si longtemps laissé seul. Tu comprends ce que je veux dire? Tant au niveau familial qu'au niveau entrepreneuriat, qu'au niveau travail, j'ai toujours été un solitaire, quelqu'un qui n'avait pas beaucoup d'amis, qui avait de la misère à l'école avec l'entourage, quelqu'un qui était laissé de côté. Ça, ça l'a stiqué avec moi. Là, je suis en train de travailler sur mon éclipse en « Quand est- ce qu'il faut que je travaille seul? Quand est- ce qu'il faut que je travaille en équipe?» C'est quand que ça a leur place? L'équilibre, le leadership, c'est quelque chose qui vient de l'entreprise. Il y a beaucoup de gens, je pense, qui vont comprendre ce que je veux dire. Des fois, on se dit « Ça va être mieux si c'est moi qui le fais. Je fais tout moi- même.» Mais ça, ça ne nous mène nulle part parce que quand tu es le maître d'œuvre à bord, il n'y a rien qui s'est accompli. Tu es tout le temps dans le jus, tu n'as jamais de temps pour faire du développement des affaires. Tout passe par toi, puis la seconde que tu tasses de l'équation, il n'y a plus rien qui fonctionne Puis ça, c'est pas le même qu'on permet à une entreprise de croître, à mon avis. Très intéressant ce que tu soulèves. C'est un trait de caractère qui est présent chez beaucoup d'entrepreneurs, comme tu viens de le mentionner. Quand je parle à l'instant de leadership, il y a du leadership d'équipe, mais il y a un leadership de soi- à- soi. Comment j'exerce mon propre leadership sur moi- même? De prendre ma vie en main, de prendre mes responsabilités, de faire comme tu es en train de le faire, d'établir un constat d'égard « Attends un peu, mon John.» On se parle en face, on se regarde dans le miroir, puis je m'en vais où avec ça? Ça va m'apporter quoi de continuer dans un mode de fonctionnement comme celui- là, en étant très dur, très sévère envers soi- même, pour faire preuve de souplesse quand même, puis se regarder dans le miroir, puis se dire « Que t'es beau François, ce matin, je t'aime beaucoup.» Mais de prendre de la douceur, mais de la douceur avec une certaine forme de clarté, une certaine forme d'intégrité envers soi- même, de faire les mises au point, de faire les mises à niveau, de resetter le système. Parce que dans ce que tu dis, dans tes apprentissages, tu as été souvent laissé à toi- même, tu as appris par toi- même, tu as appris sur le temps. Quand tu arrives, je parlais du 0 à 7 ans, du 7 à 20 ans, tantôt, tu arrives dans une vie adulte, qu'est- ce que tu fais? Tu répètes le modèle dans lequel tu as grandi. C'est sûr. La prise de conscience. Vous allez m'entendre parler de la prise de conscience, mais la prise de conscience, le fait d'être conscient d'un fonctionnement ou d'un dysfonctionnement, attitude, comportement, c'est là où commence le changement. Tant que je ne suis pas conscient, puis là, tu en es conscient, tu te dis « Je fais des efforts, je m'aligne là-dedans, je m'en vais là- dedans. À partir du moment où tu es conscient, la grosse job sale commence. C'est le changement, c'est de faire les efforts, de répéter, de répéter, de répéter. Les nageurs olympiques, ils ne gagnent pas une seconde comme ça dans un claquement de doigts. Ils vont répéter, répéter, approfondir le technique, puis ils vont finir par y arriver. C'est la même chose pour l'humain. Donc, de prendre connaissance, de prendre conscience, puis de se mettre en action. Là, le changement va s'opérer, puis ça va amener à atteindre mon équilibre ou développer des compétences, des attitudes qui sont nécessaires pour vivre une vie équilibrée et épanouie. Passer son temps au travail, ce n'est pas une recette. Ça l'était, jadis, mais ce n'est pas une recette aujourd'hui. C'est court, une vie. Ce n'est pas long. C'est très court. L'autre compétence, mon très cher Nathan, elle va te plaire celle-là, c'est la communication. La. Communication et je m'en amuse. Peut-être un petit peu pein ça en rire, des fois, je tombe dans le burlesque, mais je m'amuse à dire qu'il n'y a jamais eu tant de moyens de communiquer qu'on a aujourd'hui, puis pourtant, les gens communiquent mal. Je suis d'accord avec toi. Moi, j'ai été dit en communication. Le principe de base de la communication, c'est de se faire comprendre. Souvent, les gens oublient qu' il y a un concept qui dit qu'il y a sept manières différentes d'être reprétenant un message. Moi, je me fais un pied d'honneur, un point d'honneur. Pas un pied d'honneur, un point d'honneur. On ne rentrera pas. Dans les pieds. Il ne faut pas changer pied et point par doigt. Non, c'est ça. Exactement, tu as bien raison. Je me fais un point d'honneur, moi, de m'assurer que quand je communique un message avec un client, qu'il n'y ait pas d'ambiguïté. C'est difficile dans ce temps- là que si j'écris un message, que ça soit class ou straight to the point, que ça soit... J'utilise l'intelligence artificielle aussi pour ça. Je veux dire, je suis un bon communicateur avec la rédaction, mais le fait d'utiliser l'intelligence artificielle pour ajouter un ton rassurant, un ton professionnel, un « name it », je voudrais écrire sur le même ton que le gars qui écrit Harry Potter, je pourrais. Rendu là, je pourrais. C'est le fait d'adapter un langage, d'utiliser les bons mots, de savoir c'est quoi les irritants de chacune des personnes, c'est d'avoir une mémoire émotionnelle, puis une mémoire aussi de tout ce qui est non-verbal, puis tout ce qui est pas communiqué. La communication, c'est pas ce qu'on dit, c'est ce qu'on dit pas. C'est ça qu'avec une couple d'années d'expérience en service à clientèle, j'ai quasiment 13 ans de service à clientèle à La Cravalle, que j'ai appris que ce que les gens disent, ce n'est pas nécessairement ce que... Il ne faut pas que tu conditionnes ta réponse en fonction de ce que les gens disent, il faut que tu conditionnes ta réponse en fonction de ce qui va faire réfléchir les gens, ce qui va les amener ailleurs, ce qui va te permettre d'atteindre leurs objectifs, puis tes objectifs. C'est action- réaction, mais c'est aussi réflexion- ent. Comme tu disais si bien avant le podcast, dans la vie, il faut écouter, c'est se permettre d'entendre. Ce n'est pas de réagir constamment, c'est d'entendre, réfléchir, puis formuler une réponse qui va convenir à la situation dans laquelle on est présentement. Tout à fait.« Entendre », je vais rajouter« comprendre » et « faire abstraction de jugement ». Parce que dès que je commence à faire de l'intégration du jugement sur quelque chose qui est mentionné, donc à ce moment- là, je perds l'objectivité à l'intérieur d'une relation de communication. Et là, c'est mes croyances personnelles qui vont émerger, qui vont faire surface et ça va faire en sorte qu'on va avoir une rupture dans la communication. Donc la communication ne sera pas efficace, ne sera pas efficiente. Je suis d'accord avec toi, mais je ramène l'équilibre là- dedans. Oui? Parce que je pense que c'est un peu le thème de l'épisode aujourd'hui. Souvent, on va parler de plusieurs compétences, puis il y aura des des thématiques aux épisodes que tu fais, on va ramener des thèmes clés. L'équilibre en communication, c'est par exemple, quand on va parler de relations interpersonnelles ou professionnelles, souvent, les relations personnelles vont avoir une influence sur les relations qu'on a au niveau professionnel. Par exemple, mettons que ça fait deux, trois, quatre ans que tu es avec un client, le même client, tu connais le nom de ses enfants, tu connais le nom de sa femme, tu sais où elle habite, tu as déjà pris de la bière avec, tu as entretenu une relation basée en échange de services, en échange de produits, tu la connais à la personne. Tu le sais comment elle communique, tu le sais c'est quoi qu'elle veut entendre, c'est quoi qu'elle ne veut pas entendre. Tu le sais il est où le « middle ». Je pense que c'est l'équilibre entre qu'est- ce qu'il ne faut pas dire, puis qu'est- ce qu'il faut dire. Il y a comme une scission des fois qu'il faut se dire « Là, il faut que j'aille de l'autre bord.» Il faut que j'aille de l'autre bord aujourd'hui parce qu'il ne comprend rien. Il ne comprend rien à ce que je suis en train d'essayer d'y expliquer. Je sais que si je lui parle de cette manière- là, il va comprendre, puis il va me remercier d'avoir parlé de cette manière- là au lieu d'avoir pris des gants blancs, puis mes gants de communicateur professionnels. Je l'ai vécu avec des clients récemment où est- ce qu'il a fallu que j'intervienne dans une relation entre différents actionnaires, où est- ce qu'il a fallu que je dise « Là, c'est assez. Là, je suis un professionnel, puis votre relation en ce moment entre actionnaires, c'est toxique, ça ne fonctionne pas.» Moi, je n'en dirais pas ça puis, vois-tu, ils m'ont remercié après. C'est ça. Règlez vos différents, prenez le temps de vous parler, mais en même temps, quand ce n'est pas fait, puis là, tu as mis ton pied à terre, puis tu as dit « Garde, règlez vos affaires », mais quand tu ne le fais pas, là, tu fais partie de l'équation de l'incompréhension puis du manque de communication. Je ramène là- dessus les fameux socio- styles. Dans la vie socio- style, il n'y a pas personne qui communique de la même façon, puis il n'y a pas personne... S'il y a des gens qui sont plus introvertis, extrovertis, le vocabulaire, etc. Et bien entendu, on est dans une société qui est très ouverte, donc on va avoir aussi des personnes et à transiger avec des personnes de nationalités et de cultures différentes. Donc, nationalités et cultures différentes, une expression québécoise ne sonnera pas de la même façon dans une autre nationalité. Je m'amuse avec certains de mes amis français. J'ai reçu ici à un moment donné un ami français, puis on allait dans une activité, puis je lui disais « Écoute, là, tu es très humain, tu es très chaleureux. S'il te plaît, demande pas aux gens que tu rencontres comment vont leurs gosses.» Parce que les gosses chez vous, puis les gosses chez nous, c'est pas la même chose. Non, on est ailleurs. Là, il me regarde, puis il comprend pas. Je lui ai dit « Écoute, les gosses chez nous, c'est ce qui sert à faire vos gosses chez vous.» Tu vois, anecdotique, mais c'est vrai. Ce que je te dis là, c'est vrai. Il comprend ne comprenais pas pourquoi je lui disais ça. Chaque culture a ses mots, ses expressions, son langage, sa compréhension, donc il faut porter une attention particulière à ça, mais ça aussi, ça fait partie de la communication. L'école culturelle, c'est hyper important, tant au niveau de l'habillement qu'au niveau des expressions, qu'au niveau du non-verbal. Il y a des cultures pour lesquelles de regarder directement dans les yeux, c'est une offens e. De revêtir du rouge une telle période d'année, c'est une offense. Il faut comprendre. La culture, c'est la base de communication. Les codes culturels, c'est vraiment là où est- ce qu'on trouve le plus de richesse. Si tu comprends une culture, tu comprends comment agir, puis tu comprends aussi leur histoire, leur passé. Si à l'époque, si tu n'as pas assez de respect pour te mettre en position de dire« Aujourd'hui, je comprends c'est quoi cette culture-là », tu ne mérites pas de communiquer avec cette culture-là. Tu es juste égoïste. Tout à fait. Ça m'amène à l'autre top compétence, la quatrième, c'est la collaboration. À l'intérieur, on dit qu'il y a pénurie de main-d'œuvre, orthée de main-d'œuvre, appelons-la comme on voudra, mais comment veux- tu développer... On parle souvent que l'entreprise en général québécoise, l'entreprise canadienne, nord- américaine, manque de performance, il n'y a pas assez de performance. Pour augmenter le niveau de performance, tu parlais de technologie, d'intelligence artificielle, mais au-delà de tout ça, dans le cas où chaque personne travaille en vase clos, en silo, il s'occupe de son petit terrain de jeu, il n'y a pas de collaboration. La communication va favoriser justement à ce qu'on puisse développer un meilleur climat, un meilleur environnement, puis de favoriser la collaboration. Là, par le fait même, sans que ce soit l'objectif d'exploiter des gens, de les faire travailler plus. Ce n'est pas de les faire travailler plus, ce n'est pas de les faire travailler plus, c'est de les faire travailler mieux, parce que des techniques de travail, ça s'améliore, ça se développe. On parlait de culture, de culturel. J'ai des entreprises, j'ai des clients qui ont des personnes qui sont d'autres nationalités, qui ont apporté des idées à l'intérieur de l'entreprise qui ont permis de peaufiner, de raffiner certaines méthodes, certaines techniques de travail, puis de gagner en efficacité, mais pas nécessairement en faisant plus, mais en faisant mieux. Ça, c'est important, la collaboration à l'intérieur des entreprises, des environnements de travail. Je suis d'accord. J'ai un principe que j'aime beaucoup qui s'appelle Minor Step, Major Growth. Je pense que comme tu le dis, ce n'est pas de faire plus, c'est de faire mieux pour faire plus. Quand on identifie les pains au point, quand on identifie au niveau de ce qui cause la friction dans un processus, puis qu'on se dit « Ça, il faut que ça disparaisse pour que personne- là, que cette personne- là soit capable de s'accomplir d'une manière plus efficiente », tout le monde est gagnant. Il y a un bon slogan, pas slogan, mais un proverbe québécois qui dit que « Quand on aime ce qu'on fait, on ne travaille pas.» C'est ça. Tu parles, mettons, même des gens qui travaillent, il n'y a pas de sous- métier dans la vie. Les gens qui travaillent en usine, justement, François, tu m'en parlais avant le podcast, ça a été 17 ans, je pense, pour Irving, quand tu es capable de vivre ton travail, puis de dire « Oui, ça là, j'aime ça, puis ça me dérange pas que ça soit difficile, que ça soit un métier qui soit look-a-pon, que ça soit...» Name it, si j'aime ça, puis les gens autour de moi, ils collaborent pour qu'on ait un équilibre au travail qui me permette de m'accomplir, mais qui me permette d'être performant.» Je comprends absolument où est-ce que tu t'en vas avec ça, puis je pense que la collaboration, c'est la base de tout. C'est de faire des concessions pour s'assurer que tout le monde est heureux, puis d'avoir un environnement de travail qui est efficient. Tout à fait. Je termine avec ma cinquième top compétence. Vas-y. L'intelligence, mais pas artificielle. Émotionnelle. Émotionnelle. Je te dirais que c'est probablement le lien commun avec les cinq top compétences que je suis en train de mentionner. Je t'écoutais tantôt, puis je rigolais déjà dans ma tête parce que tu parlais d'intelligence artificielle, mais l'intelligence artificielle, oui, les technologies, oui, ça a leur place. Même si on essaierait de bouder, la première personne à inventer la roue, elle a évolué. C'est la même moitié de roue, mais aujourd'hui, elle tourne pas mal plus vite qu'à l'époque. C'est ça, tu es arrivé les voitures, puis bon, etc. Ces mêmes roues-là servent de système d'engrenage qu'on voit dans toutes sortes de mécaniques. Ça a évolué, puis on n'arrête pas le progrès. Ça continue, puis tout ce qu'on va vivre en voulant résister aux changements, c'est de la frustration, c'est de la colère, puis des mauvaises émotions. L'intelligence émotionnelle, c'est vraiment d'apprendre à repérer autour de soi, tu as donné un très bel exemple tantôt avec tes deux clients. Donc, d'apprendre à repérer qu'est- ce qui se passe, puis d'être honnête envers soi- même, aligné avec ses valeurs, ses principes directeurs, puis de rester dans le cadre de relations humaines, interpersonnelles. L'intelligence artificielle, il n'y ira pas là- dedans. Peut- être un jour, mais qui sait? Mais il n'y ira pas là- dedans. Donc moi, je pense que d'utiliser les technologies de bonne façon, mais de vraiment maintenir des rapports humains entre personnes va permettre à tout le monde de grandir, de bénéficier davantage et de rester ancré sur ses propres valeurs et de pouvoir avoir une vie qui est épanouie, avoir du fun, avoir du plaisir, avoir des relations avec les clients, avec les fournisseurs, avec nos gestionnaires à l'intérieur de nos entreprises, entreprises, nos organisations, avec nos employés, puis de s'épanouir collectivement. Donc, c'est possible d'y arriver. D'être capable de voir, par exemple, en rentrant le matin, qu'il y a quelqu'un qui est triste, « Mon chum, comment ça va ce matin?» Tu. Peux changer la journée, puis la vie d'une personne comme ça. Quand on est préoccupé à l'horaire de notre écran d'ordinateur, notre smartphone, à vouloir faire de la business, on ne le voit pas. Après ça, on m'a dit « Pourquoi il s'est en allé, lui? Pourquoi il est plus là? Qu'est-ce qui est arrivé?» C'est parce que tu n'étais pas là, mon chum. Tu n'as pas su être présent là où il fallait, parce que tu t'es laissé subjuguer par tout le roulement, la pression, puis le stress. Aujourd'hui, j'aime beaucoup travailler avec des analogies puis des images. Une que j'utilise, c'est le crapaud dans la marmite. Oui, je la connais très bien, cette analogie-là. C'est ça. Tu prends un crapaud, une grenouille, tu la mets dans une marmite d'eau froide, tu as un récipient assez haut, puis dans l'eau froide, battre à sien, sans froid, il va être bien là-dedans, merveilleux. Prends la casserole, mets-la sur la cuisinière, puis ouvre ton élément chauffant juste légèrement. Puis là, l'eau va commencer à se réchauffer, réchauffer, réchauffer, jusqu'au point où son sang va se réchauffer, puis il va perdre sa capacité de pouvoir sauter à l'extérieur de la marmite, puis il va cuire dedans. L'image que je prends ici, l'humain aujourd'hui, c'est ça. Donc, la vie va vite, ça roule très vite. Si je ne prends pas le temps de me connecter à moi- même, de rester ancré à qui je suis comme personne, le milieu, l'environnement dans lequel j'évolue, je me laisse subjuguer par un environnement sur sur lesquelles je n'ai pas de contrôle, les technologies, l'intelligence artificielle, la pression pour produire, répondre aux clients, répondre aux fournisseurs, peu importe. Là, je suis en train de me dénaturer sans m'en rendre compte. À un moment donné, je frappe le mur. On sait que, tu le sais, je le fais le point tantôt, beaucoup de problèmes de santé mentale aujourd'hui, de dépression, d'usure. Dans les années 60-70, c'était des problèmes musculo-squelettiques, donc bursites, des épicondulés, des compagnies, des fractures, etc. Mais aujourd'hui, ça se passe entre les deux oreilles. Absolument. C'est sur le pétanque. Le pétanque, c'est entre les deux oreilles, c'est. Le cerveau. Entre des fruits de mer aujourd'hui. Oui, le pétanque est compressé, il fait « chouch ». Donc, c'est ça. Allumons, réveillons- nous, regardons que la vie, c'est autre chose que uniquement travailler. Tu parlais d'équilibre. Moi, ce que je suggère à mes clients, c'est de faire un compte à rebours différent de ce qu'ils utilisent. Habituellement, ce que les gens vont faire, c'est qu'ils vont se lancer corps et âme dans le business, dans les entreprises, dans le travail, puis ils vont prendre le temps qui reste pour être en mesure d'avoir du temps en famille, entre amis, voyager, loisir, etc. Moi, je dis « Écoute, commence à l'inverse. Il y a 168 heures dans une semaine, prends-toi un calendrier, si c'est 168 heures, ça te prend combien d'heures de sommeil par nuit? On coupe. Combien de temps avec ta conjointe? Combien de temps avec les enfants? Combien de temps pour faire du sport, combien, combien, combien. Puis là, il te reste 40 heures, 45 heures, 50 heures dans ta semaine. Ça, tu dois condenser. Tu as l'obligation de condenser tes activités au travail, puis d'être profitable et rentable là- dedans. Et tout ça avec une intelligence émotionnelle pour favoriser, d'avoir un climat de travail qui est favorable. Oui, c'est sûr qu'au niveau de l'intelligence émotionnelle, on en parle souvent, puis je vais rebondir sur l'intelligence artificielle aussi, parce qu' à mon avis, pour bien utiliser l'intelligence artificielle, ça prend de l'intelligence émotionnelle. De bien comprendre les besoins des gens, de cerner les questions spécifiques qui leur causent des problèmes en entreprise. C'est ça que je pose à mes clients, parce que moi, je fais des démonstrations d'intelligence artificielle avec mes clients de rien n'a pas parce que je veux qu'ils comprennent l'importance de tout ça. Je leur dis « C'est quoi la question spécifique ou les questions spécifiques que tu aimerais résoudre?» Ça les prend de cause.« J'aimerais calculer ma marge bénéficiaire sur un nouveau produit qui utiliserait de la mousse mémoire au lieu d'utiliser du polystyrène.» OK, parfait, merveilleux. On va poser la question à l'intelligence artificielle.« Ça serait quoi la marge bénéficiaire de ce produit-là, avec une telle taille, dans quel cadre, dans tel pays?» Là, tu le mets en contexte. Là, tu permets à l'intelligence artificielle de comprendre, à l'aide de ton intelligence émotionnelle, que tu as identifié un besoin spécifique à répondre, puis un problème, tu crées ton modèle de pensée, puis là, tu transformes l'intelligence artificielle en un outil qui va permettre à ton client de résoudre son problème. En faisant les deux, en coordonnant les deux, puis en interrogeant l'intelligence artificielle au lieu de donner des ordres, des exigences, l'intelligence artificielle se module, se moule à tes besoins. Tu ne donnes pas des émotions, mais tu fais ressentir le besoin d'accomplir quelque chose, de résoudre un problème à l'intelligence artificielle, puis à la travail pour toi. C'est pour ça que je pense que les gens qui utilisent le mieux l'intelligence artificielle, c'est eux autres qui sont capables de se poser les bonnes questions, ce qui est un trait de l'intelligence émotionnelle. C'est bon. Se poser la bonne question, j'aime beaucoup l'équitation, mais ça me ramène sur Einstein qui disait « Face à un problème qui met ma vie en danger, vous me donnez une heure. Je vais prendre 55 minutes pour me poser la meilleure question et cinq minutes pour y répondre.» Donc, se poser les bonnes questions. On parle d'intelligence émotionnelle, l'importance de se questionner. L'important, c'est on peut parlait également tantôt de pensées stratégiques, de se poser les bonnes questions, de se remettre en question, puis de faire des choses d'une façon différente. Je pense que c'est vraiment un must, c'est vraiment quelque chose qui est fondamental, qui est important. Je reviens, je rebondis sur ce que tu disais, puis je suis tout à fait aligné avec toi. La technologie, puis l'intelligence, ça doit demeurer des outils — on ne les arrêtera pas, mais ça doit demeurer des outils qui sont là pour répondre aux humains et non pas l'inverse. Amen. Oui, mon fils. Je vois le temps qui file, François, mais il nous reste encore quelques minutes. J'aimerais ça pour nos auditeurs aujourd'hui, qu'on aborde une dernière question ensemble. Toi, tu es un expert en sciences cognitives, tu es un coach d'affaires, puis je pense que les gens doivent comprendre comment est- ce que tu mélanges ces deux concepts- là pour accompagner tes clients vers le succès, vers la résolution de problèmes, puis qu'on comprenne l'essence du podcast, c'est d'explorer les comportements humains, les comportements neuronaux, puis comment ça se fait en affaires, puis c'est comment la relation qui s'entretient entre les deux. Comment est- ce que toi, tu fais ça? Techniquement, on a parlé aujourd'hui, on a exploré plein de sujets, mais comment tu réponds à ça? P ourquoi est- ce que les auditeurs ont besoin d'entendre ça, ont besoin de conjuguer les deux? Écoute, question très pertinente. Je te dirais que l'objectif, l'idée du podcast, ceci n'est pas du coaching, vient du fait qu'il y a beaucoup d'offres de services, on va se dire les vraies choses. Il y a beaucoup d'offres de service sur le marché en termes de coaching, de consultants, de formation, etc. Moi, j'ai pour mon dire que toutes les offres sont valides et valables. Je ne suis pas là pour dénigrer, puis dire qu'un est bon par rapport à l'autre. Moi, je connais ma valeur, puis mon approche, ce que tu es en train de soulever. Il y a des effets de masse. Il y a certaines personnes qui vont offrir des formations, puis des coachings avec des groupes de 100, 200, 500, 1000 personnes. Ça les appartient et j'ai un doute sur le niveau d'efficacité de ces systèmes- là. Un doute raisonnable, parce que comment veux- tu permettre à l'intérieur de ton groupe élargir, à des personnes de pouvoir s'exprimer puis de bien comprendre ce qui se passe. C'est pour ça que ce que je fais, je préfère du one one ou encore des plus petits groupes pour vraiment aller au fond et à fond des choses. Je suis là. Pour répondre à ta question maintenant, j'ai un bon vécu. Je ne dirais pas mon âge, je vais me garder une petite chance. J'ai trempé dans le milieu syndical, j'ai fait de la politique municipale, de la politique provinciale, j'ai été en entreprise, entreprise manufacturière. J'ai touché à beaucoup de choses. Au niveau famille, dans un podcast qui va venir, je vais parler de moi un peu plus en détail, puis de ma famille, mais une famille élargie, presque reconstituée, maman s'est mariée deux fois, dix enfants, puis on a vécu dans un milieu très défavorisé, défavorable. J'ai appris là- dedans. Il n'y a pas de mauvaises expériences dans la vie. Il faut savoir tirer avantage de toutes les expériences qu'on vit. Ils peuvent être douloureuses, elles peuvent être difficiles, mais ce sont des expériences qui forment, qui forcent. Donc, issu de tout ça, quand j'arrive en entreprise, parce que j'ai eu l'occasion de gérer des conflits de travail dans le domaine syndical, certains diront que j'ai eu l'occasion d'en déclencher aussi, mais quelque part, ça fait partie de mon bagage, mon expérience. Quand j'arrive comme consultant, comme coach formateur, tout de suite, je me mets dans un mindset de neutralité, d'objectivité, d'intégrité pour bien comprendre ce qui est là. Et là, je vais utiliser tous mes outils, outils tant au niveau personnel qu'au niveau des formations en neuroscience que j'ai suivis, pour amener les gens à mieux connaître connecter ensemble. Puis, on a parlé de communication tantôt. La communication est un enjeu majeur partout aujourd'hui. On aurait une bonne communication, il n'y aurait probablement pas de guerre en Ukraine avec les Russes. On aurait une bonne communication et une communication, il y aurait beaucoup moins de tensions, de chicanes, de dissociations partout dans le monde. Le problème majeur aujourd'hui, je le disais tantôt, tout va vite et très vite, puis les gens ne prennent pas le temps de se parler et ne prennent pas le temps de communiquer d'une façon appropriée. Je faisais référence aux sociostyl s tantôt, donc j'ai des profils que j'utilise à l'intérieur de mes activités où on voit les sociostyl s. Je te donnais en référence avant de rentrer en ondre tantôt, un groupe de clients que j'ai, c'est quatre personnes personnes issus de la même famille, ils ont quatre sociostyl s différents, pas incompatibles, mais quatre sociostyl s différents. Et là, il y a un problème de communication. Il y a plus de cinq compagnies à l'intérieur de l'ensemble des activités familiales. Et là, ils sont en train de se détester, de se déchirer parce qu'ils ne se comprennent pas. Et pourtant, très souvent, ils disent la même chose, mais avec un langage puis une approche différente. Donc, ce que je fais à ce moment- là, j'interviens avec mes outils, avec mes ressources, avec mon bagage pour les amener à... Et les résultats sont concluants. À partir du moment où les gens apprennent à se parler, à se respecter, à se calmer, parce que j'ai des techniques pour faire diminuer le niveau de stress, des émotions, prendre conscience de ce qui se passe. Donc, à ce moment- là, on calme le jeu et là, on se parle toutes les deux comme deux chums. Pourtant, on s'est vu deux fois avant aujourd'hui. C'est cool, c'est relax, c'est sympathique. Donc, j'amène les gens dans un climat, dans une ambiance comme celle- là, où ça favorise des échanges plus cordiaux, de mettre sur la table les points CI, les bases CT, de se dire les vraies choses. J'étais justement en meeting avec des clients, ces clients-là, ce matin, puis il y a la réaction du papa qui dit à ses enfants « Écoute, voilà, voilà », puis« Je n'ai pas eu de réponse de vous ». Là, il y a un des deux garçons qui le regarde et dit « Mais, tu ne m'as jamais dit ça?» Qu'est-ce que c'est que ça? C'est pour ça que je ne t'ai pas répondu ». L ui pensait que c'était clair, mais ce n'était pas clair. L'autre a reçu une information qui n'était pas complète. Il est temps, ça. Il est arrivé quatre ou cinq sujets autour de la table ce matin qui étaient sûr et ment ça. Puis là, on sort du milieu de travail, puis là, on est à couteau tiré, on a de la difficulté à communiquer, à se regarder, puis à dire « Écoute, ça ne marche pas. Pourquoi tu me détestes de même?» « Je ne te déteste pas. C'est mon ressenti que tu me détestes. C'est mon ressenti que tu m'en veux, puis que tu ne m'aimes pas.»« Je n'ai jamais dit ça.»« C'est juste que tu es trop insistant, tu es trop chiant quand tu me parles. Tu me parles sur un ton condescendant, puis je n'aime pas ça, mais je t'aime toujours.»« Oh boy.» Tu vois? C'est fort. Oui, c'est très fort. L'utilisation d'outils, de ressources, puis aussi le bagage d'expérience que je traîne sur mes épaules avec joie, qui me permet de pouvoir porter une analyse objective, critique aussi et de mettre les choses en perspective. Moi, je dis tout le temps aux gens, je ne suis pas là pour entendre ce que tu as à me dire, n'importe quoi, tout ton blabla. Je ne suis pas là pour te dire ce que tu veux entendre, toi. Je ne suis pas là pour te montrer ce que tu veux voir, puis pour subir tes émotions, puis tes réactions. Moi, je suis là, point sur les i, barres sur les t, cartes sur table, pour t'amener à comprendre ce qui va, à comprendre ce qui ne va pas, puis de mettre en place un plan d'action pour structurer ta démarche, puis d'atteindre tes buts et tes objectifs. C'est à prendre ou à laisser. Je te racontais tantôt qu'il y avait quelqu'un qui voulait quitter le meeting ce matin. C'est moi qui est le consultant ici. Tu ne quittes pas, tu. Restes assis ici. Tu ne sors pas de la salle. On règle ça ensemble. Je pense que. C'est la bonne attitude à avoir, surtout si tu ne te fais pas payer pour. Pour ceux qui ont le goût de résoudre des problèmes d'affaires, des problèmes professionnels, des problèmes- Personnels. Personnels. Écoute, je pense qu'ils ont trouvé leur âme. François, ça a été vraiment un plaisir d'être là aujourd'hui. Pour les épisodes à venir, je sais qu'on va avoir des supers invités, qu'on va explorer plein de sujets. Aujourd'hui, on voulait simplement donner un avant- goût aux gens de où est- ce qu'on peut aller dans le podcast si ce n'est pas du coaching. Je pense qu'on est allés dans des beaux sujets. On a parlé beaucoup d'équilibre aujourd'hui. On s'est rendu compte que c'est une thématique qui revient constamment dans nos vies. Aujourd'hui, je vous invite à l'équilibre, je vous invite à faire le premier pas, à contacter François, parce que François, il va vous accompagner vers la découverte de vous- même, puis il va vous amener vers le succès. Donc merci beaucoup, François. Merci à toi. Il y a un sage, à un moment donné, qui a dit à quelque part, je crois que c'est Gandhi de mémoire, mais qui a dit « L'être humain peut faire le tour du monde 100 fois, mais le plus grand voyage qu'il peut faire, c'est faire le tour de lui- même une fois.» Sur ces beaux mots, je pense qu'on peut se quitter là- dessus. François, il n'y a plus rien à dire. C'est bon. Merci Nathan de ta présence. Merci à toi. Bon s échanges, bonne discussion. Très hâte de pouvoir partager à l'intérieur des prochains podcasts avec les invités des éléments essentiels, je pense, puis des éléments de réflexion, de prise de conscience. Ce n'est pas dans une posture de « on vous donne des leçons, puis on vous donne des exemples », mais c'est simplement observer, avoir l'esprit grand ouvert. L'esprit grand ouvert, ça nécessite pas une fracture du crâne en passant, ça fait pas mal. L'esprit grand ouvert puis de pouvoir accueillir ce qui a été changé. Dans chaque rencontre que je vais avoir, c'est décliné en trois étapes. La première étape où on s'intéresse à la personne, deuxième étape où on s'intéresse à l'entreprise de la personne et une troisième étape, là où les compétences principales de cette personne-là qui lui permettent d'être là où il est rendu aujourd'hui. À tout le monde, un grand merci. Merci à toi, Nathan. Au plaisir de vous voir. N'hésitez pas à m'envoyer des commentaires, des questions, des heures, même des suggestions, des remarques. C'est toujours apprécié. Je le prends très volontiers. À participer au podcast, François. Oui, il y a des gens qui sont intéressés à venir me challenger ou se faire challenger. Écrivez- moi, c'est sûr que ça va être un must. C'est très varié dans nos prochains invités. Je me suis lancé un défi avec des professions particulières. C'est un rendez- vous. Merci François. On se voit bientôt. Merci.