Ceci n'est pas du coaching

Épisode #12 - Finance & développement des affaires

March 06, 2024 François Deschamps Season 1 Episode 12
Épisode #12 - Finance & développement des affaires
Ceci n'est pas du coaching
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Ceci n'est pas du coaching
Épisode #12 - Finance & développement des affaires
Mar 06, 2024 Season 1 Episode 12
François Deschamps

Bienvenue dans l'épisode #12 de "Ceci n'est pas du coaching" !

Découvrez Caroline Theriault, une entrepreneure émérite, présidente du Groupe Financier Cabinet L, conseillère en sécurité financière chez MICA et courtier hypothécaire chez Planipret.

Caroline excelle dans les services financiers depuis des années. Actuellement chez MICA, elle est représentante autonome et conseillère en sécurité financière, ainsi que représentante en épargne collective. Son expérience inclut des rôles clés chez Planipret et SFL Placements, où elle a contribué à la gestion patrimoniale.

Avec une vaste expérience chez Banque Nationale du Canada, Planiprêt agence hypothécaire et Banque Laurentienne, Caroline possède une expertise variée en finances personnelles et développement hypothécaire.

Sa passion pour l'amélioration continue l'a conduite à suivre des formations et à obtenir des certifications dans le secteur financier.

Caroline incarne le dévouement, la persévérance et l'excellence dans son domaine.

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🎬 Production : GB Studio - https://www.gbstudio.ca/

📣 Marketing : Bronko Marketing Inc. - https://brkm.ca/

Show Notes Transcript

Bienvenue dans l'épisode #12 de "Ceci n'est pas du coaching" !

Découvrez Caroline Theriault, une entrepreneure émérite, présidente du Groupe Financier Cabinet L, conseillère en sécurité financière chez MICA et courtier hypothécaire chez Planipret.

Caroline excelle dans les services financiers depuis des années. Actuellement chez MICA, elle est représentante autonome et conseillère en sécurité financière, ainsi que représentante en épargne collective. Son expérience inclut des rôles clés chez Planipret et SFL Placements, où elle a contribué à la gestion patrimoniale.

Avec une vaste expérience chez Banque Nationale du Canada, Planiprêt agence hypothécaire et Banque Laurentienne, Caroline possède une expertise variée en finances personnelles et développement hypothécaire.

Sa passion pour l'amélioration continue l'a conduite à suivre des formations et à obtenir des certifications dans le secteur financier.

Caroline incarne le dévouement, la persévérance et l'excellence dans son domaine.

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Bienvenue dans le podcast captivant ! Ceci n'est pas du coaching ici. Votre animateur François Deschamps. On explore ensemble la liaison fascinante entre la science cognitive et le développement professionnel dans le monde des affaires, avec une approche unique et éclairée. Ce podcast vous emmène dans un voyage passionnant à la découverte de votre voix unique en affaires. Bonjour tout le monde et bienvenue dans cet autre podcast captivant ! Ceci n'est pas du coaching donc comme vous le savez, depuis déjà quelques semaines, voire quelques mois, vous avez l'occasion d'entendre des personnes qui ont un parcours intéressant, fascinant et des personnes qui ont en commun un lien très important l'authenticité. Donc elles ont la capacité de pouvoir se livrer sans filtre à vous parler, de parler de leur business et bien entendu parler des compétences qui leur permettent de réussir dans ce domaine. Et aujourd'hui, j'ai un grand plaisir de recevoir une femme extraordinaire. Donc. Caroline Thériault Bonjour Caroline, Bonjour François. Comment vas. Tu ? Ça va très, très bien. Et toi ? Bien, écoute merveilleusement bien. De t'avoir en ma présence. Donc c'est déjà beaucoup parce que je sais que tu as un agenda chargé, personnel et professionnel, donc très chargé, donc c'est très apprécié que tu te rendes disponible pour nos auditeurs et très agréable aussi de faire cet entretien là avec toi. Bien, je suis très heureuse que tu m'as invitée, François. Je suis vraiment honorée d'être ici aujourd'hui et de pouvoir partager mes expériences de vie. Excellent ! Parlant d'expériences de vie, on va. On va te lancer tout de suite sur le sujet. Donc, Caroline Thériault, qui travaille dans le domaine des services financiers, puis je vais y revenir tantôt, quand on va parler de ton parcours professionnel. Il travaille dans le domaine des services financiers, Donc parle nous de toi, le d'où tu viens. Qu'est ce qui fait que tu es la femme que tu es aujourd'hui ? Oh mon Dieu, il y a beaucoup de choses à dire. On est tout ouïe. Écoute, j'ai commencé dans le domaine. Je m'en allais en enseignement à l'université. Je n'étais pas du tout dans le monde des finances. J'ai été approché par une de mes amies qui travaillait dans ce temps là dans une institution financière à Québec, comme directrice en développement hypothécaire, puis un souper un soir, elle m'a dit Caroline, tu devrais vraiment faire mon travail. J'ai dit J'ai aucune idée c'est quoi. J'avais pas d'hypothèque, j'avais jamais travaillé dans les finances. Puis finalement, elle m'a fait passer des entrevues. Puis avec mon charisme, j'ai réussi à obtenir ce poste parce que c'était juste ça le charisme, parce que j'avais aucune connaissance, je le répète et ça fini que le patron m'a fait confiance. Et j'ai commencé dans le milieu des hypothèques à l'âge de 24 ans. Wow ! 24 ans, c'est jeune ? Oui, exactement 24 ans. J'ai parti avec des bureaux d'agent d'immeuble à développer, à créer des relations, à aller chercher des leads, puis à ramener ça au bureau dans l'objectif de Closer des prêts. Mais à 24 ans, quand tu sais pas c'est quoi une hypothèque. Bien oui, je me suis formée. J'allais outiller pour avoir un discours, puis être capable de traiter les dossiers. Mais il fallait que je montre aux gens à me faire confiance. C'était ça le challenge, tu sais, de dire moi je commence bien, fais moi confiance, je te décevrai pas. C'était une complexité supplémentaire, mais j'ai réussi finalement à avoir un super beau succès dans ce domaine là. Puis par la suite, il y a d'autres portes qui se sont ouvertes à moi, là. Puis dis moi, tu touches un point important, tu parles de confiance, puis moi je sais, parce que bon, je suis dans un domaine comme tu connais le de formation de coaching, développement personnel et professionnel. Puis la confiance, c'est un élément qui fait défaut auprès de beaucoup de gens aujourd'hui. Mais comment tu as fait à l'époque 24 ans pour te lancer dans un domaine comme ça, puis de réussir à amener les gens à avoir confiance en toi si tu amènes les gens à avoir confiance en toi. Par défaut, t'as un niveau de confiance en toi qui doit se transposer dans le cadre de tes relations, tes discussions avec les gens. Qu'est ce que t'as fait, entre autres en particulier ? Sincèrement, je pense que j'étais naïve. Je connaissais pas trop comment ça fonctionnait encore à cet âge là. Comment gagner la confiance des gens ? Une chose est sûre, par exemple, il fallait que ça marche. J'étais à la commission, j'avais pas de paye, il fallait que l'argent rentre, puis il fallait que j'en ramène des dossiers. Fait que quand j'allais voir les gens. Mais premièrement, je suis une fille qui adore les humains, fait que créer des liens. Pour moi, c'était vraiment facile. Donc rapidement je créais des liens. Puis après ça, quand comme certains agents d'immeuble avaient des dossiers qui passaient pas dans une autre institution financière, je disais donne moi là, je suis une bonne deuxième, moi, je vais être capable de te le passer, je vais tout faire pour que ça marche. Puis, au fur et à mesure, quand je réussis à faire passer des dossiers qui n'avaient pas passé ailleurs, là ma crédibilité a monté, le nom s'est fait. Puis là, j'ai commencé à avoir du retour sur les moments que j'avais passé avec ces gens là pour développer des relations. Mais c'était vraiment de la naïveté. Mais au fur et à mesure que tu passes des dossiers et que les conseillers commencent à te référer, les agents, là tu dis Oh, attends un peu là, ça fonctionne bien, ce que je fais, ça, j'ai du succès, là, tu commences à prendre confiance. C'est comme ça que ça s'est passé, dans le fond. Ok, donc intéressant. Puis j'imagine que si tu as réussi, puis j'ai pas de doute là dessus, à convertir des dossiers qui passaient pas ailleurs, tu as certainement un volet créatif, Il. La génétique chez toi qui t'a permis de trouver des failles quelque part pour passer tes dossiers. C'est sûr et certain qu'il faut être créatif dans ce temps là, mais en même temps, j'avais une équipe incroyable à mes côtés et je leur dois beaucoup. Mon boss dans ce temps là, Ronald, je l'appelle encore Boss à ses heures quand on se voit. Puis je lui disais Comment que je fais ? Qu'est ce que je fais ? Lui, il avait 40 ans en arrière de la cravate, fait que je me suis vraiment collé à lui coller à mes partenaires, que ça faisait longtemps qu'il était là dedans, puis qu'ils m'ont donné tous les trucs, les astuces à coller aux analystes aussi de crédit qui m'ont vraiment montré comment travailler les dossiers. Donc un coup que j'avais toutes les les failles possibles, je fonçais, puis j'y allais pour que ça fonctionne. C'est comme ça que j'ai réussi à atteindre mes approbations. Là, sur du long terme, c'est bon. Puis à travers tout ça, parce que je sais que t'es une maman, t'es quand même une jeune maman. Donc il y a des enfants qui sont arrivés. Bien oui, deux beaux garçons, un qui est rendu à douze ans, l'autre à sept ans. Ça a été des gros défis parce qu'elle était travailleuse, autonome. Être mère. Les clients, eux autres, ils ont besoin de toi, même si t'es en arrêt de travail pour maternité. Donc on retourne vite au travail. On profite pas nécessairement autant de nos enfants. C'est des challenges beaucoup pour une femme dans cette carrière là, ça je dois l'avouer. Mais en même temps, quand tu es passionné par ce que tu fais, quand tu as l'impression d'apporter un plus dans la vie des gens, de réaliser des rêves, tu sais acheter les acheteurs d'une première maison ou les gens qui achètent leur deuxième maison, Puis c'est la maison de leurs rêves. Enfin, c'est tellement trippant comme travail de pouvoir leur dire c'est beau, vous l'avez. Hier, on a dit tu sais, c'est du plaisir à tous les jours. Puis maintenant je suis rendue encore plus outillée. J'ai plusieurs chapeaux, mais là je te parle. Dans mes débuts de carrière, quand je faisais juste de l'hypothèque, tu sais, fait que oui, j'avais les enfants à gérer, mais en même temps, j'étais passionnée par mon travail, fait que c'était facile pour moi de le lundi reprendre la cadence là et. Ça, puis là. Quand Quand t'as eu ton premier enfant, T'avais quel âge ? 27 ? 27 Donc ça faisait trois ans à peine que tu étais dans cette carrière là. Donc le premier enfant arrive, puis on fait le calcul avec les âges que tu donnais tantôt. L'autre est arrivé dix ans plus tard, mais tu sais, puis t'as touché un bon point, là, parce que là, il y a beaucoup de femmes entrepreneures qui nous écoutent, des hommes des fois, c'est pas toujours le même contexte qui s'applique parce qu'on sait très bien, la maman c'est la maman, c'est la conjointe, c'est le ménage, c'est la préparation des repas, c'est l'équilibre familial plus souvent qu'autrement. Donc, comment tu as fait pour conjuguer des absences ? Parce que les clients, là, t'es rencontre pas à 8 h et demie le matin, là. Dans le temps, c'était à 8 h et demie le soir. Mais comment ? Comment tu t'es pris ? C'était des trucs, des astuces à partager parce que tu sais ce que t'as vécu. Il y a d'autres personnes qui l'ont vécu ou qui le vivent ou qui sont sur le point de le vivre tout de suite là. Donc, comment t'as passé à travers cette période là avec des jeunes enfants, puis d'établir autant que possible ? On sait que rien n'est parfait, mais autant que possible, un équilibre au niveau de ta vie professionnelle et personnelle. C'est fascinant que tu parles de ça parce que dernièrement, j'ai eu ces discussions là au sein d'un groupe de femmes. On était une journée bien être yoga, puis je disais comment les femmes aujourd'hui, c'était difficile pour nous de jumeler le fait de vouloir être carriériste, d'avoir un poste avec du succès et d'être à la maison à s'occuper des enfants. Je disais encore qu'il y avait un grand écart entre le fait que les femmes s'occupent de toute la maisonnée et la charge mentale. Puis il y en a toujours une ou deux. Quand j'ai ces discours là qui se lèvent, la même qui dit non, non, non, moi, mon chum, il fait le lavage, il fait à manger, il fait ci, il fait ça, ben crime, t'es chanceuse. Mais c'est vrai, de plus en plus, on le voit, les pères prennent leur place, les pères ont envie de porter le bébé sur le sac, d'aller magasiner avec eux de la poussette et même ils sont rendus avec des changements de couches dans les toilettes. Pour moi, je capote. Mais moi, j'ai eu des conjoints qui n'avaient pas ça d'inné en eux nécessairement, donc c'est moi qui avait toute cette charge là de plus. Puis écoute, c'est que tu tu y penses plus à un moment donné, tu deviens comme en auto automatisation parce que tu veux le meilleur pour tes enfants, Tu veux pas qu'ils manquent de rien, tu veux ramener de l'argent, tu veux aussi accomplir en tant que femme. Puis ça devient un automatisme, ça se fait tout seul, L'énergie se trouve tout seul. Tu dors pas des nuits de temps mais le lendemain matin et hop, on y va, On continue, on fonce. Puis j'ai eu la chance d'avoir de côtoyer des gens merveilleux dans les équipes, partout où j'ai passé. Donc j'ai eu beaucoup d'entraide, beaucoup de soutien. Mais je te mentirai pas qu'il y a des jours que j'avais le genou à terre. Le lendemain, je me relevais et c'était parti. Je pense qu'il n'y a pas de solution parfaite, secrète. Je pense qu'il y a des hommes qui prennent beaucoup, beaucoup de charges aujourd'hui, qu'il y a des femmes qui sont plus aisées facilement à faire ce travail là, sans grosses contraintes comme moi peut être, j'ai pu traverser, mais somme toute, ça se fait. Il s'agit juste de croire justement en tes projets, en ce que tu es en train d'accomplir et d'être bien accompagné. Je pense que ça va. Ça ne peut faire autrement que fonctionner. Tu parles d'accompagnement et ça fait à quelques reprises depuis le début de l'entrevue que tu ramènes accompagnement bien accompagné des bonnes personnes autour de toi. Mais ces personnes là. Est ce qu'elles sont venues toutes seules vers toi ou c'est toi qui les a repérées, qui les a spotté, comme on dit en bon Québécois, c'est à dire commande, viens ici, toi, homme ou femme. Puis j'ai besoin de toi. Comment ça s'est passé ? Moi, je suis proactive en tabarouette. T'as l'air bon. T'es. T'es outillée. Je viens. Il faut qu'on se parle. J'en doute même pas. Je suis très proactive. C'est sûr que c'est le fun aussi parce qu'il y a beaucoup de gens qui nous sollicitent de partout pour vouloir nous aider. Peu importe les domaines, que ce soit dans l'informatique, dans notre gestion des ressources humaines, dans nos graphisme, etc. Tu sais, je pense que c'est ça qu'il faut faire. La première des choses, c'est de dire moi je suis forte. En quoi je suis bonne, dans quoi et dans quoi je suis pas bonne ? Dans un coup t'as trouvé ça là, puis ce que t'aimes pas faire, tu délègues aux personnes qui eux, c'est leur force. Je pense que c'est ça qui fait en sorte que tu montes une équipe solide qui fait en sorte que t'es capable de donner le service puis livrer la marchandise pour les clients. Parce que tout seul, on peut pas rien faire. Il y a un dicton qui dit seul on va plus vite, mais ensemble, on va plus loin. Oui, c'est ça l'objectif d'être travailleur autonome, puis d'être dans cette carrière là, c'est d'aller chercher le maximum de gens autour de toi pour performer. Puis j'aime beaucoup ce que ce que tu utilises comme image, comme approche ici, parce que tu vois dans le domaine de la formation dans le domaine, puis là je parle de formation, là, puis pas nécessairement coaching, là, on parle beaucoup de travailler sur ses forces, puis de mettre de côté ses faiblesses. Puis moi, je déteste le mot faiblesse parce que, selon moi, les êtres humains sont capables de s'accomplir dans tous les secteurs de leur vie, quand ils aiment ce qu'ils ont à faire ou ce qu'ils peuvent faire. Donc je parle plus de fragilité. Il y a des zones sur lesquelles on est plus fragile. Donc si j'aime pas ça faire les chiffres, la comptabilité et la tenue de livres, je suis mieux de la confier à quelqu'un qui est bon là dedans comme tu viens de le dire. Et moi me concentrer sur mes forces. Mais j'aime pas utiliser le mot faiblesse et donc c'est une façon différente de voir les choses et je pense que c'est beaucoup plus positif et c'est beaucoup plus facile de se crinquer comme ça puis de garder un haut niveau d'énergie, mais c'est très intéressant. Donc premier enfant, le deuxième à pas tarder avec deux enfants. Ça a dû changer la donne un peu. Là. Le deuxième est arrivé puis effectivement ça a changé la donne. Mon petit garçon, il a un handicap, ce qui fait en sorte que je suis souvent demandé d'être dans des livres de PQ, l'Institut de réadaptation physique et mentale de Québec ou d'ailleurs. Je les salue parce qu'ils font un travail extraordinaire. J'ai une équipe multidisciplinaire qui s'occupe de lui, orthophoniste, ergo physio, etc. Donc, mon garçon, il y a des retards de développement global. Donc ça fait en sorte qu'en plus de mon travail et de ma carrière, j'ai beaucoup de temps à donner pour mon garçon. En même temps, je crois beaucoup à la vie, moi, au destin, à ce qui doit arriver arrive et cet enfant là m'a fait extrêmement grandir et me permet de justement mettre un break de temps en temps dans mon travail et de dire Wow, là c'est le temps pour lui, pour mes garçons, fait que ça m'amène à. Un équilibre obligatoire dans un sens, parce que sinon je serais non-stop dans le béton, dans le travail et j'aurais délégué bien gros au père. Mais les papas sont aussi très occupés. Je dis l'est parce que c'est deux petits garçons de deux papas différents donc. Au bout du compte, oui, c'est plus de travail, oui c'est plus d'ouvrage. Vous comprendrez qu'aujourd'hui, je suis monoparental. J'ai les garçons une semaine sur deux, ce qui me permet une semaine sur deux d'être 100 % maman et l'autre semaine d'être 100 % travailleur autonome dans mon travail fait que je trouve que somme toute, j'ai réussi à avoir un bel équilibre. Je vous dis pas de vous séparer hein, je dis pas de vous séparer, mais pour moi, je le vois comme une chance. Parce que cette chance là, cette condition de vie là, me donne la chance d'être, de m'accomplir dans toutes les sphères de ma vie. C'est c'est très pertinent, c'est très percutant aussi. Des fois, comme tu le dis, la vie nous envoie des signaux. Donc ce ce petit bonhomme là est arrivé dans ta vie avec certaines restrictions, disons des fragilités, certaines fragilité, ok, puis là ça te conditionne à prendre du temps et tu le dis clairement. Sinon fort probablement tu le prendrais pas ce temps là parce que tu es une battante, t'es une gagnante, on voit très bien, tu déborde d'énergie et tu as le goût de te réaliser, de s'accomplir et dans un grand sens de dévouement et de don de soi pour faire du bien aux gens autour de toi. Parce que tu en parlais tantôt et de voir quelqu'un qui a son hypothèque, qui a sa première maison. Puis il y a des lumières dans les yeux, ça brille comme des étoiles dans le firmament. Mais c'est sûr que ça ne fait pas partie du chèque de paie. Mais c'est donc le fun de voir qu'on fait du bien aux gens. Exact, Envoye des today, Je pense que c'est le plus beau de mon travail. C'est quand que les clients sont heureux ? Quand on crée des belles relations, on accomplit des grandes choses Maintenant, c'est ça, j'ai. Comme je disais, j'ai plusieurs chapeaux. Je m'occupe aussi des placements, des assurances, protection de tout ce qui est assurance. Donc ça fait en sorte que j'ai un offre de service qui est vraiment complète et qui fait en sorte que j'ai plein de bonheur dans chacune des sphères de mes chapeaux que je porte. C'est fait ca tous les jours j'ai des du bonheur avec mes clients, c'est vraiment le fun. C'est bon ça et là, deux enfants en bas âge, un qui a des fragilités, tu vas le garder. Je vais. Garder. Un côté fragilité, mais là tu sais, t'es dans un monde en plein mouvement, le domaine des services financiers, de la finance, du placement des hypothèques et j'en passe. Parce qu'on va en parler un peu plus en détails tantôt donc. Mais t'es trop écoute, t'es dynamique, t'es hyper active, on le voit très bien, on entend du moins. Je me retiens. Imagine toi. Oui, je le. Sais. Pas pour les auditeurs, vous le savez pas, je l'ai attaché sur sa chaise. D'ailleurs, faudrait se claquer une langue, une. Sangle, une sangle, un peu. Mais blague. À part, là, tu as fait quoi pour te nourrir ? Parce que je le sais, tu es curieuse, je le sais que t'es assoiffée d'apprendre. Mais comment tu as fait pour développer tes connaissances, peaufiner tes compétences pour arriver à être la femme d'affaires que tu es aujourd'hui ? Donc où t'as trouvé le temps ? Puis qu'est ce que t'as fait en particulier pour te développer comme comme personne, comme conseillère ? C'est une bonne question à vrai dire. Comme tu dis, le service financier, c'est un domaine qui est en mouvement tout le temps. Puis en ce moment, il y a tellement avec la conjoncture économique, d'explosion un peu partout, dans tous les domaines, qu'il faut se tenir à jour. Donc à un moment donné, c'est de trouver ce qui est tes partenaires préférés, avec qui tu aimes le plus travailler, les compagnies de fond. Tu sais du sens que je suis courtier, donc j'ai accès à tous les produits sur le marché, toutes les compagnies. Donc avec quels représentants ? J'aime le mieux travailler dans les fonds, dans les assurances, dans l'hypothèque. Puis à un moment donné, bien, tu suis ces personnes là, puis tu restes informé à suivre justement leur podcast, leur formation qui donne Je vais. J'ai trouvé un gars qui s'appelle Marketing Salvail. Il est vraiment cool, il donne des belles formations sur les finances, donc je fais en sorte de toujours rester chaque jour dans la lecture un peu chaque jour, m'assurer d'être à jour sur les nouvelles normes. Donc c'est plus de cette façon là. On a des unités de formation continue aussi à chaque année, donc on doit étudier plusieurs heures par année pour rester vraiment sur la coche sur les finances. Puis bien veut, veut pas, il y a pas un dossier pareil, fait que quand tu arrives dans un dossier puis il y a une petite différence versus l'autre que tu as traité avant mais qu'est ce qu'il faut que tu fasses ? C'est de la recherche, de la lecture, aller chercher les réponses, puis automatiquement ça se forme à tous les jours donc. Je suis, je suis à jour de cette façon là dans mon domaine. Ok, puis je trouve ça intéressant. Donc c'est une forme d'opportuniste et très ouverte à l'accueil de ce qui se passe autour de toi. Puis tu vas chercher un peu comme des pièces de casse tête, tous les morceaux que tu as besoin pour mettre sur ta table et monter l'image que tu as besoin de présenter et de défendre comme comme conseillère avant d'arriver au sujet suivant. Dis moi. Parce que dans la tête des gens, on a souvent. Conseiller financier, courtier, courtier en placement, courtier en épargne, puis là des compagnies avec un model captif model plus ouvert. Puis là, je sais que ça pose beaucoup de questions dans la tête des gens. Peux tu clarifier qui fait quoi et qui est qui là dedans ? Oui ben oui, dans le fond. Moi j'ai eu la chance, en plus d'avoir différents expériences, différentes expériences dans le domaine des finances. Donc j'ai commencé dans les banques. Donc c'est sûr que dans une banque, quand t'es conseillère ou quand tu fais du prêt, c'est leur produit, c'est leur leur structure. Donc on vend leurs produits et ça finit là, c'est que du service en fonction de ce que le client a besoin par rapport à ce qu'on peut offrir. Quand on va dans le modèle du courtage, quand on est courtier comme moi et mon équipe, là, à ce moment là, on a accès à toutes les compagnies de fonds, tous les produits des banques, on a accès vraiment à regarder le portefeuille du client ou analyser ses besoins d'assurance ou l'hypothèque, peu importe, et de choisir dans tout ce qui existe comme produits sur la terre entière, pratiquement. Ok. Ensuite de ça, il y a les courtiers en valeurs mobilières. Eux autres, ils vont vraiment travailler les fonds, ils vont acheter et vendre. C'est vraiment très actif le leur. Leur façon de faire. Par contre, eux autres, ils vont être uniquement sur le placement. Et puis nous, dans le fond, on est courtier, mais on a aussi développé un modèle 360, un peu si on peut dire. Moi, j'étais tanné que les clients aillent un peu partout puis qu'il y a plein de conseillers tout le temps dans le dossier, puis là qui disent Oui, mais mon conseiller en assurances, il m'a dit ça, puis ici, puis je suis allé chercher tous mes permis, puis j'ai dit Moi, mes clients, là, je vais devenir leur banque, je vais m'occuper d'eux de A à Z. Ils n'auront pas besoin d'aller voir personne d'autre. J'aurai pas de compétition. Ils vont toujours. Aussitôt qu'ils ont une question en tête, ils se. Ils reviennent vers moi. Puis ça fait en sorte qu'aujourd'hui, notre équipe, on est courtier hypothécaire, courtier, emplacement et courtier en assurance dans les placements. Nous, on fait affaire avec des gestionnaires de portefeuille, donc c'est pas moi qui choisis quand je vends, quand j'achète, c'est vraiment le gestionnaire qui fait ces stratégies là. Moi, par exemple, je joue avec les historiques, les placements, j'y vais avec tout ce qui est l'horizon du client. On a plein de points à analyser, mais notre travail sur du long terme est vraiment efficace. Ok. C'est bon. Puis dit moi sur le dernier volet personnel avant de passer au volet professionnel à 100 %. On voit que j'en parle vite du professionnel. J'aime ça, hein ? Ça paraît pas, j'en mange. Mais tu vois que je te ramène à chaque fois. Ah oui. Je savais que t'allais faire. Ça. Donc. Mais écoute, il y a eu tout un parcours avant d'arriver là où tu es aujourd'hui. Banque Laurentienne, panier prêt, agence hypothécaire, Banque nationale. Après ça, bien SFL Gestion Patrimoine Placements pour en arriver au cabinet. Mais avant de parler du cabinet, OK sur ce parcours là, qu'est ce que tu retiens toi de ton expérience là dedans personnellement, qui te sert tant au niveau professionnel ? Mais tu sais, dans toute business, il y a des éléments qu'on va avoir sur un niveau professionnel, puis on est capable de faire des liens, faire des ponts avec le personnel. Donc, qu'est ce que tu retiens de ces expériences là comme femme, comme femme d'affaires, à l'intérieur de ces années là où tu as cheminé d'une banque à l'autre à SFL pour en arriver à ce service financier ? Cabinet François Il y a des fois je me disais Mon Dieu, qu'est ce qu'il a fait ? Pourquoi il a fallu que je vive cette expérience là ? Pourquoi il a fallu que je vive tout ça ? Ça a été dur parce que ça a pas toujours été facile dans les endroits où est ce que j'ai été homme. Puis aujourd'hui, je comprends pourquoi j'ai traversé ça, pourquoi ça devait se passer comme ça. J'ai sorti de chacune de ces expériences là justement une force. Là, je suis allé chercher vraiment le pourquoi c'est arrivé, je me suis penché là dessus, puis qu'est ce que j'ai à apprendre de ça, de chaque expérience avec chacun des employeurs et du fait qu'on voit que j'ai parti travailleur autonome pour aller travailler dans des institutions, j'ai rapidement vu que j'étais pas fait pour être gérer. Moi On peut pas me. L'idée c'est moi qui lead, c'est moi qui mène. J'aime bien ça dire ça, mais en même temps je suis bien malléable. Mais je veux dire, j'aime être en contrôle. Puis moi, si on me donne des formulaires à remplir ou des choses de plus à faire alors que je comprends pas le principe ou le pourquoi on fait ça. De plus, ça me dérange pas mal, Puis je vais faire attention à mon langage fait que moi je suis une fille qui aime la simplicité, qui aime que ça allait être droite, rapide, efficace, bien. Mais quand tu arrives dans des institutions, tu peux pas marcher à ta façon de faire. Donc j'ai appris avec les années que rentrer dans un moule, ça me convient pas. J'ai appris aussi qu'il faut être toujours gentil, peu importe le domaine dans lequel tu es, peu importe le travail où est ce que tu vas passer. Reste gentil, respectueux, cordial avec tes collègues. Parce que tu sais. Jamais. Quand est ce que tu vas les retrouver ? Tu ne sais jamais quand tu vas avoir à retravailler avec eux, à qui vont devenir des directeurs d'agence qu'il va falloir que tu fasses affaire avec eux. Tu sais, tu sais jamais ça, là, du côté personnel des relations personnelles que tu développes au travail et professionnel, tu dois en prendre soin. Si on veut aller loin, je pense que c'est vraiment en gardant le plus possible le contact avec les gens qui passent dans ta vie de tes départs professionnels. Ça ouvre des portes quand tu décides d'être entrepreneur, bien entendu. Donc ça, j'ai vraiment appris de ça. Quelle belle leçon tu nous partages, C'est vraiment extraordinaire. Il y a beaucoup de choses. On pourrait passer le restant de l'entrevue là dessus, mais tu sais, il y a deux points qui me sautent aux oreilles et aux yeux. Ok, donc d'apprendre ce que tu as fait durant cette période là. Tu as appris à mieux te connaître et à mieux te reconnaître dans tes limites, dans qui tu es comme personne. Et il a grandi dans une de ses expressions célèbres qui disait L'humain peut faire le tour du monde 100 fois, mais le plus grand voyage qu'il peut faire, c'est de faire le tour de lui même une fois. Donc d'apprendre à mieux se connaître, ça permet et nécessairement, implicitement, d'éviter certains patterns, d'éviter certains pièges. Ça fait partie d'un processus, ce n'est pas inné. Tu n'as pas ça à 24 ans, comme tu disais tantôt en entrant sur le marché du travail avec avec ta première carrière. Mais c'est des choses qui se développent et c'est tout au long d'une vie. Donc. Puis toi, est ce que tu as appris, c'est que t'es une Germaine, donc que t'aimes ça, contrôler, t'aimes ça mener, t'aimes ça diriger. Mais il n'y a pas de mal là dedans. Je suis extrêmement fier d'être moi. Mais il n'y a pas de mal là dedans. À partir du moment où tu le sais et tu l'assumes. Mais quoi ? C'est toi, C'est moi. J'organise tout, je prévois tout, je suis organisé. Je veux dire, il y a plein de monde qui disent Wow ! C'est donc bien le fun d'être à côté de toi. On n'a rien à penser, rien à réfléchir. Maintenant, je m'occupe de tout, c'est mon naturel. Mais c'est pareil dans le travail. Tu sais, je prends en charge beaucoup, mais là ça amène aussi des fois qu'il faut dire il faut lâcher prise. Il faut savoir dire. Non, il faut savoir. Dire non, ça c'est vraiment dur. Mais un coup que tu as un coach. Comme François, il t'en apprend beaucoup justement à mettre des limites et aussi des. Quand tu commences dans ce cheminement là à travailler sur toi, tu t'aperçois vite que tu deviens une meilleure personne que les gens. T'as des meilleures relations avec les gens autour de toi et fait que tu deviens comme une obsession avec ça. Tu veux toujours en connaître plus, en savoir plus. Puis je pense que tout humain devrait faire un travail sur soi. C'est le plus beau cadeau de la vie. Parce que je dis souvent la vie, elle va s'arrêter. Puis avant qu'elle s'arrête, quand tu vas te coucher dans ton lit de mort, tu vas te dire quoi ? J'aurais donc dû ou j'ai accompli tout ce que j'avais à accomplir ? Fait que je prends chaque journée en fonction de ça et j'essaie toujours de devenir une meilleure personne en travaillant sur moi, en faisant le tour de moi même. Je pense que tu fais plus qu'essayer. Je le fais. Je le fais pas mal. Je suis dans l'action. Je vous l'ai dit. Je suis active. Et dis moi, on va parler du cabinet maintenant ? Ah oui, ok, cabinet. Elle C'est quoi cette patente là ? Peux tu nous en parler ? Elle La lettre ? Elle Ça veut dire quoi ce cabinet là ? Ça vient d'où ? C'est quoi son origine ? Puis comment ça se fait que t'es actionnaire ? Parce que je sais que t'es pas toute seule dans le cabinet. Comment ça se fait que t'es actionnaire dans ce cabinet là plutôt que pas dans un autre ? En plus, ce que tu nous disais tantôt que tu aimes être une Germaine et faire une Germaine de toi, de gérer et mener, donc te retrouver avec d'autres personnes, comment tu fais pour te débrouiller là dedans ? Il y a plein de choses à dire. Attends un peu, ok ? Je recommence au départ. Parle nous du. Cabinet. Parle nous du cabinet. J'ai rencontré une merveilleuse personne qui s'appelle Josée Mailloux et voilà sept ans, au mois de mars, le 8 mars. Cette année 2024, ça va faire sept ans que le cabinet existe. On s'est rencontrés chez SFL justement. J'étais dans les hypothèques. Elle était conseillère financière et on s'est lié d'amitié rapidement. On a fait des dossiers ensemble et puis on a commencé. Elle m'a parlé qu'elle voulait partir. Un cabinet pour femme. A ce moment là, elle était déjà avec un conseiller financier, homme avec qui elle travaille des dossiers. Puis je lui disais ben écoute, ça me parle vraiment. Puis on a commencé à brainstormer là dessus. Tu sais, la vision de l'entreprise, les valeurs, pourquoi qu'on voulait faire ça ? Parce que dans le fond, les femmes pour nous. Puis je généralise, ok, bien entendu, mais je sais de quoi je parle. Par exemple, les femmes, on a de la misère à s'ouvrir quand on est assis devant un homme, parler de nos finances parce que les femmes, on a plus d'effort à faire qu'un homme pour gagner notre vie, se rendre à notre patrimoine, à monter un patrimoine. On est en congé maternité, on tombe à 50 % de notre salaire, on cotise moins notre revenu. Il y a plein de facteurs comme ça. On a des arrêts de maladie parce qu'on est épuisés, stressés. On n'arrive pas à jumeler le travail avec les enfants, les arrêts en ce moment, pour tout ce qui est troubles, nerveux, sons, ça explose là en ce moment. Et puis ça nous retarde beaucoup financièrement. Puis quand on arrive devant un conseiller homme de commencer à faire une déclaration d'amour, parler de ses problèmes de santé, parler qu'on a de la misère à économiser et montrer qu'on n'a pas un gros budget, c'est des fois très intimidant, très insécurisant pour une femme. À l'inverse, il y a des femmes super carriéristes qui ont des gros sous, qui disent ben moi j'ai pas envie de parler de ça avec un homme parce qu'il comprend pas que je viens de me séparer et il comprend pas ce que ce que je viens de traverser. Puis on s'est dit il faut en prendre soin de ces femmes là. Il faut qu'elles se sentent en confiance quand elles viennent prendre un conseil des conseils en services financiers, puis on veut les enrichir et les amener dans une tranquillité d'esprit. Puis qui de mieux placé qu'une femme pour en comprendre une autre ? Parce que je te mentirai pas, François, quand les gens, les femmes rentrent dans mon bureau, là c'est beaucoup plus de. d'Humain que de finance. Tu sais, les femmes ont un gros parcours à faire, d'analyse, de confiance avant de transférer les sous et ou de mettre des choses en place, puis un coup qui ont ta confiance, puis qui comprennent que tu vas prendre soin d'elles, ils vont s'ouvrir. Puis les femmes, c'est les plus loyales qu'il y a pas. Quand elles tombent en amour avec tes services, qu'elles apprennent à t'apprécier. Après ça, elles vont te référer naturellement, sans leur demander leurs amis, leurs collègues, leur famille, les flics. De ce pas, on s'est rendu vite compte que les femmes, il y avait ce désir là d'être servi par les femmes. Et José et moi, on a dit des pis pis je me suis déjà fait avertir de pas dire des pis fait que je m'excuse. Josée et moi, Josée et moi, on a décidé de lancer ce cabinet là pendant que j'étais en congé maternité justement, et j'ai annoncé à la banque que je quittais la Banque nationale pour m'en aller partir de l'entreprise avec Josée. Donc mission d'accompagner les femmes, de les rendre autonomes, indépendantes de la société, faire en sorte qu'elles soient vraiment le plus riche possible et mission accomplie. Aujourd'hui, on a plus de. Je te dirais. On est dans les milliers de clientes qui sont accompagnées par le cabinet, Elles à ce jour. Et tu parlais tantôt de dire Toi qui aime gérer, d'être Germaine. C'est ça, Je gère mon entreprise maintenant avec Josée Josée, elle a des forces extraordinaires que moi j'ai des fragilités qui sont mes fragilités. Et elle, elle a des forces, que moi c'est mes fragilités et vice versa. Donc on se complète tellement bien qu'on s'est jamais piler sur les pieds l'une et l'autre. Après sept ans on est toujours aussi heureuses, passionnées et. Plein de gratitude à chaque jour d'être ensemble l'une et l'autre. On travaillait dans le même bureau à tous les jours, puis on fait grandir l'entreprise. Et aujourd'hui, on a la chance même d'avoir des partenaires, des collègues Julie et Anne-Marie qui sont avec nous au cabinet, qui sont conseillères elles aussi avec plusieurs chapeaux et qui nous accompagnent dans notre mission d'aider les femmes à être indépendantes dans leurs finances. Un très beau lancement parce que là, j'imagine que c'est un hasard que le cabinet a été lancé un 8 mars. La journée de la femme. C'était bien réfléchi, on va se le dire, ça, j'avoue, c'est Josée qui a pensé à ça. Je suis sûre qu'il y avait pas de hasard avec vous deux. Donc ça fait déjà sept ans. Oui, ça va faire sept ans au mois de mars. Quels sont vos buts, vos objectifs, vos ambitions à moyen et à plus long terme ? Écoute, j'écoute. On veut, c'est sûr et certain, prendre soin le plus possible de toutes les formes possibles. C'est vraiment important pour nous d'en prendre soin. Je te dirais qu'aujourd'hui on veut maintenant, José et moi, on a un petit peu plus de limites dans la capacité qu'on est capable de prendre. C'est pour ça qu'on a été agrandir l'équipe. Donc on veut que nos deux filles qui nous accompagnent soient elles du succès, puis le plus possible des clientes à accompagner. On avait des grandes visions, on en a encore. C'est des termes un peu plus dans la corpo, tu sais, dire on veut atteindre 30 millions d'actifs sous gestion, on veut vendre tant de primes par année pour atteindre des objectifs. On veut redonner à la société Veut, veut pas. Il faut que tu sois aisée, fortunée, plus financièrement, tu sais à l'aise pour donner plus, parce qu'on veut redonner plus. Tu sais, il y a tellement de gens à aider. On a plusieurs causes à laquelle on tient, donc c'est sûr qu'on veut le plus possible accompagner les femmes en étant nous autres aussi bien. C'est bien. Bien réussir notre vie. Puis à ce moment là, bien. Je pense que ça se fait tout seul. Ça se passe déjà très bien. On pose des bonnes actions et à ce jour, on est en ligne avec ce qu'on s'était dit comme vision pour l'entreprise. Je vais revenir là dessus un peu plus tard. Mais là, il y a une question qui me brûle la langue. Ok, parce que bon, pour les auditeurs, peut être vous ne savez pas, mais j'ai fait un stage de 25 ans dans le domaine des services financiers, donc c'est un domaine que je connais relativement bien et à l'époque où j'étais dans ce domaine là, c'est un milieu et un domaine dans lequel on retrouverait majoritairement des hommes. Il y avait très peu de femmes et le rôle des femmes. Ok, je vais utiliser un mot qui va faire frémir plusieurs personnes. C'était des secrétaires. Ok, donc on parlait même pas d'adjointe d'adjointe administrative, on parlait de secrétaires. Donc ma question qui est plate, comment vous faites ? Deux femmes actionnaires de ce cabinet là pour œuvrer dans un milieu qui, traditionnellement est un milieu d'hommes où ça se règle avec des claques sur la table, puis peut être des gros mots à l'occasion où ça prenait un coup, parce que je le sais que ça prenait un coup. Comment ? Comment vous faites deux femmes comme vous, comme vous deux, pour vous tirer d'affaire dans un marché où il y a encore une présence masculine qui est très forte ? Oui, il a fallu se mettre des couilles, nous aussi. T'as fait ça comment ? On repassera dans les détails, mais je peux vous dire qu'on s'est fait brasser en tabarouette dans les débuts de notre carrière. C'est vrai que les hommes et les femmes, on a une façon différente de travailler. Je ne veux pas généraliser, mais les hommes sont beaucoup plus sur la vente, le produit, la rentabilité. Tandis que nous, les femmes, on est plus dans le côté humain. Prendre soin, tu sais, c'est deux affaires pis quand t'es entourée d'hommes, bien souvent ils vont avoir tendance à te donner des discours qui vont peut être peut être venir changer tes valeurs, essayer de travailler sur tes valeurs, puis de dire voyons, je fais les choses de la bonne façon pis je suis à la bonne place pis. Mais à un moment donné, quand à chaque jour t'as du bonheur qui arrive par tes clients, de la reconnaissance, des nouvelles références et tout ça, tu te dis ok, ça fonctionne, mais moi j'ai dit ben ces hommes là, ils ont du succès aussi. Il y en a plein qui ont du beau succès. Et je me suis dit je vais aller prendre ce que j'ai à prendre. Deux autres. Donc je suis allée tirer les ficelles au fur et à mesure que ceux qui avaient des relations avec moi, on s'entendait bien et tout ça, ben j'allais chercher le maximum de ce qu'il pouvait m'apporter au niveau de la vente, au niveau de la présentation des produits, etc. Puis me mettre en relation avec d'autres personnes, avec les opportunités fait que j'ai été chercher ça. Puis j'ai fait ma marque. On a fait notre place. Au début, on riait un peu de nous avec notre cabinet pour femmes. Mais quand on sait qu'aujourd'hui plus de 62 % des diplômés d'université qui sortent, ce sont des femmes professionnelles. Quand on sait que de plus en plus justement, les femmes détiennent la richesse. On est vraiment dans la course, tu sais. Et les hommes, à vrai dire, oui, l'alcool, les partys et tout ça. Mais quand tu te tiens droite et que tu dis clairement tes intentions après ça, bien ta réputation est faite, puis tu fonces en avant et ils ne font juste qu'être tes collègues. Tu sais, on devient vraiment. J'ai créé des belles amitiés avec les hommes dans ce domaine là. Puis j'ai la chance de côtoyer des hommes merveilleux et il faut faire attention parce qu'il y a des il y a des. C'est capoté ce que je vais dire là. Il y a des endroits où est ce que c'est plus des clubs fermés de gars, là, vraiment plus difficile d'approche. Difficile de rentrer dans ces clubs là, tandis qu'il y a d'autres endroits où c'est beaucoup plus ouvert. Les gens sont Peu importe, t'es qui, t'es quoi, Mais on va t'accepter comme que tu es. On crée des liens sans jugement, donc il faut trouver sa place dans ce domaine là. La boîte avec laquelle on veut travailler, c'est bien important. Pour une femme, il faut être avec des gens de cœur comme nous autres, avec le côté humain beaucoup développé qui vont prendre soin de nous et vice versa. C'est ça. Il y a des endroits qui sont fait pour différents types de conseiller je pense. Il s'agit de trouver cette place là qui nous convient. Oui, c'est bien. Tu irais tu jusqu'à dire que dans ce domaine là, encore aujourd'hui, il y a des mentalités machos et misogynes ? Oui, mais je le vois par des amies de filles qui sont dans des boites autre que la mienne, que ça arrive mais plus aujourd'hui. Moi. Moi de toute façon, je n'accepterais aucun commentaire, aucune. Je pense que juste dans ma prestance, je pense qu'il n'y a pas d'homme qui essayerait ça. Là, ils voient bien que je suis Germaine, Seigneur, ils veulent pas avoir affaire à moi. Mais ça va faire. Je sais que ça se passe encore dans certaines boites, je trouve ça triste mais en même temps si tu le prends en voulant dire ben on va s'endurcir de de ça. Ces hommes là, s'ils ont ces comportements là et ces discours là, c'est parce qu'ils ont des choses à travailler sur eux. Ils ont pas fait le tour d'eux mêmes, fait qu'il. Y a encore un gros arrière grand voyage. À faire. Ça leur appartient. Moi je me mêle pas de tout ça, puis je les laisse. En parlant d'homme, oui ok, là cabinet Elle tu nous parles des femmes, des femmes, des femmes, des femmes, des femmes. En passant, j'ai rien contre les femmes et je les trouve très agréables. J'aime la compagnie des femmes. J'ai toujours eu tu sais, tu parlais de chiffres tantôt là, mais dans mes équipes, là où j'ai travaillé par le passé, j'ai toujours eu entre 60 et 70 % de mes équipes qui était composée de femmes. Donc ça, c'est mon petit côté féminin que je tiens probablement de ma défunte mère. Mais en parlant de femme, de femme, de femme, de femme, il y a de la place pour des hommes chez vous. Donc elle a un cabinet, elle est ce qui reçoit des hommes chez eux dans ce cabinet là. Puis faut que tu es habillé en kilt en écossais avec une jupe pour pour être capable d'avoir accès à vous. Notre développement d'affaires se fait par vers La femme pour la femme, c'est notre mission. Ok. Les femmes souvent ont des conjoints, puis quand ils décident de gérer leurs finances ensemble, elle veut, veut pas. Le conjoint arrive dans le décor, puis on s'occupe du monsieur, puis on prend soin du couple et on prend soin des enfants. On fait les régimes épargne étude, on vient vraiment envelopper la famille. Donc là, le monsieur il devient full heureux d'être servi par le cabinet elle Et là il nous réfère lui ses chums de gars fait que là on dit bon bien coudonc, on peut pas, on peut pas dire non parce que tu sais, dans le fond, on a choisi de faire un cabinet pour femmes. Mais les hommes aussi ont le droit à atteindre la liberté et l'autonomie financière. Puis on aime les hommes, puis on les accueille à bras ouverts aussi. Mais à un moment donné, il faut un peu se nicher. Je te dirais dans notre domaine parce que c'était at large, c'est. Tu réussis pas à trouver ton client avec lequel t'as le plus d'affinités, avec lequel t'as le plus de plaisir. Dans ma vie, je me suis dit moi, je vais travailler pour le plaisir, je travaillerai pas, je vais avoir du plaisir. Pis c'est ce que je fais avec les femmes. Parce qu'à travers tout ce qu'elles traversent, étant donné que moi je me suis séparé deux fois, j'ai des enfants, j'ai vécu de la maladie, j'ai traversé beaucoup d'épreuves dans ma vie. Ça fait en sorte que je suis capable de les accompagner ces femmes là et de comprendre leur parcours. Souvent, j'ai l'impression de faire la différence avec un homme. On va pas dans ces sujets là. Souvent c'est plus dans le corpo, c'est correct aussi. J'aime bien ça, mais en voulant faire la différence puis en voulant aider dans mon travail veut, veut pas, la clientèle féminine devient un plus. Ok c'est bon et encore une fois. Mais tu sais ce que tu nous partages ? C'est que ton expérience de vie personnelle, ton expérience de vie de couple. Parce que bon, deux enfants papas différents, des ruptures amoureuses, donc ça te permet vraiment d'être ancré dans la posture d'une femme et tu comprends très bien la réalité des femmes à ce moment ici. Exactement. Mais dans le cabinet elle Donc il y a le LDL, mais il y a le elles de lui qui par la bande peut arriver. Et je m'amuse à dire bien assez fort pour lui, mais conçu pour elles. C'est excellent. Oui, c'est bon, oui. C'est bon. J'ai une autre question qui me brûle la langue. À l'époque où j'étais dans ce domaine là, il arrivait des cas de fraude. Il y a des cas de fraude, des cas de personnes malveillantes qui ont fraudé, des consommateurs qui ont volé des consommateurs. Puis quand je dis voler, le mot est très juste. Donc ils ont volé qui ont fourvoyé des gens, usurpé de la bonne confiance des gens pour les leur retirer puis leur extorquer des sommes incroyables. Puis là on parle des bandits à cravate. Donc c'est sûr que pas toutes les femmes qui portent la cravate. Mais comment toi tu fais pour œuvrer dans un domaine où il y a une mentalité de personnes qui croient encore que c'est un domaine dans lequel il se fait de la fraude ? C'est un domaine dans lequel les gens se font avoir systématiquement dans leur épargne par des personnes mal intentionnées et frauduleuses. Donc, quelle est ta position ? Quelle est votre position ? Vous le cabinet là dedans ? Et Boy. Écoute moi je trouve ça capoté parce que je saurais même pas comment si je voudrais faire une fraude, comment faire ? Je sais même pas comment je commencerais ça. Par où commencer ? On est tellement surveillés par l'AMF, par nos formulaires, par la direction de notre fournisseur de services, par la conformité. Elle est extrêmement surveillée, donc j'ai de la misère à comprendre comment ça peut se faire la fraude. Première des choses et deuxième chose, c'est que je me dis si on passe notre temps à avoir peur de se faire frauder, ben ça va être partout ça. Moi, quand je vais m'acheter un char, j'ai peur en maudit de me faire avoir à chaque fois que je sors avec mon contrat. Un coup une couple de journées plus tard que les émotions sont redescendues, je me dis Seigneur, j'ai l'impression de m'être fait avoir, fait que ça. Je pense que c'est dans tous les domaines. Mais t'as raison de dire que dans le domaine des services financiers, beaucoup d'assurances, beaucoup dans les fonds des Lacroix et tout ça. Je pense que c'est le lien de confiance qui est établi avec les clients. Les clients ont accès aussi à aller voir dans nos registres si on a déjà été frauduleux ou pas. Tout est nommé, tout est vu. A un moment donné, je me demande s'il n'y a pas aussi un peu probablement de la clientèle qui sont un petit peu plus naïfs, qui se sont fait avoir, ou des gens qui sont mal informés ou peu importe. Mais quand tu restes dans un cadre, où est ce que c'est géré comme c'est géré pour nous avec l'AMF, je trouve ça bien dur de penser qu'il peut y avoir de la fraude. Puis toutes nos transactions sont supervisées, sont surveillées, sont revues, sont tout est gardées en ordre dans les dossiers. Je vous le dis là, j'ai de la misère à croire qu'il y a des gens qui peuvent encore frauder. Aujourd'hui, je sais qu'il y a des documents qui sont fabriqués, qui sont faits faussement au niveau des documents, des choses comme ça, mais moi j'en ai jamais vu de la fraude, ni autour de moi, ni. Donc j'ai de la misère à dire faites attention pour être avec la bonne personne, pour ne pas vous faire frauder. C'est pas dans mon discours, c'est pas dans ma vision des choses. Je pense que si surtout vous allez avec une personne de référence, que les gens proches de vous sont avec cette personne là depuis longtemps, c'est rassurant. Puis si ils portent le titre avec un tu sais. Mais en même temps tu sais, je dis ça puis tu sais, on le voit avec Desjardins, ce qui s'est passé, c'est un gars d'hypothèque qui a été donné des listes de noms, puis, tu sais, écoutez, peu importe le domaine, je pense qu'il va toujours en avoir des gens mal intentionnés, avec l'intérêt de leurs poches au lieu de ceux des clients. Informez vous bien avec qui vous faites affaire, vérifiez bien les documents. Puis j'ai bien confiance, tu sais, c'est les gros coups sortent dans le journal, mais tous les bons coups au day to day des conseillers financiers, on les voit pas ceux là. Mais je peux vous garantir que 99 % des gens sont bien intentionnés dans ces domaines là. Là. Oui, puis j'entends ce que tu dis là. Et pour le bénéfice des personnes qui nous écoutent, l'AMF, c'est l'Autorité des marchés financiers, Donc, c'est c'est l'entité. D'auto réglementation. C'est ça. D'auto réglementation, c'est là, c'est l'entité suprême au Québec qui vient régir toutes les personnes qui oeuvrent dans un domaine comme le tien, donc les courtiers hypothécaires, donc tout ce qui touche à l'argent, aux investissements de toutes les formes, là, l'Autorité des marchés financiers, là, c'est le chien de garde au niveau canadien, quand on parle des fonds, on va parler de l'Institut des fonds d'investissement canadien, communément appelé IFC. Et je pense que le plus grand conseil que je retiens de ce que tu as dit, les gens ont tous accès à Internet aujourd'hui, ça ne se peut pas. Donc, aller vérifier sur les sites s'il y a des plaintes, s'il y a des fraudes. C'est noté sur les agences de réglementation, comme on vient de parler. Et je retiens l'autre suggestion que tu as fait. Informez vous auprès des gens que vous côtoyez, avec qui ils font affaire. Puis, quand vous avez quelqu'un qui est là depuis plusieurs années, règle générale et que vous avez un bon retour. Donc ça permet d'avoir des personnes de confiance avec qui traiter et de pouvoir gérer vos vos placements, vos investissements et vos assurances. Exactement. Très bien, merci. Il y a d'autres choses qu'on doit savoir sur le cabinet, elle me semble. J'aimerais ça quelque chose de croustillant. Un petit scoop quelque part. J'en accroche le micro. Un petit scoop quelque part. Je me dis je dis ça, je dis pas ça. Qu'est ce que j'ai le droit ? Disons que Josée. Ne nous écoute pas, c'est ça ? Dans le fond, je peux nommer quelque chose qui est vraiment différent, qui est particulier de notre cabinet. On est en partenariat avec la divorcée, donc elle a divorcé. C'est un mouvement qu'une femme nommée Marilyne, petit parti, qui faisait en sorte qu'elle s'est dit Moi, je me divorce, c'est difficile, j'ai trois enfants. Comment que les femmes, on pourrait les accompagner dans leur divorce ? Encore là, les hommes aussi ont autant besoin d'accompagnement. Mais là on est des femmes. On a été viser la femme, donc on est partenaire. On a monté une équipe multidisciplinaire de professionnels pour accompagner les femmes quand elles se séparent de la première question qu'on se pose à se dire est ce que je vais être capable de me racheter une maison ou est ce que je vais aller me loger ? Est ce que je vais avoir droit à une pension ? Est ce que je vais avoir le droit à moitié de fonds de fonds de pension de l'ancien conjoint ? Tu sais comment je vais me retrouver financièrement jusqu'au. Je me reconstruis, je suis rendue dans ma nouvelle maison, Je suis bien. Mes enfants vont à la nouvelle école, la garde est partagée. Là, je suis qui moi ? J'ai envie de quoi dans la vie tu sais ? Fait qu'on accompagne ces femmes là dans tous ces processus là, avec des avocates en droit, des affaires familiales, notaires pour les testaments, on va aller chercher tout ce qui est psychologie. Marie-Lyne les accompagne, Ça, je suis vraiment fière de faire partie de de ça. On est en train d'écrire un petit livre là dessus, le guide de la divorcée qui se sépare pour ses finances. Et puis on va au salon de la femme à chaque année, on s'en va le 19 20 novembre prochain au Salon de la Femme. Donc sinon, tu sais du croustillant, je te dirais que. On a eu une année dernièrement assez mouvementée au niveau de la gestion du personnel. On a eu des expériences vraiment qui nous ont fait grandir. On a appris beaucoup. Je pense que ça fait partie du monde d'entrepreneurs de traverser ça. Je me suis rendu compte que c'est une fragilité pour moi d'avoir à gérer d'autres gens. Pis quoi que je suis Germaine, gérer les autres. Ça prend du temps, ça prend de la. Ça prend plein de qualités que tu sais. Des fois tu le sais pas avant qu'il faut que t'aies ça. Tu sais, avant de le faire. Qualités que t'as. Pas encore développé et cultivé. Tu sais, je me rends compte qu'en étant travailleur autonome, propriétaire d'entreprise, tu développes au fur et à mesure tes compétences. Puis ça t'arrive, des fois ça te frappe dans la face. Tu disais Je m'attendais pas à avoir à faire ça comme dans mon travail, comme la gestion de personnel. Tu sais, moi on était parti, Josée et moi, on avait juste nos deux dans l'équipe, puis on fonçait. Puis à un moment donné, on se rend compte on a trop de demandes, on gestion de la croissance, bien là on engage. Mais on engage qui ? Comment ? Puis après ça, comment elle va faire pour performer elle aussi ? Puis elle est heureuse dans son travail. Puis aujourd'hui, les les jeunes, on l'a tous le même enjeu. Tu sais, ça a changé de nous pis c'est ben correct. Moi j'adore ça. C'est correct, on évolue, mais on a besoin plus d'équilibre avec la, la, la famille, le conjoint. On veut être à la maison, plus de bonheur, prendre soin de soi, puis c'est correct. Mais nous on était moi et Josée dans un domaine, dans pas un domaine, mais dans une vibe de vie où on se donne corps et âme pour notre entreprise et on ne compte pas les heures fait que c'est beaucoup d'ajustements. Fait que le cabinet l'année passée a eu une année chargée en apprentissages au niveau de la gestion des ressources humaines. Puis aujourd'hui on se sent vraiment plus sur notre X à ce niveau là. Tu sais ça, je peux dire ça, c'est excellent. J'aime ton langage, ton vocabulaire, parce que tu sais, au lieu de parler d'épreuves, au lieu de parler d'échec, c'est des mots à connotation négative là. Ok. Puis je reviens à ce qu'on disait tantôt un peu avant t'es en apprentissage, donc tu apprends, tu apprends, puis tu vas apprendre toute ta vie. Mais c'est de transformer les expériences de vie en apprentissage qui nous permettent de grandir. Donc je t'annonce que très bientôt tu vas mesurer ses pieds. Deux C'est correct. Mon chum aime les grandes femmes. Ça va passer. C'est bon, mais effectivement c'est des apprentissages. Puis tout est une question de perception face à ce qui arrive. Et là tu vois, ça te permet de dire mais quoi ? Regarde au niveau de la gestion des relations interpersonnelles avec le staff, mais c'est pas là dedans que je suis la plus à l'aise, la plus confortable, la plus performante donc. Puis vous êtes deux avec des qualités qui sont bien, sont bien ventilées, donc ça permet de rétablir un juste équilibre dans votre fonctionnement, puis d'avoir quelqu'un qui s'occupe adéquatement des sujets, des dossiers qui sont en place. Maintenant, écoute là tu nous parles de la divorcée, mais je le sais, là je vais te poser la question, mais sans entrer dans tous les détails. Mais dans quels autres types de dossiers ? Parce que je sais pour toi, pour Josée, c'est important de redonner à la collectivité, de donner au suivant, comme la fameuse expression Dis donc, dans quelle autre forme êtes vous impliquée dedans ? De contribution, Je sais que vous avez un groupe de réseautage de femmes. Vous donnez beaucoup à l'intérieur de ce groupe là. Donc parle nous un petit peu. Écoute. On. Oui, on était dans plusieurs groupes de femmes. Là. Je te dirais qu'avec l'année qu'on a vécue, on a décidé de se reculer un petit peu par rapport à tous ces événements là. C'est que c'est ce temps là qu'on pouvait donner, parce qu'on s'est rendu compte qu'à un moment donné, il faut faire des choix. Puis on a décidé, on continue d'appuyer la fondation du Petit Blanchon qui est très chère à nos yeux. On va donner à la fondation chez Mica où est ce que c'est Au Nicaragua. C'est très, très, cette histoire là. Dans le fond, ils sont trois enfants et la fille, je me souviens pas de son nom. Puis je vais, je vais le retrouver. Mais elle est décédée en faisant une mission au Nicaragua, qui est la sœur de Martin et Gino Savard, les deux actionnaire principal de chez Mica. Et elle est décédée là bas en faisant une mission. Donc ils ont décidé d'accompagner au Nicaragua pour la Fondation là bas. Donc on donne là bas aussi. José et moi, on a envie de redonner, on redonne beaucoup avec la divorcée, on accompagne les femmes dans leur divorce, mais je te dirais qu'on redonne au quotidien aussi avec nos clientes, parce que c'est un domaine sans surprise qui est à commission. Et si tu fais pas une rencontre, il y a une vente qui en découle. Ben pas de paye, c'est ça ? Mais au delà de là, au delà de ça, excusez moi, c'est du bénévolat et nous on le compte pas ce bénévolat là. Et c'est qui fait en sorte qu'on a l'impression de redonner à chaque jour à la communauté, aux Québécois, québécoises de par notre accompagnement. Exact. Tu le dis si bien parce que tant qu'il n'y a pas de transaction, tout le temps que vous y mettez toute la relation conseil, toute l'écoute que vous consacrez aux personnes, parce que je comprends très bien qu'il y a une écoute pour conseiller financièrement vos clientes, mais il y a une écoute extra qui va entendre les problèmes, puis bon, les frustrations et les éléments qui perturbent leur vie à l'intérieur des étapes. Où il se trouve, mon monoparentale en train de se séparer, de divorcer, etc. Donc c'est très généreux de votre part à vous deux et à toi également. Dis moi, je t'avais demandé avant la rencontre d'identifier deux top compétences qui te caractérisent comme personne. Donc là, j'ai pas le droit de faire de connerie. Je me. Je me. Retiens, je me retiens. Manque que tu me parles, que tu as une compétence qui est ta capacité d'avoir une vision 360 sur des situations ou des événements et de pouvoir tirer avantage de cette vision. Parle nous en ! Dans le domaine des services financiers, il y a souvent des spécialistes un spécialiste des placements, spécialiste des assurances, spécialiste des hypothèques. Ils vont les gens se focusser sur. De devenir les meilleurs dans un domaine, mais. Mon expérience, mon cheminement a fait en sorte que je suis devenue une généraliste. Je suis très bonne emplacement, très bonne en assurance, très bonne en hypothèque. Mais j'ai décidé d'offrir tout ça à mes clients. J'ai choisi les meilleures compagnies, J'ai trouvé vraiment les meilleurs produits pour pouvoir prendre en charge le client vraiment au complet. Je ne veux pas que mon client aille à faire trois et quatre conseillers pour avoir tous ses besoins comblés. Moi, je veux qu'ils viennent voir Caroline Thériault, qu'ils viennent voir les filles du cabinet, elle et que la cliente vienne et qu'elle se dise Bien, je n'ai plus rien à penser, elle gère tout. On est tous des Germaine dans l'équipe, ça tombe bien. Donc on se différencie énormément de par cette approche là. Je pense que ça fait ma différence. La différence et le fait que j'ai commencé en hypothèque, que moi même j'ai jamais eu d'hypothèque avant ça, que j'ai fini par en avoir une et un autre et que j'ai eu des difficultés financières aussi. Ça n'a pas toujours été facile dans ma vie. J'ai traversé des périodes très difficiles d'avoir été obligée de motiver moi même pour me sortir des fois de la misère financière. Après ça, d'avoir réussi à mettre des placements, avoir réussi à avoir besoin de m'assurer, puis ensuite de ça d'une cliente à l'autre, d'aller chercher toutes ces expériences là. Ça fait qu'aujourd'hui, après mes quinze années, je suis outiller. C'est un moyen temps pour aider le monde. Il n'y a plus un dossier qui me fait peur, tu sais. Je veux dire, on s'assoit devant moi, on move le dossier, puis je sais déjà ce que je vais faire. Je vais construire tout le plan de match dans ma tête, puis en recommandations, je vais arriver, puis voici fait que moi, mes clients, ils me donnent leur dossier, ils parlent une fois de leur situation, puis je m'occupe du reste. Fait que ça, ça me démarque énormément de la concurrence, assurément. Parce que c'est pas tout le monde qui a toutes ces volets là, qui a traversé toute la vie que j'ai eue non plus. Et le volume aussi. Je mentirai pas, je rencontre beaucoup, beaucoup, beaucoup de clientes, ce qui fait en sorte que je suis vraiment organisée à travailler plusieurs, plusieurs types de dossiers. Je pense que c'est pas pire mon affaire. Donc ton vécu, tes expériences, tes apprentissages m'ont toute la formation parce que je sais que tu participes à des activités de formation à l'intérieur de l'industrie et tout ça, ça te permet de développer cette vision là, ce champ de vision là. Puis en même temps, je sais que vous avez une équipe de spécialistes, toi et Josée, en place, pour venir vous appuyer à l'intérieur de vos dossiers. Et là, ça vous permet de vous démarquer, mais vraiment de vous démarquer d'une façon exceptionnelle. Donc bravo ! L'autre compétence que tu me mentionnais ? Le leadership ok, mais facilité de créer des liens tu me dis ? Je pense que ça a commencé. De par mon enfance qui a été très difficile, j'ai été rejetée constamment à l'école, j'ai été intimidée, j'ai été vraiment maltraitée et ça a fait en moi que je me suis dit un jour, il y a eu un déclenchement qui s'est dit soit que je reste dans cette peine là, dans cette souffrance là, ou soit que je me sers de ça pour devenir une personne qui va déplacer de l'air et qui va faire en sorte que le monde va me suivre, parce que dans le fond, je suis une bonne personne. Et puis ça s'est fait graduellement. J'ai commencé à justement être plus naturelle, m'exposer plus et j'ai vu rapidement que les gens il m'aimait beaucoup et j'ai dit bon ben coudonc, moi aussi je les aime les gens, mais je vais leur montrer, puis je vais leur dire, puis je vais prendre du temps avec eux, puis je vais les écouter, je vais les conseiller, puis j'ai envie d'être auprès d'eux. Il n'y a rien de plus ressourçant que moi aujourd'hui d'être entourée de gens. Et j'ai longtemps eu peur du rejet, longtemps eu peur de me faire rire de moi. Je me retenais dans qui j'étais, dans ce que je disais et rapidement, quand j'ai vu que les gens m'aimaient comme ça, je me suis dit c'est assez, Je reste moi même et je fais tout en mon pouvoir pour prendre soin des gens. Et aujourd'hui, les gens me le rendent et ça fait en sorte que aussitôt que j'ai des événements, que je rencontre des nouveaux gens, rapidement, je crée des liens. Josée est toujours bien impressionnée de ça. Elle dit Tout le monde c'est tes amis. Mais oui, mais j'aime tout le monde. Tout le monde viennent vers moi pour justement mes conseils. Pis je suis drôle aussi, on va se le dire. De temps en temps, j'en lâche une, pas pire, mais j'ai. J'ai une facilité à créer des liens, ce qui fait en sorte que rapidement, en faisant du développement des affaires, j'ai eu du succès dans mon entreprise, sincèrement, parce que c'était facile pour moi de créer ces liens là, tu sais. Puis encore aujourd'hui, chaque fois que j'ai l'occasion d'aller dans un endroit pour rencontrer des nouvelles personnes, j'ai hâte d'entendre leurs histoires. J'ai hâte d'apprendre sur eux et de grandir avec eux, de voir qu'est ce que je peux retirer de chaque personne pour devenir moi. Encore une meilleure personne ? Oui. Parce que t'es en train de nous dire que les épreuves de vie, entre autres, le fait de te faire malmener à l'école, l'enfance difficile, ça a créé chez toi ce trait de caractère là qui te porte d'aller vers les gens, puis finalement. Mais aujourd'hui, tu peux pas être dans un meilleur domaine que d'aller vers les gens. Puis aussi, avec toutes les compétences que tu possèdes et toute l'offre de services que le cabinet, elle met à la disposition de faire en sorte que ça afflue, là. Absolument, T'es. Toujours obligé de refuser du monde. Et oui, et. Là on. Le vit, là, mais on a fait une belle stratégie. Tu sais, quand je parlais des forces et des fragilités de chacune, on a déterminé dans les cas de fille qui qui aimait faire quel dossier, lequel était le plus performant, dans quel dossier. Donc je te donne un exemple Anne-Marie, qui est jeune à une trentaine d'années, elle commence dans la vie, elle est pas encore maman, tu sais, Elle veut accompagner les jeunes qui commencent jeunes, professionnels, qui sortent de l'école, qui ont besoin d'être accompagnés à travers cette période là de leur vie. Donc quand j'ai mes clients qui aimeraient faire leur enfant ou des jeunes femmes qui se réfèrent à moi, je les réfère à Marie parce qu'elle est outillée, elle est passionnée, elle est dans cette sphère de vie et c'est la meilleure pour les accompagner. Bon ben Josée, elle est excellente en succession, tu sais, elle adore ça. Quand Que non, c'est pas vrai, je dis pas bien. C'est pas beau se dire elle adore ça quand les gens meurent. Voyons donc, Excusez moi. Je reprends ma. Phrase. Je voulais quelque chose de croustillant. Pardon. Là on regarde, on la voit. Josée et. Josée, moi capoter. Et. Josée prendre soin des personnes en deuil, c'est sa force. Elle a une sensibilité, une empathie, elle prend soin, elle est extraordinaire. Donc quand on arrive dans la gestion de succession et aussi elle est très forte en corpo, tous les dossiers corporatifs, les entrepreneurs, ça c'est sa force. Puis c'est sa passion, elle adore ça. Donc quand j'ai des clientes qui arrivent et qui sont plus dans ces modèles là, c'est Josée qui les prend en charge et vice et versa. Et on continue comme ça, chacune à Julie, à ses forces, à elle et ses dossiers qu'elle aime travailler. On lui réfère à elle, puis moi je prends celle qui me convient parfaitement parce qu'à un moment donné, je voudrais tous les prendre. C'est ce que j'essayais de faire à un moment donné. Mais la qualité de service doit rester. Les gens veulent qu'on prenne soin d'eux. Ils sont venus vers nous pour ça et je peux pas me permettre de ne plus prendre soin d'eux comme elle le mérite fait que j'ai pas le choix de commencer à déléguer un petit peu les références que je reçois effectivement. Excellent ! Merci beaucoup. Bien écoute, on arrive à la fin du mois. S'il y a une madame ou un monsieur qui a une madame dans sa vie, qui est intéressée à faire affaire avec toi, avec le cabinet. ELLE on vous trouve comment ? On fait quoi pour vous retrouver ? Vous avez nos coordonnées sur le site du cabinet. Elle bien entendu notre page Facebook. On est très active, vous pouvez suivre nos contenus là dessus aussi. Sinon, vous pouvez appeler au quatre un huit six deux deux six quatre deux deux et demander à parler au cabinet. Elle puis. Le cabinet. Elle c'est cabinet avec la lettre L. La lettre. L. Et non, elle est là. Là, c'est juste la lettre Elle Oui. C'est important de. Préciser. Oui, exactement. Puis, avant. De se quitter, oui, je demande toujours aux personnes qui acceptent généreusement comme toi de venir sur le podcast de laisser un cadeau. Donc qu'est ce que tu as à laisser en cadeau ? Suggestions, conseils aux auditeurs, aux auditrices qui tout comme toi, sont des entrepreneurs ? Parce que tu sais, quelque part, tantôt je t'ai entendu parler de travailleur autonome, et puis ça c'est c'est dans notre imaginaire, c'est rentré dans notre tête depuis des années. Mais t'es pas un travailleur autonome, t'es vraiment un entrepreneur avec ce que tu nous as dit aujourd'hui. Donc, qu'est ce que tu as à dire aux entrepreneurs, re femmes qui nous écoutent ? Conseils aux suggestions. Je pense que j'aurais plusieurs conseils à leur donner. Ils ont tout. Ils sont tous rendus à différentes places dans leur vie, probablement. Mais une chose est sûre, il faut que je pense depuis le début. Matraquer est la même, il faut s'entourer et aller chercher le maximum des meilleures personnes autour de soi. Parce que tout seul, c'est difficile. Moi, aujourd'hui, tout seul, je ne suis pas sûr que je serais rendue. Où est ce que je suis ? A vrai dire, je vais être très honnête, je ne serais pas rendue ici. C'est parce que j'ai Josée qui m'accompagne, ma Josée. Mais allez vous chercher les meilleures personnes possibles autour de vous pour vous aider à avancer. Et je pense qu'avec ça et à déterminer bien votre mission vision valeurs de votre entreprise. Démarquez vous parce qu'il y a de la compétition tellement dans tout. Faites une belle analyse de marché avant de partir des business. Faites votre budget financier, tenez à jour vos finances, faites vous accompagner là dedans. Bien important fait que ça c'est tous des conseils que je pourrais laisser là. Excellent ! Écoute, Caroline Thériault, ce fut un plaisir de te recevoir sur ce podcast. J'espère que les auditeurs, tout comme moi, vont vraiment manger, s'abreuver, tous les conseils et tous les partages que tu nous as fait. Donc Caroline, merci beaucoup. Merci à toi François, C'est un grand plaisir aussi pour moi. A très bientôt. A bientôt. Au revoir tout le monde et sur un prochain podcast. Ceci n'est pas du coaching. A très bientôt.