Ceci n'est pas du coaching

Épisode #11 - Leadership & communication

February 21, 2024 François Deschamps Season 1 Episode 11
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Ceci n'est pas du coaching
Épisode #11 - Leadership & communication
Feb 21, 2024 Season 1 Episode 11
François Deschamps

Bienvenue dans l'épisode #11 de "Ceci n'est pas du coaching" animé par François Deschamps, où nous vous présentons l'histoire remarquable de Virginie Gosselin, présidente chez Pierre Gosselin Jointoyeur Inc.

Virginie Gosselin est une entrepreneure dynamique originaire de Beauceville, Québec, Canada. Dotée d'une passion pour l'entrepreneuriat dès son plus jeune âge, Virginie a tracé un chemin remarquable dans le monde des affaires, mettant en lumière sa détermination et son engagement envers l'excellence.

Son parcours professionnel est marqué par diverses expériences enrichissantes. Depuis octobre 2019, Virginie occupe le poste de présidente chez Pierre Gosselin Jointoyeur Inc., une entreprise basée à Québec, Canada. Sous sa direction, l'entreprise a connu une croissance significative et s'est affirmée comme un acteur majeur dans son secteur d'activité.

Avant de rejoindre Pierre Gosselin Jointoyeur Inc., Virginie a occupé plusieurs rôles clés dans d'autres organisations. Elle a été responsable du 275e de Sainte-Marie pendant près de deux ans, où elle a démontré ses compétences en gestion d'événements et en développement communautaire. Elle a également été agente de développement touristique dans la même ville, contribuant ainsi au rayonnement touristique de la région.

Avant de se lancer dans le domaine du tourisme, Virginie a fait ses premiers pas dans le monde de l'entrepreneuriat en tant que propriétaire de Pascale Traiteur, une entreprise prospère qu'elle a dirigée avec succès pendant près de cinq ans.

Son parcours académique est également impressionnant. Elle est diplômée en gestion des ressources humaines et en administration du personnel de l'Université du Québec à Rimouski, où elle a également obtenu un certificat en entrepreneuriat. Elle a également suivi une formation en gestion hôtelière et restauration au Collège Mérici.

En quête constante de perfectionnement, Virginie a récemment fréquenté l'École d’Entrepreneuriat de Beauce, où elle a renforcé ses compétences en leadership et en gestion d'entreprise.

Rejoignez-nous pour découvrir l'histoire inspirante de Virginie Gosselin, une leader visionnaire qui incarne la détermination, le courage et la résilience. Pour suivre Virginie Gosselin et rester connecté à nos autres épisodes, visitez notre site web officiel et suivez-nous sur nos plateformes sociales.

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🎬 Production : GB Studio - https://www.gbstudio.ca/

📣 Marketing : Bronko Marketing Inc. - https://brkm.ca/

Show Notes Transcript

Bienvenue dans l'épisode #11 de "Ceci n'est pas du coaching" animé par François Deschamps, où nous vous présentons l'histoire remarquable de Virginie Gosselin, présidente chez Pierre Gosselin Jointoyeur Inc.

Virginie Gosselin est une entrepreneure dynamique originaire de Beauceville, Québec, Canada. Dotée d'une passion pour l'entrepreneuriat dès son plus jeune âge, Virginie a tracé un chemin remarquable dans le monde des affaires, mettant en lumière sa détermination et son engagement envers l'excellence.

Son parcours professionnel est marqué par diverses expériences enrichissantes. Depuis octobre 2019, Virginie occupe le poste de présidente chez Pierre Gosselin Jointoyeur Inc., une entreprise basée à Québec, Canada. Sous sa direction, l'entreprise a connu une croissance significative et s'est affirmée comme un acteur majeur dans son secteur d'activité.

Avant de rejoindre Pierre Gosselin Jointoyeur Inc., Virginie a occupé plusieurs rôles clés dans d'autres organisations. Elle a été responsable du 275e de Sainte-Marie pendant près de deux ans, où elle a démontré ses compétences en gestion d'événements et en développement communautaire. Elle a également été agente de développement touristique dans la même ville, contribuant ainsi au rayonnement touristique de la région.

Avant de se lancer dans le domaine du tourisme, Virginie a fait ses premiers pas dans le monde de l'entrepreneuriat en tant que propriétaire de Pascale Traiteur, une entreprise prospère qu'elle a dirigée avec succès pendant près de cinq ans.

Son parcours académique est également impressionnant. Elle est diplômée en gestion des ressources humaines et en administration du personnel de l'Université du Québec à Rimouski, où elle a également obtenu un certificat en entrepreneuriat. Elle a également suivi une formation en gestion hôtelière et restauration au Collège Mérici.

En quête constante de perfectionnement, Virginie a récemment fréquenté l'École d’Entrepreneuriat de Beauce, où elle a renforcé ses compétences en leadership et en gestion d'entreprise.

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Bienvenue dans le podcast captivant ! Ceci n'est pas du coaching ici. Votre animateur François Deschamps. On explore ensemble la liaison fascinante entre la science cognitive et le développement professionnel dans le monde des affaires, avec une approche unique et éclairée. Ce podcast vous emmène dans un voyage passionnant à la découverte de votre voix unique en affaires. Bonjour, ici François Deschamps et bienvenue dans cet autre épisode de mon podcast. Ceci n'est pas du coaching, donc un podcast qui met en valeur des hommes et des femmes entrepreneurs qui viennent nous partager leur vécu, leur parcours, parler de leur business, de leur entreprise et nous faire d'immenses cadeaux, de conseils, de suggestions et en même temps de nous parler également de compétences qui les caractérisent et qui leur permettent de réussir dans leurs carrières respectives. Et aujourd'hui, j'ai le plaisir, même le privilège de rencontrer pour la toute première fois quelqu'un que je connais depuis un peu plus d'un an et qui s'appelle Virginie Gosselin. Bonjour Virginie. Salut François. C'est un plaisir de te recevoir ici en studio et de te voir live pour la toute première fois. Bien oui, moi aussi je suis tout excité et je suis vraiment content d'être là. Merci de ton invitation. Bien, merci à toi d'avoir accepté l'invitation. Donc là, je te vois les yeux brillants, tout énergique. Donc malheureusement les auditeurs ne peuvent pas nous voir. Mais moi je vais être leurs yeux. Je sens toute cette énergie là en toi. Tout d'abord, bien écoute, on parle en trois volets à l'intérieur du podcast. Puis le premier volet, c'est vraiment l'être humain, la personne en face de moi. Donc j'aimerais ça que tu prennes pour le bénéfice de nos auditeurs, un peu de temps pour te présenter, nous parler de ton parcours. T'es une jeune femme d'affaires, une jeune maman. Mais avant d'arriver dans l'entreprise où tu es aujourd'hui, qui est Pierre Gosselin ? Juin travailleur avant d'arriver dans cette entreprise là, avant d'arriver dans cette entreprise là, C'était quoi ton parcours ? Qu'est ce que tu as fait ? Puis qu'est ce qui t'a amené à intégrer l'entreprise comme coach entrepreneur, comme collectionneur avec ton frère ? Oui, bien, écoute moi, à la base, là, je voulais être entrepreneur. Depuis que je suis jeune, je me disais je vais avoir ma business, je vais avoir mes projets, mes rêves. Puis j'ai toujours aimé les gens, fait que je me disais je vais avoir une entreprise, puis je vais avoir des employés. Ça c'est clair. Dans quel domaine ? Je le savais pas. Jusqu'au jour où que j'aille à Walt Disney World. J'avais douze ans. Puis là on séjourner dans un hôtel. Ok, c'est un Holiday Inn qui était assez ouvert. Puis là je me disais moi j'aimerais ça avoir un hôtel, j'aimerais ça détenir un hôtel, puis travailler dans l'hôtellerie. Fait que là, quand j'ai dit ça à mes parents, ce beau, cette belle ambition là, ils m'ont dit Ouais, mais là, écoute, tu veux avoir un hôtel, il faut que tu sais, il faut que tu commences par le début, que tu travailles dedans, tu sais. Alors je suis allé étudier en hôtellerie, puis là je me suis rendu compte Ouais, je pense que ça va me prendre beaucoup de sous pour être capable de m'acheter mon Holiday en Floride. Tu sais, j'ai j'ai étudié en hôtellerie, puis écoute. Après ça, j'ai étudié en ressources humaines. Je suis allé faire mon bac en administration puis en concentration ressources humaines. J'ai eu un petit cours d'entrepreneuriat à travers ça. Et puis là, c'était de plus en plus clair que je voulais avoir mon entreprise. Ensuite, de ça écoute, à l'âge de 22 ans, j'ai rencontré quelqu'un qui vendait un service de traiteur, qui par hasard, donc j'ai acheté durant mes études à l'université un service de traiteur en Beauce. Puis j'allais opérer pendant cinq ans, puis je l'ai vendu, puis quand je l'ai vendu. Mon père avait son entreprise depuis 30 ans. Mon père me disait Bien, tu sais, je devais travailler avec moi, donner un coup de main dans l'administration, dans la comptabilité. Mais je disais tu sais, moi la construction, je connais pas ça, j'ai aucune compétence là dedans. Puis finalement, après quelques années, j'ai constaté que. J'avais ma place dans l'entreprise, que j'allais pouvoir m'épanouir, que j'allais pouvoir amener l'entreprise à quelque part. J'ai fait le saut en 2019, j'ai acheté l'entreprise familiale avec mon frère. Vincent fait grosso modo. C'est ça mon parcours. Et puis dernièrement, je suis gradué de l'École d'entrepreneurship de Beauce, donc je suis allé étudier à l'École d'entrepreneurship de Beauce en 2020. Donc j'ai gradué dernièrement, puis voilà, c'est mon parcours scolaire et et et professionnel. Outre que ça, c'est ça, je suis une Beauceronne, j'ai 33 ans. Moi je viens de Sainte-Marie et j'ai quatre enfants. Voilà. Tout est dit, tout est dit. Non, non, t'as pas tout dit là, Tu vas nous en révéler d'autres partie, ça c'est sûr. On ne te laissera pas partir là dessus. Mais je regarde sur ton parcours. Ok, là je vois ici, là, l'hôtel. Marika C'est ça ? Oui, ok. Puis là je vois Pascal, Pascal, retraité, agent de développement touristique, ville de Sainte-Marie. Puis là, on arrive à l'entreprise de construction. Moi, j'en ai sauté un peu. Là. Maintenant je saute un peu, mais c'est parce que je vois aucun parcours, si ce n'est que ton père qui était le propriétaire de l'entreprise. Mais je vois aucun parcours, aucun élément qui laisse présager que tu te retrouves dans une entreprise de construction. Qu'est ce qui a fait que cet élément là, déclencheur, est venu chez toi à un moment donné ? Parce que tu sais, ton parcours annonçait pas le domaine de la construction ? Pas du tout. Bien, c'est une bonne question, mais je pense que je voyais l'entreprise de mon père, je voyais un peu ses employés, je voyais la relation qu'il y avait avec ses clients. Je l'entendais souvent parler au téléphone, tout ça. Je voyais tous les projets d'envergure qu'il faisait. Je me disais il y a tellement, c'est tellement un gros défi ce qu'il fait. Puis tu sais, moi je suis une femme, puis. Tu sais, ça, ça m'interpellait. Je me disais comment moi je pourrais faire ma place là dedans ? Et puis c'est ça, comme tu m'as allumé un petit. C'est là le déclic que j'ai eu. Je me suis dit Tu sais, ils me laisseront pas ma chance. Mais tu sais, moi c'est là que je me disais Aïe, oui, ils vont me laisser moi je vais la prendre ma place puis go là, tu sais, c'est comme si c'était vraiment un défi pour moi, là. C'est ça. Le défi. T'es une personne qui aime les défis, qui aime les challenges. J'aime ça me faire dire non, puis convaincre la personne pour qu'elle dise oui, tu sais, mettons grosso modo là. Là, tu vas avoir besoin de m'expliquer ça. T'aimes ça te faire dire non. Ben oui, tu sais, tu sais, ça s'applique dans tout. Mais tu sais, dans le domaine de la construction, t'es une femme, t'arrives, tu connais pas trop ça. Tu sais, l'interlocuteur devant toi à qui tu parles. Comment le convaincre pour Pour qu'il t'embauche, pour qu'il prenne tes services, pour qu'il fasse affaire avec toi ? Tu sais, il faut, il faut quand même que tu ailles, il faut que tu saches quoi dire. Puis c'est ça un peu l'intelligence émotionnelle d'aller parler à la personne, puis de cibler cette personne là, de savoir à qui tu parles, puis de la charmer. Dans un certain sens, tu sais fait que tu sais, au début la personne est résistante et puis après ça, je lâche des petites perches, pis là je vois que ça mord, puis là je tire, ça bloque, puis pouf, puis ça y va. Bon, donc le fait de te faire dire non entre guillemets, ça vient susciter des éléments de ta personnalité qui t'amène à persévérer, à ne pas lâcher, à continuer et assumer la personne que tu es dans tes traits de caractère. Oui, c'est ça, J'ai beaucoup de détermination, j'ai pas peur de rien. J'aime ça prendre des risques. J'aime ça jouer avec le feu. J'aime l'adrénaline, tout ça, ça, ça, ça, ça me crée, ça me crée du bonheur, ça me crée de la performance, ça me rend performante. C'est c'est ce qui c'est ce qui me stimule. Finalement, ça me stimule beaucoup. Ok, donc t'es pas le genre de personne qui aime rester dans un salon, dans un dans un élément qui est tracé et de suivre cet élément là. Tu cherches à faire ta propre voie ? Exactement. Puis tu sais, quand il n'y a pas de défi, puis il n'y a pas de projet, puis il y a pas, puis je suis pas stimulé, je deviens dépressive, ça va pas si on me reconnaît pas là, Tu sais, moi faut que ça bouge, il faut qu'il faut que j'aie des défis. Il faut, c'est ça. Ok. Puis il dit Moi je reviens sur ton parcours, chaque étape que t'as franchie, donc de te retrouver en hôtellerie à l'hôtel. Marina Ok. Qu'est ce que tu as retiré dans ton expérience, dans tes apprentissages qui te servent aujourd'hui dans ton business ? Avec l'hôtellerie, il y a tu un lien qu'on peut faire ? Bien, en fait, oui. J'ai travaillé en hôtellerie pendant au moins dix, douze ans certainement. Puis j'ai eu la chance d'avoir un patron à cette époque là. Tu sais, quand j'ai commencé à travailler en hôtellerie, j'avais peut être 18, 17, 18 ans. Puis j'ai eu un patron qui était très très exigeant envers moi. Il croyait en moi, puis me poussait beaucoup. Puis tu sais, ça a été vraiment difficile apprentissage avec lui. Mais aujourd'hui, je me rends compte que si j'avais pas passé par là, puis par son son coaching, je ne serais pas la personne que je suis. Il m'a amené à toujours atteindre mes limites, puis voir plus loin que plus loin que mon bout du nez, puis des. C'est lui qui m'a amené à me connaître, puis à me dépasser. C'est vraiment moi. Ok, donc ça, ça a provoqué chez toi un goût d'aller plus loin dans l'apprentissage. Peut être un coaching qui est sévère, un coaching qui, qui offre. Oui, disons le comme ça, mais ça t'a permis d'en apprendre davantage sur toi, puis sur ta capacité de réalisation. Est ce que lui voyait de toi ce que toi tu voyais pas de toi à l'époque ? Oui, parce que quand j'ai quitté mon emploi, là, ça a été difficile pour moi, puis pour lui. Parce que t'es comme un père pour moi, tu sais. Il croyait tellement en moi, il voulait tellement me pousser au bout de mes limites que oui, ça a été difficile quand je suis partie. Mais ça, ça m'a grandement servi. Et ça, c'est là que j'ai appris qui j'étais quand j'ai trouvé mon identité entrepreneuriale. Oh wow ! Et qu'est ce qui t'a amené à quitter ? Ben en fait, c'est vraiment le service de traiteur qui s'est présenté ce projet là. C'était comme le saut à faire pour être entrepreneur. Tu sais, j'étais si j'étais pas vieille pis. Mais j'y croyais tellement. Pis je me disais je vais faire tout pour réussir, tu sais. Donc j'ai quitté ce poste là pour acheter mon service de traiteur, donc j'ai vraiment sauté dans le vide, comme tu sais, comme on dit là. Oui, puis de sauter dans le vide, comme tu le dis là tout de suite, ça nécessite du courage. Oui, ça nécessite beaucoup de courage, mais ça nécessite aussi beaucoup d'appui, de l'externe. Tu sais, j'avais beaucoup d'appuis de mes parents, de mon conjoint, qui croyaient en moi. Puis moi je croyais en moi. Tu sais, c'était ça la je le savais que j'allais réussir. Puis j'y croyais au projet, au produit. C'est. Je pense que d'abord il faut croire en nous même. Tout à fait un point important, parce que le système de croyance chez l'humain. C'est très très très fort, c'est très puissant. Et ce qu'on dit, c'est que quand on croit fermement quelque chose, c'est qu'il finit par se matérialiser, par se réaliser. Oui, exactement. Mais à la base, ça prend une croyance absolue en soi, en sa capacité de mise en action, parce que tu sais le reste. Je comprends qu'on peut avoir autour de soi des éléments bons parents, amis, famille. Oui, oui, vas y mon grand. Vas y ma grande, t'es capable et tu vas y arriver. Mais il reste que c'est un doute en dedans de toi même, sur toi. Ben là tu sais, c'est pas gagnant. Je pense que les clients et les employés que je côtoyais à ce moment là, ils croyaient aussi en moi parce qu'ils voyaient à quel point je prenais ça à cœur et que je croyais en moi même. Je croyais en mon produit. Donc ça, ça transparait, C'est ça. C'est là que l'image de marque et l'image employeur émergent. Ça, c'est c'est hyper positif. C'est super important de croire en nous même en tant qu'humain, puis de croire à ses compétences autant personnelle que professionnelle. Cette expérience là dans le domaine de traiteur, qu'est ce que tu en retire comme élément ? Comme expériences qui te servent aujourd'hui dans le domaine où tu es bon. Quand j'ai eu mon service de traiteur, je travaillais beaucoup les soirs, les fins de semaine, évidemment. C'est dans le monde de la restauration événementielle. C'est difficile. J'ai eu deux enfants là, pendant ce temps là. Donc, tu sais, c'est une des raisons pour lesquelles j'ai vendu. Je voulais être présente. Qu'est ce que ça m'a apporté, ça ? C'est ça ? Ça m'a apporté à réfléchir au fait que si tu es entrepreneur puis tu es une entreprise, est ce que tu. Est ce que tu es capable de garder du temps pour ta famille, pour tes enfants ? Ça, c'est un élément important. Puis à un moment donné, je n'avais pas de temps pour mes enfants. Puis là, je me suis dit Non, c'est pas ça que je veux, c'est pas le choix que je vais faire, je vais être présente pour mes enfants. Donc ce type d'entreprise là, c'était trop difficile. Puis c'est arrivé un petit peu avant la pandémie, donc le timing était bon pour. Mais ça m'a amené l'équilibre. Ça m'a amené à connaître et connaître mes limites et connaître ma capacité à gérer tout l'équilibre autour du travail dans ma vie, toutes mes sphères de vie. Là, oui. Puis il y aussi un élément important, François, c'est que l'hôtellerie m'a aussi apporté, donc le traiteur. Nous avons travaillé dans l'hôtellerie, même si je détiens actuellement une entreprise dans le domaine de la construction. J'ai. J'ai monté un parc immobilier à côté de ça pour parce que c'est encore mon rêve d'avoir un hôtel là. J'ai mon entreprise de la construction, mais j'ai aussi un parc immobilier que je monte qui que je réalise aujourd'hui que c'est mon hôtel. Ça, ça l'est. Mon projet que je suis en train de pondre puis que je suis en train de monter et de structurer. Donc je me rends compte que c'est ça mon hôtel. Mon Holiday Inn en Floride Rooftop là, c'est mon parc immobilier à Québec, dans Limoilou. Tu sais, c'est ça finalement que je suis en train de réaliser. Oui, donc je pourrais te qualifier de tornade. Tu es comme un tsunami. Je suis un tsunami. Mais écoute bien, je te raconte une petite parenthèse. De toute manière, on est là pour ça. Oui, oui, des confidences. Confidences. Crunchy. L'année dernière, le professeur, l'enseignante de mon garçon, m'a suggéré fortement d'aller consulter mon garçon pour un trouble d'hyperactivité et de concentration. Fait que là, on s'en va. Je te vois rire. Est ce que tu sais ou est ce que je m'en vais avec ça ? On a consulté, puis finalement, c'est moi qui ai eu un diagnostic, mais solide là et là, ça a été une claque dans la face parce que j'ai fait et je suis hyper active. Je le savais pas, mais je le savais, mais je le savais pas. En même temps, là je suis pas médicamenté, mais j'ai réalisé tellement d'affaires. J'ai vite ok. C'est pour ça que je suis de même. J'ai le feu au cul all the time. C'est comme ça. C'est une fusée. C'est pour ça que mon fils, si. Mais finalement, il est correct. Il est un petit peu moins tornade que moi. Mais oui, oui, je suis très très hyperactive. Ouais ben écoute, on est dans le temps des pommes ici. On dit souvent que la pomme tombe pas loin du pommier, C'est ça ? C'en est la force. Exactement. C'est bon, Mais pourquoi tu as reçu ça ? Tu sais, tu dis Mais écoute, ça a été comme un choc pour toi. Puis en même temps, tu dis ben oui, c'est vrai finalement. Mais comment ça, ça a changé ta vie d'avoir ce diagnostic là ? Comment ? Comment ça vient te toucher ou impacter dans ton day to day, dans ton quotidien ? Bien, je suis comme contente de le savoir. Puis je m'assume là dedans. Je pense que le monde autour de moi, ils le savent, que je suis comme ça, puis ça fait partie un peu de ma personnalité là, tu sais. Énergique. Toujours, Toujours on fire. Tu sais, c'est comme il n'y a pas de demi mesure. Tu sais, c'est la Virginie calme là, c'est rare qu'on la voit. Ça fait que tu sais, ça. Ça m'a permis de plus de m'assumer comme personne, je pense de ma personnalité. Il y a une expression. Moi, je suis née dans le bas du fleuve. Il y a une expression qui dit être sur une pinotte, donc au vrai sens d'une pinotte. Là tu sais qu'une pinotte c'est en terre pis c'est cuit. Puis quand c'est cuit, ça fait un peu comme un popcorn, ça saute. Ça saute, c'est ça. Fait que t'es comme un petit popcorn. Oui, je suis un popcorn qui éclate pas mal là. C'est bon, Ben écoute. Puis là, après ça, là, je comprends. Tu sais, là les enfants arrivent t'entendre, tu en as quatre maintenant. Puis là tu disais tantôt ben écoute, j'ai 33 ans, donc 33 ans, tes enfants ont pas 18 ans. Non, mon plus vieux, il va avoir huit ans là, Puis ma dernière, elle a quinze mois. Ok. Puis tu sais, quand je t'ai dit que j'étais hyperactive quand j'ai accouché de ma dernière, j'ai accouché un jeudi, puis le lundi matin à 7 h, j'étais de retour au bureau, puis je faisais mes payes on. The go on the. Go, puis le monde était là. T'es sûr ? Ça va ? T'es sûr ? T'es prête à recommencer ? Pas incertain, Voyons donc, Ça va tout chez moi ? Lâchez moi, je suis capable. Je me connais tu sais. Fait que tu sais, moi, les congé de maternité jamais vécu ça. J'ai toujours très emballé mes bébés avec moi. J'en ai même amené un sur un chantier à un moment donné avec le petit Cass là, puis là je me suis fait regardé de travers mais c'est pas grave, j'étais là, tu sais. Puis là, quand il y avait son chapeau de sécurité. Non, j'avais laissé la poussette à côté du chantier, puis j'avais demandé au gars à l'accueil de le surveiller pendant que je montais en haut. Mais là, c'était un peu. Mais j'avais pas le choix, il fallait que j'y aille. Mais. Mais c'est ça ! Pas de limites, pas de limites. Il n'y en a pas de problème. Il y a juste des solutions. Merci. Tu incarnes l'expression même de soi même. Donc quatre enfants. Tu sais, souvent j'ai. J'ai des femmes d'affaires qui me disent Écoute, j'ai deux, j'ai trois enfants et quand je considère mon conjoint, ça en fait un de plus. Oui, oui. Mais c'est qu'en plus mon conjoint est entrepreneur, lui aussi est entrepreneur. Puis il y a une entreprise qui est vraiment en croissance. Tu sais, on s'appuie vraiment l'un l'autre, mais c'est sûr qu'on a un beau défi un conjoint entrepreneur. Moi, je suis entrepreneur. On a vraiment deux domaines complètement différents. On challenge beaucoup, mais c'est autre que ça. On a quatre enfants ensemble et il faut ça prend une méchante bonne communication pour gérer tout ça, tu sais. Oui, donc deux entrepreneurs, ça, ça veut dire des heures variées et variables selon le secteur d'activité. Et ça demande une excellente gestion. Sinon, les enfants ont beaucoup de nounous. Beaucoup de nounous, c'est ça ? Mais là on a plus de nounou. On a eu un petit peu quand j'ai accouché, mais non, non, on gère tout ça comme une grande fille. Puis mon conjoint m'épaule, on a de l'aide. Beaucoup de nos parents font que ça, ça aide. Là, ça adonne. La question que j'ai pour toi, c'est vous avez de l'aide des parents, mais comment vous faites tu sais, parce que quatre enfants, le plus vieux huit ans pis là on le voit bien là t'es hyperactive. En tout cas, les gens ne le voient pas, mais ils l'entendent. Mais comment vous faites ? Toi et ton conjoint qui lui aussi est entrepreneur ? Pour conjuguer tout ça, pour te permettre de te réaliser dans ton business pis lui de se réaliser dans le sien, puis d'être présent pour les enfants. Donc c'est quoi ? C'est quoi la recette ? Qu'est ce que vous faites ? Bien la recette ! Écoute, chacun a sa recette. Mais d'abord et avant tout, j'ai constaté dans les dernières années aussi, j'ai eu l'immense bonheur d'avoir un coach de vie. Je sais pas si tu le connais. François Deschamps satisfait quelque chose. J'ai eu un coach de vie qui m'a permis de structurer ma vie pour que je sois capable de jongler avec tout ça. Donc il m'a donné des éléments, il m'a donné des outils pour être capable de m'épanouir en tant que mère, en tant qu'entrepreneur. Tout ça d'abord et avant tout, je suis une personne très structurée, qui est très, très bien organisée avec ça. C'est ça pour moi, c'est vraiment important, ce qui fait que tout le monde a le matin quand ils partent à l'école, ils ont des lunchs dans leur boîte à lunch. Tu sais ce que je veux dire ? Mais c'est aussi j'essaie de. J'essaie de mettre un peu d'énergie dans toutes les sphères de vie, c'est à dire dans mon travail, dans mon couple, dans mon dans le sport, dans mes amitiés. J'essaie d'entretenir tout ça pour être équilibrée. Parce que si moi, la mère de famille ou l'entrepreneur ou la femme, eh bien équilibrer tout autour va bien aller. Si moi je t'affecter une journée parce que ça va pas bien, mes enfants, ils vont arriver, vont être plus fatigués. On dirait que tout autour peut s'écrouler facilement. Ça fait que si moi je feel bien, puis je suis dans une bonne posture, bien autour de moi. C'est sûr que ça va mieux dans ce temps là, car quand j'ai compris ça, ça, ça m'a ça m'a aidé vraiment dans mon quotidien. Ok. C'est c'est excellent et en même temps, ben écoute, je vais en profiter pour faire balle au bond parce que là tu parlais du parc immobilier tantôt, on s'est parlé il y a pas tellement longtemps, puis tu m'as dit que vous aviez changé de maison, donc vous avez fait une nouvelle construction de maison. Oui, on a déménagé dans la dernière année, oui. Ok, donc il y a eu la colline, il y a eu durant la un quatrième, il y a eu le troisième et le quatrième, le troisième. Et quatrième, le. Troisième et quatrième durant la colline. Là, on est dans l'immobilier. Tu es en train de te construire à Limoilou, un Walt Disney, là. Donc, oui. Virginie Disney, Oui. C'est ça. Donc. Tu te lances dans l'immobilier. Ok, là je comprends que tu peux être hyperactive, mais tu sais, au niveau de la gestion avec les enfants, le conjoint, ça demande beaucoup. Cette énergie là, tu la puise, Qu'est ce que tu fais pour garder ce niveau d'énergie là chez toi, cette constance là ? Ils m'ont dit C'est une bonne question. Bien, ce que je fais dans la vie, mon travail, dans ma business, dans la construction, que mon parc immobilier, Ça paraît niaiseux à dire, mais ça me procure tellement de bonheur. J'aime tellement ce que je fais, ça me donne tellement d'énergie. Tu sais, quand je vais parler avec mes employés ou avec mes clients et que j'ai des bons feedback pis tout ça, ça me nourrit, ça me rend heureuse. Ça, ça ça m'amène au niveau d'adrénaline et ça, ça me nourrit tellement que ça me permet d'être épanouie personnellement. Tu sais, c'est c'est vraiment ça. Ça devient ta courroie de transmission. Vraiment, vraiment. Vraiment. J'aime vraiment ce que je fais. J'ai pas l'impression de travailler moi, dans la vie. J'ai l'impression d'être à la retraite, d'avoir quatre enfants, puis c'est ça. Je me sens vraiment de même. Une jeune. Retraité. 33. 33 ans, quatre enfants. Il y en a deux d'âge scolaire, deux préscolaire. Puis le CHUM qui est entrepreneur. Puis à travers tout ça, tu trouves le temps de venir faire un podcast avec François. Bien certain, Il faut, il faut. Ça, ça vient vraiment établir le niveau d'énergie qui t'habite, qui te caractérise. Je trouve ça vraiment exceptionnel également dans ton parcours parce que je reviens à ton parcours pour arriver à Pierre Gosselin. Donc, tu sais, agent de développement touristique. Oui. Écoute, ça, c'est un mandat que j'ai eu pendant un temps. Tu sais, un petit peu avant que j'achète l'entreprise de mon père, j'ai travaillé à la ville de Sainte-Marie dans le domaine municipal. J'ai été agente de développement touristique. Mon rôle, c'était beaucoup de restructurer les sites touristiques de la ville de Sainte-Marie fait que ça a été un vrai, un très beau mandat. J'ai vraiment adoré ça. Puis tu sais, toute la politique municipale, ça m'a comme interpellée, ça a ouvert une porte, puis j'ai dit Oui, j'ai vraiment aimé ça. Tu t'es tu lancée en politique municipale ? Ben oui, je me suis présentée conseillère municipale en 2018 aux élections en octobre. Donc j'ai siégé pendant un an jusqu'à temps que j'aille une petite grossesse surprise qui vienne interrompre le processus. C'est que suite à l'arrivée du quatrième enfant, on a dû déménager. Donc j'ai dû quitter mes fonctions de conseillère municipale. Mais j'ai vraiment aimé ça et je suis certaine que je vais, que je vais redevenir conseillère municipale dans ma vie éventuellement. Qu'est ce qui. T'attire dans le domaine politique ? Bien, c'est sûr que j'ai une famille que tu sais. Mon grand père était député. Ma mère, ma sœur ont toujours travaillé en politique. Mais moi, ce que j'aime dans la politique, c'est pas la politique provinciale ou fédérale, c'est vraiment la politique municipale d'être près des gens dans la communauté, de s'impliquer avec les citoyens, être à l'écoute de leurs besoins, puis d'organiser des activités. C'est, c'est ça, là, oui, ça m'a vraiment, j'ai vraiment aimé ça. Oui, ça a été une belle expérience. Puis de cette expérience là, parce qu'on va arriver à parler de l'entreprise de construction dans quelques instants, mais de cette expérience là, de ces expériences là, qu'est ce que t'en retire qui te servent aujourd'hui dans ton rôle ? Bien, c'est beaucoup l'écoute, puis la compréhension, puis la collaboration. Tu sais, les citoyens, ils arrivaient, des fois ils étaient fâchés parce que bon, il y avait un immeuble qui se construisait près de leur terrain, ils étaient pas contents, ils étaient mécontents. Donc c'est un peu de se mettre dans la position de l'autre personne, d'essayer de comprendre son point de vue, de comprendre ses besoins. Puis tu sais, ça fait parti un peu de se mettre dans la peau de l'autre, puis être à l'écoute, tu sais. Donc ça, ça m'a. C'est une belle qualité que j'ai d'être capable d'écouter mon interlocuteur, de comprendre ses besoins. Oui, t'es capable d'écouter, d'écouter, oui, l'écoute, oui, oui. Bien écoute, j'essaye en tout cas. Mais. Mais je le vois là, tu sais, t'as une grande facilité. Parce que oui, tu es très dynamique, très énergique, mais je vois que tu es capable de te déposer, puis de réfléchir, puis d'accueillir ce qui se passe autour de toi, Comment tu fais pour passer de un à l'autre comme ça ? Et mon dieu, c'est une bonne question. Je pense que quand mon interlocuteur soit un client, un employé locataire parle avec ses émotions, là, bien là, on dirait que je ressens son émotion là, ça vient me calmer. Pis là je suis plus en mode bon, là, la personne a tel problème comment, Qu'est ce que je peux faire pour l'aider ? Qu'est ce que je peux faire pour rendre cette personne heureuse ? Alors là, je viens comme plus me déposer, plus je suis plus dans la réflexion, dans le ressenti. Puis après ça, je vais intervenir, puis là, quand j'interviens ou là mon niveau d'énergie va remonter. C'est un peu Ouais, c'est bon. Donc c'est inné, c'est dans ton ADN, ça vient naturellement chez toi. Oui, pas toujours. Par exemple, on s'entend qu'il y a des bons et des mauvais moments, là. Mais tu sais, quand les quatre enfants crient à la maison, puis là il y a un client qui appelle. Des fois, il va. Ça se peut qu'il se fasse répondre, c'est qu'il y a un peu, là, tu sais, ça, des fois ça arrive, Je suis pas parfaite non plus, là, j'ai des défauts en masse, là, Mais c'est ça, quand le téléphone sonne après 4 h ou appelez ça peut être plus, c'est. Pas automatiquement Sainte Virginie. Non, non, non, non. Prier pour nous, c'est prier pour vous, Seigneur, C'est pas. Mais écoute toutes ces expériences là, ce que tu nous partages, des éléments personnels aussi ta vie, ton chum, entrepreneur, les enfants. Puis là, à un moment donné, ben écoute, là, tu prends la décision de te lancer dans le domaine de la construction, puis d'être la relève de l'entreprise de ton père avec ton frère. Comment ça s'est passé ? Ben c'est ça. Écoute, mon père, ça fait. Ça faisait plusieurs années que je regardais ces états financiers qui me parlaient de sa structure, puis j'essayais de l'aider indirectement dans l'entreprise, sans sans vouloir m'impliquer beaucoup. Là, tu sais, j'essaie de l'épauler. Puis tu sais, je voyais des fois qui était affecté par des situations, puis ça me faisait quelque chose, ça me touchait. Puis je me disais Mon Dieu, il aurait besoin d'aide, mon père. Puis il veut prendre sa retraite, puis il y en a beaucoup de ses épaules. Puis tu sais, des fois, il ouvrait des portes et dire Tu pourrais m'aider. Puis là, à un moment donné, après mon mandat à la ville de Sainte-Marie. Tu sais, j'avais le goût de retourner en affaires, j'avais le goût de m'impliquer dans un projet. Puis là, je me suis dit pourquoi pas ? Tu sais, pourquoi pas l'entreprise familiale ? Je pourrais l'essayer, puis on verra ce que ça donnera. Je faisais confiance à la vie, Je croyais pas autant à mon potentiel à ce moment là parce que je me disais la construction, j'ai aucune compétence là dedans, j'ai jamais travaillé là dedans. Comment je vais faire pour avoir une crédibilité face à mes clients, une crédibilité face à mes employés ? Mais de fil en aiguille, je me rendais compte que les tâches que j'allais faire dans l'entreprise familiale étaient les mêmes que je faisais avec mon service de traiteur ou en hôtellerie, c'est à dire l'administration développement des affaires, gestion de personnel, marketing fait que c'était exactement les mêmes tâches que je fais, mais dans un domaine différent. Puis quand j'ai constaté ça m'est égal, on y va, on signe le papier, on signe ou on signe cap. J'étais prête là. Puis le processus de transfert s'est fait très rapidement parce que mon frère et moi, on avait vraiment chacun nos carré de sable. On était sur la même longueur d'onde. Puis quand mon père a constaté qu'on était les deux vraiment prêts, ça s'est fait assez rapidement. Puis nos employés ont pris ça très positivement. Ils étaient très ouverts, très accueillants dans ce processus là, fait que ça super bien été, vraiment. Et là, il y a plusieurs questions qui me passent entre les oreilles. Vas y, je t'écoute. Ok ? Bien, écoute, pour avoir entendu des histoires, souvent des histoires d'horreur sur des transferts d'entreprises dans le domaine familial, c'est pas toutes des histoires à succès malheureusement, c'est pas toutes des histoires avec de l'insuccès, heureusement. Donc cet élément là, qu'est ce qui a fait selon toi chez vous, donc ton père, ton frère et toi, que ce transfert là ? Puis je dis pas qu'il n'y a pas eu de hasard, puis qu'il y a pas eu de discussion. Tu sais, à un moment donné, ça a sûrement dû amener des sujets variés, là. Mais qu'est ce qui a fait que vous avez réussi à passer à travers ? Ça a réussi à faire en sorte que la transition, le transfert se fasse, que la transition se fasse, puis que toi et ton frère puissiez prendre la relève de l'entreprise et que ça se fasse dans un climat sain et respectueux de chacun. Oui, c'est une très bonne question je pense. Je pense que ce qui est important de comprendre, c'est que mon père, il était vraiment après tu sais, il était vraiment prêt à prendre sa retraite. Puis je voyais que ma mère aussi était prête. Puis tu sais, je sentais qu'y qui voulait délaisser ça mais qui ne voulait pas fermer les portes là. Faut comprendre que Pierre Gosselin jouait ailleurs. Soit dit en passant, c'est une entreprise hybride, donc on n'a pas de bureau en tant que tel, on n'a pas d'immeuble, on n'a pas. On a quelques entrepôts, là, mais c'est très décentralisé. Nous, on a des chantiers partout au Québec, on est beaucoup en prêt de main d'œuvre. On est en B2B, donc c'est une entreprise généralement facile à gérer dans le sens où est ce que financièrement, il n'y avait pas beaucoup de risque non plus. Là, tu sais, l'entreprise était pas endettée et tout ça fait que le risque. Qui était minime. Donc mon père était prêt à passer le flambeau. Puis mon frère et moi, on s'est assis, puis progressivement, on a pris des responsabilités petit à petit. Puis à un moment donné, mon père n'avait plus à peu près rien à faire. Il n'y avait plus de tâches, il y avait plus de responsabilités. Donc on s'est assis, puis on a monté notre nouvelle structure et mon père était hyper confortable avec ça. Ma mère aussi. Tout le monde était content, puis ça s'est fait très bien. Mais effectivement, c'est vrai que dans les processus de relève, on voit toutes sortes d'histoires et je pense que le le repreneur doit être prêt, mais le vendeur aussi doit être prêt. Tu sais, ça vient des deux côtés. Et dit moi, pour le bénéfice des auditeurs, la transition s'est échelonnée sur combien de temps, sur quelle période ? Si tu en terme de mois, en terme d'années. Je dirais que ça s'est fait en quatre mois, peut être quatre mois. Oui, c'est très très rapide, Oui, très rapide, très rapide, oui. Donc, en 2019, on a notarié, vraiment. On a vraiment acheté les actions. Mon frère et moi, en 2019. Donc juste avant la pandémie, Oui, ok. Puis une question aussi qui me brûle les lèvres cette période là de pandémie pour vous, quel impact, quelle répercussion ? Oh mon Dieu, ça a été complètement fou ! On a été dans cette année là, on a acheté en 2019, puis on a eu 25 % de croissance en une année. Même pas. Ça a été complètement fou. Alors, ça a été une bonne école, ça a très bien été. Nous, c'est plus en ce moment là, nous qu'on a une petite baisse de croissance avec le contexte économique actuel, Ça nous a beaucoup. Ça nous impacte beaucoup ce qui se passe actuellement, la hausse des taux d'intérêt, pénurie de main d'œuvre, la hausse des matériaux, toutes les mises en chantier, la baisse des mises en chantier. Ça nous affecte beaucoup en ce moment. Mais malgré tout, la construction, c'est cyclique. Et je pense qu'être entrepreneur, c'est être capable de vivre avec les hauts et les bas. Dans notre entreprise, tout le monde, tous les entrepreneurs ont des bas, tous les entrepreneurs ont des hauts. Ça fait partie de ça fait partie de la game comme on dit. Oui mais comment ? Comment vous. Là, tu te dis c'est une période difficile, puis c'est pas uniquement pour vous, c'est pour plusieurs types d'entreprises, dans plusieurs segments de marché aussi. Mais comment vous faites pour garder la tête droite, garder le moral à l'intérieur de ce que vous vivez actuellement comme baisse au niveau de. Oui. C'est extrêmement difficile. Je parle vraiment pour moi. Moi je trouve ça dur parce que tu sais, on a été obligé de mettre quelques employés sur le chômage, puis ça c'est l'horreur. Parce que tu dis être son employé, mon employé, il a une famille à faire vivre, moi je veux le faire travailler parce que je veux qui je veux, qu'il soit heureux et je veux que sa famille soit bien. Et puis ça, ça m'affecte vraiment beaucoup. Là, qu'est ce que je fais pour garder la tête haute ? Je pense que je joue la carte de la transparence, tu sais, Mais nos employés savent qu'il y a une diminution des chantiers. Puis c'est pas juste. Nous, nos compétiteurs, nos collaborateurs, ils vivent la même chose que nous. Tu sais, moi quand je parle avec des clients ou quand je parle avec des compétiteurs ou des employés, j'en parle ouvertement. Tu sais, je le dis, il y a une baisse d'ouvrage, C'est pas facile, mais on s'entraide les uns les autres et c'est ce qui m'aide à garder le cap en ce moment, c'est vraiment le fait qu'on est supporté par nos employés, par nos clients. Tu sais, on est tous dans le même bateau, fait que ça fait du bien de savoir qu'on est supporter. Donc tissée serrée, vous avez une relation qui va au delà d'une relation d'employeur employé ? Absolument. On est dans une entreprise familiale, puis ça va toujours rester là. Comment vous avez fait pour construire ? Sais tu de ton père qui, avant ton frère et toi, avait construit ce modèle là de relation employeur employé pour aplanir certaines barrières, puis d'avoir une relation plus de proximité ? Parce que je le sens là, tu sais, tu me parles, puis je te vois les yeux briller, mais je te vois les yeux mouillés aussi. Oui oui, ok, parce que ça te fait de la peine d'avoir des employés, mais tu m'en a partagé un bout l'autre jour donc. Mais ça vient d'où ? C'est ton père qui a construit ça, ce modèle là, cette relation là avec avec avec les gens. Puis comment vous faites vous pour le maintenir ? Oui, absolument. Mon père, il jouait beaucoup au père de famille avec ses employés. Je peux dire ça comme ça. Il était beaucoup, tu sais, Il était toujours en train de les aider. Tu sais, il y en a qui c'était pas facile. Les gars qui étaient dans l'alcool ou peu importe, Il allait aller les chercher, les amener, les amener, travailler. Puis me semble que tu sais, ils prenaient par la main. Vraiment ? Il a vraiment agit à titre de sauveur pour certains employés qui sont d'ailleurs encore pour nous aujourd'hui, mais c'est vraiment de s'intéresser à eux et eux, ils s'intéressent à nous. C'est oui. On a toujours gardé un lien de proximité. On fait beaucoup de parties les party de Noël, les partys d'été, tout ça. On essaie de se voir malgré le fait qu'on est décentralisé, faut pas l'oublier. On a des employés qui habitent loin. Il y a même des endroits que j'ai jamais vu de ma vie. Encore là, tu sais ça, C'est pas facile de les garder dans l'équipe, mais ça fait partie de mon travail. Ça fait partie de mon travail de garder une proximité avec eux. Et puis comment tu réussis là ? Je trouve ça fascinant. T'as des gens que t'as jamais rencontrés ? Oui. Non, je te jure. Oui. Bien, voyons comment vous faites pour maintenir ce lien là à distance. Parce que tu sais ce que j'entends souvent là. On le sait, avec la période pandémie, entre autres, il y a eu une explosion des technologies les les Ummites, puis les timides, puis les Google it. Il y en a eu plein. Donc, puis là, il y a des gens qui, ça les répugne, puis ils disent Écoute, c'est impossible d'avoir un relationnel à haut niveau à travailler avec un téléphone intelligent ou avec de la technologie. Puis là, toi, t'es en train de démolir cette croyance là. Ben non, on le fait nous autres chez nous, on le fait bien. Écoute, cet employé là, il y en a un là, tu sais, entre autre, tu travailles dans le nord du Québec actuellement, tu fais des run de 28 jours et reviens pas longtemps à Montréal. Il repart. Tu sais, je le vois pas beaucoup, mais on se parle presque aux deux jours. Là, on suit sur les réseaux sociaux sa femme, elle habite à Cuba. Sa mère vient d'arriver. Je veux dire, tu sais, je sais tout de lui. Puis tu sais, je l'épaule du mieux que je peux. Puis tu sais, c'est grâce à nous que sa mère, elle vient d'arriver au Québec. Tu sais, Je l'aide à réaliser son rêve. Là, je l'épaule dans sa vie. Puis c'est ça ma job, moi, Tu sais, c'est ça qui c'est mon why ? C'est pourquoi je fais. C'est pour ça, parce que c'est vraiment bon. Puis là je le vois, puis je l'entends, puis je le sens, là, c'est Tu sais, quand tu disais mon père gérait ça comme un bon père de famille, fait que là, finalement, toi et ton frère, vous êtes devenus le père et la mère de cette famille là. Exactement. Oui, j'aurais tendance à dire que oui, oui, absolument. Donc, c'est une continuité. Ça fait partie de votre Si on peut parler de marque de commerce. De nos valeurs fondamentales, tu sais, vraiment, là ? Oui. Donc la proximité, la relation, ça, c'est important. Et ça, sans être le but ultime, ça génère pour vous une fidélité et une loyauté au niveau de vos employés. Absolument. Ça, c'est vrai. Parce que tu sais, on retient pas personne nous autres là, s'ils veulent aller chez le compétiteur, je vais dire qui est là. Tu sais, on. Mais c'est ça, les gens, ils restent, ils sont fidèles. Ça fait que. Pour cette grippe, pour cette raison là, oui. Parce qu'ils sentent qu'ils se sentent dans une famille, sentent épaulés, ils sentent appuyés et que le salaire, on le sait, on est en 2023. C'est une belle condition de se sentir apprécié, de se sentir épaulé comme employé. Tu sais, c'est important. Moi je trouve en tout cas, et je le vois, la répercussion que ça. C'est ça. Et ça m'amène à parler de la nuance entre fidélité et loyauté. Parce qu'on peut être fidèle à une bannière, un employeur, mais aller voir ailleurs, tu sais. Et puis de rester attaché principalement à une entreprise, mais d'aller voir ailleurs. Puis la loyauté, mais elle était indéfectible, c'est qu'il n'y en a pas d'autre qui existe. On a seulement le cœur. Donc, vous avez développé cet cet esprit là de loyauté envers à l'égard de vos employés. Donc, c'est vraiment phénoménal. En parlant d'employés, parce que je pense que c'est important de mettre un angle, parce que là, c'est pas trois ou quatre employés que vous avez. Vous avez combien de personnes qui sont rattachées à votre entreprise ? Là, présentement, on a 30 employés pour la baisse d'ouvrage qu'on a. Là, on est à 30, on a été longtemps entre 40 et 45, là, oui. Donc, ça fait beaucoup de monde, puis principalement des hommes. Mais non, vraiment, on a vraiment une belle équipe. Je suis très contente. Je soulève un point qui m'amène à une question. Là tu dis principalement des hommes. Là je vais passer pour macho. Mais qu'est ce qu'un petit bout de femme comme toi ? Fou dans un milieu d'hommes, dans un milieu où les gens pensent que la construction c'est réservé presque exclusivement aux hommes ? C'est un milieu où les gars vont se parler avec une plaque sur la table et de temps en temps un tabarnak ! Ok, qu'est ce que toi tu fous là dedans dans ce milieu là ? J'aime tellement ça. Parce que tu sais, par exemple avec mes clients, c'est des monsieurs en construction. Et puis tu sais ça, tu sais, ils savent où ils s'en vont. Puis c'est ça que j'aime parce que quand je leur parle, il n'y a pas d'émotions, il n'y a pas de haine. Mais là, peut être que si. Puis peut être que ça, c'est là. Là, tu vas m'amener trois gars demain matin à 8 h, ok, là. Puis tu sais, c'est parfait, monsieur. C'est. Tu sais, c'est straight to the point, ça, c'est clair, ça y va. Puis moi, c'est ça que j'aime, parce que gérer des émotions à Londres, je dis pas que les femmes, on a trop d'émotions, c'est pas ça que je dis, mais je dis juste qu'on dirait que les hommes, c'est en tout cas le type de client avec qui je travaille. C'est donc moins facile travailler avec eux parce que c'est tellement clair ce qu'ils veulent. Et moi je réponds à leurs demandes. Je suis leur exécutrice, tu sais, c'est ça. Mais j'aime ça parce que tu sais, moi mon but c'est de leur faire plaisir à il veut trois gars demain matin, c'est impossible. Mais je vais essayer que ça soit possible. Tu sais tout le temps un défi, puis ils sont contents, puis quand ils sont contents, moi je suis contente. Quand mes employés sont contents, je suis toujours contente. Tu sais. Ça a été quoi ton plus grand défi ? Si, s'il en est là. Mais ça a été quoi ton plus grand défi d'intégrer ce milieu d'hommes là ? Parce que tu sais, c'est ton père qui était propriétaire. Donc là, il y a toi et ton frère Vincent qui est arrivé là, qui est enceinte. Mais ça, tu sais comment ça a été faire ta place, puis d'avoir cette acceptabilité là des employés. Bien, c'est sûr que mon frère, il est beaucoup sur le terrain, avec tout ce qui est plus technique, tout ce qui est plus, qui touche vraiment le volet tirage de joint, là, c'est vraiment mon frère. Tu sais, moi je vais pas chez chantier tirer des joints puis dire à l'un et à l'autre tu fais pas bien ta job, c'est pas ça mon rôle. Moi, mon rôle c'est tu sais, mes employés, ils vont souvent me dire Ah Virginie, ce chantier là, je me sens pas bien parce que telle ou telle affaire. Puis j'ai envie d'aller sur un autre chantier. Parfait, J'organise ça. Moi, je suis. Comme mon rôle est facile parce que j'ai la compétence de faire ce que je fais, tu sais, je suis dans le bon carré de sable pis mon frère est dans le bon carré de sable. Puis nos employés le savent, puis ils sont contents de ça. Tu sais, on respecte nos limites l'un et l'autre là. Ok. Intéressant. Puis parlant de ton frère Vincent, comment vous faites pour avoir ce maillage là ensemble ? Je reviens toujours sur certaines croyances que quand on fait de la business en famille et c'est pour ça que je te posais la question avec ton père tantôt. Donc quand on fait de la business entre familles, c'est des choses qui peuvent être difficiles, qui peuvent être ardues, puis qu'on a de la difficulté à établir un juste équilibre, puis de maintenir et de préserver la relation familiale à l'extérieur du travail. Mais qu'est ce que vous faites et comment vous le faites, toi et Vincent ? Bien, je vais être bien transparente. C'est sûr que c'est difficile, là, tu sais, d'être en affaires avec son frère ou sa sœur, peu importe. Mais moi puis mon frère, à l'extérieur du travail, on se côtoie dans les événements familiaux. Tu sais, on essaie de pas trop parler de travail et tout ça, mais ce qui nous aide. À continuer ensemble dans l'entreprise familiale, c'est d'être transparent, d'être transparent l'un envers l'autre, puis de parler de nos émotions, puis de comment on se sent dans telle situation. Tu sais, on se parle, puis on se le dit quelque chose, c'est important là. Donc vous laissez pas traîner les choses, il y a quelque chose qui arrive en tout respect, on prend le temps de l'exposer. Puis moi, ça m'amène à dire que tu sais, dans mon rôle, dans ma posture, je dis toujours toute vérité est bonne à dire, il faut savoir comment et quand le dire exactement. Donc utiliser les bons mots, le bon vocabulaire, puis de l'exprimer. Parce que ma vieille mère disait dans une vie passée, tout ce qui traîne se salit exactement. Donc quand on laisse traîner les choses, ça se règle pas tout seul. C'est vrai. Donc c'est de prendre le temps d'adresser les choses telles qu'elles sont, puis d'avoir le courage. Parce que là je vois que toi et Vincent, vous avez le courage de mettre sur la table les sujets des discussions qui peuvent être difficiles mais qui ont besoin d'être adressées pour clarifier des situations, puis de continuer et de poursuivre votre route ensemble. Bien oui, tu sais. Sinon, je veux dire, notre relation s'est détériorée, on doit se le dire, tu sais, Puis on le sait. Puis non, non, là, ça va bien là dessus, là. La communication est. Un. Enjeu essentiel. Partout, absolument partout. En affaires, en entreprise, dans le monde entier, dans le monde politique, partout, partout, partout. Dis moi, tantôt t'as laissé glisser et je l'ai saisie au vol. l'École dans ta. Panaché blanc. Oh mon Dieu, oui ! Veux tu bien me dire Qu'est ce que tu es allé chercher là bas ? Ah ça ! Tu sais, à la base, j'avais quand même. J'avais trois enfants quand j'ai commencé l'école. C'était merci à mon mari qui m'a permis d'y aller. C'était mon rêve depuis toujours d'aller là. Je m'étais dit un jour c'est sûr que je vais aller à cette école là. Mais ça a transformé une partie de moi même. Ma vision de voir la vie, de voir le monde entrepreneurial, ça m'a donné de beaux outils. Vraiment. Là, ça a été extraordinaire comme expérience. Vraiment. Mais qu'est ce que. Qu'est ce que. S'il y avait deux, trois points à ressortir de cette école là que tu as fait ? Ça a duré deux ans. C'est ça, Oui, deux ans. Donc, sur ces deux années là, là, pour toi, parce que d'une personne à l'autre, ça va être relatif, parce que le vécu de Virginie, puis le vécu de Pierre, puis de Julie, puis de Jean-Marie, ça va être différent. Donc il y a ton vécu, il y a ton background, il y a tes capacités, tes talents naturels, tes croyances naturelles. Donc ça va être différent d'une personne à l'autre. Mais toi, s'il y avait deux trois points que cette école là t'a permis de mettre en relief qui te servent aujourd'hui, ce serait lesquels ? Je dirais beaucoup l'ego. L'ego, ça a été une notion qu'on a survolé, tu sais, on a fait beaucoup de modules là dessus. L'ego, tu sais, ça m'a. J'ai vraiment mieux saisi la notion de l'ego. Ça m'a vraiment beaucoup aidé de voir, de se mettre au même niveau. Tu sais, moi je vois tout le monde sur le même pied d'égalité dans la vie. Mes employés, puis mes clients, puis moi. On est tous au même niveau, tu sais. Ça, ça m'a aidé dans mon day to day. L'autre chose qui m'a vraiment aidé, c'est l'équilibre de ma vie. Ce que je disais tout à l'heure en étant quand je suis dans une bonne posture. Mais autour de moi, dans ma vie familiale et dans ma vie entrepreneuriale, ça m'aide toute l'équipe. Il faut que je sois équilibré d'abord et avant tout. Tu sais, c'est un peu égoïste à dire, mais faut que je mette du temps sur moi même si je veux que ça aille bien autour de moi, là. Ok. Je vais revenir avec ton ego. Vas y. Parce que là, on est en train de parler de compétence par le fait même. Donc l'ego c'est pas toujours vue de façon positive et constructive parce qu'on va dire à l'occasion ce qu'on entend et il y en a plein de croyances et de choses qui circulent. Ok, qu'il y a des personnes, que leur égo est trop fort et qui se prennent pour le nombril du monde et que et que Mais comment toi le fait de travailler sur ton ego ça te sert ? Mon dieu, c'est une bonne question. L'ego c'est large. Tu sais, c'est très très large. Je lis beaucoup là dessus. Je trouve ça tellement intéressant. C'est très très pertinent. Mais dans mon idée, tout ce qui m'aide, c'est que tu sais, c'est ça, c'est vraiment de me mettre au même niveau que mon employé. Tu sais, s'il y a quelque chose, si je cerne quelque chose qui ne va pas chez mon employé, eh bien je suis capable de me mettre à sa place. Et c'est pas parce que moi, je suis le boss que je vais en tirer un avantage ou que je vais dénigrer, ou que je vais l'envoyer sur un chantier de merde ou tu sais. C'est vraiment de respecter l'autre et de se mettre à sa place. Même chose pour les clients. Tu sais, c'est. C'est vraiment comme ça que je le vois là. Donc c'est pas nécessairement un égo surdimensionné, surdimensionné, c'est d'être plus conscient de ton ego et de la place qu'il prend chez toi, dans ta vie et dans la vie des autres que tu côtoies. Il y a aussi le fait que tu sais que mon titre c'est présidente. Mais ça, ça c'est vraiment pas important. Mais moi, ce que je trouve important, là, présentement, dans l'entreprise, là, je travaille pas sur mon entreprise, je travaille dans mon entreprise parce que là, mon entreprise en ce moment, et tu sais, on a moins d'ouvrage, comme je disais tout à l'heure. Donc là je dois mettre du travail dans l'entreprise et non sur l'entreprise. Tu sais, ça aussi c'est une notion d'ego. Je trouve que les entrepreneurs, souvent ils disent Ah, moi je travaille sur mon entreprise, ma mission, ma vision, mes valeurs, c'est ça ? Mais non, non mais là, tu sais, moi, mon entreprise en ce moment, elle a besoin de moi, elle a besoin que je sois là puis que je laisse faire les plans stratégiques pour l'instant. C'est ça qu'il faut que je fasse. Faut que je travaille dedans et non sur l'entreprise. Tu sais, il y a cette notion là. C'est pas un ego surdimensionné, c'est un ego qui est qui est rationnel. Donc de dire Bien, regarde là c'est le temps que je m'y mette, puis c'est pas à personne d'autre que ça appartient, c'est à moi. Plonger le nez dans les livres, dans les opérations, puis de donner un coup de barre. Donc tu restes pas assise sur ton siège de présidente de la compagnie en disant écoute un peu, moi je suis présidente, puis ça va se régler tout seul ou il y a quelqu'un d'autre qui va le faire. C'est exactement ça. Tu sais, je suis vraiment pas comme ça, là. Tu sais, là, en ce moment, j'ai besoin de faire beaucoup de développement des affaires, puis là je me concentre là dessus, puis go, puis j'ai pas froid aux yeux. Puis malgré le fait que c'est difficile, j'ai l'énergie pour le faire, puis je continue. Puis j'ai des familles à faire vivre. Ça fait que c'est pas le temps de ça. C'est pas le temps de rester assis sur la chaise de présidente, là, ok ? En même temps, mais toujours en parlant de compétence, j'ai vu une de tes compétences qui est la détermination. Moi j'ai pas senti. Tu étais une personne déterminée. J'ai pas senti. T'es une personne qui avait des convictions, qui était convaincue. Mais parle moi de ça. Comment ça te sert cette détermination là aujourd'hui dans le cadre de ton business, puis dans le fait que t'es une femme en affaires aussi, dans un domaine qui est peu commun parce qu'il n'y a pas énormément de femmes qui sont en affaires dans le domaine de la construction. Oui, bien, tu sais, c'est facile d'avoir des ambitions dans la vie. Je trouve que tout le monde a des ambitions, tout le monde a des rêves, mais des réaliser puis faire le premier pas. C'est ça la détermination, c'est de faire matin. Je me lève puis go là, tu sais, on franchit la première étape, là, avec ma détermination m'aide dans mon deuil à me dire Bon, aujourd'hui, j'ai ce défi là à accomplir, comment je vais, comment je vais m'y prendre pour, tu sais, pour l'atteindre. Tu sais, c'est toutes les petites étapes que je suis capable d'énumérer, puis dire Bon, la première étape, c'est ça, et on en sautera pas une, on va passer, on va y aller, mais une étape à la fois, tu sais, c'est. C'est ça, là, je dirais, dans mon idée, toute la détermination, c'est c'est d'aller au delà de de l'ambition, puis de vraiment franchir des étapes qui, des fois nous sortent énormément de notre zone de confort. Tu sais, moi ça me fait pas peur. Puis j'ai pas froid aux yeux pis j'ai pas peur de prendre des risques, tu sais, j'ai pas peur de me faire dire non non plus. Mais tu sais, il y en a qui ont plus de la misère avec ça, tu sais, ça prend beaucoup de courage. Puis la détermination pour faire. Oui, tout à fait, puis. Tu soulèves tellement de points que tu vois, tu le vois dans mes yeux. La peur. La peur, c'est un élément que je vois régulièrement dans mes rencontres, dans mes discussions avec des entrepreneurs, hommes ou femmes. Et la peur est un élément qui va venir paralyser, empêcher de passer à l'action. Absolument. Totalement d'accord. Comment tu fais, toi ? Pour gérer cette peur là Tu dis j'en ai. Pas, mais j'ai pas peur. Non, j'ai pas de peur là, à part les serpents, mettons. Peut être, Mais non, j'ai pas peur de grand chose on dirait. Je me dis je vais avoir peur, mais que je me couche dans ma tombe dans le sens. Pourquoi ? Pourquoi j'aurais peur de quelque chose ? Je veux dire, j'ai pas peur. J'ai pas peur de prendre des risques. J'ai pas peur de sauter dans le vide. Non, ça fait pas partie de moi d'avoir peur. Le fait d'atténuer ses peurs. Parce que tu sais, toi et moi, tu m'écoutes quand je serai dans ma tombe. Mais quand tu vas dans ta tombe, t'auras pas peur. Tu vas être morte, c'est ça ? J'espère que tu entrerons pas vivant. Mais quelque part, cette peur là, il y a des personnes qui la vivent. Toi et moi. On risque de se retrouver dans la même situation. Toi t'as pas peur. Pis moi j'ai peur. C'est parce qu'il y a quelque chose qui se produit là. Donc pour moi, le fait de bien gérer, contrôler son environnement, la contrôler est un grand mot, mais de bien gérer son environnement, c'est aussi d'augmenter son niveau de confiance en soi. Parce que plus on a confiance en soi, moins on a peur. Donc l'image que je prends souvent, c'est que l'oiseau sur la branche, il a pas peur de tomber, il ne fait pas confiance à la branche, il fait, il fait confiance à sa capacité de déployer ses ailes et de s'envoler. Donc toi on le voit là, t'es une personne qui a beaucoup confiance en toi. T'es pas un sur confiance, mais tu as une bonne confiance en toi. Comment tu fais pour développer ta confiance en toi ? Mon dieu, c'est une révélation Parce que c'est bizarre à dire, mais j'ai pas que j'ai pas tant confiance en moi. Oui, j'ai confiance en mon potentiel, mais je suis conscient de mes défis personnels. Tu sais, quand on a fait du coaching ensemble il y a deux ans, mon niveau de confiance était pas très élevé, tu te souviens ? Et je sais pas qu'est ce qui a fait en sorte que j'ai augmenté ma confiance. C'est une bonne question. Ben écoute pas pour surmonter ses parts dans le domaine où je suis. Pour surmonter ses peurs, il faut d'abord les apprivoiser, puis les apprivoiser et les confronter. Donc je reviens à l'École d'entrepreneurship de la Beauce. Ok, donc t'es allé en développement personnel, t'as fait du coaching, t'as fait de la formation, tu as fait du training. Toutes ces petites actions là et ses plus grandes actions là sont venues pallier à des éléments chez toi. Parce que dans ton parcours, tu parlais de politique municipale, tu sais ta transiger dans le domaine touristique, la gestion du personnel, l'hôtellerie et la restauration. Donc c'est toutes des expériences qui sont venues remplir ton carnet, ton 105, ton carnet et qui font aujourd'hui que dans le milieu dans lequel tu te retrouves, tu as établi ta zone, tu as établi tes paramètres, ok, puis ça te permet de déployer tes ailes, puis de te sentir bien. Oui, bien vu de même, tu as bien raison. Puis il y a aussi un élément important, c'est que j'ai pas peur de demander de l'aide. Tu sais, il y en a des fois qui ont peur de demander de l'aide parce qu'ils veulent pas monter, leur montrer leur vulnérabilité, leur vulnérabilité ou leur faiblesse. Mais moi c'est le contraire. Quand il y a quelque chose que je suis pas capable de faire, va voir qui, qui peut m'aider, qui que je connais dans mon entourage, que je pourrais appeler pour qu'il m'aide pour surmonter cet obstacle là. Donc ça c'est ma capacité à demander de l'aide, puis de montrer, puis de dévoiler ma vulnérabilité. Ça, ça m'aide vraiment, sincèrement, vraiment beaucoup. C'est un gros wow parce que tu vois, je reviens encore une fois sur ce que tu mentionnais tantôt ta capacité de pouvoir abaisser ton ego parce que quelqu'un que l'ego est très fort irait jamais demander Je suis fort moi là, là je suis King Kong bang bang bang sur la poitrine donc. Mais tu sais, t'as pas peur de t'exposer, exposer comme tu dis ta vulnérabilité. T'es une personne qui apparaît là, t'es intègre, t'es simple, t'es un. Puis d'aller au devant, puis d'aller demander de l'aide. Coco, regarde, je suis là. Puis j'ai besoin de ton oreille, ton écoute, ton attention, puis quelque point de référence. Donc, c'est une grande capacité de leadership. Oui, absolument. Ce leadership là, tu le nourris comment toi ? Ben le leadership écoute, il y a milieu de définition. Mais mon leadership, je l'ai trouvé surtout à l'École d'entrepreneurship de Beauce. Parce que tu sais, on fait beaucoup de tests, de personnalité, etc. Puis j'ai constaté que moi, mon leadership, ce qui me nourrit et ça fait partie de mon why, de pourquoi je fais ça dans la vie, c'est le leadership collaboratif. Le leadership collaboratif, c'est d'avoir le même but que l'autre personne, c'est à dire moi j'ai le même but que mon client, c'est à dire réaliser un projet. J'ai le même but que mon employé réaliser un projet. Tu sais, c'est aussi simple que ça. Donc c'est c'est vraiment de travailler en relation commune, puis d'être nouveau, win, win, win win avec mon client, win win avec mon employé. Et ça, ça fait partie aussi de la fidélité de nos employés, de la loyauté de nos clients et de nos employés. Tu sais mon employé, j'ai un exemple. La semaine passée, il y a un client qui me donne un contrat en sous traitance, puis je lui donne le tarif pour le contrat. Il dit ton tarif me convient, mais moi je fais zéro, tu me regardes ou tu me dépanne puis c'est ben correct. J'ai dit ah oui, mais j'ai dit d'abord je suis pas à l'aise, je suis pas à l'aise, tu te fais pas d'argent, moi je veux que tu en fasses, puis moi je vais en faire, puis tu joues tout en face, tu sais. Donc on a retravaillé le contrat, mais il me l'a pas le demandé. C'est moi qui l'a offert, l'a fait que le client était comme voyons, Wow ! Là, elle a elle veut qu'on tous les deux qu'on soit sur le même niveau d'égalité et qu'on soit dans une relation win win. Mais tu sais, ce client là, il m'a rappelé après, je veux dire, il est fidèle parce qu'il voit que j'ai un leadership collaboratif et que je collabore avec dans dans les mêmes intérêts. Alors c'est ça mon leadership à moi, c'est c'est ma raison d'être entrepreneuriale. Excellent ! C'est vraiment excellent. Puis j'ai une autre question pour toi. Vas y, je t'écoute. Je te pose des questions du tac au tac, tu arrives, tu dis Oh mon dieu, c'est une bonne question. Puis quand tu dis Oh mon Dieu, ben moi ça me fait une fleur parce que tu sais, j'aime. J'aime pas comme est le bon Dieu. Mais blague à part ta communication, tu as une facilité de communiquer, donc est ce que c'est quelque chose qui est naturel chez toi ? Ou encore c'est quelque chose que tu prends en considération de communiquer, de communiquer d'une bonne façon ? Donc parle nous de ta capacité de communiquer. Bien, je pense que tu sais, je suis vraiment une personne authentique, naturelle. Puis tu sais, il y a du monde qui vont me trouver étourdissante. Peu importe, tassez vous les peureux. Mais je pense que tu sais, je pense que ma capacité à communiquer c'est de rester moi même et de toujours jouer la carte de la transparence. Tu sais, moi, la carte de la transparence comme mon joker que j'ai dans ma poche, tu sais d'être honnête, d'être transparente. Puis c'est quand on dit les vraies affaires, là, tu sais, avec ton client, avec les employés, peu importe les fournisseurs, les sous traitants, tu peux pas te tromper. Là tu dis la vérité, tu dis c'est quoi les faits ? C'est quoi qui se passe bien cette communication là, c'est positif, ça a du positif. Fait que pour moi, c'est la capacité à communiquer, c'est vraiment d'être authentique. Écoute, c'est un très très, très bel entretien qu'on a. Moi, je continuerais encore pendant 1 h, mais ça tire, ça tire sur la fin. Mais avant de terminer, j'aime beaucoup laisser un cadeau aux auditeurs, aux auditrices. Donc le cadeau. Quelle serait la suggestion, le conseil que tu pourrais prodiguer aux personnes qui nous écoutent et peut être plus particulièrement aux femmes, aux femmes d'affaires, aux femmes entrepreneures actuelles ou en devenir, qui ont l'occasion d'écouter une Virginie toute enthousiaste, toute énergique, dynamisante de par sa posture et de par ses interventions. Mais ce serait quoi le conseil ou la suggestion que tu pourrais offrir en cadeau ? Écoute, le cadeau que je donnerais aux femmes, c'est de se connaître, d'apprendre d'abord à se connaître en tant que femme, entrepreneure ou femme tout court, là, et de se respecter et de se nourrir d'abord et avant tout avant d'aller planter des graines ailleurs. Moi je parle entre autres aux femmes qui veulent se partir en affaires, qui n'ont pas encore fait le saut par exemple, c'est de se dire bon, ben je crois en moi, je crois en mon potentiel, je suis prête, je me sens outillée pour faire le saut. Donc le conseil que je donnerais, c'est vraiment de s'entretenir, de se nourrir, de prendre soin de nous même d'abord et avant tout. Oui, c'est ça, Oui. Ok. Puis dis moi, tu disais que tu es en développement d'affaires tantôt, Puis, puisque tu as une tribune qui t'est offerte, je ne peux pas passer à côté, ok ? Puis de dire Écoute, les personnes qui nous écoutent, qui seraient intéressées, peut être avoir l'occasion de discuter avec toi si le temps, ton agenda te le permet, avec tout ce que tu nous as raconté. Mais les personnes qui seraient intéressées aussi par les services que vous offrez au niveau de votre entreprise, on fait comment pour vous rejoindre ? Par téléphone, ça peut être par texto, sur Facebook, par courriel. Téléphone ? C'est quel. Numéro quatre ? Un huit neuf neuf neuf quatre zéro neuf six. C'est ça ? Et votre adresse mail. C'est le info commerciale. Pierre Gosselin Tiret jointe ou ailleurs com. Ok, c'est bon. Puis on peut vous trouver sur le web aussi. Oui, c'est ça, on a un site internet page Facebook, page Instagram. Donc vous pouvez nous joindre sur ces plateformes là. On fait du tirage de joint, puis on fait aussi de l'enduit acrylique. Oh wow ! Oui, c'est bon, voilà. Bon, je vais pouvoir en parler dans une prochaine entrevue. Pas de problème. Mais tu vois, en guise de conclusion. Moi c'est J'ai un mot à te proposer. Vas y donc, je suis prête. Ok, j'ai. Un mots à te proposer pour décrire ce que je perçois de Virginie Gosselin. Je vois que Virginie Gosselin, c'est une personne unique. Donc u n i c. J'en ai fait un acronyme. Ok. Unicité. Notoriété. Crédibilité intégrité donc unique ça bien décrire selon moi la personne que tu es, que tu représentes et qu'on vient de voir à l'intérieur de ce podcast. Wow ! Merci François, ça me touche beaucoup. C'est mon cadeau. Merci de m'avoir invité à ce beau podcast, ça me fait du bien, ça me. Ça me nourrit de parler, de dévoiler certains jardins secrets si on peut dire ça comme ça. Puis je te remercie aussi de le coaching que tu m'as donné que que tu m'as fait, de l'accompagnement que j'ai eu il y a deux ans. Ça a vraiment changé ma vie positivement et je voulais te remercier. C'est trop beau, c'est trop gentil, c'est moi qui te remercie. Donc merci beaucoup, Merci et Virginie, vous allez trouver la suite du podcast des liens pour pouvoir rejoindre Pierre Gosselin. Je vais être ailleurs. Merci encore une fois et au plaisir de se revoir très bientôt. À bientôt pour tous les auditeurs et auditrices pour un autre podcast qui va être sensationnel également. Merci.