IMPOSSIBLE

# 32 - Dave Rouleau - Sortir de sa coquille et s'assumer pleinement. L'impact des petites victoires et du développement personnel.

Raf Malenfant Episode 32

Comment les défis de notre passé peuvent devenir des atouts pour notre avenir? 

Découvrez Dave Rouleau dans son voyage de la timidité à l'authenticité, où il a appris à sortir de sa coquille en travaillant dans une tabagie à Limoilou. Son parcours à travers divers projets, entre autres avec les Capitales de Québec et Le Distilecteur, lui a montré l'importance de suivre son instinct et de s'ouvrir aux opportunités. Cet épisode résonnera particulièrement avec ceux qui cherchent à comprendre comment les expériences de la vie, aussi banales soient-elles, peuvent révéler des talents cachés.

Avez-vous déjà pensé à l'impact que vous avez sur les autres? On explore comment le simple partage de nos expériences et philosophies de vie peut engendrer un effet domino positif. Grâce à des discussions sur la liberté, les livres inspirants, les podcasts et les modèles mentaux, on met en lumière l'importance d'une perspective enrichissante pour vivre en harmonie avec les autres. Revisitons la notion de succès et bonheur, rappelant que la gratitude et les petites victoires quotidiennes sont souvent les véritables marques de la réussite.

Comment les techniques de méditation guidée, la manifestation et l'acceptation de soi sont des outils puissants pour évoluer. On jase aussi de la gestion des vices et de l'influence de la créativité sur la culture. En puisant dans des exemples personnels et des figures inspirantes comme Rick Rubin, on discute de l'importance de l'auto-régulation et du laissé aller afin de mieux créer. Dave est rempli de savoir et d’insights qui non seulement inspirent mais aussi incitent à l'action et nous encourage à devenir une meilleure version de nous-même.

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Des idées pour le podcast?: raf@betula.ag

Speaker 1:

Qu'est-ce qui te semblait impossible et que, finalement, tu t'es rendu compte que c'était possible.

Speaker 2:

Dans ma vie en général ou présentement, tu peux allumer ce que tu veux. Je pense sortir de ma coquille. Bizarrement, pour ceux qui me connaissent, je suis très volubile, j'ai beaucoup d'énergie, mais jusqu'à l'âge de 18-20 ans, j'étais mon Dieu. Je me rappelle tout le temps. C'était au secondaire, et puis une fille qui s'était retournée vers moi un moment donné parce que le professeur me parlait elle répond pour moi. Elle dit il ne répondra pas, il est trop discret, parce que je n'existais pas dans le fond pour le monde. Honnêtement, je n'existais pas dans le fond pour le monde. Honnêtement, je n'étais même pas un loser, je n'existais pas, je suis un solitaire. Fait que moi de sortir de ma coquille, puis d'être capable d'aller bon avec On Choc, on s'est connus là, on va pouvoir en parler tantôt, si tu veux, d'être capable d'aller sur un stage d'affrones de monde, affronter certaines situations sociales plus touchées. Un peu, ça a été. Je pensais que c'était impossible. C'est une excellente question.

Speaker 1:

Je t'ai demandé de douter du recording. J'en ai douté du mode, j'ai juste utilisé Oui. Puis, comment ça a été? Y a-t-il un élément déclencheur, en fait, qui a fait qu'à partir d'un certain moment, t'as fait comme bon? ben là, j'ai envie d'être moins discret. Faut que je m'assume, je suis en train de me faire péter la gueule. Je sais pas comment, comment tu as vécu ça, mais y a-tu quelque chose qui a fait que ça, c'est sûr que je travaille dans une tabagie, automatiquement, tu es obligé de parler avec le monde.

Speaker 2:

Surtout, j'étais à Limoilou, un coin de rue, au-dessus de ma shop de tatouage, présentement Creative Custom j'ai aperçu que j'étais capable, que j'avais une habileté de communicateur. Je ne dis pas que je suis le meilleur, mais on ne veut pas. Avec le projet que j'ai présentement, il faut que je développe, il faut que je sois capable de présenter ce que j'aime, mes passions.

Speaker 1:

Je pense que c'est vraiment là, c'est d'être capable de parler à différentes personnes et de faire face à ma peur-tu un modèle que tu as développé parce que finalement tu t'es rendu compte que c'était plus utile. Est-ce qu'il y a quelque chose que tu te répètes?

Speaker 2:

Oui, De faire à ma tête Je pense que, pour ceux qui ne le savent pas, toi et moi travaillons ensemble. Tu es avec Béthula, je suis avec Béthula, évidemment, pour le projet de Dave, le disque électeur Et puis de faire à ma tête un petit peu, ça m'a beaucoup aidé Puis de parler comme je veux parler. Quand j'étais avec On Choc, la couverture que moi, je voulais avoir des bennes de Québec, je ne l'avais pas Fait, que je me suis dit je vais la faire moi-même. Puis, c'était d'avoir un joint dans une main, une bière dans l'autre, de sacrer, puis advienne que, pour un petit peu, je te dirais d'avoir ma manière de parler, ma manière de présenter les choses m'a beaucoup aidé. Si je peux me permettre, quand j'étais avec les capitales de Québec, directeur des communications, j'avais aussi une manière un petit peu spéciale, j'avais une énergie spéciale. Je faisais un segment qui s'appelait le tour des buts.

Speaker 2:

Le tour des buts, ce n'est pas tout le monde qui peut le faire. Je ne me vante pas, c'est que je suis capable d'improviser extrêmement rapidement. Je connais ma matière aussi. J'étais capable d'aller vers le premier but, faire mon texte extrêmement rapidement. J'avais un invité qui m'attendait au premier but. Le monde m'en parle encore aujourd'hui. Ou du monde qui n'aime pas le baseball, n'aimait pas le baseball, me disait tu étais capable de partager ta passion d'une manière qui était différente et, je crois, honnête et authentique. Puis, ça, évidemment, je fais juste répéter ce qui m'a été dit. Certainement, certaines personnes pourraient dire le contraire, peut-être, mais je crois que On s'en crisse.

Speaker 2:

Oui, c'est bien dit C'est vrai, mais je te dirais que, des fois, je ne veux pas me fermer non plus au conseil des hommes, au feedback Exact. Je te dirais que ce par quoi tu me fais passer avec Béthula, la façon d'aborder certains sujets, la façon d'aborder les plateformes, tu me sors de ma zone de confort. Moi, je suis très, j'y vais. Je te l'ai dit quand je t'allais te voir en premier. j'ai dit moi, c'était juste de moi, présentement, j'aurais deux ou trois capsules déjà sorties, probablement que je me serais tanné, déjà, j'aurais fait des erreurs, puis j'aurais dit ah, ça me tente pas avec toi, tu m'as fait. non, dave, il y a un processus. avec Max, avec Éric, on prend le temps de faire nos aff, bâti une bonne fondation pour pouvoir affronter le futur. Je suis capable d'avoir ma voix, la manière que je veux le faire, mais avec quelqu'un en arrière qui me dit reviens-en gros, cave, ralentis un petit peu, on va y aller étape par étape». Moi, ça m'aide vraiment beaucoup, c'est tes conseils, vos conseils, qui m'ont vraiment beaucoup aidé.

Speaker 1:

Il y a un bout de technique, mais il y a un bout de psychologique là-dedans. Vraiment, est-ce que tu penses que ta notion d'authenticité t'a plus aidé que nuit? mettons avec du recul.

Speaker 2:

Regarde probablement qu'il y a du monde qui, Tu sais, tu dis tantôt qu'on s'en fout un petit peu. Peut-être qu'il y a du monde que j'ai peut-être froissé un peu dans la manière que j'ai fait mes affaires. Est-ce que ça me nuit? Je vais dire non, parce qu'ultimement, ce qui était ma faiblesse avant est devenu une de mes meilleures forces, soit la communication. Je suis capable, à cause des différents projets que j'ai faits, je suis capable d Puis au moins d'avoir une discussion qui va À moins qu'ils ne veulent vraiment pas parler, évidemment D'avoir une discussion qui va au moins avoir du sens, puis m'intéresser. Je m'intéresse à tout. Des fois, je ne sais pas si c'est un problème, j'en sais beaucoup, j'en sais un petit peu sur beaucoup de choses. J'aimerais s'approfondir.

Speaker 2:

Des fois, ma tête, ça va extrêmement vite dans ma tête, est dans ma tête. Est-ce que ça m'a nuit? Est-ce que ça m'a aidé? C'est vraiment. Je pense sincèrement que la manière que je fais des choses, qui, c'est? qui a dit ça? Je pense que c'est Naval Ravikant, qu'on a parlé de toi et moi beaucoup, un philosophe moderne qu'on pourrait dire un investisseur.

Speaker 1:

Je ne sais même pas comment le qualifier.

Speaker 2:

Il y a juste une personne qui peut être toi et c'est toi. Profites-en. La seconde que tu essaies d'être une autre personne, tu rentres en compétition. Je pense. C'est aussi. Je ne me rappelle pas de son nom, malheureusement, il dit la seconde que tu as de la compétition. C Fait que tu changes ou essaies de trouver un angle qui va être différent, parce que tu n'es pas supposé avoir de compétition en réalité. Est-ce que?

Speaker 1:

Parce que tu sais, moi, ça a été un certain combat ou un éveil, peut-être une réalisation, un plan de jeu, comme on veut. Mais un moment donné, je me suis rendu compte que mon authenticité, souvent, débordait et ne m'a pas aidé. As-tu un exemple, plein d'exemples Je peux être intense, je suis très volubile, je suis capable de parler de plein d'affaires avec beaucoup de passion. Des fois, le sujet à qui je suis en train d'en parler, cette personne-là n'a pas nécessairement envie d'entendre parler de l'EQ, de la console, non. Mais la balance entre passion, authenticité, je suis de même. Je trouve que c'est une belle porte à ouvrir parce qu'il y a vraiment une balance.

Speaker 1:

Pour moi en tout cas, ça a vraiment été de trouver le bon équilibre entre je suis passionné, je suis authentique, je suis moi-même, mais je choisis quand est-ce que je pousse. Passionné, je suis authentique, je suis moi-même, mais je choisis quand est-ce que je pousse. Puis, il y a une notion d'awareness que je pense, avec le temps, c'est installé d'être capable de lire aussi la personne en face de toi, puis de faire comme OK, là on vibe, puis je suis capable de pousser. Pas là je vibe, puis j'étais un peu tout seul. C'est le raf chaud, le chaud. Oui, ça aurait pu être le raf chaud aussi, parce qu'il y en a qui sont sous et qui sont fucking tannés.

Speaker 1:

C'est le raf chaud pendant que je suis chaud, c'est le raf chaud chaud.

Speaker 2:

Non, mais c'est intéressant parce que je crois vraiment qu'on Tu sais, j'ai fait un post récemment qui parlait bon les athlètes, parce que moi, je suis un gros, gros fan de baseball. J'aime la façon que le baseball a été capable de faire changer la société américaine ou a été dans le milieu des changements, la société américaine autant raciale que financière, où les joueurs ont été capables de devenir autonomes. Puis, je faisais un post récemment, parce que je lisais un livre extrêmement intéressant. Mais là, c'est rendu vraiment le brand. Tous les joueurs ont leur espèce de brand à eux autres.

Speaker 2:

Dans un sens, je crois que ça peut être bon, parce qu'on sort d'une espèce d'époque ou de révolution industrielle où tout le monde était vraiment, on était un petit peu comme des chips, on était un petit peu comme des moutons, on allait faire nos affaires. Je pense qu'on sort un petit peu de notre moule. Ça a du bon, évidemment, mais il y a aussi que tout le monde est rendu, me myself and I, et je vais peut-être me mettre là-dedans aussi. Évidemment, ça reste que mon projet, je veux qu'il marche par rapport à un autre, mais tout ça pour dire que je trouve ça intéressant que le monde soit capable maintenant de primé un petit peu plus Par contre, à la place d'être obligé de prendre peut-être une ligne directrice qui t'a été donnée par soit ton organisation, ton équipe, ces affaires-là. Je trouve ça quand même intéressant. Mais on a perdu aussi un petit peu la collectivité et peut-être le désir de vouloir faire changer les choses à la gang. J'aimerais ça t'entendre aussi là-dessus.

Speaker 1:

Je me choie parce que souvent, j'ai des discussions avec des gens qui sont plus éduqués que moi au niveau social. Je viens d'une famille de travailleurs sociaux. Je parlais avec JP l'autre fois, qui est un prof en philo, qui a un super background, d'une éducation au niveau, justement, de l'histoire, des principes sociaux, comment les sociétés marchent, tout ça. C'est super intéressant d'entendre du monde qui sont plus du kick-move. là-dessus Souvent les discussions. Parce que moi, j'ai un réflexe aussi peut-être d'entrepreneur qui est un petit peu plus individualiste. J'ai tendance à me dire que si chacun est une meilleure version de soi-même, ultimement, collectivement, on va devenir une meilleure société. Pour moi, avant de commencer à m'occuper du voisin, j'ai mon travail à faire.

Speaker 1:

Comme je dis, ce n'est pas fondé sur aucune étude, c'est vraiment du gros gut feeling de ce que j'observe. Je me dis comment je peux commencer à penser à une société aux complices si, fondamentalement, je suis même pas bien que moi-même, je suis pas en santé? Comment je peux m'occuper du monde si je m'occupe pas de moi? Fait que j'ai toujours un peu ce discours-là de. Mais en même temps, je pense qu'ily a un minimum d morale aussi de savoir qu'est-ce qui est bon d'être fait ou pas, puis de savoir trancher.

Speaker 1:

Là, je rentre dans un pattern narcissique, peut-être à quelque part, à faire certaines actions. Je pense qu'il y a vraiment une balance entre ce qui se passe en dehors, comment je suis conscient, mais aussi de revenir des fois à la base, plutôt que d'essayer de sauver le monde à coup de grands slogans puis de grandes missions mobilisatrices. Moi, personnellement, la façon que je me vois là-dedans, c'est comme bien, if I'm getting better, i guess I'm going to do the best, puis people are going to be in contact with it, puis they're going to probably be influenced by that and just become better persons as well, because I influence them as just me».

Speaker 2:

Puis le fait qu'on soit capable de partager ces choses-là, de publier le fait. C'est moi, ce qui a marché pour moi, c'est ça. Voici, pas nécessairement la formule, mais j'aime beaucoup la philosophie pour ça. T'es capable d'en prendre un petit peu de chaque personne, de chaque philosophie, de chaque façon de penser. Quand, dis-moi, je te vois aller je t'ai connu y a 10-12 ans Je vois certains influenceurs pas les influenceurs, c'est pas vrai certaines personnes que je respecte. Surtout, j'écoute beaucoup de podcasts Et puis, des fois, ils me disent des affaires, ça, je peux mettre ça en application aujourd'hui. Fait qu'effectivement, le fait de devenir meilleur soi-même, si tu as une incidence sur une personne, puis que, surtout, tu ne la connais pas, je sais qu'on s'était parlé de quelqu'un bon dans les débuts de ton podcast.

Speaker 2:

Quelqu'un n'allait pas nécessairement, puis, tu sais, tu lui avais dit si tu as quelque chose à me dire, viens me le dire directement. Puis probablement que cette personne-là avait besoin d'aide, mais tu sais la manière que tu vas te comporter, l'exemple que tu vas donner. Effectivement, si tu es capable d'avoir un effet bénéfique ou un positif sur une ou plusieurs personnes, je trouve ça absolument extraordinaire, ce qu'on ne pouvait pas avant. On avait peut-être moins de modèles, un petit peu, mais on en a plusieurs. Puis on peut comme piger un petit peu J'avoue que j'adore ça par exemple C'est vraiment cool, mais c'est vraiment simple.

Speaker 1:

C'est comme si je rayonne d'une façon qui engage d'autres mondes dans des projets qui sont le fun, qui font rendre plus de monde heureux, qui font rire le monde ou qui transmettent des informations qui sont pertinentes, qui ont une mission qui est fondamentalement bonne et que l'intention est saine. Je veux dire, en arrière de ça, si moi je fais ça, bien forte chance que j'influence quelqu'un, que ça fasse un petit bout de chemin pour cette personne-là, puis qu'il fasse un petit bout de chemin pour cette personne-là, puis qu'à un moment donné, ça se compounde dans la société d'une façon à long terme qui est juste, vraiment positive. Je vois pas ces gens. Je roulais l'autre fois en char tout seul. Je regardais en avant, il faisait gros soleil, je ne sais pas. J'avais comme une dose de dopamine qui venait de la vie en général. C'est fun, ça.

Speaker 1:

Je regardais en avant et j'étais comme wow, la vie est belle aujourd'hui. La vie venait trop. Aussi. Je me disais est-ce que c'est insignifiant la durée de temps qu'on est sur la Terre? Non, mais c'était vraiment ça. On dirait que le soleil me l'a dit en me façant dans la face. J'ai mis mes lunettes et je me suis dit qu'est-ce que c'est insignifiant. Puis là, on prend, c'est comme si C'est vraiment des ailleurs temporelles incroyables qu'on a De genre, parce que je vais vivre entre 60 et 90 ans. Mettons, c'est ça. Non, c'est ça, non, non, c'est un guerrier, c'est un sable dans le désert quand tu y penses.

Speaker 2:

La moyenne, c'est trois générations, qui, après trois générations, personne ne se rappelle de toi, à moins que tu aies vraiment eu un impact.

Speaker 1:

C'est ceux qui ont un gros impact.

Speaker 2:

On n'est pas tous des Marcus Aurelius ou des Marc Orel. en fait, Je suis un français, C'est pas tout. des Marc Orel qui, 2000 ans après, tu peux lire son journal intime et tu te dis ça, ça me punk.

Speaker 1:

Puis encore lui. Il y a certaines personnes qui s'en rappellent parce qu'il y a le livre, etc.

Speaker 2:

Mais je veux dire sur les 8-9 milliards de personnes qui sont sur la planète Et C'est le trait de ça. J'allais dire, C'était trash en crise dans ce temps-là, Il y a la guerre en Estie.

Speaker 1:

Oui, ça me fait rire. Il en a-tu eu du monde? sûrement Non, mais tu sais.

Speaker 2:

Des fois, je vois le monde qui aimeraient ça, avoir des valeurs, qui sont vraiment comme dans le passé mettons 1500 ans, 500 ans mais qui ont de la misère à se faire un steak aujourd'hui. Est-ce que tu penses vraiment qu'avant tu aurais été capable, toi, de te défendre, de survivre? exactement, tu as de la misère à aller faire une course, mais faire une course, man, mais tu sais, tu sais que ça aurait été vraiment difficile. C'était vraiment la loi du plus fort. À cette heure, survivre, c'est pas trop trop difficile? honnêtement? Non, mais je pense que ça fait partie du questionnement généralisé de l'humain aussi.

Speaker 1:

Du coup que tes besoins fondamentaux sont répondus, tu sont répondus, la raison d'être, tu peux partir à te questionner. C'est tout ça qui fait qu'on est rendu aussi anxieux comme société. C'est intéressant. Il y a sûrement plein d'études là-dessus, mais je trouve ça fucking intéressant, pareil, parce que on est bien Même. J'aime ça me comparer des fois pour me consoler, même si c'est pas une somme.

Speaker 1:

C'est vrai de ça j'allais dire Mais des fois, c'est juste un mindset de gratitude bien standard, juste, genre je pourrais être en Afrique aujourd'hui, ou en Haïti, ou à quelque part qu'il y a eu un ouragan, à quelque part qu'il n'y a pas d'eau propre Après ça, en perspective, probablement que ces gens-là, si tu les prends aujourd'hui, ou ce qu'ils vivent en ce moment, sont probablement un mode de vie et une expérience de vie qui est notement supérieure aux gens qui étaient là il y a 3000 ans. Justement, on peut rationaliser longtemps sur notre sort personnel des fois.

Speaker 2:

Il y a un sort personnel que tu peux prendre de deux côtés. Quand on se compare, on se console. Qu'ils disent Par contre, il y en a qui, on dirait, qui prennent ça de l'autre manière, ou ils vont se comparer. Puis. J'ai besoin de ça maintenant dans ma vie. C'est intéressant de voir pourquoi une personne puis, en passant, ce n'est pas une moins bonne personne que moi, quoi que ce soit, moi j'aime vraiment ça, voir le côté asseoir, je vais me coucher dans un lit, je vais être au chaud, je vais pouvoir prendre une douche et demain matin, j'ai une job. Ça, je trouve ça vraiment cool. Il y en a que, demain matin, ils ne savent même pas s'ils vont manger, ils n'ont peut-être même que j'ai présentement. C'est vraiment spécial comment on peut voir les deux manières de voir les choses.

Speaker 1:

J'ai comme un moment donné, autant que je suis quelqu'un de minimaliste, autant que j'aime les choses, je me tente vite des choses. Ah oui, vraiment, tu ne te donnes pas, dans le fond, pas tant. Je me dis qu'on a rien qu'une vie à vivre, bon point. Il y a des affaires que tu aimes plus longtemps parce qu'elles répondent vraiment bien à ton besoin. Il y a d'autres affaires. Je me rends compte que plus les choses sont matérielles, plus je me tente vite. Je pense que c'est bon, absolument Tant mieux. Mais en même temps, j'ai tout le temps le chase de vouloir des nouvelles patentes et je me nourris de ça. Ça me fait des micro-objectifs à atteindre, le fun. J'aime les bébelles dans la vie, j'aime les bikes, j'aime les chars.

Speaker 2:

C'est capoté ce que tu me disais tantôt, mais j'en mettre un monde en contexte. C'est ta passion comme ça. Puis, tu sais, il y a un coup qui est relié à ça. Je trouve ça vraiment cool, mais tu sais que tu te lances là-dedans, en plus, ça doit prendre beaucoup de temps. Aussi, t'as ta compagnie. Tu fais encore du, des choses pour Broil, évidemment, dans le son. C'est capoté ce que tu fais.

Speaker 1:

Tranquille cette année, broil pas pris de projet. Mais ouais, le chase de ça, pour vrai, je pense je vais le ramener. Ultra simple. Mais on parlait de se comparer si tu chases une Ferrari dans ta vie, mais que t'es heureux, pareil sans chase ta Ferrari tant que tu veux. Tu fais pas chier le monde en t'en allant, tout va bien. Si tu fais chier tout le monde en t'en allant, tout va bien. Si tu fais chier tout le monde, c'est ton but ultime, fondamentalement, tu n'agis pas bien, tu as des mauvaises intentions. Le problème vient plus là que de chaser quelque chose de matériel. Chacun a ses objectifs. Si tu es bien en Gougoune au Guatemala avec Focal, tu es bien en gougoune au Guatemala avec fuck all et que tu es heureux et que tu souris et que tu rends tout le monde heureux, fine. Si ta mission de vie c'est d'avoir ton char de rêve ou ta maison de rêve et que quand tu en es allé, tu es de plein de monde et que tu es de bonne humeur à tous les jours parce que ta Chris, fine aussi.

Speaker 1:

Dans le fond, absolument, est-ce que je suis tanné d'entendre des espèces de modèles? Tu sais, il y a, comme Il y a des mental models qui, je pense, sont vraiment pratiques à utiliser dans la vie. C'est même une façon de réfléchir que j'ai arrêté de me battre contre. Plutôt que d'essayer de comprendre des choses, j'essaie de comprendre des modèles mentaux qui me permettent de prendre des décisions rapidement en plein de situations. Ça, depuis que j'ai compris ça, je risque que ça va mieux ma vie. Mais après ça, on peut bien faire ce qu'on veut. Carlis, tant qu'on est heureux aussi, qu'on aide du monde et qu'on ne fait pas chier personne, je pense que t'arrêtes. Tu sais c'est quoi la côte. Ta liberté s'arrête où celle des autres commence, quand tu enfreins celle des autres Si tu enfreins la mienne.

Speaker 1:

ta liberté n'existe plus, en fait si tu es smart avec tout le monde, tu peux bien avoir l'ambition matérialiste que tu veux.

Speaker 2:

Pour ceux qui sont intéressés, aussi pour ceux qui aiment les mental models. Est-ce que tu connais Farnham Street?

Speaker 2:

De Steve Parish, c'est que ce blog-là soit gratuit. Je ne comprends pas. C'est un crime de leur part dans un sens. Fait que profitez-en. Mais Farnham Street, c'est absolument génial.

Speaker 2:

Trois livres qu'ils ont fait aussi sur les mental models, comme ça, ça t'aide juste à Ça, lui simplifie un petit peu la façon de penser. Puis, c'est ce que la philosophie m'a aidé aussi. Ça m'a amené des outils. J'ai tout le temps pensé que c'était extrêmement académique, mais très académique, un petit peu chiant, ou beaucoup de français. J'adore lire, mais si tu me mets du français des années, mettons du 17e siècle, c'est que c'est tough, parce qu'ils ne parlaient pas de la même manière et ils prenaient beaucoup de mots pour expliquer quelque chose, que des fois, ça peut être beaucoup plus simple. Je me suis aperçu des fois que les traductions en anglais m'aidaient beaucoup à comprendre, parce qu'eux autres, des fois, ils vont simplifier certaines affaires. Ça, ça m'a beaucoup aidé. Et puis, j' Michel de Montaigne, je le lis en anglais. Je trouve ça fantastique, parce que j'ai comparé les deux.

Speaker 2:

En français, j'ai de la misère. Il faut tout le temps que je me relise. La traduction est plus facile pour toi, absolument. Mais dans ce cas-là, ça peut être un sacrilège pour certaines personnes qui écoutent présentement. Mais ultimement, c'est ce que tu vas ressortir. C, assimiler l'information. Tu penses-tu que lui pensait qu'il?

Speaker 1:

allait avoir un livre audio sur ma phone.

Speaker 2:

Effectivement. Mais ça, toi, tu lis, dans le fond, tu lis surtout que les livres audio. Je ne suis pas capable d'assimiler l'information. Moi, moi, je suis très lunatique, je suis toujours dans ma tête, je pense beaucoup et trop vite. Quand quelqu'un me parle audio, dynamique, de conversation, je me perds. Je me perds dans mes pensées et il faut que je recule tout le temps. Ça ne te fait pas, ça pantoute.

Speaker 1:

Oui, dans le fond, on a parlé brièvement dans le podcast, mais il y a deux raisons pourquoi? En fait, il y a deux affaires. Mettons, avec les livres audios que j'ai remarquées Ce que tu viens de dire, c'est vraiment vrai. Je ne peux pas écouter un livre audio en même temps que j'écris une rédaction ou un courriel. Ça, ça ne marche pas. Il faut vraiment que tu fasses des affaires qui sont brainless Genre. Faire la vaisselle, l'évode audio, ça marche en crisse, c'est parfait. Tu ne fais que tu crisse à rien. Conduire un char, il n'y a pas assez une mauvaise utilisation de ton cerveau que conduire dans sur la route tabarnak, on peut-tu lui donner de la viande pendant qu'il? Moi, quand j'ai allumé que ce temps-là ne servait à rien, j'étais là, j'ai analysé, j'étais comme OK, dormez, ouais, là, dormez pas le choix. En mangeant, je mange vite, c'est comme pas le choix aussi, là, travailler, ok.

Speaker 1:

Des fois, j'ai catché la dynamique. Comment utiliser Premièrement la musique? des fois, ça me met dans une bulle. Quand j'écoute de la musique, je suis capable de faire de quoi? Mettons de la rédaction, de lire quelque chose, d'envoyer un courriel Avec des paroles aussi. Oui, oui, de la musique, juste du beat À un moment donné, ça fait juste me faire taper du pied et ça, impossible. Par contre, c'est vraiment pratique. Quand t'arrives, mettons pour conduire, t'as une autre affaire, whatever. Livre audio, moi je lis pas vite fait que ça m'a permis d'écouter beaucoup plus de matière plus rapidement et en plus, j'avais plein de temps dans ma journée qui servait à rien. Tandis qu'un livre lire et conduire en même temps. Pas très recommandé Idéalement, le C'est impossible, les gens.

Speaker 1:

Mais essayez puis, après ça, on s'en repart. Au feu rouge, tu dis le mal.

Speaker 2:

Je lis pas vite.

Speaker 1:

Mais là, ok, audio, yes. Par contre, je me suis rendu compte un peu de ça que des fois, il y a des affaires qui passent dans le beurre. Fait que là, la façon de contourner ça, c'est que je me suis dit deux affaires Premièrement, je fais la paix un peu avec ça. Si j'avais à retenir de quoi, je vais le pogner en passant. S'il y a quelque chose qui attire mon attention là, c'est peut-être mon côté un peu ouh-ouh. Mais s'il y a quelque chose qui attire mon attention à ce moment-là, c'est parce que j'avais d'affaires à l'entendre et je vais le chercher. Si ça passe dans le vide, ça passe dans le vide. Des fois, le narrateur est tough, des fois, c'est juste qu'il ne me jase pas. Je suis sûr qu'il y a plein d'affaires pour moi là-dedans, mais la façon dont la narration est faite, ou comment il est écrit, ça me jase. Comme là, je suis en train L'almanach de Charlie Munger, j'ai trouvé vraiment tough. C'est un des bons livres.

Speaker 2:

Il est excellent.

Speaker 1:

Vraiment. Mais ça a-tu rentré. Pas tant Mon truc pour ça. C'est souvent que quand je sais que le delivery, j'ai de la misère à l'absorber, mais qu'il y a vraiment quelque chose que je trouve fondamentalement que j'ai besoin là-dedans, je fais juste le réécouter Plein de fois.

Speaker 2:

Si tu me mènes sur quelque chose, encore une fois, ça ne sera pas un Néval Show, mais une affaire. qui a dit, qui m'a beaucoup marqué, moi, et que lui a appris de quelqu'un d'autre en passant j'essaie plus de lire, le plus de livres possible. C'est sûr que j'ai besoin pour mon projet, parce que j'aime le fait d'aller chercher un petit peu dans tout. Puis, tantôt, tu m'as vraiment allumé, tu sais, t'as dit Si t'es pour le retenir, c'est parce que t'étais dû pour le retenir. Ça a bien du sens aussi, parce que moi, j'ai une peur de passer à côté de quelque chose. Fait que là, je prends des notes, je prends des notes, je prends des notes, oui, ça m'aide. puis de lire, ça m'aide beaucoup. mais je suis vraiment en quête d'essayer de trouver les bon dans mon cas, peut-être pas 100, mais peut-être les 200-300 livres qui vont vraiment me faire vibrer et les relire, et les relire, puis en relire un autre et les relire l'autre. Je Puis, moi, charlie Munger, il faut que je leur lise encore. Tu m'en parles.

Speaker 1:

Je suis en train de finir ma première pause de ce livre-là et je pense que je vais être obligé de le réécouter. J'aime ça. Je n'haïs vraiment pas. Mais j'ai de la misère avec le Delivery en plus dans le livre audio. Je me dis que ce n'est pas grave, un indice aussi que j'ai. Ils disent aussi que si j'ai affaire à lire le livre, c'est pas compliqué. Si je me mets à y penser, j'aimerais ça le lire, c'est parce que j'ai affaire à le lire. Si j'y pense plus, parce qu'ily en a plein de livres que je sauvegarde, que je commence Deux ans plus tard, j'ai commencé ce livre-là.

Speaker 1:

Il est laissé à l'abandon. T'as raison, vraiment. La notion de faire la paix, je pense que c'est fort. Ça peut s'appliquer à peu près à n'importe quoi, mais j'ai fait de la paix avec ça. C'est comme la même affaire quand je vais dans des conférences, quand j'écoute la TV, quand je parle avec quelqu'un. J'avais d'affaires Ce concept-là. Il est dans la Bible, il est partout, le concept de. Dans la Bible, je pense qu'ils disent Je ne suis vraiment pas religieux ici, je ne m'aime pas bâtir. Mais dans la Bible, à un moment donné, ils disent de ne pas intervenir dans ce que Dieu met sur ton chemin. Arrêtez d'intervenir dans les affaires.

Speaker 2:

The obstacle is the way man.

Speaker 1:

Arrêtez de vous battre.

Speaker 1:

Je ne sais pas comment ils disent dans la Bible, mais bref, ça m'avait marqué parce que pis, ça, c'est drôle. Ça pourrait être un exemple, justement. Mais arrêtez de forcer les affaires que tu veux qui arrivent, tant que ça. Pis d'arrêter de forcer les choses qui arrivent que tu veux pas qu'elles arrivent, de créer de la friction. Everything is there for a reason. Puis, genre, prends ce que t'as besoin, puis glisse à côté de ce que t'as pas besoin, puis arrête de te battre. Je sais, c'est un peu ça. Quand j'ai entendu ça de la Bible, pourquoi je sais que c'est dans la Bible. C'est vraiment drôle. Ça faisait longtemps que j'avais pas fait de show. Je mixe des shows.

Speaker 1:

Puis il y a d'un Sandman dimanche matin à 6h du matin, à telle place. Je suis ton gars, je suis là, je suis comme non, mais genre, j'aime quasiment mieux ça que vendredi soir jusqu'à 2h du matin, quand je vais m'enlever, je vais être pété. J'étais comme ok, ça a l'air de être bon. Ça fait longtemps que j'ai pas touché une console. C'est un band. Ça avait l'air d'être un bon band, la manière qu'ils m'en parlaient, j'arrivais, c'était pas trop compliqué, c'était une belle salle, il y avait du bon gear, j'étais là, hey, calme, je vais y aller. Puis c'est ça, il dit bye-bye. C'est comme une messe avec un band, C'est comme une nouvelle église. Le preacher il était tout jeune, il devait avoir mon âge.

Speaker 2:

Dans un show Maison.

Speaker 1:

Puis le sujet de cette journée-là, c'était comme, exactement ça, c'était d'arrêter tous ces versets, ou je ne sais pas comment. Bref, tout ce qu'il disait, c'était vraiment ce bout-là, il était comme Dieu a dit telle affaire, puis d'arrêter de vous battre, trouver le bon dans quelque chose. Puis, j'étais là, christ, c'est des manitobandos que j'ai. Ça, c'est bien hot, c'est bien malade, ça date de longtemps. Puis la philo il y en a des philosophes qui étaient religieux, il y en a qui ne l'étaient pas. Fondamentalement, tout ça vient à un moment donné, de quelque part, que t'es comme C'est pas qu tu vis bien mieux avec ton quotidien quand t'arrêtes de forcer, après tout, C'est aussi, tu sais, oliver Berkman, dans son livre 4000 semaines, qui m'a fait repenser le concept du temps.

Speaker 2:

Juste, la manière de, tu sais, il dit à un moment donné the fear, on a beaucoup le fear of missing out. À soir, je ne suis pas au show du FEC, à soir, il y avait ça. Je ne suis pas là, mais, chum, il y avait un party, j'aurais pu lire, j'aurais pu écouter un podcast, j'aurais pu faire la vaisselle. À un moment donné, c'est the joy of missing out Parce que je ne suis pas là, mais je fais ça, je fais ça. Mais je ne te mentirai pas, il y a beaucoup de moments dans ma vie où j'étais là. Puis, j'avais déjà hâte au prochain défi, prochaine chose que j'allais faire, c'est de valeur, parce que I was looking forward to it. C'est comme si tu étais avec une personne. Je vais aller là, ça va être super, le fun. Puis, quand tu es rendu là, tu te dis demain, ça va être vraiment cool, parce que demain, j'ai un show. Tu es avec ton chum que tu voulais voir Hier. C'était comme l'activité que tu voulais faire. Just enjoy, enjoy.

Speaker 1:

Dans deux sens. La peur du futur aussi, je pense qu'elle est nocive, de faire comme ah non, demain il faut que j'en travaille, ou demain j'ai une présentation, je suis stressé parce que je peux en avoir un plus gros client, ou j'ai pas hâte de rencontrer cette personne-là, etc. Je pense que ça se fait dans les deux sens. Puis, je dis souvent je l'ai posté dernièrement en quote, parce que je pose des quotes, en fait, mes posts écrits que vous voyez, c'est juste mon journal, j'écris ce qui me passe par la tête, c'est parfait, t'aimes-tu sur Twitter aussi?

Speaker 2:

non, je devrais plus. J'aime le 140,.

Speaker 1:

C'est rendu 280, c'est comme un vrai journal c'est juste qu'au Québec, il est plus slow, un peu comme plateforme, on dirait. J'aime ça aussi, être un peu bomb dans l'utilisation des plateformes. Mettons mon LinkedIn. Des fois, il y a de l'air d'un Twitter. Je fais exprès Je m'en calisse. Bon, je vais te repousser.

Speaker 2:

On.

Speaker 1:

Se différencie en faisant ça un peu.

Speaker 2:

Ça va en l'encre, finis ton point. Par contre, je vais te dire de quoi. Après, je ne me souviens plus.

Speaker 1:

D d'ailleurs, t'avais une quote que t'avais sortie. Ah, ok, j'ai écrit, parce que là, on parlait de bon, t'as peur de demain, mais aussi t'as hâte à demain, pis là, tout le temps à vivre dans demain, pis là, finalement, t'es plus présent aujourd'hui. Bon, mais il y a une quote que j'ai écrite, c'est comme don't get too high on the highs. Don't get, c'est comme quand ça va bien, ok, acknowledge good job everybody, mais genre, what's next? Genre, le party, on a closé le plus gros client, on a atteint tel objectif, blablabla. Bon, puis, l'année prochaine, quand tu ne l'atteindras pas, tu vas brailler chez vous pendant trois jours, c'est comme tabarnak, ou même à faire peine d'amour, c'est normal.

Speaker 1:

On a toutes des émotions. Je ne diminue pas l'importance d'avoir des émotions, aucunement. Par contre d'être conscient, moi, ce que j'ai remarqué, c'est que les gens qui s'énervent le plus quand ça va bien, ils tombent crissement plus bas. Quand ça va mal, je me suis dit j'ai-tu envie de tout ça? Non, quand ça va mal, je m'en retiens un petit peu. Puis, tout d'un coup, quand ça va mal, je mange moins à voler, fait que je vis mieux.

Speaker 2:

C'est une notion de succès, un peu, je voyais une vidéo.

Speaker 2:

Il y a une plateforme que j'adore En fait, c'est un philosophe qui s'appelle C'est un nom français, un. Puis il y a une plateforme, lui, qui s'appelle The School of Life. Aujourd'hui, il y avait une petite vidéo. Leurs vidéos sont de une minute à six minutes. C'est le meilleur contenu, moi, que j'ai jamais vu. Pas que j'ai jamais vu. C'est dans le top 3 des contenus que j'ai vus dans mes cinq dernières années. Facile, facile, facile. Alors qui disait c'est quoi le succès pour vous? Parce qu'ultimement, c'est comme le statut, c'est l'argent, c'est scorer dans un but, c'est gagner un championnat. Mais des fois, le succès, c'est ta donne est à côté de toi, elle ne file vraiment pas, c'est de l'écouter, de s'asserre en face d'elle, mettre un bras autour d'elle, tu l'éc. C'est un succès à petite échelle, qui ne sera pas vu sur les réseaux sociaux, Mais ultimement, ça, tu devrais en être très, très fier.

Speaker 2:

La notion de succès, si on serait capable un petit peu de la rééquilibrer, je te dirais beaucoup de personnes, je pense, ils s'apercevraient, et dont moi, en passant, je ne suis pas meilleur que personne, loin de là. Moi, ça m'a aidé vivre dans le présent, apprécier ce que j'ai. Quand je me lève le matin, la première affaire que je fais tout le temps, c'est d'aller marcher. Puis, quand je sors de mon appartement parce que j'adore mon petit 2,5,. C'est simple, c'est hot Je regarde tout le temps la même place, puis je me dis je me suis bâti la vie que je veux Le matin. Moi, c'est un succès. Je sais que quelqu'un a dit ça récemment, mais moi, je me suis levé. Plusieurs personnes ne se sont pas levées, juste ça, pour moi, c'est un succès. Je ne sais pas à quel point Bois-toi mon exemple.

Speaker 1:

J'adore ça, moi, tantôt, je disais de faire la paix. Pour moi, quand je suis capable de faire avec ce qui se passe, c'est ça, mon succès, c'est de ne pas être dans le over-analyzing de ce qui est en train de m'arriver, puis de ne pas être rollercoaster par la vie, c'est de faire la paix, de juste let it go. Il y a quelque chose vraiment de sain là-dedans Pour moi, pour vrai le succès. Puis d'être heureux, c'est juste ça, c le succès. Et d'être heureux, c'est juste ça. C'est juste ça, en paix avec ce qui se passe Ultimement, quand t'es en paix.

Speaker 1:

T'es complet, il te manque rien. T'es en paix avec je l'ai pas. Je l'ai pas.

Speaker 2:

D'avoir du monde à ta charge.

Speaker 1:

Dans le fond, t'as une compagnie, t'as ta blonde aussi, mais évidemment plus ta compagnie est-ce que Si tu avais été mettons une compagnie à toi tout seul, ça aurait été raf, raf. Oui, moi bien, finalement, ça va finir par être le Novel Show.

Speaker 2:

Il en parle maintenant?

Speaker 1:

Non, mais il en parle dans son livre. Il dit tu sais? il dit j'ai arrêté de jouer des finite games. Je joue des infinite games maintenant, dans l'entrepreneuriat, il y avait un infinite game pour moi. Je l'ai réalisé. C'est drôle parce qu'en lisant le livre de Naval, plein d'affaires, probablement plein de monde aussi, ça fait de la même affaire. Je suis pas si unique que ça, mais je lisais son livre et j'étais comme c'est moi, c'est moi, c'est moi sur plein d'affaires. Pis, cette affaire là, pour moi, c'est comme les games qui se finissent. Je me tanne, genre gagner le prix finisse, je me tanne, tu sais genre gagner le prix de. Tu sais gagner la course, être le meilleur cette année, tu sais genre toutes ces affaires-là, on dirait que je suis déjà tanné avant même qu'on se rende. Au début, je suis comme Ah, ok, cool». Finalement, à un moment donné, tu as fait le tour. Tu te dis OK, il faut que je fasse ça, encore plein de temps pour me rendre peut-être là, il faut que je sois contre lui. Je suis déjà tanné. Tandis que l'entrepreneuriat bâtir une business, avoir de l'impact, créer des campagnes qui vont vivre pendant des années, probablement, mettre des nouveaux produits sur la map, aider une compagnie à mieux communiquer ses valeurs, là, il y avait une espèce de notion de OK, ça finira jamais».

Speaker 1:

Puis là, le scale, c'était comme Même si je pouvais devenir la plus grosse entreprise au monde, mais après il va y en avoir d'autres, puis tu serais-tu rameurux d'avoir la plus grosse entreprise. Mais c'est cette notion d'infini-là qui fait que je fais la paix aussi, parce que même en commençant et en étant encore en vie, après 3-4 ans, t'es déjà plus hot que bien d'autres mondes. Si tu commences à vouloir faire une game de comparaison et de fin-être, genre je me suis rendu à combien de chiffres d'affaires T, c'est quand on s'en calisse, on l'a pogné, on l'a pu, on va le repogner, on va se remettre dix fois plus gros à un moment donné. Mais si je veux dire, il y a vraiment une notion de faire la paix avec les choses qui est puissante, ça vient peut-être de la méditation aussi. C'est comme t'en fais-tu ouais, full, oh shit, ça m'intéresse, ça, ça fait longtemps.

Speaker 2:

Avec Waking Up de Sam Harris. Non.

Speaker 1:

Écoute, je ne connais pas Waking Up de Sam Harris. Je vais aller voir. Ça m'intéresse, c'est bon.

Speaker 2:

Ce qui est le fun, c'est que tu ne payes pas pour avoir un trial. Tu as ton trial, après ça, ils t'arrêtent. Ça je respecte, Tu ne donnesaime ça, ces affaires-là, Je comprends. Il n'y a pas d'attrape, c'est même. On croit tellement en notre produit. Mais il est temps que tu vas payer après Et j'ai payé.

Speaker 1:

Oui, j'ai essayé, plein d'affaires En fait, j'ai essayé au début, c'était peine d'amour, dépression, désintox. C'est devenu un encrage. Je suis désintox par moi-même. Je n'ai pas eu le besoin. Je pense que j'avais la force mentale pour le faire. Probablement que j'aurais eu besoin d'aide, ça aurait peut-être mieux été. Bref, je me suis crissé dans la marde. Je me suis dit let's go, on le fait. Tout ça, pendant cette période-là, m'a amené Avec. Je me suis demandé qu'est-ce qui était naturel, qui pouvait nous aider. Mes recherches m'enlignaient toujours vers le mindfulness, vers le bouddhisme que j'étais comme ok, c'est une religion, ça m'écœure. Mais en même temps, c'est quoi qui est en arrière de ça? c'est une religion ou c'est un mouvement spirituel? il y a un mélange des deux.

Speaker 1:

Je pense là-dedans, qu'est-ce qu'on peut aller chercher des religions? qui nous est utile après ça? le reste, on le laisse là. Je pense que ça nous appartient. J'aime pas mettre les choses trop dans des boîtes aussi, j'aime ça, juste prendre ce que j'ai besoin. Je suis le même avec les livres, je suis le même avec à peu près tout ce que j'ai en main. Mais ouais, la méditation, ça m'a aidé beaucoup Là. Ça m'a aidé beaucoup Là. Tu parles de plateforme. Il existe plein de sortes de méditation. Je pense que ce n'est pas un sport. Il faut faire attention. Pour moi en tout cas, la première erreur que j'ai faite selon moi, ça m'appartient, mais la première erreur que je pense que j'ai faite c'est de performer.

Speaker 2:

Je voulais performer en méditation, c'est comme à l'envers. Oui, c'est ça Pas prendre ça étape par étape et juste être le meilleur à méditation Pas juste ça, chris.

Speaker 1:

Je n'ai pas médité aujourd'hui, t'as une pression en plus. Oui, mais tu sais, genre J'ai été distrait pendant ma méditation. J'ai fait tant de minutes de méditation sur Headspace Ce mois-ci. Je suis rendu à tant de minutes dans Headspace, Tu perds un petit peu le sens de méditation dans un Pas mal.

Speaker 1:

Par contre, j'en parlais avec Ariane, qui était invitée ici sur le dernier podcast. Elle, c'est ça. Elle a développé une plateforme de méditation pour les entreprises. Ils font des blocs que tu mets dans ton horaire, Puis c'est des groupes qui se cloguent sur un Zoom, puis il y a une prof qui est là qui fait une méditation guidée. Ça, c'est malade. Fait que les gens, ils le mettent dans leur horaire, puis ils n'ont pas le choix. Fait que c'est une fille d'ici Qui se trace d'Arnaud aussi, rihanna, super cool, j'en jasais, et elle disait Je ne me souviens plus exactement comment elle m'a qualifié, mais elle dit, grosso modo, pour commencer, quand tu es vraiment dans la réalité, quand tu n'es pas capable de sortir de ta troisième dimension, de tout ce que tu peux prendre dans tes mains, c'est une bonne façon de prendre par la main ces gens-là qui sont vraiment rationnels, puis qui sont vraiment pratiques dans la vie, pour les amener un peu à déconnecter un petit peu de leur corps, puis de faire comme elle est là, respire 30 secondes.

Speaker 1:

Mais c'est bon, la méditation. Guid, c'est bon d'avoir une petite notion de performance. J'étais là, ah, chris, vous de même. Ça fait bien du sens. Peut-être que je n'aurais pas autant embarqué si Ed Space n'avait pas un peu gaméphile à patente. Là, je me suis dit OK, pour la porte d'entrée. Par contre, avec du recul, c'est de performer. J'ai juste envie de décrocher, justement, et de ne pas performer.

Speaker 2:

Tu fais ça quand, le matin, en te levant. Oui, on pourrait jaser, mais dans le fond, ça fait depuis, Ça rentre dans toute la routine. ça m'intéresse.

Speaker 1:

Oui, tu vas voir ma réponse sur ce qu'elle s'en va, parce que ça Je ne connais pas tout.

Speaker 2:

Tu me le dis, que je n'ai de besoin. Je sais que je n'en retire pas tout ce que je devrais en retirer, malheureusement. Je dirais que la philosophie et les livres m'aident énormément. à cet ancien Vraiment, vraiment beaucoup.

Speaker 1:

En commençant la méditation. La méditation guidée, c'est la meilleure façon, parce que là, il y a quelqu'un qui t'accompagne, qui soit enregistré, qui te parle, ou que ce soit quelqu'un avec un prof. C'est ça que je veux honnêtement, ça, c'est vraiment la meilleure façon de commencer. Mais c'est aussi la meilleure façon d'apprendre, c'est éducatif. Méditer, c'est un muscle qui est dans notre ombre, mais je veux dire, ça se développe, ça s'apprend, il y a des patterns à comprendre aussi là-dedans, dans la méditation guidée, souvent, on apprend à reconnecter avec des sensations physiques, avec notre corps, à relâcher nos muscles dans notre corps, à focusser sur notre respiration, à respirer par la vente, par exemple en bike. Un de mes coachs off-bike, off-season, c'est un gars qui est au Colorado et qui entraîne des athlètes professionnels. Il m'a rappris à respirer. Je respirais juste d'en haut. Je respirais d'en haut, je respirais ici beaucoup. Dis-moi que tu as lu.

Speaker 2:

Breath de James Nestor. Non, du tout. Probablement qu'il a pris ses techniques avec lui, ou peu importe.

Speaker 1:

Peut-être. En tout cas, bref, j'ai rappelé à respirer du ventre aussi consciemment. La conscience, c'est quand il y a la pleine conscience, Ce n'est pas nécessairement de la méditation, mais c' train de faire, c'est ça, quand on commence à méditer aussi, de juste prendre conscience des affaires qu'on prenait pour acquis. Respirer de même toute la journée, pas super sain. Respirer du nez, aussi super important Du nez. Souffler par la bouche, respirer pleinement, se vider aussi pleinement notre air, tout ça, focusser sur des sensations qu'on a dans notre corps. La relaxation, ça s'appelait. Ma grand-mère me faisait faire de la relaxation quand j'étais jeune, vraiment jeune enfant. J'avais de la misère à dormir. Je me rappelle, ma grand-mère mettait des cassettes. Il y avait de l'eau. Je vous l'ai raconté dans l'autre épisode. Il y avait comme de l'eau qui coulait. On se fermait les yeux. Elle me disait de respirer, elle me faisait faire des exercices. Je pense que c'est l'ancrage de méditation le plus vieux que je me rappelle de ma vie.

Speaker 2:

Je gâche que le bruit de l'eau a encore une incidence sur la manière que tu vas te sentir maintenant.

Speaker 1:

Écoute, je ne peux pas. Ou. La première porte d'entrée dans la méditation, c'était ça, c'était comme trauma, peine d'amour. J'ai envie de changer, toxicomane qui a envie d'évoluer, aussi Un ancrage naturel qui me permet de me sentir mieux dans le moment présent. Je me suis rendu compte assez vite des impacts Quand tu as une espèce de boule ou tu as de quoi qui n'est pas capable de passer, juste en respirant. Des fois, ça passe. C'est comme c'est fort. Attends une minute, il y a quelque chose qui se passe. Pour répondre à ta question de comment je médite maintenant, je me suis développé des Sans tomber dans la performance. Je me suis tanné de la méditation guidée. J'en fais de temps en temps parce que ça me tente, comme un podcast à un moment donné ou un livre audio. J'ai envie de l'écouter et j'ai le goût de le faire. Mais sérieusement, je ne me rappelle même pas ce qu'en la dernière fois j'ai fait une méditation guidée, c'était avec Bloom, la gang d'Ariane. Ils m'ont fait essayer la plateforme J.

Speaker 1:

Quand je me lève le matin, je suis un snoozer dans la vie. Je n'arrête pas de dire ça pendant tout. Je suis vraiment un snoozer, j'aime dormir. En plus, je fais beaucoup de sport, je m'entraîne, le sommeil est super important pour la récupération, etc. Tu dois bien dormir. Par contre, oui, très bien, malgré certaines affaires des fois qui pourraient probablement empêcher, mais je l'adore vraiment bien. J'ai changé la relation avec mon snooze. Maintenant, c'est des blocs de 9 minutes mon snooze. Je les médite maintenant par moi-même.

Speaker 2:

Tu as un repos qui se fait, mais en même temps tu prépares ton réveil, c'est parce qu'au lieu d'être en tabarnak que ça sonne.

Speaker 1:

Je suis comme oh yeah, c'est le temps de méditer. J'ai complètement changé ma relation avec mes débuts de journée. Wow, c'est intéressant, ça. Puis jamais guidé. Je fais presque plus de méditation guidée. J'aime moins ça maintenant parce que dans la méditation guidée, il y a une notion de connexion avec notre corps. Il y a une notion de comprendre maintenant où je suis physiquement. Maintenant, c'est l'inverse, j puis, maintenant, c'est l'inverse. J'ai envie d'oublier que j'ai un corps. J'essaie d'aller dans le field qu'il appelle. Ça peut être vraiment ouh-ouh, mais j'essaie de. C'est dispendieux quand on parle de manier, mais je le crois, non, mais quand on va nous autres, on va mourir. J'ai hâte de voir les discussions sur la science, puis de la quantum physique par rapport à ce qui se passe.

Speaker 1:

Oui, parce que, tu sais, il y a de plus en plus d'études là-dessus, mais apparemment qu'on ne voit même pas 1 % de ce qui se passe réellement autour de nous autres, avec les sens qu'on a, avec notre toucher, notre odorat, notre ouïe, tout ce qu'on a et qu'on peut être capable d'apercevoir, on ne qui reste autour Lui, de la façon qu'il amène le discipline du Dieu. Que je trouve super intéressant, c'est si tu n'avais pas tes sens physiques, donc si tu ne pouvais pas toucher, si tu ne pouvais pas sentir, si tu ne pouvais pas entendre, si tu ne pouvais pas voir, tu serais encore là. Mais il resterait quoi? C'est un peu là que j'essaie d'aller quand je médite. Puis, les études disent que la meilleure fenêtre qu'on a pour influencer notre subconscient, c'est le matin, puis le soir, quand on est sur le bord de tomber endormi ou quand on vient de se réveiller. Gratitude avant de se coucher, oui, en se levant, peu importe, c'est quoi qu'on veut changer comme cassette qu'on a dans notre subconscient. Les deux fenêtres les plus efficaces qu'on a, c'est le matin, puis le soir, avant de se coucher.

Speaker 1:

Puis, la raison, c'est vraiment avec les brainwaves, c'est que quand on vit dans le D2D, comme en ce moment, on est très bêta, on est très en 3D, fait que c'est des brainwaves qui sont très bêta. Puis quand en alpha, puis quand on est, ces vibrations-là, c'est du quantum field. À aller lire là-dessus, je suis vraiment pas spécialiste. Mais bref, en gros, quand on tombe en alpha, c'est là que notre subconscient est le plus propice à se faire influencer, c'est là qu'en hypnose, il essaie de nous amener des commandes, le sommeil, puis l'éve. Veux dire c'est pas moi qui invente ça, je crois ça à 500 %, ça règle plein de problèmes.

Speaker 1:

Il y en a qui font des shows avec ça, mais des phobies, des affaires qui sont ancrées dans le subconscient, dans le système nerveux, à des places que c'est comme tu vas mourir avec ça. Mais là, finalement, ils sont capables. C'est le matin ou le soir. Puis moi, le matin, je me suis rendu compte qu'en changeant la relation avec mon cadran, c'était une belle fenêtre pour dicter ce que j'avais envie, mes intentions pour la journée, comment j'ai envie de me sentir. Donc, oui, plus de méditation guidée. Tout ce que j'essaie d'être, c'est le plus possible dans l'espace autour et dans l'énergie, quel genre d'énergie j'ai envie d'être, quel genre de personne j'ai envie de devenir, un autre aussi à faire que j'ai changé dans ma façon de penser par rapport à ça, c'est, au lieu d'être grateful pour le passé, j'essaie d'être grateful pour le futur. J'essaie d'être grateful pour des choses qui ne sont pas encore arrivées.

Speaker 1:

Ah regarde donc toi, c'est vraiment bizarre au début. Ça peut vous aider. Mais je me suis comme rendu là un moment donné en me disant OK, j'ai des objectifs de vie. La manifestation qui appelle certains, ou whatever. Je suis comme ouais, j'y crois, j'y crois moins. Je crois aux fondations de base Pour moi. J'essaie tout le temps de le rationaliser, pareil, même le spirituel, même le mystique, j'essaie de le ramener à mon niveau.

Speaker 1:

Je me dis des fois la manifestation, c'est quoi ça? Comment je fais pour manifester quelque chose qui ne s'est pas passé? Si, à tous les jours, je me dis que je veux devenir la plus hotte agence créative au Québec, ce n'est pas ça que je me dis, mais je dis un exemple Je suis un créateur. Il y a de fortes chances que si je me dis ça tous les jours, je fasse plein de petits gestes qui vont tranquillement m'amener vers ça. En tout cas, il y a plus de chances que si je me dis ça, je fasse plein de petits gestes qui vont tranquillement m'amener vers ça, que si je ne le pense pas, je ne me le dis pas et que je fais n'importe quoi Exact À quelque part, rationnel, pareil comme façon de penser. Tu te dis j'ai envie de m'en aller là, voici ma cible. Bien là, quand je vais rencontrer quelqu'un, tu te réapportes ça By the way, nous autres on fait ça. Tu finis par le matérialiser ton monde.

Speaker 2:

C'est la manière que tu vas te présenter aussi, l'énergie que tu vas donner au monde. Ils vont dire il est vraiment hot avec son énergie. On porte comme une personne qui devrait être pas hot, mais qui devrait être avoir le statut de j'ai la meilleure agence à Québec. Tu comprends ce que je veux dire. Tu comprends ce que je veux dire.

Speaker 1:

La place où je vais essayer de me mettre vraiment, c'est comment je vais me sentir quand je vais signer une campagne pancanadienne pour Coca-Cola. C'est l'état d'esprit, c'est émotionnellement, parce qu'ultimement tout est rattaché à ça. Je veux dire, ce qu'on dégage comme énergie, c'est relié à nos émotions. Quand quelqu'un flippe, on le sent. Qu'est-ce qui fait qu'on le sent? Je lis un peu là-dessus. Il y a une histoire avec la pindle gland, qui est comme un peu notre antenne à champ électromagnétique, qui ressent des choses qu'on n'est pas capable de sentir. Mettons dans l'énergie. Puis, souvent, quand il y a des tempêtes, on se demande Pourquoi. Je sens que la tempête, elle s'en vient. Tu n'as même pas regardé dehors. Puis tu fais Ah, il me semble qu'éventuellement que tu puisses y croire, parce que les croyances sont ancrées en tabarnak.

Speaker 2:

Ça prend du temps avant de changer. C'est comme un navire, il faut qu'il se tasse. La société ne croit pas encore à ça. C'est énorme. Et nous autres, il ne faut pas longtemps. J'avais un commentaire, j'avais une question pour toi, vas-y, pour toi.

Speaker 2:

Tu me parles de ça aujourd'hui, puis moi, en passant, je ne suis pas nécessairement à ton niveau dans le sens que on a certaines croyances, toi, puis moi, mais je pense qu'on est au même niveau dans le sens de je crois à cette manifestation-là de si tu as la gratitude à simplifier les choses, tu dis le petit côté wou-wou, je ne vois plus ça. De même, ça va avec ma question, parce que moi, le Dave de vlog, 15 ans, si tu lui avais dit Dave, j'ai vu dans le futur et tu vas être dans un podcast à un moment donné, tu vas avoir une plateforme et tu vas parler de trucs de quantum physics, parce que tu vas vouloir manifester une certaine affaire et tu vas vouloir simplifier, tu vas commencer à voir aussi que pendant la religion, l'histoire qui compte, c'est quand même une bonne histoire. T'es un malade mental, toi. Tu me connais juste pas, t'aurais jugé.

Speaker 1:

J'aurais jugé Automatiquement. quand on est dans le jugement, c'est que tu te fermes au possible. Ça aurait été moi en fait.

Speaker 1:

T' commenté tantôt, justement, sur mon post aujourd'hui, qui était genre tu sais, je me souviens plus de t'être quoi, mais bref, c'est un peu ce que ça disait, c'est qu'à partir du moment que tu crois à quelque chose, tout d'un coup ça peut devenir possible, parce que t'as plus de chances que ça devienne possible, en fait, parce que tu y crois When the unknown happens. C'est comme si on ne croit pas que ça se peut. Mais là, quand on commence à connaître, tout d'un coup, on se rend compte que ça se peut. Tout d'un coup, ça arrive, mais avant, il y a une notion de, parce que ce n'est pas arrivé, même si personne ne l'a fait encore. Si j'y croyais, je risque d'augmenter les chances que ça se passe. Parce que si tu regardes l'histoire, ça a été ça tout le long, le gars qui a dit je vais inventer le tracteur, ça qui s'est passé l'ampoule, chris, devais-tu le trouver, fucké. On va faire de la lumière, chris, ils ont dû l'interner, c'est complètement capoté.

Speaker 1:

Nous autres, on est là à parler peut-être de champs électromagnétiques, de champs électromagnétiques, de pinal glands, de manifestations, de whatever. Mais je veux dire there's so much, we don't know, le unknown, qui va toujours en avoir du unknown. On ne saura jamais tout, surtout pas de notre maigre vie notre grain de sable dans le désert.

Speaker 2:

Je trouve que ça, il est capable d'en parler et de faire avancer la chose, aussi petite nos plateformes soient-elles présentement Mais je manifeste l'idée qu'elles soient plus grosses Mais d'avoir une, De pouvoir aider le monde dans un sens, d'avoir une influence positive. Excuse-moi, c'est ce que je cherchais. Où je voulais en venir avec ma question aussi, parce que moi, si je me vois avant en train de dire jugement, je ne serai jamais comme ça. Désolé, ça ne marchera pas comme ça. Moi, perso, ça m'aide pour le futur, parce que je suis capable de voir que quand il va y avoir des changements, il faut que je sois beaucoup plus ouvert à ça. Le Dave, dans 15 ans, qui va avoir 58 ans, il va falloir que je change les choses. Puis, il va falloir que je sois ouvert à certaines façons de penser que présentement, je suis peut-être fermé ou que je n'ai même pas encore exploré carrément. Moi, perso, ça me console de savoir que je suis capable de me voir évoluer comme ça. Puis, c'est ça.

Speaker 1:

Tu as vraiment parlé de ça. Oui, je me reconnais dans ce que tu viens de dire. Je pense à moi de 10-15 ans, quand on s'est rencontrés. Tu me dis que je vais méditer. Dans ce nombre d'années, j'étais tellement dans le moment présent, un joint à la fouette dans des choses que je suis capable de prendre dans mes mains, qui sont en avant de moi sur le comptoir. Si ce n'est pas là en avant de moi, ça n'existe pas.

Speaker 1:

Je n'avais aucune notion de possibilité de croire en moi. Mais pourtant, il était là. Il était juste plus loin, il était juste enfoui en dessous, comme qui dit dans les boys, le trésor est en dessous de la poussière. Il y avait de la poussière en grise, c'était probablement la même sorte de poussière que le gars dans les boys. Mais un moment donné, tu fais le ménage et tu te rends compte qu'il y a plein de choses qui sont possibles. Il y a plein de choses qui sont possibles et à chacun son cheminement par rapport à ça. Et, comme je disais tantôt, si tu es heureux et que tu ne fais pas chier le monde, ça va bien, quand même que tu es l'être le plus rationnel, le plus pratique. Tu rentres à la job, tu ranges des chars, tu ressors le soir, tu manges, tu t'appoutines, tu te couches. Je fais juste donner un exemple. Mettons que tu es l'être le plus simple et pratique qui existe, si tu es heureux et que tu ne fais pas chier personne.

Speaker 2:

Personne ne devrait avoir un mot à dire En fait, il y a du monde autour de nous Tu as sûrement quelqu'un qui l'a en tête. Malheureusement, ils sont pris dans certaines habitudes qui sont quand même assez néfastes, très néfastes en fait. Ils sont dans des relations qui sont quand même assez difficiles, où ils sont prisonniers. Dans un sens, ils ne sont pas nécessairement des victimes, parce que des fois, ils pourraient peut-être faire quelque chose, puis c'est eux autres qui le font, pas Moi.

Speaker 2:

J'ai dû laisser aller du monde dans les deux dernières années parce que, dont un qui me dit t'as changé, j'ai évolué, man, j'ai évolué, ça veut pas dire que je suis meilleur que toi, ça veut peut-être dire que nos énergies, nos voix sont peut-être pas faites pour rester ensemble présentement. Puis, je trouve ça intéressant parce que c'est un travail qui est extrêmement difficile. Toi, je serais intéressé de savoir tu sais, des fois, je vois des photos, mettons, t'as un complet. T'as commencé à faire ton podcast, tu as développé un an, tu faisais des petites capsules où tu disais ça, c'était moi avant, c'est plus moi, c'est plus moi. As-tu des chums ou du monde autour de toi qui ont réagi, pas négatifs, mais qui ont dit man, il est où le bon vieux Raph?

Speaker 1:

Ah, oui, oui, tu peux en parler évidemment, oui, en parler évidemment, oui, oui. Là, c'est drôle, parce que j'ai l'impression que c'est toi qui m'interview.

Speaker 2:

C'est bien correct? Non, mais c'est correct, tu as?

Speaker 1:

l'habitude, fait que là, on peut le vivre, on peut le vivre dans le même, mais oui, oui. Puis, je reviens encore à la notion de faire la paix Dans le sens où est-ce que je me vois maintenant? puis, la vision que j'ai de moi dans le futur est-ce que c'est ça qui va faire que je vais me rendre où? est-ce que j'ai envie de m'en aller? Automatiquement? c'était comme ben, dites-moi ce que vous voulez, je m'en vais là-bas Si vous n'êtes pas là n'hésitez pas là-bas, je m'en crisse, c' quelque chose.

Speaker 1:

Il y a toujours un Je ne suis pas fait en, je ne suis pas fait en glace non plus, dans le sens, ça fait toujours un petit quelque chose. Il y a des gens que tu apprécies, malgré tout Le changement. Ça, ça froisse, ça froisse.

Speaker 1:

Je ne suis pas froissé. Oui, mais ça bouscule, ça fait réagir, mettons les gens. Puis, oui, bouscule, ça fait réagir, mettons les gens. Ouais, pourquoi pas Dans le fond, après ça, quand tu penses à la perspective d'une vie, tu fais comme J'en ai eu un qui m'a un peu harcelé sur Instagram, majoritairement avec un faux compte, pas de nom.

Speaker 2:

C'est là qu'on a parlé plus tôt.

Speaker 1:

Ouais, je sais pas trop qui c'était. Il avait l'air de me connaître. Il avait l'air de me connaître de ma famille. Ça m'a fait de quoi sur le coup. Ça me jouait dans la tête de savoir qu'il y a quelqu'un que j'avais eu cet impact-là aussi négatif sur sa vie à lui. Je me demandais s'il était correct aussi. Les moments de ma vie où j'ai intervenu de cette façon-là avec d'autres membres et que j'allais attaquer autant que ça, c'était souvent des points pivots où j'étais sur le bord de tomber Cré à l'aide. Je ne sais pas si c'est un cré à l'aide, mais quand j'attaquais autant, quand tu pointes autant du doigt que ça, c'est souvent parce qu'il y a de quoi qui est sur le bord de par en dedans.

Speaker 2:

Si tu reflètes juste tes propres weaknesses, tes propres faiblesses, tu sais, quand tu critiques, souvent c'est une critique que tu fais à toi-même dans un sens, oui.

Speaker 1:

Puis après ça, il y a plein de patterns, il y a de la jalousie, des fous dans des affaires. Puis, après ça, moi, je prends tout ce que j'ai à prendre de ça. Ça a même été éducatif un petit peu, parce Dans certaines affaires, il disait que le gars n'avait pas l'air d'un illettré non plus, il avait l'air de faire des affaires qui avaient bien du sens. Puis, moi, je prenais ça pour ce que c'était. Ça m'a donné du feedback sur certains contenus que je faisais. J'ai adapté plein d'affaires, mais en même temps, pour moi, ça faisait partie du processus. C'était comme bien, où est-ce que je brasse ma propre soupe à moi? Des fois, je vais me sentir bien, Des fois je vais me sentir moins bien. Il y a sûrement du monde qui va aimer ça, il y a sûrement du monde qui n'aimerait pas ça. Mais en bout de ligne, ça fait toute partie du journey vers où il faut que je m'en aille. Je le rationalisais de cette façon-là.

Speaker 2:

Je me disais j'espère juste que ce gars-là, c'était spécial. C'est le concept de la friction aussi. J'ai sorti de quoi la semaine passée, pourquoi mon dentiste m'a fait philosopher. C'était le concept de la friction. Parce que, pour une raison ou pour une autre, je m'entends super bien avec mon dentiste.

Speaker 2:

Il lit beaucoup aussi Quand j'y vais, il est content de me voir, je suis content de le voir. Tu, jases, on prend le temps avant, puis après. il est super cool, c'est Kevin. Il est extraordinaire. Love dentaire, sur chemin de Saint-Foy Qu'est-ce que je veux dire? À un moment donné, il me parle de soi dentaire. Il me dit que ce qui est super important, dave, c'est qu'il faut qu'il y ait de la friction. Puis, man, il m'a dit ça. Je ne me rappelle pas ce qu'il a dit après parce que, tout de suite, j'étais perdu dans mes affaires. Puis là, j'ai dit oh my God, man, c'est comme dans la vie en général, nomme-moi quelque chose dans la vie où tu étais capable d'évoluer sans que tu aies eu une difficulté ou une friction, ou qu'ave. L'amour, je passe du coq à l'orne. L'amour.

Speaker 2:

Récemment, je lisais ça et ça m'a fessé. L'amour, ce n'est pas quelque chose qui est inné, ce n'est pas quelque chose que tu sais comment faire quand tu es né, ce n'est pas comme l'amour, c'est un devoir que t'as. Puis l'amour, c'est une leçon que tu dois continuellement réapprendre. Ça m'a, j'en parlais avec ma blonde récemment, puis ça m'a tellement, ça m'a fessé, parce que je voyais pas ça. De même, je voyais pas ça comme un travail. Moi, je pensais, comme tu sais, c'était, je trouvais ça absolument extraordinaire, c'est ça qui est ça Les plus grands changements de ma vie.

Speaker 1:

Ça a été qui m'ont le plus marqué et qui ont été le plus positif. C'est souvent à cause des traumas.

Speaker 2:

Tu utilises le mot trauma parce qu'il faut que ça soit quand même assez dit, ok je ne le sais pas, évidemment.

Speaker 1:

Les deux places que je me rappelle d'avoir changé le plus, c'était un trauma. J'étais blessé, soit physiquement une fois, puis l'autre fois émotionnellement, crissement solide Les deux, c'était ça. Pourtant, en looking back, ça a été probablement les deux plus gros points pivots de ma vie. C'est capoté, pareil. Quand tu y penses, ça prend comme un. Il faut qu'il y ait de quoi qui chie, on dirait, pour réellement changer, sinon c'est pas mal. Plus long.

Speaker 2:

Évidemment, je ne veux pas faire une leçon à la société, parce que j'en fais partie, avec tous ces problèmes, avec toute sa beauté, en réalité. Mais on recherche tellement le confort présentement, puis on recherche tellement Mais là, s'il m'arrive de quoi, qui va m'aider? Si il t'arrive de quoi? même? puis, il m'en est arrivé des affaires dans la dernière année. Si tu veux qu'on en parle, on va en parler, mais ça va me faire plaisir en passant, j'ai rien à cacher, au contraire, ça, C'est ce que je disais, il est trop beau, oui, trop beau, si on recherche ce confort-là, qu'en réalité on devrait tout le temps se challenger, toujours, toujours, toujours. C'est plate, mais prends ta marche, ton corps a été fait pour bouger. Fais-le bouger, ton fucking corps. Ton corps a besoin d'une motion.

Speaker 2:

Pour pouvoir avoir une motion après ça, il a besoin que tu lui donnes de l'énergie, pour t'en donner de l'énergie lui aussi. Je trouve ça absolument effarant de voir comment le monde recherche tout le temps la loi du moindre effort, parce que j'ai été longtemps comme ça. Puis, à ce temps-là, je regarde ma version 1.0, au pire. Puis je ne trippe pas pantoute, je ne trippe pas, pantoute, pantoute, pantoute, parce que je suis plus heureux là, puis je me donne des fucking défis.

Speaker 1:

Moi, je suis lâche. Tu trouves Moi, oui, je suis quelqu'un de très lâche par nature. Puis en même temps, c'est T'es sérieux? Oui, Mais comment tu peux? suis tellement lâche que tout ce que je fais, je le fais à sa plus simple expression, pour que ça rentre dans l'horaire, sinon ça serait impossible. Je n'ai pas le choix de tout simplifier, je suis lâche. Je trouve tout le temps le shortcut, tout le temps, tout le temps tout le temps.

Speaker 1:

C'est vrai, c'est un continuel combat contre moi-même. Je suis vraiment, par défaut, je suis lâche. Je pense que l'humain l'est, mais un moment donné. J'ai développé des mental models, à force de m'en aller, qui font que je suis capable de simplifier et d'utiliser cette lâcheté-là comme un outil, qui est créatif, pour trouver des façons plus rapides de me rendre de tout le temps, oversimplifier tout Ça gosse le monde souvent, parce que je connais beaucoup de choses de façon simple, puis je me tanne vite de tout, puis je pense que c'est, je me tanne vite de beaucoup de choses, la majorité des choses, je me tanne super vite. Mais ce qui reste, il reste, il reste vraiment, puis il reste là, puis c'est comme enlève-moi pas ça, c'est ma drogue, puis c'est correct, puis je l'ai bien que ça, puis c'est correct, puis j'ai un bon, dopamine indique en plus, j'aime vraiment, quand j'aime des choses, j'aime des choses, moi, à la Disney World, genre six semaines, j'aime ça se capoter.

Speaker 2:

On ne doit pas avoir la même définition de l'âge. Vraiment pas. Parce que le fait que ce projet-là d'être le disque lecteur est super important pour moi, parce que c'est mon premier que je veux faire une constance, puis une discipline. Je veux pas y aller full on, parce que je me trouve pas lâche, mais mon Dieu, parce que pendant longtemps, quand j'atteignais, tu sais, mettons, avec Hontchoc, quand ça a été populaire dans le milieu, évidemment, ce n'était pas populaire du côté, tout le monde connaissait ça Dans le milieu, pas mal de monde le connaissait. Je suis parti. Quand je me suis aperçu que le monde prenait ça pour acquis, je travaillais carrément dans le bar. Le monde me textait. Le matin, je me réveillais, deux ou trois messages Ils partagent ça. Je ne suis pas ami avec lui. C'était des projets. Une nouvelle toune qui me disait Enregistrer sur un cellulaire ou sur une petite caméra dans le sous-sol pendant qu'il jam».

Speaker 2:

Puis là, il fallait que je dise Tu veux que je partage quoi? T'es qui? Je suis l'AMATL, je suis l'éditeur, tu, je suis guitariste de tas. Tu veux que je dise que c'est bon, j'imagine, parce que c'est pas bon pantoute. Puis là, il fallait que je me fasse un espace, comme son gérant. Puis, je t'ai juste dit, c'est pas le monde pris pour acquis. on te choque Tout ça pour dire que moi, je me lance dans plein de projets parce que j' que, tous tes projets, tu es capable d'amener. Tout ce que tu as appris avec Broil, j'imagine que tu nous amènes dans Bétula, peut-être ta discipline un peu de vie, cette affaire-là, ton prochain projet. Je sais que tu travailles sur quelque chose avec Bétula. Des erreurs que tu as faites avec Bétula, avec Broil, avec ton podcast, je trouve ça hot, moi, on va chercher.

Speaker 1:

Il y a du bon dans tout, dans le sens qu'il y a dans nos plus grandes erreurs. C'est souvent nos plus grands apprentissages.

Speaker 1:

Friction même De commencer à dire que c'est des erreurs. Souvent, c'est une erreur en soi, parce que c'est you learn, c'est you win or you learn. C'est une vieille, je suis en train d'apprendre en ce moment. Je trouve ça tough, j'ai l'impression de failler, mais non, qu'est-ce que je suis en train d'apprendre, qu'est-ce que cette situation-là est en train de me montrer? que je n'avais pas et que j'ai besoin, pour me rendre à cette vision-là que je me répète le matin tout le temps, ça, c'est une, émotionnellement, de compresser un petit peu la dynamique de nos émotions. Si on part avec le principe de base qu'il y a quelque chose à apprendre dans tout nos traumas, à ce moment-là, ça veut dire qu'il y a une grosse affaire à apprendre dans cette grosse affaire-là qui nous arrive. Quand je dis que je suis lâche, souvent, comme tu disais, je ne pense pas que Je pense plus que c'est un autre avantage, ou je pense plus que c'est une qualité qu'on a. Mais tout extrême peut devenir négatif à un certain point ou moins bien nous servir. En tout cas, souvent, nos plus grandes qualités mal canalisées sont nos plus grands défauts. Moi, je suis quelqu'un de super passionné, de très motivé, je suis un visionnaire, je m'assume, j'ai une passion, j'ai une capacité d'embarquer du monde dans mes affaires aussi, de convaincre. Je suis un bon vendeur. Mettons À la base, c'est naturel, le danger de ça, c'est de ne vendre pas les bonnes affaires, de ne pas être capable de livrer ce que j'ai vendu après, de ne pas entretenir ces relations-là assez pour que le projet se rende à terme de bullshiter sur certaines affaires.

Speaker 1:

Je peux continuer de compter des menteries Si je vais vraiment loin. C'est comme un bon vendeur. Finalement, en bout de ligne, il te compte des menteries. S'il va très, très loin, il est tellement bon qu'il te fait croire à ses menteries. Ok, bien là, tu n'es plus rien qu'un bon vendeur. Tu te comptes des menteries. Ça ne marche pas, c'est ça. Ok, je suis lâche. Je prends connaissance de tout ça. Comment je l'utilise à ma force, comment je l'utilise à mon avantage? je rencontre plein de choses dans ma vie.

Speaker 1:

Je suis capable de les simplifier pour être capable d'exécuter pas mal plus rapidement. J'ai une capacité de synthèse qui est vraiment, je crois, au-dessus de la moyenne. En tout cas, je me le fais dire par plein de monde. Je le sais moi-même, je comprends, c'est fait parfait. Puis, souvent, ça me prend du monde pour continuer d'exécuter, puis faire le long terme de ça, mais le court terme, le comprendre, le synthétiser, le faire marcher. Je suis fucking rapide avec ça, en bout de ligne, je suis lâche, mais c'est une capacité. C'est parce que je me tanne vite dans le fond. Donc, je n'ai pas envie de persévérer sur petites affaires-là. Je suis capable de les accumuler, de les mettre bout à bout.

Speaker 1:

Finalement, ça fait partie d'un purpose. Quand le purpose de quelque chose est fort et que tu as une vision super long terme, un moment donné, toutes ces petites affaires-là justement, tu viens moins lâche parce que tu sais que tu passes à d'autres choses. Ça fait partie du journey. C'est juste comme OK, c'est parfait, il faut que je me rende là. Ça s'applique à n'importe quoi. Ça ne s'applique pas juste en entreprise Si tu veux être le meilleur skieur au monde, il va falloir que tu tournes à gauche et à droite. Il va y avoir des matins que ça ne te tentera pas.

Speaker 2:

Pour revenir à ton point juste d'avant, je crois que c'est de s'entourer du bon monde. Ils disent que les trois besoins de d'être compétent dans quelque chose, de se sentir utile, d'avoir un but, puis aussi d'avoir des connexions. Tu sais, tu vas être compétent dans ce que tu fais, tu vas travailler fort, fort, fort. tu vas te sentir utile, tu sais que tu peux. mettons m'aider, moi, avec mon projet, tu vas me monter, tu t'entoures des bonnes personnes. après ça, tu te dis avec ça, datif. Je pense que la manière que tu me parles là, parce que ça faisait partie de ma capsule il y a pas longtemps, t'as comme été capable d'avoir les trois présentement ensemble, puis tu t'émancipes présentement, c'est la meilleure que je te vois. évidemment. Moi, perso, t'as été ma motivation pour commencer mon projet quand toi, t'as commencé tes podcasts. Ah, oui, trop cool. Oui, absolument, parce que je l'avais en tête, mais je le filais pas. s'il y avait Matt Graham, qu'on a jasé puis, qui faisait quoi de cool, mais qui se répétait tout le temps. Puis, là, je t'y vais arriver. puis j'ai dit non seulement il y a la compagnie, mais en plus ce qu'il fait, c'est ça qui est ça. C'est tellement intéressant. les livres, excuse-moi, je bifurque, mais c'était L'univers des polymathes me fascine. Léonard de Vinci, gauthier, avec Blaise Pascal, il y avait Benjamin Franklin, qui s'intéressent à tout. Ils sont scientifiques, ils sont journalistes, ils s'intéressent à tout, ils sont philosophes, ils sont capables de lier et de faire des patterns. C'est ça, les personnes qui vont beaucoup plus se démarquer. Cet univers-là me fait triper Quand je vois du monde comme toi et que je vais m'inclure là-dedans. du monde comme toi, puis je vais m'inclure là-dedans, moi. j'utilise les livres, j'utilise les podcasts, je vais en savoir le plus possible pour essayer d'avoir des nouveaux concepts. Y a-t-il quelque chose que quelqu'un n'a pas pensé, que je pourrais, au pire, juste appliquer à moi? puis, si ça marche pour moi, tant mieux. si le monde le prenne comme semi-exemple ou juste un petit ingrédient de ce que j'ai pris. Il y a quoi que je travaille présentement, j'aimerais ça que le concept du 1% qu'on le revire. d'abord, le concept du 1% où c'est les riches contre les pauvres, je suis un petit peu tanné de l'entendre, parce que souvent il y a eu, c'est pas comme si ces personnes-là n'avaient rien fait pour mériter ça. On s'entend les Jeff Bezos de ce monde quand tu les vois dans les photos dans le garage avec la bannière Amazon en peinturé, ce n'est pas inventé. Non, ce n'est pas inventé. pantoute, j'aimerais ça, revirer ça de bord et dire utiliser ça.

Speaker 2:

Moi, je fais partie du 1% parce qu'aujourd'hui, quand j'ai marché, j'ai salué le monde, je me suis intégré dans ma communauté, j'ai fait 10 minutes d'exercice, j'ai bien mangé. Puis, il y a une chose aujourd'hui que je voulais faire qui était vraiment néfaste pour moi. je ne l'ai pas faite. Juste, ces quatre affaires-là, je ne l'ai même pas développé. je le développe avec toi présentement. Juste, ces quatre affaires-là ont fait probablement partie du 1% des personnes parce qu'ils n'ont même pas pris le temps de faire ça. Ils sont promenés dans la rue. ils disent que c'est la seule personne, ils s'en foutent de tout le monde. Ils ont mangé juste la crap. Un exercice, pour eux autres, c'est de la marde. Puis, quand ils ont 20 piastres, bien, ils en brûlent 22.

Speaker 1:

J'aimerais me retourner ces concepts-là de prendre de quoi qui est mauvais et de mettre bon, je fais partie du 1%. Ma blonde pourrait t'en parler. Elle dirait Astic, tu gosses. Elle me dirait ça Astic, tu gosses avec ça». Mais ça fait quand même longtemps que j'ai ça. Pour moi, c'est un jeu. On fait des points Avec elle, non Moi, on fait des points Avec elle. Non, moi, tout seul avec la vie. Elle, j'en parle de tout, j'aime ça, ça.

Speaker 1:

Un moment donné, je ne me souviens pas si c'est quoi qu'on a rencontré, mais elle a fait quelque chose où on était ensemble, on commençait à se détruire. J'ai dit tu perds des points. C'était insignifiant, pas les airs lousses, right, non, à voir avec notre couple, c'était des points de vie, tu sais. Puis, cette notion-là, j'ai comme gamifié le bon. C'est extraordinaire, parce que, deep down, you know, même s'il y a personne qui te voit, puis, t'as crissé ta gomme à terre, même si t'as jeté ta canette, t'as jeté ton botche de top, t'as pas laissé de type whatever, c'est quoi que t'as fait, il y a personne qui t'a vu.

Speaker 1:

Tu penses que ça n'a pas d'impact. Deep down, you know. Puis, tantôt, quand on parlait de 1%, qu'on perçoit réellement avec nos sens, qu'on a en ce moment, bien, moi, je crois quand même fondamentalement que, dans mon énergie à moi, moins que je fais de points, plus que je fais d'affaires. Au contraire, quand je fais quelque chose de bon et qu'il n'y a personne autour et qu'il n'y a personne qui va le savoir, c'est là que je me sens le mieux.

Speaker 2:

Wow, c'est exactement ce que je suis sorti aujourd'hui, parce que si tu le fais pour le outside validation.

Speaker 1:

C'est facile d'ouvrir la porte à la grand-mère, à l'épicerie, parce qu'il y a plein de monde autour et que tu fais Madame, allez-y. Ou de laisser passer quelqu'un parce qu'il y a plein de monde autour, etc. Mais quand tu es dans le bois, tu es en train de faire un hike, que tu vois un sac de plastique qui est tout crotté et que tu le prends dans tes mains pendant les 7 km qui te restent et que tu le jettes à la poubelle du Parc national, main sale de tu sais pas, c'est quoi qu'il y avait dans cette crise de sac-là. Ça, pour moi, c'est des vrais points. Ça n'a pas plus d'impact qu'ouvrir la porte à la madame, en bout de ligne, même s'il y a de quoi, ça en a moins. Peut-être que c'est la planète sur l'écologie, mais encore est-ce qu'un sac faire des points ou ça m'en fait perdre.

Speaker 1:

Puis, en bout de ligne, c'est de finir la journée idéalement dans le positif. Si je finis au moins à 51, sur le compte, 49, c'est une journée qui finit dans le positif. Puis, je roule avec un pick-up, avec un V8, ok, mais quand je croise de quoi? c'est du chemin, de la traverse. Puis que je reviens, puis que je vois un bac à vidange d'un voisin, puis que je croise une canette, puis que tout ce qu'il y a entre ça, entre moi et le bac, il y a une canette. Bien, j'arrête, même s'il faut que j'arrête, puis que je prenne la canette dégueulasse dans mes mains, puis que je la mette moins, puis ça crée des réflexes aussi, qu'à un moment donné t'en fais plus avec ton subconscient, de plus en plus, plus que tu fais ça, plus que ton subconscient il accepte pas que tu fasses pas du bon à quelque part.

Speaker 2:

C'est vraiment ça.

Speaker 1:

T'influences ton subconscient à côté en faisant ça.

Speaker 2:

Tu fais la bonne affaire, c'est du positif que tu répands.

Speaker 1:

C'est du positif que tu répands, c'est qu'en dedans, tu le sais Un moment donné. C'est ça que je me suis rendu compte, parce que quand j'étais jeune, c'était à l'inverse. J'étais comme. Il y a personne qui le sait Le prof m'a pas vu, le CI a pas vu. Je vois des adultes. Ça me fait de la peine Quand je vois ça.

Speaker 1:

J'ai été capable d'avoir le rabais caché Parce que j'ai volé le code de ma cousine qui, elle, l'avait déjà utilisé. Mais quand on le rentrait une demi-heure, le système n'y avait pas besoin. Hey, t'as dépensé toute cette énergie-là pour sauver 5 piastres sur ton car liste de spaghettis, ben ou pas, ou qu'ils font juste en parler, ou que, juste le fait que tu penses à ça, puis que tu met de ton temps, on est ici tellement, pas longtemps, tabarnak, on peut-tu faire de quoi être constructif? On peut-tu arrêter d'essayer de trouver? Pourtant, c'est des shortcuts, je ne sais pas c'est quoi. Je ne dis pas que je ne le fais plus jamais. Je veux juste dire, chris, on peut-tu juste utiliser l'énergie qu'on a et le peu de temps qu'on a sur la Terre pour faire des vrais bons points, le raccourci est souvent le chemin le plus long.

Speaker 2:

quand tu regardes ça.

Speaker 1:

Je ne sais pas si tu comprends ce que je veux dire.

Speaker 2:

Je ne sais pas si tu l'avais vu, moi, un concept que j'adore. Je ne pense pas l'avoir inventé, mais je ne l'avais jamais entendu, moi, c'est à partir du trois fois par jour, l'espèce de revue qu'il y avait pour les rep fois par jour. J'ai sorti sur ma plateforme autrefois, moi, ce que je fais une fois par jour, parce que je marche comme un imbécile, je suis via les moellous, je fais tout à pied. Je ramasse toujours un déchet minimum par jour. Je dis tout le temps salut à une personne par jour que je crois. Puis là, c'est sûr que je tombe dans le jugement, malheureusement. Mais aller moellou, tomber dans le jugement, ce n'est pas si difficile que ça. C'est dire salut à une personne par jour. Moi, j'ai une grande gueule, donc, je dis ça à tout le monde à la base.

Speaker 2:

Mais des fois, je vois la face du monde. Je pense à un monsieur tout près de la souche. Il a l'air triste. Ça, c'est ma manière de voir les choses. Je ne dis pas qu'il est triste, évidemment, à chaque fois que je passe, j'avais dit salut une fois, il avait tellement l'air surpris, il a fait bonjour, il était sur sa galerie. Je passe tout le temps à l'astère. Quand il me voit arriver, je vois son sourire. Il y a du monde qui ne parle à personne dans une journée, personne Des personnes âgées, man, parle-moi pas là-dessus, je vais m'en brailler. Man, je vais refouer, parce que je veux pas que ça m'arrive. C'est pour ça que je prends soin de ma blonde actuellement, parce que si je peux pas assez de ma vie avec elle, je suis un gars que je suis riche à cause de ça. Cet homme-là, je lui donne un sourire. Une personne a pris le temps de se dire salut une fois par jour. Imagine si tout le monde, une fois par jour, ramassait un déchet. On est quoi? 700 000, 800 000 dans la région de Québec.

Speaker 2:

Il y aurait 800 000 pièces d'ordures par jour de moins dans la ville de Québec Penché d'un déchet une fois par jour. Fais-les pour ça, fais-les pour chaque petite action. Je trouve ça tellement facile. J'adore ça, j'adore, puis je l'applique, puis je le vois dans ma vie. Moi, ça me donne le sourire.

Speaker 1:

Si tu veux multiplier ton sentiment à toi par rapport à cette, ce n'est pas vraiment pour moi Non, non. Mais mettons que tu veux multiplier ton sentiment. pour toi, il y a une tweak à ça qui est plus tough, mais c'est de faire de quoi qui te fait sortir de ta zone de confort vraiment, puis qui est fondamentalement vraiment bon aussi, C'est la course. C'est tough de trouver ces affaires-là et de les faire plus souvent.

Speaker 2:

mettons Tu trouves ça tough, Sanja?

Speaker 1:

Parce qu'on a toute tendance à aller dans quelque chose Quand on dit OK, faire du bien, ok, parfait, je vais faire de quoi que pour moi, c'est facile, de faire du bien, Mais tu sais, le sentiment d'accomplissement, d'avoir contribué et d'avoir fait du bien.

Speaker 1:

c'est vraiment égoïste, parce que ça sert juste à toi de faire quelque chose de plus tough. Ça n'a pas nécessairement plus d'impact pour le monde si tu fais quelque chose que c'est moins facile pour toi, Mais quand toi tu l'as fait, par exemple, ton sentiment d'avoir contribué est fucking multiplié. c'est malade. Comment je te dirais ça De faire quelque chose d'inconfortable, de passer au travers de quelque chose d'inconfortable. mais je te dirais ça de faire quelque chose d'inconfortable, de passer au travers de quelque chose d'inconfortable, c'est toujours plus rewardant que de faire de quoi dans lequel tu es. On jamme, Si, au lieu de ramasser un déchet, c'était quelque chose qui est plus difficile pour toi que de ramasser un déchet, mettons, Aller porter quelque chose pour quelqu'un.

Speaker 2:

Whatever Volontariat.

Speaker 1:

On a tout de quoi. Quelqu'un qui n'aime pas l'eau, mais qui, finalement, va ramasser des déchets sur le bord de l'eau, les deux pieds dans l'eau, Parce que c'est là que ça va avoir En tout cas, peu importe c'est quoi la tweak, mais ça nous appartient à nous. C'est fou comment ça donne encore plus de jus de faire quelque chose qui nous rend inconfortable et qui fait fondamentalement du bien à la société, à la planète, à quelqu'un d'autre. Ça peut être micro, ça peut être macro, ça peut être n'importe quoi, mais c'est malade. Le genre le switch, Moi, j'ai moins tendance, comme je dis, je suis lâche un peu, donc j'ai moins tendance à le faire aller jusque-là.

Speaker 2:

Mais ce mot-là de ton vocabulaire.

Speaker 1:

T'es probable, c'est une force, t'as l'idée, c'est ma force de synthèse de simplifier. Elle vient de m'allonger. Je l'embrasse, mon gars.

Speaker 2:

Je ne veux pas être le seul gars qui dit arrête de dire ça, c'est comme qui, ça qui lâche ici?

Speaker 1:

Des fois, je dis ça J'étais avec Ariane sur le dernier podcast. Je ne sais plus ce que je disais, mais je dis souvent que j'ai cette maladie-là. C'est quelque chose qui est correct pour moi. Je dis que c'est un pattern que j'ai, je l'assume, je vis bien avec. C'est comme une maladie pour moi. Elle était là.

Speaker 2:

Arrête de dire maladie, arrête de dire ce mot-là, c'est tout.

Speaker 1:

Je suis lâche, non, je ne suis pas lâche. Je suis lâche, oui, je suis lâche. Ça fait que je simplifie tout. Je fais quasiment plus d'affaires parce que tout est plus simple.

Speaker 2:

Ma blonde dirait que tu te mets, Elle n'a pas tort, sauf que je suis content de voir qu'on peut rifer un peu là-dessus. Elle dirait que tu te mets du négatif dans la tête Parce que c'est?

Speaker 2:

une fille qui est très positive, qui est très douce, très, très douce. Puis, comme tu sais ce que je vais écouter, des fois, elle, elle va dire pourquoi tu te mets pas ce beat-là dans la musique, mais cette énergie-là dans ta tête, elle dit tu serais tellement mieux de pas le faire. Mais des fois, j'ai besoin de me dépasser et j'ai besoin de me parler. Des fois, je vais faire une niaiserie, je vais tourner et je vais recouper quelqu'un. C'est comme pourquoi moi j'ai fait ça, pas lui? Pourquoi j'ai fait ça? Arrête, tu as fait une erreur, parle-toi, pas de moi, elle n'a vraiment rien de négatif.

Speaker 1:

Tu y amèneras parce que je suis vraiment tannant avec ça, mais tu en parleras, tu en parleras. On va voir comment elle avoue ça. Mettons qu'on part avec le macro-concept que tout est une opinion, même la gravité Une opinion. Oui, il y a quelqu'un qui a décidé que ça pesait tant et qu'on quantifiait ça de sa façon. Maintenant, qu'on part avec le macro-concept que tout est une opinion dans la vie, oui, c'est ça Sa positivité, c'est son opinion. Qu'est-ce qui tranche entre positif et négatif? Ça dépend comment tu l'utilises.

Speaker 2:

Ah bon point sur ta raison.

Speaker 1:

Elle a dit que c'est négatif, mais finalement, c'est peut-être juste le coup de pied dans le cul pour te ramener sur la traque.

Speaker 1:

C'est peut-être très positif dans l'autre com, c'est une question de perspective, évidemment. Oui, c'est ça. On parle de neuroplasticité, on parle de subconscient, nos croyances, etc. Puis, je trouve ça binaire, positif-négatif. Je trouve ça trop binaire pour moi pour me lancer. Souvent, je trouve que positif-négatif, c'est un jugement. C'est selon la perspective, selon si c'est l'une à elle qu'elle a cette journée-là, par rapport à sa perspective de comment toi tu l'as vécu. C'est positif, c'est négatif. Tu mets ça dans une boîte. Le négatif, c'est comme pas bon, le positif, c'est comme bon. Ok, c'est un peu Là. J'ai plus le goût d'aller là, j'ai plus envie de faire comme. Je sais pas. Moi, j'ai overreact peut-être sur cette situation-là, quand la personne me coupe en char, je vais me poser des questions sur pourquoi j react comme ça. Est-ce que j'ai envie de me sentir comme ça dans le futur? Est-ce que je me sentais bien ou pas bien quand j'overreact? Est-ce que j'overreact pour attirer l'attention de la personne qui est avec moi, parce que ça fait partie de mon identité que j'essaie de projeter chez les autres? On peut aller pas mal plus loin que deux boîtes, une boîte positive et une boîte négative.

Speaker 1:

Ça me ferait plaisir de philosopher là-dessus avec elle, si jamais je la rencontre un jour. Mais c'est une piste de réflexion que j'aime beaucoup. On met de l'importance beaucoup sur les mots. On met de l'importance beaucoup sur la définition des choses. J'aime ça.

Speaker 1:

On cherche à comprendre. On est des êtres métaphysiques J'ai appris le mot, j'avais déjà entendu le mot, mais avec JP sur le podcast, qui m'a dit ça on est des êtres qui, la fameuse question du pourquoi. On va toujours essayer de comprendre pourquoi. Puis on cherche à comprendre, puis on cherche à pas juste à comprendre, mais à définir les choses. C'est important que je trouve un nom à cette couleur-là. Non, c'est pas mauve, c'est pas violve, c'est pas violette, c'est pas rose. Il faut que j'y trouve un nom parce qu'on s'en calisse Les faisceaux de lumière dans l'univers qui rayonnent et ça donne cette affaire-là que je perçois. Je peux juste l'enjoyer. En ce moment, cette rose-là me fait sentir un peu mélodramatique. C'est plus simple pour moi d'essayer de comprendre comment je me sens par rapport à ces affaires-là que d'essayer de comprendre ce que les choses sont pour elles-mêmes.

Speaker 2:

Intéressant parce que depuis, je dirais deux ans, j'ai beaucoup changé. Depuis deux ans et demi, trois ans, mon cerveau va beaucoup moins vite qu'il allait. C'est excellent, mais là, je vais à l'encontre de ça, malheureusement. Des fois, as-tu la réflexion comment la société est capable de fonctionner quand on considère le nombre d'opinions, le nombre de styles de vie le mien pas meilleur que l'autre, que le vôtre, le vôtre pas meilleur que le mien, toutes les opinions, tous les styles de vie, toutes les priorités qu'on a, le mien n'est pas meilleur que l'autre, que le vôtre, le vôtre n'est pas meilleur que le mien, toutes les opinions, tous les styles de vie, toutes les priorités qu'on a. Je trouve que c'est un miracle. Je trouve ça beau en passant, je trouve ça beau qu'on soit capable d'être cohérent. C'est une espèce de chaos contrôlé.

Speaker 2:

Tu t'en vas dépercer, tu sais aller chez Costco. Moi, je ne suis plus capable. Je ne comprends pas comment le monde le font. Je ne suis plus capable de faire ça. Par contre, il y a comme l'autre côté tu t'en vas à la plage, puis tu es extrêmement zen, puis tu as toute cette leur priorité, leurs problèmes, leurs défauts, leurs obsessions, leurs addictions aussi. Il y en a qui ça leur prend leur bière. Donne-leur pas, leur Mettons qu'il y aurait une grève, pas une grève. Il n'y a plus de bière pendant un bout. Qu'est-ce qui arrive, esti man? Il n'y a plus de vin, rien. On n'est comme pas à grand-chose que ça décroche, mais je trouve ça beau de voir ça. Ce n'est pas l'image que je donne présentement, mais je trouve ça beau de voir l'espèce de danse, de dynamique de tout ce monde-là qui se met ensemble.

Speaker 1:

J'ai hâte de voir ce qu'il va arriver aussi. Vraiment, je trouve ça vraiment hâte. Ça me fait juste penser si personne voyait, entendait, sentait tout d'un coup one shot, c'est quoi ça ferait? Oh my God, si tout le monde était juste de la conscience pendant deux minutes, mettons là.

Speaker 2:

Il n'y a pas le film de Sandra Bullock, ils ne peuvent pas regarder. On va faire de même, je ne sais pas trop quoi. Il faut qu'ils C'est sur Netflix. Il faut tous qu'ils réapprennent un peu à vivre, Parce que s'ils regardent quelque chose apparaître, ou qu'ils entendent, peu importe.

Speaker 1:

Amen, ça serait assez fou. Merci, on devrait être plus proche de nous-mêmes. J'aime penser à ces affaires-là. Je suis vraiment là-dedans de cette incite. Qu'est-ce qu'il y a au-delà de la troisième dimension qu'on perçoit si j'en parle depuis tantôt, je m'en vais là Qu'on ne perçoit pas, qu'on est capable quand même de percevoir, qu'est-ce qu'on a comme outil qui nous permettrait de voir au-delà du matériel, au-delà des sons qu'on est capable d'attribuer à des choses qu'on connaît déjà. Crois-tu qu'il?

Speaker 2:

y a une muse. Mettons la création. Est-ce que la créativité? est-ce que tu penses que c'est une muse, toi? Est-ce que c'est un courant? c'est une énergie. Moi, je ne sais pas si tu peux répondre à ça, mais moi je n'aime pas ça perdre le contrôle. Toutes les drogues que je fais, il faut que ça me donne plus de contrôle ou que ça ne m'enlève pas au moins. Je déteste perdre le contrôle. Et puis, je crois, sincèrement, j'ai fait un trip à moi-même, je l'avais trop pris.

Speaker 1:

Moi aussi. Il fait plein de vêtements. Je mangeais ça comme des chips. Je crois sincèrement que Quand j'étais kid, je sortais au bar, je mettais ça dans mon kangourou. Tu mangeais ça de même. Oui, 7-14 grammes. Je mettais ça dans mon kangourou. Le vendredi soir, je sortais au bar, dans des bars qui ne cartent pas, qui ne fouillent pas, qui ne check, je mangeais ça comme des chips, en buvant de la bière toute ma soirée. Un moment donné, j'étais comme je m'en vais chez nous aussi.

Speaker 2:

Parce que tout le monde te regarde.

Speaker 1:

On dirait que tout le monde te regarde, mais en même temps, j'étais rendu tellement habitué. Quand tu en manges tranquillement le moche, c'est comme Ça kick point, one shot, c'est pas comme une barre Y a Mais y'a-tu une, tu sais, the Doors of Perception.

Speaker 2:

Je pense que c'est d'Addis Oxley je dis mal le nom, malheureusement The Doors of Perception. On dirait que ça ouvre quelque chose, pourtant, on n'est pas liés, je pense qu'on est liés.

Speaker 1:

quand même Superbe phrase. Y'a de plus en plus d'études qui parlent de, justement, toutes les indigenous substances commencent à influencer. Tu t'en allais où tantôt Parce que je t'ai interrompu. Tu dis que tu prends des micro-doses, mais tu les prends-tu constamment, ou des fois, tu fais une espèce d'expérience?

Speaker 2:

Ce que je veux recommencer à faire, c'est de prendre des micro-micro-doses. Mon gourou à moi, qui est le problème pour beaucoup de personnes, c'est Paul Stamets. Paul Stamets, c'est une sommité, pas juste au niveau de la piscine aux cibines, donc des agents psychotiques, mais vraiment au niveau aussi de tout ce qui est bon pour la santé. Il connaît tout. Je peux-tu sacrer en passant, je sacre tout le temps Le fait que j'aie dit deux sacs à date, c'est un miracle Excellent.

Speaker 2:

Puis, ce que je veux faire, moi, j'aimerais ça prendre. Il paraît que quand tu ne le sens pas l'effet, c'est là que c'est le mieux, parce qu'ultimement, la psilocybine fait parler des ondes dans le. Ça a été prouvé, c'est pas ouh ouh, comme tu dis, ça a été prouvé, ça fait se parler des ondes. C'est sûr que la créativité est excellente sur les champignons, habituellement pour le monde. Puis, moi, ce que je voudrais faire, c'est prendre un point 1 à tous les deux jours, parce que ce qui est le fun avec le moche, les champignons magiques, tu ne peux pas avoir une dépendance aux champignons magiques. Ça ne se peut pas, parce que ton corps s'habitue Si tu en prends trop. C'est sûr que si tu prends 183 grammes, ça se peut que tu aies de quoi qui se passe.

Speaker 1:

Si tu en prends tous les jours. Tu ne peux pas overdoser sur le moche. je pense Encore une fois tu peux prendre 300 grammes de moche, ça va mal, ça Ça apporte du chromium.

Speaker 2:

Mais moi, je crois beaucoup au pouvoir thérapeutique de ça. Je crois beaucoup aussi au pouvoir créatif. Je crois sincèrement. Puis j'oublie tout le temps de le faire, puis je suis content qu'on en parle là, Ça va me mettre un. Bon, je le fasse. J'aimerais ça prendre un point 1 à tous les deux jours, Je veux. Il paraît que c'est extrêmement bon pour la neuroplasticité, Créer de nouvelles neurones. Je suis bien fort sur le lion's mane que je prends tous les jours aussi. Il y a aussi un herbe indienne que je prends Le nom, je le trouve. Mais c'est ça. J'aime le fait que Est-ce que ça nous ouvre des nouveaux horizons Quand tu en prends plus évidemment? Est-ce que ça nous ouvre des nouveaux horizons? Tu disais que tu aimais ça. Pensé au fait que on perdait nos sens. Imagine, mettons, tu aurais tous les dirigeants du monde, La moitié des dirigeants du monde. C'est légal partout. Les champignons magiques, le weed et le pot, Il est légal partout. Tu aurais des dirigeants qui, une fois de temps en temps, se font des tripes de moches.

Speaker 1:

Ensemble, Mettons l'ONU.

Speaker 2:

Oui, why the fuck not? T'aurais une semaine, trois jours et demi ou trois jours que tu fais ça, normal. Après ça, un autre trois jours après ça qu'ils font ça sur Champignon Magique, ils se trouveraient ridicules. T'as voulu me tirer une bombe, il se trouverait ridicule.

Speaker 1:

T'as voulu me tirer une bombe? T'es trop méchant. Le G20, c'est gros moche. Le G20, c'est peut-être ça dans le fond. Il ferme les portes, il se lance tout un 3.5 de moche. On met ça extrême.

Speaker 2:

Mais même, il vient me dire qu'il y aurait des guerres entre des dirigeants qui seraient ouverts à ces drogues-là. Viens me dire qu'il y aurait autant de guerres. C'est impossible.

Speaker 1:

Je ne peux pas croire à ce type. Est-ce que la science? la science? mais toi, parce que c'est plus éduqué que moi là-dessus, est-ce que la science? puis, est-ce que toi, il y a un acquis, un moment donné qui se crée? Y a-t-il de l'équité que tu peux bâtir avec ça, ou si c'est seulement quand tu en consommes, ça fait quelque chose? Ta question est parfaite. Je peux répondre en deux manières, parce que neuroplasticité, c'est qu'on serait censé de créer quelque chose.

Speaker 2:

Oui, il y a ça. Moi, 2023 a été Je m'en vais à quelque part. Je te jure, 2023 a été une des années les plus difficiles pour moi D'un. J'ai perdu mon chien. Pour ceux qui me connaissent, les chiens sont Des fois, je les aime un petit peu plus que les humains. C'est peut-être méchant à dire, mais c'est parce que j'aimerais ça être un petit peu comme eux autres, dans le sens de prendre rien pour acquis et vraiment avoir une fidélité envers certaines personnes. Vraiment, ils ont une manière d'oublier. Des fois, tu vas le taper ou peu importe, tu fais quelque chose, peu importe, il ne faut pas taper le chien. Évidemment, c'est un exemple que je fais. C'est comme, après deux minutes, tu Je fais, puis c'est comme après deux minutes, t'es encore son meilleur ami. T'es pas son meilleur ami, mais t'es son monde. J'ai perdu mon chien. Il a fallu que je le fasse tuer. malheureusement, ça a été extrêmement difficile. Dans les deux mêmes mois, j'ai perdu ma blonde, mon ex. En fait, j'ai une nouvelle blonde, mon ex, qui a été vraiment super importante pour moi. Puis, ça faisait quatre ans que j et puis il s'est passé deux affaires différentes en même temps. Puis ça a rapport avec ta question j'ai recommencé à faire du moche à peu près, je te dirais 3 ans, en 2019 en fait, mais ça a été comme intermittent, à cause d'un podcast de Paul Stamets avec Joe Rogan, où il m'a vraiment ouvert. C'est la manière qu'il en parle.

Speaker 2:

Moi, le monde, qui sont capables de partager leur passion comme ça, quand tu es une référence pour moi, c'est parce que tu es aussi une personne qui est capable de changer d'idée. Moi, un gars comme Max Lugavere, qui est un de mes pas idole, mais une de mes références pour le côté nutritif. À un moment donné, il était contre tout ce qui était produit laitier. À un moment donné, il a envoy. J'ai vu plusieurs études, des nouvelles études, qui disent que les produits laitiers, c'est peut-être pas si mauvais que ça pour nous autres. Il dit j'ai pas changé mon fusil d'épaule, mais je garde un oeil là-dessus, puis je vais en inclure dans ma nutrition. Moi, quand t'es une personne comme ça, tu viens me chercher parce que je sais qu'on peut discuter avec toi. Paul, c'ai commencé à en faire venir Au Canada, faire venir du moche. C'est probablement l'affaire la plus facile à faire avec aller s'acheter du lait au dépanneur. C'est extrêmement facile. Je pourrais le faire à ce monsel-là.

Speaker 2:

Ça arrive chez nous. Ce n'est pas ce qu'un duc vient porter. Et puis, moi, ça m'a calmé. J'étais un gars pendant longtemps qui était my way or the highway.

Speaker 2:

Ça a du bon dans tes projets personnels, mais dans tes relations interpersonnelles, c'est nocif en tabarnak. Et puis, mon ex, qui est une personne absolument extraordinaire, a une intelligence émotionnelle qui est incomparable. C'est fou. Moi, je n'étais pas prêt à elle. Puis elle n'était pas prête à moi parce qu'elle avait tellement d'empathie qu'à un moment donné, il faut que tu te calmes un petit peu, puis elle pourrait te le dire.

Speaker 2:

Moi, mon manque d'empathie venait comme contrecarrer son trou d'empathie. Ça fait que c'était bon un peu. Mais il s'est passé tellement de petites affaires que ça a été mauvais, ça a été nocif dans le long terme. On n'est plus ensemble. Mais il s'est tellement passé de bonnes affaires de mon côté à cause du moche, parce que ça m'a ouvert les yeux sur bien les affaires. Ça m'a calmé Les petits trips que je me faisais, où je voyais que mes problèmes n'étaient pas nécessairement des problèmes. Ça m'a ouvert sur certaines notions. Des fois, tu as des discussions sur le moche, tu dois le savoir. Tu t'en vas à des places dans des discussions que c'est J'adore la discussion qu'on a présentement. On serait sur le moche, ça serait Notre range, comme quand tu chantes notre range, à partir d'être là, comme ça, il serait de même. Je trouve ça hot. Moi, ça m'a vraiment ouvert des portes.

Speaker 2:

La trajectoire de ma relation et ma trajectoire de moi ont été complètement. C'était différent, c'était vraiment weird. La personne que je suis aujourd'hui, je suis extrêmement fier, notamment, entre autres, à cause de la philosophie les champignons, parce qu'ils m'ont ouvert des horizons que je n'avais pas avant, les discussions que j'ai eues avec mon ex, avec ma blonde présentement, puis avec plein de monde que je me suis rattaché depuis trois ans que j'avais Je n'entretenais pas mes relations. Puis, tu sais, ça a créé, on a besoin de connexion. Même. C'est le fun de parler avec du monde, c'est le fun d'avoir des opinions différentes. Puis c'est intéressant de voir comment, comment ça, ça m'a fait évoluer, mais que je n'étais pas la personne que j'étais au début. Malheureusement, ça a influencé comment mon ex me voyait.

Speaker 2:

C'est comme deux trajectoires complètement différentes, en fait. Il y en a une qui est montée, puis il y en a une qui est descendue, mais à l'essor, elle est de moins en moins bien, mais moi, j'allais de mieux en mieux. À un moment, c'est trop peu, trop tard, tout ce qui est arrivé au début. Il aurait fallu que la personne qui était aujourd'hui, tu sois avant. Je te crois plus Tu te fais dire ces affaires-là 2023,.

Speaker 2:

Je l'ai eu dans la face, c'est un coup de pelle, mais il n'y a aucune victime ici. Je suis responsable de mes malheurs. C'est la manière que je. C'est un gars à Montréal qui s'appelle Derek. Puis j'avais voulu faire, à un moment donné, un gros, gros trip de champignons magiques. J'avais voulu en faire un. Puis il y a un organisme qui s'appelle MAPS, m-a-p-s. Qui est À Québec. Il n'y en a pas, mais à Montréal, il y en a un. C'est Derek.

Speaker 2:

Tu t'introduis, tu te dis parfait, tu veux faire un gros trip de moche. Qu'est-ce que tu veux faire? Qu'est-ce que tu veux travailler? Je dois t'éviter les détails. J'avais dit il faut que je sois plus empathique, il faut que je travaille sur mon un petit peu. Ce que c'était le problème. Il y avait trois rencontres que tu es supposé avoir Celle-là. La première, c'est une heure où on parle de ça.

Speaker 2:

Tu introduis ce que tu veux faire dans ton gros trip de moche qui va être assisté, il faut que tu aies une personne à côté de toi. Carrément Pas parce qu'il va arriver quelque chose de grave, c'est que si tu es, pour avoir avoir l'anxiété, paniquer, il faut que tu aies une personne qui est agent, complètement, qui soit là à côté de toi et qui dit c'est correct, tout est beau, tout va super bien. Aller, je suis là, fais ton trip à toi. Puis, je suis tellement un control freak que je n'ai jamais eu le got de faire mon 4 à 5 grammes de moche, parce que je ne veux pas perdre le contrôle.

Speaker 2:

Même après avoir fait ça, je n'ai parlé avec ma blonde actuelle. Je veux vraiment le faire, je veux perdre cette mainmise-là sur la situation. Laisse-toi aller. Je réponds c'est très long ce que je t'ai dit.

Speaker 2:

J'espère que ça répond à ta question, mais j'ai hâte de le faire parce que j'ai le goût de retourner voir Derek et dire je l'ai fait parce qu'après ça, ta troisième rencontre que tu fais, il faut que tu assimiles ce qui s'est passé. Il faut que tu assimiles, il faut que tu dises j'ai vu telle affaire, j'ai vu telle affaire Parfait, c'est quoi la signification que tu lui donnes? Là, tu as perdu le contrôle, tu as aimé ça, tu as aperçu que, finalement, le monde ne s'est pas écroulé autour de toi. Tu es peut-être plus petit que tu le penses dans l'univers. Anecdote que je crois vraiment intéressante, joe Rogan, quand il a fait un trip de DMT. Dmt, c'est une drogue, c'est une substance chimique qu'on produit dans notre tête, et puis, quand tu en prends en grande quantité, tu as des grosses hallucinations. Par contre, c'est un petit peu comme le moche où tu vas apprendre des affaires sur toi.

Speaker 2:

Puis, lui, qu'est-ce qu'il avait? Ça m'avait tellement marqué parce que je t'en reparle encore aujourd'hui. Lui, il avait vu genre des petits gnomes, des petits lutins, puis il faisait fuck you, fuck you, fuck you. Tu sais, c'est la leçon qu'il en a tirée, lui, dans ce temps-là, il commençait à monter dans le business, dans le show business. Il avait dit arrête de te prendre au sérieux, arrête de te prendre Ton égo, dégonfle un petit peu.

Speaker 2:

Tu n'es pas si important que ça. Probablement que ta mission n'est pas nécessairement juste d'entertainer et de faire de l'argent. Pe pas nécessairement juste d'entertainer et de faire de l'argent, peut-être que ton rôle est plus important que ça dans la société. Puis, dégonfle un peu ton égo, calme-toi un peu. On voit ce qui est arrivé avec lui aujourd'hui. Je ne dis pas que c'est à cause de ça, mais ça fait partie d'un processus d'être une meilleure personne. Je crois sincèrement, comme avec les intérêts composés, tu fais quelque chose à tous les jours. Ça s'accumule. À un moment donné, tout le monde est dans la. Je vais monter le mont Everest, man. Prends ça cool, fais tes 10 000 pas par jour pendant un an. Tu reconnaîtras même plus ton corps après un an. C'est impossible.

Speaker 1:

Tu reconnaîtras même plus ton corps si tu n'adaptes plus ta nutrition dans le fond, ce que je retiens, ma question, c'est est-ce qu'on peut créer de l'acquis, est-ce qu'il y a de l'équité, un moment donné, qui devient finalement que tu n'as pas besoin d'en prendre et que tu vas chercher quoi? Ce que j'entends là-dedans, c'est que ça peut te faire allumer sur certaines affaires et ensuite, de ça, ils vont créer, peut utiliser. Il y a une certaine sorte d'acquis, j'ai l'impression là-dedans. Je sais que dans le, en tout cas de ce que j'ai lu, dans tout ce qui est healing par les substances, tous les traumas psychologiques, les PTSD, tout ça, c'est ce que je semble en retenir. Par contre, ce que j'en Un des plus gros facteurs d'un changement, c'est l'environnement dans lequel on est. Ce que j'entends souvent des patterns, c'est ceux qui vont faire des retraites. Ils s'en vont au Guatemala, au Costa Rica, ils font un trip là-bas.

Speaker 1:

J'ai eu l'éveil de l'ayahuasca. Il en existe des patentes qu'on peut prendre. Il y en a que ça, je pense. Oui, de l'ayahuasca, il en existe des patentes qu'on peut prendre. Je pense que c'est très clair. J'ai fait en masse toutes les affaires, sans aller dans des affaires encadrées. De même, je les ai toutes faites dans des salons, chez mes chums, quand j'étais jeune. Mais tout ça pour dire que ce que j'entends beaucoup, c'est le pattern qui revient souvent. C'est qu'après ça, les gens reviennent à la maison, ils reviennent dans tous les lives et ils retournent tout de suite dans leur pattern.

Speaker 2:

Absolument.

Speaker 1:

C'est ça que je fais. Je suis intrigué de savoir, probablement, qu'on doit pouvoir créer certains.

Speaker 2:

J'aime le mot direction et guide, parce que ça t'ouvre des portes. mais ultimement, le travail, il faut que tu le fasses par toi-même. Tu ne prendras pas du mot. Ah, j'ai vu des Nouveaux Horizons, c'était vraiment cool, j'ai changé. Il faut qu'à tous les jours tu travailles quelque chose. et ça peut répondre encore une fois à ta question. Quand je parle de moi et certaines de mes réactions que j'avais avec mes chums, avec moi-même, puis avec mon ex, quand j'en parle, parce qu'elle est super ouverte, ma blonde actuelle, puis elle a parlé de ça, puis c'est le fun d'en parler avec elle aussi, nos discussions sont géniales. Puis elle dit je ne suis pas capable de croire que tu étais comme ça, parce que j'ai perdu ces habitudes-là, ces réflexes-là, ce n'est pas parti. Tu te considères-tu comme?

Speaker 1:

un toxicomane.

Speaker 2:

Comprends-tu ce que je veux dire. Je suis un addict. Ça peut revenir tout le temps. C'est comme un alcoolique va tout le temps rester un alcoolique.

Speaker 1:

Oui, mais le purpose, après, ça vient prendre le dessus sur le short-term, parce qu'un addict à quelque part, tu rires. Dans le court terme, tu as une dose à la fois quand tu es accro à quelque chose. Je suis encore accro à plein d'affaires. Closer des deals, pour moi, c'est une drogue. Ah oui, assez. C'est un même genre de stimulant. Je te dis je suis accro à la dopamine, je suis accro à l'adrénaline, je suis acc. Toutes ces affaires-là, ça me turn. On Fait que comment je peux faire pour que ça reste sain, puis l'utiliser à mon avantage dans ce que je fais. Je suis un bon closer Parfait dans ma business. C'est aligné avec mon purpose. Mais je ne veux pas me rendre malade avec ça Quand on va en voyage. Est-ce qu'il y a une soirée que je peux l'échapper? Est-ce qu'il y a des moments dans mon année où, des fois, je fume 2, 3, 4 joints sur 4 jours, mais je suis comme OK, oui, mais là, à long terme, je ne fume pas du pot à tous les jours. Ce n'est pas ça que je, je me sens-tu mieux quand je ne fume pas tous les jours? Ça fait comme pas de sens, ça devient la raison. Le purpose de ce que je veux faire dans la vie vient prendre le dessus finalement pour tout.

Speaker 1:

Moi, ce que je vois souvent, ceux qui restent vraiment pris dans des gros patterns nocifs, c'est souvent parce qu'ils n'ont pas de raison d'être. Ils se posent la question à quoi ils servent et ils s'endorment dans leur D2D, dans les jeux vidéo, dans les séries télé, dans whatever. C'est dans ça que j'écoute une série télé, je m'épanouis là-dedans. Quel téléphone Power avec 50 Cent, c'est bon. Crawliss man, oh shit, pas ça du début. Ça a commencé en 2004-2005, je iPhone.

Speaker 1:

Il y a des saisons tabarnantes. C'est malade, c'est ça qui est dangereux. Tu as fait une ennemi. C'est fucking sick. Je n'ai pas aimé ça. J'ai embarqué là-dedans et je trouve ça cool De temps en temps, comme on disait entre les livres.

Speaker 1:

Il y a un timing dans la vie. La toune est tellement bonne, je l'écoute même jusqu'à me rendre ma toune du jour. On dirait Mais oui, c'est genre des dealers de poudre à New York, en tout cas, c'est vraiment assez que pour. Puis, je suis fucking conscient que est-ce que écouter des séries télé un peu trop tard le soir? ça va m'amener à mes objectifs de vie. Non, est-ce qu'à court terme, c'est dramatique, vraiment pas. Genre enjoy man. Puis, tape-toi pas sur le clou, tabarnak Le bâtot des soirs, écoute dis-en un épisode ou deux. L'autre fois, je me suis couché un petit peu trop tard Le lendemain. J'ai tout ça. J'étais comme le petit kid d'Antoine qui s'est fait emporter par la série télé. Tu t'es couché tard, Tu ne te coucheras plus de bonheur demain. Tu arrives le week-end. J'ai snoozeé jusqu'à 11h un matin. J'ai repris du temps.

Speaker 1:

Vraiment, la saine relation avec nos vices, je pense que c'est la clé, ce n analyser tout, c'est de faire comme je suis conscient. je fais la paix avec certains de mes mauvais patterns, puis je les contrôle. Parce que je fais la paix, je ne suis pas en train. Je pense que la pire affaire pour un junkie, c'est d'avoir peur de l'héroïne. Probablement Depuis de n'avoir, non, mais depuis de n'avoir, quand ils sont accros, un ex -junkie. Qu'après ça, il a peur de voir de l'héroïne. C'est encore pire. Tu vis avec la phobie.

Speaker 1:

Tu te dis aussitôt que je vais en voir, je vais me piquer. Vraiment, je reviens encore à ça. J'ai fait la paix avec ça. La drogue, elle existe sur la planète Des joints. Il va y en avoir de mes amis qui en fument de temps en temps. Et quand l'énergie est bonne, pourquoi pas? je vais prendre une puff ou j'en fume une quand ça me tente, et c'est bien correct. Mais est-ce que c'est mon identité? est-ce que c'est? ah? non, j'ai fait une rechute. Est-ce que j'étais chronique? non, est-ce que c'est ce pattern mental de marde nocif, le Chris, même si, ultimement, on serait mieux de ne pas fumer, pas virer fou avec ça. non, plus.

Speaker 2:

Il y a la notion, c'est une idée, concept. Je ne sais pas si c'est Chris Williamson qui l'avait sorti, mais il propage. Ça m'a beaucoup aidé, ça m'a marqué. Le 24-hour me. Qu'est-ce qu'il voudrait avoir La version Dave. Le Dave dans 24 heures, qu'est-ce qu'il penserait de mon choix actuel? Parce que, tu sais, mettons, demain, on est samedi, puis j'ai, j'ai le goût de faire, du moins, je fais un petit peu plus que d'habitude. Je sais que demain, parce que ça ne fuck pas du tout quand tu te lèves, mais ça se peut que tu te couches tard, quand c'est fini, mais tu sais quand tu te couches tard tu te couches à 2h du matin, le 24-hour me demain, va penser quoi?

Speaker 2:

Puis, moi, ça m'aide beaucoup parce que, plusieurs fois, j'ai évité le pire pour certaines substances, je te dirais, ou certains comportements que j'aurais eu Demain, je vais me regarder comment, aujourd'hui, je vais me trouver cave. Et man, je viens comme de régler le problème un peu parce que je crois avoir une tête sur les épaules. Je ne suis pas intelligent, mais j'ai une tête sur les épaules. Je suis capable de me voir dans le futur et de me dire que je vais me trouver cave. Alex Ormosi, tu connais Alex Ormosi. Si vous ne le connaissez pas, allez voir. C'est un gars qui est plein de sagesse. Il est malade un peu sur sa discipline. Je ne veux pas rentrer là-dedans.

Speaker 1:

Il est très pratique.

Speaker 2:

Ça c'est trop pour moi. Il n'a plus de vie. Ça c'est son affaire à lui.

Speaker 1:

C'est son personnage à lui.

Speaker 2:

Mais certaines des affaires qu'il dit fois par mois je pense que c'est le premier jour du mois ou le dernier jour de chaque mois. Il se prend une heure ou deux heures où il se met dans la peau du.

Speaker 1:

Samanane, je ne sais plus comment il l'appelle.

Speaker 2:

Non, c'est sa version de lui à 80 ans, c'est ça.

Speaker 1:

Il a un nom. Ah ok, je ne savais pas. Je pense que c'est Samanane. Saman, c'est comme son vieux bonhomme, lui. Puis il se parle à lui-même dans son journal. Il se répond lui-même dans le fond. C'est intéressant. C'est un vieux concept ça qui, je crois, vient de quelque part en Asie, C'est moine, c'est bord, cette affaire-là, Je vais te dire de quoi tantôt?

Speaker 2:

Tu ne remarques pas que tout est ancré dans le passé. C'est pas que tout dans le passé est tout le temps mieux. C'est pas vrai ça. Je crois pas à ça. Tout est ancré dans des anciennes croyances passées de plusieurs peuples différents. Évidemment, on fait juste recycler ces affaires-là comme à notre sauce, un peu à travers notre société, nos habitudes. Évidemment, on a des luxes qu'on a gagnés. Je vais ramener le Naval Show.

Speaker 1:

Il n'y a pas de nouvelle solution à des vieux problèmes, absolument. Quand le monde arrive avec. J'ai trouvé la recette magique pour être en santé Mange des carlistes de légumes, dors, bois de l'eau, fais de l'exercice, tout va bien aller.

Speaker 2:

Au risque de me répéter, je pense que ça va dans la lignée de essayer de tout le temps lire les derniers livres, puis essayer de tout le temps se tenir à jour sur tous les livres. c'est une grosse, grosse erreur qu'une personne peut faire parce que, souvent, les idées nouvelles et vraiment originales, croyez-moi, vous allez en entendre parler, tu sais, mettons les livres sont vraiment importants, parce que sinon, c'est toutes des affaires que tu pourrais lire Qu'est-ce qui est écrit à la base.

Speaker 1:

C'est le fun en même temps. Moi, ce que j'aime beaucoup étant donné que je suis lâche, tu vas voir ce que je m'envoie avec ça c'est que si je sais la racine de ce concept-là, en pas longtemps je suis capable de synthétiser comment il l'a tweaked et adapté au monde moderne, parce que je sais d'où ça vient. Je n'ai pas besoin de creuser les affaires modernes. Souvent, dernièrement, il y avait Malcolm, un ami que tu connais, employé, associé, maintenant partner chez Betula. Il m'a parlé de Jonathan Haidt. J'ai commencé à lire ça De lequel?

Speaker 1:

Je ne me souviens plus, un des gros, c'est quoi The Codeling of the American Mind?

Speaker 2:

Non, c'est-tu le dernier sur l'influence des réseaux sociaux sur les jeunes.

Speaker 1:

Non, c'est celui sur la morale.

Speaker 2:

The Happiness Hypothesis Non.

Speaker 1:

Bref, je lis ça, je suis comme Adam Smith. J'ai pogné Adam Smith, ouais, c'est pas mal plus sûr dans le fond, fait que finalement, j'ai pas lu Jonathan Haidt. J'ai relu un bout d'Adam Smith que je connaissais, qui m'a fait penser, j'ai revalidé, il y avait trop de similarités, pis je trouvais que le contexte des temps modernes, finalement, j'avais comme pas de valeur. Je me suis comme tanné à lire Jonathan Haidt, pis le Delivery Man Harvey, ah c'est acquis, c'était audio en plus.

Speaker 2:

Sois fier d'être capable de faire ces liens-là.

Speaker 1:

Je ne suis pas tout le temps capable, parce que je n'ai pas l'ancrage avant. Par contre, quand je sens C'est un mentor de mon dos, en fait, que j'ai développé, c'est quand je sens que ça a l'air avec quelque chose qui est adapté ou qui est régurgité de quelque chose qui existait déjà, je fais mes recherches à savoir d'où ça vient, les concepts de base qui ont fondé ce raisonnement-là aujourd'hui, dans les temps modernes. Puis là, je creuse, je creuse, je creuse, c'est qui qui a influencé lui. qui a influencé lui. qui a influencé lui. À un moment donné, t'arrives dans le temps de Jules César.

Speaker 1:

tu fais ah, ok, à ChatGPT, je dis qu'est-ce que je devrais savoir sur un tel que c'est comme la fondation qui a le plus marqué l'humanité. depuis que ce gars-là est là, il me fait deux phrases avec ça, j'ai compris le pattern. puis, après ça, je suis capable de retourner dans le temps moderne, puis de faire des liens, puis de juste continuer à avancer sans trop me perdre. Puis, comme je te dis, c'affaires que je peux dans ma vie de tous les jours, comme ça, quand je vais face à des situations, ça va juste plus vite.

Speaker 2:

J'imagine que je l'avais lu. Je ne pense pas que je l'ai inventé, mais ça m'ont vraiment marqué parce que, encore une fois, ceux qui me connaissent humble je ne sais pas à quel point ça me caractérisait avant, honnêtement, ce n'est pas que je me vantais, c'est que quand j'embarquais dans quelque chose, je voulais être le meilleur. D'être humble, des fois, ce n'est pas super bon, parce qu'il faut que tu crois en toi. Des fois, ça peut paraître comme coquille. Je comprends que ce n'est pas tout le monde, que ça ne résonne pas tout le temps bien avec quelqu'un, c'est correct. Ce n'est peut-être pas la personne que ça me prend dans ma vie non plus, mais humilité et curiosité sont deux mots. Je ne me dis pas tous les jours, mais des fois, je fais juste me calmer. Tu sais quand je pense que je connais quelqu'un, puis que je me retourne, puis que, bon, ceux qui écoutent mes capsules, que je me retourne, puis que je vois ça, c'est juste une petite partie de mes livres.

Speaker 2:

Puis je vois ah OK, je n'ai pas encore lu ça. Je vais me calmer un peu parce que là-dedans, seul à moi par contre, je veux tout savoir. Je ne serai jamais tout. Ça peut être très dangereux, mais je veux tout savoir. Je ne connais rien, mais c'est la beauté de la chose parce que ça m'excite. Puis, vraiment, c'est solide. Quand je vois mes livres, j'ai un sami croquet. Honnêtement.

Speaker 1:

J'aime. Tant que tu parlais de création, amuse Comment je me place en création.

Speaker 2:

C'est quoi la source, Nanton?

Speaker 1:

Oui, mais je t'ai parlé. Il y a un super livre, j'en parle tout le temps ceux qui me connaissent, mais le livre de Rick Rubin.

Speaker 2:

Ah oui, la demande me l'a passé, mais je n'ai pas encore lu. Il y a sept trucs, je pense C Il y a 7 trucs, je pense. C'est 50,. je pense Ah, 50?

Speaker 1:

50, quelques petits chapitres que tu peux lire ou qu'on te goûte n'importe comment, dans n'importe quel ordre. Ah bien là, c'est pas de bio. Ah bien là, je vais en lire un arrivant tantôt, ouvre ça en plein milieu, lis deux phrases, tu vas être content. Mon cerveau ne marche ton pattern Passe en plein milieu.

Speaker 1:

Prends le début d'un chapitre en plein milieu, n'importe où, lis ça, puis reviens au début, voir si t'as manqué de quoi.

Speaker 1:

Tu vas te rendre compte que t'as pas besoin du. La fin est pas dépendante du début. Puis, le milieu non plus, c'est vraiment un paquet de façons de penser par rapport à la création. C'est pas lui qui inv, qui existent, puis il y a plein d'enfants qui existent, puis plein d'artistes pourraient en parler. Mais tu sais, je pense qu'ultimement, on a toutes nos lunettes, on a toute notre façon de voir les choses. Puis, tantôt, je parlais d'opinion tout est une opinion à quelque part. Puis j'aime ça. Je trouve que c'est une façon de voir les choses qui me permet de pas le prendre personnel. Quand quelqu'un me dit quelque chose Genre, ah OK, il voit ça. De même, la création, pour moi, c'est ça. Je ne parle pas du créationnisme, je parle de la création genre créer des choses avec des choses, prendre des choses, les transformer, créer d'autres choses. L'art, je ne sais pas, juste l'art, je pense que c'est n'importe quoi En affaires, je pense que c'est n'importe quoi En affaires, en business, en création. Rick Rubin, il en parle dans son livre, ça se tente de même. Everyone is a creator. C'est vrai.

Speaker 1:

Oui, tu n'as pas besoin d'être un artiste, tu n'as pas besoin d'être un artiste peintre pour être un créateur. Il y a quelqu'un qui a inventé le steak Philly. C'était un artiste à quelque part, c'était un créateur. Lui, c'était pas un artiste peint, il y avait pas un bandeau aussi Des grands concepts. Il a juste eu des ingrédients, puis son goût a dicté sa création, qui est devenue le steak filet de Philadelphia qu'on connaît, qui est rendu, décliné à plein de façons. Quand je pense à ce qu'on fait, ce n'est pas pour rien que je suis passé de la musique au marketing, parce qu'il y a des patterns de création qui sont vraiment similaires.

Speaker 1:

On prend un contexte, on prend des ingrédients qu'on a, puis on les transforme, on les passe dans nos lunettes, à nous autres, ça donne quelque chose de nouveau. C'est subjectif jusqu'à un certain point, parce qu'après ça, il y a une notion à qui on s'adresse? Est-ce que ça passe le message qu'on a envie de passer aux bonnes personnes qu'on a envie de s'adresser? Il y a un côté subjectif, oui, il y a notre perspective, il y a tout ça, mais aussi il y a une notion plus cartésienne, où il faut qu'il y ait des choses qui soient attachées ensemble. Jusqu'à un certain point, je pense.

Speaker 1:

On peut se poser la question aussi est-ce qu'on a envie que ça soit attaché sur quelque chose, ou si c'est juste une représentation d'un jeu d'émotions qu'on avait à ce moment-là et qu'on avait à ce moment-là, puis qu'on avait juste envie de créer quelque chose pour créer quelque chose. Les réponses sont toutes bonnes. C'est juste des pistes de réflexion pour faire la paix avec ce qu'on est en train de faire. Quand on est en train de créer, est-ce qu'en ce moment j'ai un objectif si concret que ça à atteindre, ou si j'ai juste envie d? Est-ce que tu connais le?

Speaker 2:

hip-hop un petit peu.

Speaker 1:

Oui, pas autant que ça OK.

Speaker 2:

Moi, c'est très mini, J'adore, j'adore cet art. Où j'ai un gros problème, c'est la culture qui va autour et le message qui semble être véhiculé. Vu que je ne connais pas ça, si présentement, je suis l'air d'un vieux monsieur qui pense que c'est vraiment méchant et que ce ne sont peut-être pas les bonnes valeurs. C'est ça Parce que c'est extrêmement populaire présentement. Imagine, c'est presque la voix d'une génération présentement, c'est extrêmement populaire, c'est la voix d'une génération présentement, c'est extrêmement populaire, c'est la voix d'une génération. La manière que moi je le vois, c'est peut-être pas ce qui m'est rapporté.

Speaker 2:

Ce que moi passe à travers mon filtre, c'est extrêmement basic des fois, disons, les valeurs qui sont véhiculées, c'est très édonistique, aussi, axé sur le plaisir Ça va être la meilleure manière de le dire qui va être polie. Et puis, imagine si ces personnes-là, si ce mouvement-là, utilisait leur plateforme actuelle pour le bien, donc leur art, leur créativité, pour passer un message, éduquer une grosse partie de la population présentement, la prochaine génération qui va s'occuper de nous autres, parce que maintenant on va être vie en estiraf Man, il pourrait faire, il pourrait faire bouger beaucoup d'affaires dans le monde. Est-ce que ça a du sens, ce que je dis là, parce que je ne sais pas si c'est nécessairement la vision de ton côté, toi.

Speaker 1:

La réponse, c'est non. La réponse, c'est non. La réponse, c'est, de mon côté, la façon que je vois ça. C'est ce que tu viens de dire, ce concept-là d'imaginer si d'autres personnes utilisaient leur plateforme pour véhiculer autre chose, parce que ma perspective à moi a fait un constat de ce qui se passe en ce moment. Je m'en tirirais de dire que je ne pense jamais à ça, mais je me surprends assez vite pour ne pas développer ce genre de pensée-là parce que c'est quelque chose que je n'ai pas en tout le contrôle et je n'ai pas d'énergie vraiment à mettre là-dedans. Cependant, changeons le monde? Non, vraiment pas. Je suis vraiment Comme je te disais tantôt. Je crois beaucoup en ce que je peux faire personnellement. Qui va influencer d'autres monde autour de moi? qui vont, eux autres, après ça, multiplier ces impacts-là? C'est vraiment mon mindset. Collectivement, je ne pense pas beaucoup à la politique en général. Je trouve ça Je devrais peut-être plus. Je m'en fous. Je pense pas à si je devrais plus ou pas, je le fais pas. Ça finit là. Même affaire pour des mouvements populaires. Des fois, je les analyse pour ce qu'ils sont. On pourrait dire la même affaire du country américain. On pourrait dire la même affaire de la pop en général. On pourrait dire de toutes les choses qui sont populaires, qui ont de l'attraction, qui ont de l'attention, on pourrait vraiment essayer de trouver quelque chose d'autre à quoi ça pourrait servir.

Speaker 1:

Mais en bout de ligne, j'aime mieux analyser l'expérience à travers mes propres lunettes et essayer de comprendre ce qui se passe réellement, puis pourquoi ça a créé ce phénomène social-là, pourquoi les gens sont portés à faire ça. Puis, moi, je sens qu'en comprenant mieux ça, pourquoi ça fait ça, je suis capable de mieux vivre, puis influencer les gens d'une bonne façon, dans mon petit micro, mon amour. Puis je pense que ça, ça a le plus d'impact. Personnellement, pendant le temps que je suis là, je ne pense pas que je vais changer le mouvement hip-hop. Ah, on peut ça un peu.

Speaker 2:

Peut-être qu'il répond à un besoin aussi, ah, 100%, s'il y a un public pour ça. Par rapport à ça, je l'ai pris parce que c'est immense comme mouvement, on pourrait faire le tour.

Speaker 1:

On pourrait parler des bords de danseuse. On pourrait parler de la prostitution, si on rentre là-dedans. On pourrait parler des voyages. On pourrait parler de traverser la planète une semaine pour aller boire des daiquiris sur la plage. Je suis rendu moine un peu pour ces affaires-là. J'ai vraiment une Comment je dirais ça Laissée aller. Oui, je reviens à faire la paix. Je suis lâche. Je contrôle la valve de où je mets mon énergie et mon attention. J'essaie de la contrôler le plus possible. Je me surprends le plus vite possible quand ça ne va pas où je voudrais. J'essaie de le ramener. Je me félicite de l'avoir ramené, même voudrais, puis j'essaie de le ramener, puis je me félicite de l'avoir amené, même s'il y a un bout qui a leaké out, que j'aurais pas dû mettre d'énergie là-dedans. Puis j'essaie d'éduquer le plus possible autour de moi les gens par rapport à ça, parce que, je le vois, c'est selon moi le plus gros pattern nocif qu'on a comme être humain, je pense.

Speaker 2:

Le de toi, qui t'ont dit sans dire que tu es un exemple. Honnêtement, tu m'as envoyé dans la bonne direction en disant ça. Sans le savoir, tu as dit quelque chose qui était vraiment cool. Tu l'as-tu, ce message-là?

Speaker 1:

Oui, j'ai souvent, et j'ai souvent l'inverse aussi, voyons, c'est donc bien lourd de parler avec toi. On n'est pas capable de parler des choses normales, c'est ça. C'est pas négatif. Je le prends pas nécessairement négativement. Je me pèse Comme là, je creuse un peu et je te parle d'un peu d'affaires, mais ultimement, moi, tout seul avec moi-même, je pense à ces affaires-là plus qu'à d'autres affaires dans la vie. Ça me nourrit d'une façon. Je sens que ça, ça m'entourent autour de moi. Puis, ceux qui ont envie d'en parler, bien tant mieux. On ouvre la porte, on en jase. Ceux qui n'en ont pas, c'est pas plus grave que ça. La philosophie, c'est la liberté. Tant qu'à moi, C'est les pensées, c'est échanger.

Speaker 1:

Il n'y a personne qui a raison.

Speaker 1:

C'est juste ce que moi je vois, mais je ne sais pas. J'ai envie de revenir sur le moche, parce que ma relation avec la méditation, elle m'amène sensiblement à des bienfaits que tu me parlais tantôt de changer ma perspective par rapport à des affaires. Encore là, ce que tu as dit, c'est peut-être un pattern à moi, parce que j'ai tellement été toxicomane quand j'étais plus jeune que pour moi, c'est comme Non, non, je n'ai pas besoin d'une substance externe pour être capable de trouver mes propres réponses. Je n'ai pas envie de donner le pouvoir à quelque chose qui n'est pas en dedans de moi.

Speaker 2:

Dans le fond C? Je ne sais pas comment tu perçois ça Moi, ce que ça m'a fait changer. J'adore la manière que tu vois les choses. Dans ce cas-là, Moi, on dirait que c'est un outil C'est qu'on dirait que j'ouvre de quoi.

Speaker 2:

C'est fou. Comment ça m'a juste calmé Dans le tout. Tu parlais des acquis. Tu penses qu'ils peuvent rester après ça? Oui, effectivement, parce que moi j'ai arrêté pour. Je n'ai aucune raison pourquoi j'ai arrêté à me mener de prendre mes micro-doses. J'en prenais pendant peut-être six mois Au début, deux fois par semaine, c'est un mini-trip, tu te sens juste bien, puis ça arrête. Tu dors extrêmement bien là-dessus. Le lendemain, j'étais beaucoup plus zen, vraiment, une belle énergie. J'en parle là et j'ai le goût d'en faire juste pour le lendemain. Comment je vais me sentir carrément. Et puis, la mycologie, c'est vraiment un domaine absolument extraordinaire. C'est fascinant, c'est vraiment hot. Puis, oui, il y a des acquis. Puis, je serais vraiment curieux de savoir si j'en prenais à tous les deux jours, tous les trois jours. Pas un gramme, même pas, c'est 0.1.

Speaker 1:

Je veux même pas 10 centimes, je veux qu'elle bosse.

Speaker 1:

Je veux que ça fasse son travail, oui, mais tu sais tous les produits naturels qui existent. Je prends tout le temps, j'essaie tout le temps plein d'affaires, puis je fais attention pour ne pasaires dessus, puis je fais en même temps attention à ne pas donner le pouvoir à ça trop non plus, mais en même temps, en étant conscient que c'est quoi que je vais chercher là-dedans. L'effet placebo, il m'aide du. C'est drôle, ça, j'allais dire, ça se crisse vraiment fort. L'effet placebo, dans le sens, les placebos, on dit les placebos, c' Je l'ai déjà dit en podcast, mais je dis que ça ne marche pas. C'est parce qu'au-delà de la substance et de la biologie, la biologie est influencée par notre système nerveux, les hormones qui sont sécrétées. Tu trouves que ça ne marche pas. Les fleurs placebo, c'est le contraire, ça marche. C'est la beauté de la chose, c'est parce que le placebo, fondamentalement, il n'y a rien Biologiquement c'est de la farine, mettons il n'y a rien, je parle d'une pellule.

Speaker 1:

mais le placebo, par contre, est-ce que si je sens quelque chose, ça veut dire qu'il n'y a rien? Ben non, il y a juste de la farine dans l'affaire. Oui, mais j'ai senti de quoi? Ça veut dire qu'il y a quelque chose qui s'est passé. Peu importe si c'est moi qui me l'ai fait croire ou si ça vient de la substance en dehors, tu l'as manifesté, c'est pour ça, quelque part. Oui, carrément, je pense que ça a été un des éléments déclencheurs, d'essayer de comprendre. C'était quoi, cette histoire de placebo-là qui a fait que je suis rentré dans le plus mystique, spirituel, physique, quantique, etc. Les énergies. Pourquoi on sent? pourquoi, des fois, il y a quelque chose qui chie. Puis je me dis tabarnak, je le savais bien avant que ça allait chier dans le fond. Puis j'ai rien fait.

Speaker 1:

Puis je le sentais Quand je me suis planté en bike, mes deux grosses blessures en bike, je me sentais exactement de la même façon avant que l'accident arrive. Après le deuxième accident, j'ai repensé à ça et je me suis dit OK, je vais essayer à l'avenir, parce que j'avais un ancrage de comment je me sentais avant de me planter. Je me suis dit OK, à l'avenir, quand je vais me sentir de même, ça va être un trigger pour dire À l'avenir, quand je vais me sentir. De même, ça va être un trigger pour dire Attends un peu. T'es en train de tomber dans le pattern émotionnel dans lequel tu t'es pété à gueule. Tu veux-tu vraiment aller là?

Speaker 2:

T'étais pas à ton 100% donc, c'est ça que tu veux dire, parce que si tu le sentais, c'est pas de prédire l'avenir, on s'entend.

Speaker 1:

Bien? non, sauf que si cet état mental-là a fait que je me suis blessé gravement deux fois, puis que je suis capable de savoir que je me sentais de même avant que ça arrive, je ne suis pas en train de prédire l'avenir. Je suis en train de me dire que Puis, on s'entend, c'est une débarque en bike. Ça veut dire qu'il n'y a pas personne qui va rentrer dedans. Je ne me suis pas fait, c'est moi qui m'ai pété à l'aïeul, c'est moi qui étais responsable de ce que je suis en train de faire. Il n'y a pas de facteur externe. Je me suis pété à l'aïeul moi-même avec mon bicycle. Ça veut dire que j'ai appris que quand je me sens de même c'est peut-être une façon de dire Fais attention. La méditation. Je parlais d'Aki tantôt, mais mon but ultime, c'est de ne plus être obligé de méditer consciemment, c'est d'être capable de vivre dans cet état d'esprit-là où il y a un self-regulation automatique qui se fait partout, naturellement, par mon subconscient.

Speaker 2:

Je le crois 100%.

Speaker 1:

C'est un peu vers là que je m'en allais. Je reviens même encore à ta question de tantôt que je m'en arrive. Je reviens même encore à ta question de tantôt, tu médites-tu. Combien de fois? Etc. Je ne fais plus de méditation guidée, j'ai des triggers, j'ai développé des mental patterns qui me permettent d'être mieux dans ma peau, dans le D2D. La méditation pour moi, c'est quand je me lève le matin, parce que j'ai changé ma relation avec mon cadran, mais c'est aussi tout au long de la journée, d'être capable de me self-réguler, puis de rester dans une énergie qui est cohérente entre ce que je pense, puis ce que je vis, puis comment j'ai envie de me sentir, ça. Il faut que ça reste aligné, parce que sinon je pense pas de la façon. Puis, justement, c'est le même genre de pattern mental qui fait que je me suis pétail à l'ambitie. J'étais plus aligné entre ce que je fais, comment je me sens, puis qu'est-ce que je pense. Il y avait un déconnexion. C'est intéressant.

Speaker 2:

Tu imagines-tu? je ne dis pas qu'évidemment, avant l'ère d'Internet, je ne sauf que peut-être un petit peu moins nombreuses, peut-être plus contrôlées, évidemment.

Speaker 1:

C'était de la pseudo-science jusqu'à pas si longtemps que ça. Oui, bon point, c'est vrai.

Speaker 2:

C'était moins, c'est pas parce qu'il était retardé. Avant, ça n'existait juste pas ce champ de compétences-là, désolé. Par contre, je serais vraiment intéressé de savoir le nombre ou le pourcentage de personnes qui écoutent ces conversations-là, pas juste nous autres. Parce que moi, les podcasts ont été un facteur majeur, majeur dans ma vie. Puis, tu sais, il y a juste du positif que les podcasts, moi, c'est ça Pas changé ma vie, mais ça a donné une bonne direction. Ça, c'est sûr De choisir les bons, évidemment, t'as-tu.

Speaker 1:

T'as-tu senti ou tu penses, t'as-tu déjà senti ou tu penses-tu éventuellement faire un overdose peut-être d'informations par rapport à tous les livres que tu lis, tous les podcasts que tu écoutes, c'est une excellente question.

Speaker 2:

Moi, j'ai arrêté de lire les nouvelles. Je suis, je sais qu'il se passe de quoi en Israël. Je suis pas con, évidemment.

Speaker 1:

Ah oui, c'est toi que je parlais, que tu ne savais pas. Ah, mais moi je suis déconnecté et je ne suis peut-être pas un modèle, Mais je choisis l'information qui rentre à cette heure.

Speaker 2:

Autant, c'est ironique un peu. J'ai une plateforme sur Facebook, sur Instagram, sur TikTok. Je n'ai jamais Tu vas peut-être me taper ces doigts parce que je sais que c'est un de mes devoirs Je n'ai jamais scrollé TikTok, Jamais. Qu'est-ce que tu disais? Je ne sais pas à quel point tu veux rentrer là-dedans. Je ne sais pas quelle heure. Moi, je ne suis pas pressé, Je ne regarde jamais Ça va finir, quand ça va finir.

Speaker 2:

Je ne veux pas me rentrer dans ce contenu-là. Je ne dis pas qu'il n ce que tu vas choisir d'avoir, ça va être ce que tu vas choisir d'avoir. Mais tantôt, tu disais sur les réseaux sociaux, je suis un petit bôme Dans le fond, tu es un bôme par rapport à leur plateforme. Puis, moi, je voulais en jaser à soi. C'est intéressant qu'on arrive là-dessus Dans les trois choses que j'ai apprises, la première je meest aperçu je ne suis pas bon pour jouer la game.

Speaker 2:

Puis, une affaire qui a marché pour moi dans ma vie toujours, ça touche à chaque fois que je suis embarqué dans un projet. Ça a soit marché beaucoup ou quand même pas assez. Dans le milieu c'est des petits milieux quand même assez restreints. Je veux le faire à ma manière, je veux le faire d'une manière qui va être authentique à moi, mais en gardant en tête aussi que les trois choses que j'ai apprises, je le sais, que je vais aller chercher le monde. Tu as trois choses, c'est quoi, les trois choses qu'il a apprises, À place de juste dire j'ai appris des choses, tu as comme tes cues. Tantôt, quand tu disais que tu allais faire le bomb, ça m'a interpellé, parce que je ne dis pas que ça va à l'encontre du message que tu ne me disais pas du tout, mais je pense qu'il y a une voix à voir qui est authentique là-dedans. J'aimerais ça être capable, que ça marche un petit peu à ma manière. Je vais aller chercher le monde que je veux avoir, mais je le sais qu'une fois, de temps en temps, il faut que je donne un ananas au monde qui ne me connaissent pas, c'est une espèce de gamin. Je suis là, boum, boum, boum. Mais après ça, rentre dans mon monde, viens dans, viens dans. C'est comme Joe Rogan.

Speaker 2:

Joe Rogan, tout le monde. Il disait trois heures. Tu vas parler pendant trois heures, ça ne marchera pas. C'est le podcast le plus populaire au monde. Je ne sais pas si tu comprends ce que je veux dire. Il ne fait pas ça que du fla-fla. Si tu ne connais pas l'artiste qui est en avant de lui ou la personne qui est en avant de lui, il ne le présente même pas. Il rentre et il se voit. J'ai mangé du bœuf hier, c'était vraiment cool. Tu penses quoi du Tu parles à qui est-ce que tu dis? C'est ça.

Speaker 1:

Fais ce qu'il veut.

Speaker 2:

Exact.

Speaker 1:

Je vais t'amener une piste de réflexion. Selon toi, c'est qui les meilleurs criminels de la planète?

Speaker 2:

Meilleurs criminels, les politiciens, parce qu'ils sont capables de le faire, puis on les élit. Je trouve ça absolument extraordinaire. C'est un concombre de popularité.

Speaker 1:

Qui serait encore meilleur qu'un politicien?

Speaker 2:

mettons C'est un test que tu fais.

Speaker 1:

Tu vas voir, je m'en vais. Les meilleurs criminels? Oui, ce serait qui, selon toi, les meilleurs criminels? ils savent exactement comment ça marche. Ah, mon Dieu. La finance, puis Wall Street, meilleur que ça. Silicon Valley, qui est défunt, tout ce monde-là.

Speaker 2:

Les avocats.

Speaker 1:

Pourquoi? C'est les meilleurs criminels? Parce qu'ils sont capables de charger. En plus, c'est parce qu'ils connaissent le terrain, le carré de sable, mon gars. Avant de break the rules, gotta know the rules en tabarnak. Mais les meilleurs criminels, les meilleurs criminels, c'est les avocats et les juges. Ils se feront jamais pogner, mon homme. Ils connaissent exactement toutes les petites affaires qu'ils vont faire et qu'elles sont tout le temps sur la ligne. Fait que tes plateformes médias sociaux. Avant de break the rules, gotta know the rules.

Speaker 1:

Puis, ça, c'est un mental model que je vois souvent chez soit des débutants, soit des jeunes. Dans n'importe quoi, ils sont comme je veux le faire à ma manière. Je veux le faire à ma manière. Avant de commencer à break the law, you got to know the law so well that when you break the law, it fits in. Ça marche quand même. Je t'invite à le prendre comme tu veux, mais c'est Vraiment Un très, très bon que j'ai vu justement break the rules sur les médias sociaux dernièrement, c'est Rick Rubin. Rick Rubin sur sa page Instagram, tu y revois, il utilise les posts comme des stories. Ok, tu revois sa page, tu revois son Instagram. Dans le fond, il met un post par jour, puis il delete, puis il met un autre, puis il delete, puis il met un autre, puis il delete, puis il met un autre, comme si c'était des stories. No way man, il a du reach en tabarnak.

Speaker 1:

Fait qu'il a juste un post, lui, dans le fond, ouais tout le temps. Puis, il a décidé, lui, que son reach cumulatif s'en calisse. Allez chez vous autres, vous jouez une game de qui a le plus de followers qui a le droit de faire ça, c'est lui J'en reviens pas. Il s'est dit moi, cette plateforme-là, j'ai décidé que c'était de même. Puis, dans ses stories, c'est juste des petits clips de des podcasts, qu'il y a plein d'invités, Il y a Robert Downey Jr, il y a plein de gros noms, il a son podcast.

Speaker 2:

C'est après qu'il a sorti son livre, ça j'imagine.

Speaker 1:

Je pense qu'il existait avant, OK, Puis il n'y avait juste pas autant de visibilité publique en dehors de la musique. Mettons Même si tout le monde en musique fait comme Eric Rubin, On sait bien, c'est comme le music producer le plus pirate. Mettons cow-boy.

Speaker 2:

Il a fait des affaires à sa manière. Tabarnak, C'est ça. Il a un ornée incroyable. Il a redonné une carrière à du monde que l'orchestre Bon chambre en lente, disons, Puis c'est pas jeu de musique, exact, c'est ça Même pas Il t'a-tu influencé, toi?

Speaker 1:

Oui, 100%, il m'a pas juste influencé. En fait, c'est rend religion, c'est comme Il est très spirituel. Il y a plein de ses concepts qui viennent du bouddhisme, de la méditation.

Speaker 1:

Oui, absolument, c'est un gars qui a été super malade, qui a été super obèse, qui a grossi, qui a maigri, qui a des suivis de santé. Il le dit dans son livre. Un moment donné, il avait diagnostiqué, je pense, son appendice ou quelque chose dans ce coin-là qui était plus bon. Le médecin voulait l'enlever. Il a ouvert un livre de médecine, dans plein milieu, c'était écrit genre Si jamais quelqu'un veut vous enlever un organe, ne faites jamais ça, allez chercher d'autres avis. Puis là, ça faisait quatre avis, puis tout le monde voulait enlever son asthme d'organe. Puis finalement, il a encore son appendice. Il est rendu à soustrait. C'est une affaire de même histoire, mais bref, surtout quand le livre est sorti c'était comme Moi, c'est comme la Bible.

Speaker 1:

C'est carrément aussi bien placé, avec son pédigree et tout son bagage spirituel qu'il a, pour bien comprendre les grandes lignes de comment on devrait se sentir. Je dis de vrai, mais c'est trop fort, parce qu'il n'y a pas de devoir là-dedans, c'est une notion de laisser aller les affaires. On est des antennes à ce qu'il y a autour de nous. On réinterprète tout ce qui existe déjà. On est des antennes, c'est bien dit. Il le dit dans son livre Je suis une antenne à l'énergie et les choses qui se présentent devant moi, je fais juste dire clairement comment je me sens par rapport à ces choses-là. Ça influence la création qu'on fait en collaboration avec d'autres êtres qui sont là. C'est vraiment un guide, pour de vrai.

Speaker 1:

Il y en a qui le laïcent, pour les mêmes raisons que moi. Je l'aime. Ils le laïcent, oui. Il y en a qui font un Chris Connery. Il ne sait même pas ce qu'est un Do-Diès, blabla. Le gars de jazz qui sort de l'université, il fait comme On n'a rien compris, lui, en fait. Lui, il regarde le gars de Jackson à l'université et il dit que Christ, il n'a rien compris. C'est ça.

Speaker 2:

Les deux ont juste compris les affaires différentes.

Speaker 1:

Oui, personne n'a vraiment raison. Mais c'est plus pour moi ce que je m'envoie dans ma vie. Cette façon de vivre là, qui n'est pas trop dans la troisième dimension et qui n'est pas trop dans les choses physiques qu'on prend dans nos mains, m'aide pas mal plus à vivre dans le D2D, tu me donnes le goût de prendre ton livre dans mes mains.

Speaker 2:

Par contre, c'est solide.

Speaker 1:

Ce n'est pas un faux best-seller, c'est un.

Speaker 2:

C'est un.

Speaker 1:

Meditations de Marcus Aurelius.

Speaker 2:

Je ne reviens pas que depuis deux mois.

Speaker 1:

Il est sur mon bureau où je fais des capsules et que je fais fuck all, c'est malade dans la tête. Je t'en ai parlé. Par rapport à où tu es rendu en ce moment, ça va probablement être du contenu à capsule dans la troisième dimension, qui est super important parce que la troisième dimension, on se lève le matin et on vit dedans, mais tout autour. Je pense que ça va t'aider dans toute la façon que tu perçois ton projet, comment tu interagis au travers de l'inspiration que tu vas chercher à des places. Je suis sûr que ça va changer la façon que tu crées ton contenu, juste par les neurones, de plus que ça va probablement te créer. Oui, vraiment, c'est facile comme lecture. C'est ça qui est mal. Encore là, je suis biaisé par moi qui est lâche, mais j'ai tendance à aimer plus les choses qui sont simplifiées, qui sont complexes à bien intégrer, mais qui sont faciles de comprendre les bases. Je suis vraiment le même dans la vie.

Speaker 2:

C'est intéressant que tu en parles, parce que le dixi-lecteur, à la base, pour ceux qui s'intéressent, c'était de prendre mes lectures et de les simplifier, les dixi-lecteurs, et surtout d'essayer d'aller chercher des concepts, soit de faire des nouveaux concepts ou de les présenter. Puis, je le sais que présentement, je ne sais pas qui a dit ça, il dit si dans un an, tu regardes ce que tu as fait il y a un an, puis que tu ne ris pas de toi, tu n'as pas évolué. Ça fait quoi? deux mois, trois mois que je le fais, ça fait trois mois que je le fais Un petit peu plus. On s'est parlé à la Noël, c'est mai. Ah, c'est ça. Ah, mais là je parle vraiment présenté le coup de poing, oui, c'est ça. Je regarde ma première sub. Je n'ai pas regardé parce que je ne fais rien qu'y penser et je cringe un peu. Puis c'est comme oh my God, tu ne t'en allais pas Aujourd'hui. Je parlais avec ma coiffeuse.

Speaker 2:

Elle me disait des fois tu te dis que c'est un peu plus compliqué, c'est sûr que je ne te suis pas nécessairement. Elle me dit que j'aime vraiment beaucoup ce que tu fais. Elle aime ça. Ça me dit as-tu vu, c'est parce que je ne fais pas ma job encore. Mais elle, elle n'arrête pas de dire Ça me fait chier qu'elle dise ça, parce que son intelligence émotionnelle, elle est through the fucking roof man. Mais elle se dit pas intelligente. Elle me nomme tout le temps des trucs, puis elle dit mais je pourrais avoir des décors. Tu vois, je vais me perdre très facilement dans une conversation. J'ai dit oui, mais je dis pas que je le fais pour toi, pour te rabaisser ma plateforme. Je veux que'un concept qui va être difficile à comprendre, parce que de le lire sur 350 pages, de t'expliquer ça en petit. Il faut que je sois capable de te l'expliquer en quelques secondes.

Speaker 2:

Une phrase, deux phrases, trois phrases, quatre phrases, Que ce soit simple. Tu veux qu'on aille plus loin? là, ça se peut que je te perde.

Speaker 1:

Par exemple, Ma job n'est pas faite, Un des patterns que j'ai spoté quand j'ai commencé à être un petit peu plus conscient de ce qui se passait dans ma vie à partir de mon premier trauma en 2016, qui est vraiment significatif.

Speaker 2:

C'est ça.

Speaker 1:

Ça fait 7-8 ans. Je pensais que ça allait être plus en 2008. Non, ça je te dirais. Avant que je fasse du son, j'étais encore dans les mêmes bobettes. En fait, le son m'a comme sauvé de la drogue dure, mais après ça, je suis resté très toxicomane, mauvais patoune de tout le reste pareil, je fumais du weed en crisse.

Speaker 2:

Mais ça te donnait le même thrill. J'imagine que la drogue dure.

Speaker 1:

Oui, c remplacer, mais je n'étais pas dans la croissance personnelle.

Speaker 1:

À ce moment-là, j'avais les mêmes mauvais modèles de façon de penser, d'haïr, de juger beaucoup émotionnellement, de ne pas être bien, de trouver des façons de crosser tout le temps. Tantôt, je te parlais je vais couper le line-up. J'avais tout ça, je ne suis pas tout seul, il y en a plein d'autres que je veux aller. Bref, ça a vraiment été à partir de 2016-2017. Ça a été comme le début. Je ne sais plus ce que je m'en arrive avec ça. Tu parlais de quoi avant? Tu parlais de Le distillerie, le simplifier les affaires. Oui, un des patterns que j'ai remarqué à partir de ce moment-là, quand j'ai commencé à croiser ce personnage-là. On s'inspire souvent des histoires des autres qui ont marqué notre vie à nous par des inventions, et c'est qui qui a révolutionné une industrie, qui a inventé telle affaire, blablabla. Puis là, tu entends l'histoire d'un, l'histoire de l'autre, l'histoire de l'autre, l'histoire de l'autre, l'histoire de l'autre.

Speaker 1:

Un moment donné, après une couple d'années, je me suis rendu compte que le point en commun que je voyais à tous ces grands-là, souvent, c'était leur facilité à simplifier des affaires complexes pour les gens. Oh, j'aime ça. Puis, quand J'ai vu ça, puis je me rappelle encore je me souviens pas c'était quand. Mais je me souviens de comment je me sentais, puis ça a été comme mon thinking, ça a été OK, j'ai le droit d'être lâche, fait que tu vois d'être lâche. Pour moi, c'est rendu tellement positif parce que tous ces gens-là qui connaissent des choses hyper complexes sont quand même capables de les simplifier. C'est l'âge, mais c'est simple, c'est juste ça.

Speaker 2:

Il y a aussi le concept d'enseigner ce que tu connais, de simplifier. C'est Feynman, dans le fond, scott Feynman, qui est absolument extraordinaire. C'est une technique, mais c'est assez évident aussi Si tu n'es pas capable d'expliquer à un enfant de 12 ans un concept en quelques phrases, deux ou trois phrases, tu n'as pas compris, c'est que tu es un cave, ça veut dire que tu ne l'as pas encore assimilé. Puis, ça mène au pire. Ça, c'est mon côté lâche. Quand j'arrive pour écrire, souvent, je vais copier ce qui est dans le livre à la place de prendre le temps de le distiller. Pas nécessairement, je ne dis pas pour faire mes capsules, évidemment, évidemment, parce que je prends des tonnes de notes, j'adore faire ça. Puis, à peine de le marquer de la même manière, des fois, je me pogne. C'est comme non, prends deux secondes, mais c'est tough.

Speaker 1:

C'est vraiment tough, ça se développe Aussi. C'est que tu es en train d'apprendre toi-même. Tu es en méta-cognition, dans le sens que tu as trouvé des méthodes pour mieux comprendre ce qui est écrit. Mais là, t'as un learning curve, que ça, je pense que t'as de l'équité, tu commences à avoir, t'es capable d'assimiler de l'information, t'es capable de prendre tes notes, t'es capable de comprendre des grandes lignes, de te le comprendre pour toi. Mais là, après ça, de le repurpose dans un contexte de médias sociaux, de de faire une vidéo, de faire ta propre narration, de trouver ton ton à toi, etc. Mais là, c'est que tu as un autre learning curve qui est là en même temps. Puis, c'est en le faisant qu'on devient meilleur. Puis, tu as un autre aspect Là, tu es en train d'apprendre comment tu serais mieux d'apprendre ce game-là, c'est ces méthodes-là. Mais c'est vraiment, vraiment la clé de de notre apprentissage à nous. Ce n'est pas ce qu'on apprend, c'est quoi, les méthodes qu'on peut mettre en place pour mieux apprendre. C'est la clé vraiment de l'apprentissage.

Speaker 2:

Puis, de le présenter aussi, dans un sens, parce qu'on joue cette game-là. Puis, si tu apprends quelque chose, si tu le présentes automatiquement, tu développes des nouveaux liens, des nouvelles neurones, des nouvelles connexions. Je vais tout le temps me rappeler, avec Éric Tanguay qui travaille avec toi évidemment qui était le concepteur de mon logo, david le Dissidilecteur. Il a trouvé le nom. Ah pardon, il a trouvé le nom aussi. je pense. Non, c'est moi, c'est toi qui l'as trouvé.

Speaker 1:

C'est moi qui. C'est extraordinaire. Je pensais que cette vie, elle trouvait le nom, mais Crane, c'est un peu plus haut, je ne suis pas bien sûr que moi, mais si je me trompe, désolé, mais je mettrais de l'argent.

Speaker 2:

Aucune idée. J'y ai dit Je n'ai pas de mémoire. J'y ai dit je vais refaker ça. C'était Dave, le disque lecteur pour mettre. C'est toi, il faut mettre à l'avant. Ce ne sont pas les livres, c'est toi, c'est toi qui vas me présenter. Je vais toujours m'en rappeler. On avait le meeting avec Max et avec Éric, je ne sais pas pourquoi. À un moment donné, je pense que je m'étais tromp, j'ai dit tabarnak. Puis j'avais continué. Puis, à la fin, ou quelques minutes après, on arrivait à la fin du meeting, puis Éric avait dit Man, j'adore ton énergie». Il dit tantôt, puisqu'on parlait de la façon qu'on allait présenter les affaires aussi, il dit tantôt, quand tu t'es en crise contre toi, t'as dit tabarnak, ça m'a donné le sourire, c'est ça que je veux voir. Puis là, j'ai dit je peux pas sacrer, on va mettre un bip par dessus. Puis ça fait, parce que moi, ma manière de présenter les choses, je vais présenter comme ça ce livre-là. Je parlais de ça. C'est comme vas-y avec ton énergie. Je n'ai pas encore réussi à la rentrer, ça va venir.

Speaker 1:

Mais Tout va venir super facile. Il y a vraiment Je t'en ai déjà parlé, je pense, de cette façon-là. Mais il y a vraiment un sweet spot à trouver entre ce qu'on aime, ce que les gens ont envie d'entendre, ce qui sert réellement à la mission qu'on est en train de porter, parce que, des fois, ce qu'on porte comme mission, c'est pas nécessairement ça qu'on aime le plus, c'est pas nécessairement ce que les gens ont envie d'entendre non plus. Moi, dans plein de vidéos que je faisais au début, je pense que la mission était noble et l'intention était vraiment. Je pense que je cochais toutes les cases de la mission que je voulais apporter, mais je n'aimais pas tant ça, le contenu que ça donnait, puis ça ne reachait pas tant que ça, puis le monde n'interagissait pas non plus. J'étais comme un manonné à moyen terme. C'est bien beau la mission, mais, chris, je ne savais pas que tu le voyais.

Speaker 1:

Un moment donné. C'est juste après ça. Qu'est-ce que j'ai à apprendre de ça? Comment je pourrais tweaker ça pour que je finisse par aimer ça? Peut-être qu'il y a d'autres gens qui sont intéressés, parce qu'ultimement, s'il n'y a personne, même si ce que je dis réellement en ce moment, c'est probablement la meilleure façon de dire ce que j'ai envie de dire, puis qui servirait probablement plus le projet, mais je veux dire, ultimement, il faut qu'il y ait du monde qui le voie à quelque part. Puis, c'est là que le podcast m'a vraiment aidé, parce que maintenant, les discussions plus naturelles que j'ai avec ma tête quand je faisais des vidéos par moi-même, mais tout d'un coup, ça sert mieux le contexte de la plateforme et j'aime plus ça. Puis, tout d'un coup, j'aime plus aussi ce que je fais. Fait que là, j'ai comme coché deux autres boîtes à côté. Je suis comme, c'est donc bien cool. Fait que là, je. Mais significativement, une méga amélioration. Tu t'aimes mieux ça, j'aime plus ça. C'est moins lourd pour moi. En plus, c'est moins compliqué parce que je peux juste inviter quelqu'un chez nous. Je m'assieds ici, je pèse sur Record et je parle, tandis qu'avant il fallait que je frame un petit peu plus mon contenu. Mais là, c'est vraiment moi, c'est ça.

Speaker 1:

J réimplanter ça d'une nouvelle façon, mais pourtant en arrière, ce que je t'en viens de te dire dans la discussion aujourd'hui, c'est la même affaire que j'aurais pu dire dans n'importe quelle capsule préparée, ou que je disais déjà il y a quelques mois, quand je faisais mes capsules tout seul avec mon téléphone et que je me disais OK, je vais te parler de ça aujourd'hui. Je le faisais. Je ne veux pas que ça ta voix à toi, parce que t'es pas moi, fait qu'il faut pas non plus que tu te dises peut-être qu'il faudrait que je fasse comme Raph, mais clairement que les clips d'aujourd'hui pourront être utilisés pour ton channel, par exemple. Ça, ça me ferait plaisir. Ah Non, ça serait vraiment cool. Ben oui, ça, on a envoyé ça à Malcolm pis, t'es capable d'en utiliser.

Speaker 2:

Je sais que je ne serai jamais arrivé à destination, en fait, mais je le sais, je vais en bonne direction. Je le vois Juste, ce petit clip que j'ai fait trois choses, c'est tellement facile pour moi à faire. Je n'ai pas encore le côté technique, ce n'était pas parfait, il y a encore des affaires à changer, mais je le sais, je vais en bonne direction. Mon reach a triplé hier ce qui est sorti un lundi 4000 de reach les autres, c'est rien mais sur Facebook, je suis très pauvreté, vraiment, je sais pas qui l'a partagé.

Speaker 2:

Mais ce qui est cool sur Facebook, c'est que où tu m'as allumé, c'est quand tu m'as dit je sais pas pourquoi, c'est la manière que tu l'as dit qui a changé la manière que je le vois. Les plateformes veulent que le monde reste sur leur plateforme. C'est assez évident. Par contre, si tu les aides, ils vont dire tu m'as aidé, je vais te pousser un petit peu plus. Puis là, je le vois là, mais tout mon reach a triplé, quadruplé. Je ne fais rien de plus, je fais moins de contenu qu'avant, mais ça reach plus. Tu as comme une espèce de petit progrès, tu peux cocher des trucs. C'est extraordinaire. C'est comme scratch my back, scratch my back, i'll scratch yours. C'est exactement ça.

Speaker 1:

Ce n'est pas des cons. Quand tu comprends le modèle, tu fais comme ah ok, c'est ça qu'ils veulent. Comment moi, à cet âge, je peux me respecter là-dedans pour faire ma pute, merci. Même quand tu veux faire ta pute, ça ne marche pas. Même quand tu essaies de jouer à la game, ça n'y va pas. Il y a vraiment une notion de sweet spot et de faire la paix avec le processus. Il faut l'apprendre. C'est comme n'importe quoi. T'arrives pas de jouer au lendemain, c'est un terrain de baseball. Puis, d'un coup, tu comprends tout, même si ça laisse. Il y en a d'un. T'as regardé ça de loin. Ils sont tous plantés là, ils collent ça à rien.

Speaker 1:

Mais oui, vas-y, t'essaieras de frapper une slider une 190, t'essa Un mythe du catcheur La meilleure.

Speaker 2:

Je ne sais pas à quel point c'est intéressant, mais ma blonde-là, elle n'avait jamais été voir une game de baseball avant de sa vie, jamais. Ça fait deux qu'elle voit, puis elle dit c'est déjà fini, je pensais que ça allait être long et plate. Quand j'y explique tout ce qu'il faut qu'elle voit, ça fait deux fois qu'elle voit, puis qu'elle voit. Elle fait deux fois qu'elle voit, puis elle dit là, il faut qu'il revienne au bâton. Non, mais ça fait neuf manches. Elle dit moi, mais ça a normalement été long. Elle dit je pensais que c'était long, puis plate, puis qu'il ne se passait rien. Finalement, elle n'a pas assez de temps pour tous les placements défensifs. Qui est au bâton, qu'est y crâtent la poche? Les signaux, oui, mais tout Carrément.

Speaker 1:

Elle ne savait même pas qu'ils faisaient des signaux.

Speaker 2:

Elle dit mais comment ça qu'ils font des signaux, c'est pas pour le fun. Il y a quelqu'un sur le banc de l'autre bord qui, lui, c'est sa job de regarder, c'est quoi, les patterns.

Speaker 1:

Puis il va les changer Vraiment. Ils sont-ils bons cette année ou de ce temps-là?

Speaker 2:

Ils sont extraordinairement bons, surtout pour avoir travaillé là. C'est une organisation de qualité. Ils veulent s'aider le standard du baseball mineur et du baseball indépendant. Ils sont en train de le faire présentement. Et Michel Laplante, charles Demers, on a tellement les bonnes personnes. On a une des meilleures mascottes avec Capi. Pour connaître le gars qui est dedans, c'est pas un passionné, il en mange. J'ai fait ça pendant des années. On a le meilleur stade. C'est insane. Si tu voulais passer une belle soirée, je fais une pub les capitales, mais c'est vrai, tu vas aller là. Amène ton monde de Betula là-bas.

Speaker 1:

Deux, trois bières, je pense Ma blonde aussi. T'as combien de personnes d'ailleurs, betula? C'est parce qu'on a beaucoup de temps partiel et de travailleurs autonomes qui travaillent à l'année. Gab Jolie d'ailleurs, je pense. Oui, gab, paul Paul, maintenant qu'il est freelance, mais dans le fond, il travaille pour nous autres.

Speaker 1:

Tous ses clients passent par nous Le corps, c'est 10,. Mettons Temps plein. en ce moment, je crois qu'on est 5. Ah, 5,. Ok, Oui, mais bout à bout, si tu mets tout ça, on est une quinzaine. Ça donne à peu près une dizaine de personnes à temps plein. Si tout le monde était à temps plein, ça donnerait à peu près une dizaine de personnes à temps plein.

Speaker 2:

Je pense que c'est 45 piastres par personne.

Speaker 1:

On aurait une quinzaine de personnes qui viendraient probablement Tu en fais de l'argent en plus 15 fois 45, mais t'as une geste grosse, en plus, t'aurais trois consommations. C'est vraiment belle soirée, c'est juste ça, ce n'est pas pour vrai. Ça me tente. J'aime ça, le sport. Je ne vais pas assez À Québec. En plus, on n'a pas d'équipe full pro, on a le capital au baseball, c'est un partenariat avec la MLB.

Speaker 2:

Les gens qu'on voit œuvrer sur le terrain ont de fortes chances pas tout le monde, évidemment. Forte chance, pas tout le monde, évidemment de se retrouver dans la MLB éventuellement. Il y a des belles histoires de gars à 27, 28, 29 ans. Il y a le bon coach au bon moment, le bon conditionnement, puis sa balle rapide elle passe de 87 à 94 000 à l'heure, puis il y a deux bons lancers, puis là, il fait, deux ans après, il est dans la MLB.

Speaker 1:

Je ne te dis pas que c'est la majorité, évidemment, mais on le voit là. C'est intéressant. Je devrais y aller à toutes les fois que je voyage. Un peu, j'essaie tout le temps de checker s'il y a des games professionnels en ville ou tout ça. Je suis allé à Toronto l'autre fois, je suis allé voir les Raptors. Je n'étais jamais allé voir les Raptors, puis C'était hot en crise. Le show est super. Ils ont tous leur hook de façon d'encourager ou de disser l'autre équipe.

Speaker 1:

Je ne savais pas ça, le DJ en bas. Tout le monde est là. C'est malade, c'est un show. Tu regardes juste la poudre Drake.

Speaker 2:

Des fois, c'est le DJ, Il est souvent assez courtside.

Speaker 1:

Des fois, c'est lui qui fait le beat. Quand je suis allé, ce n'était pas lui. Non, il y avait Logan Paul qui était là. quand je suis allé Oui, on a entendu Il y avait un événement à Prime, au centre-ville. J'étais allé voir le show en après-midi. Je marchais sur je ne sais plus quelle grosse rue avant de pivoter vers la fin. il y a un sujet qu'on a parlé avant le podcast que je trouvais super intéressant et qu'on pourrait au moins amener des perspectives là-dessus. Tu parlais de minimalisme. Je t'ai parlé d'agrandir ma maison.

Speaker 1:

Ça me fait très grand-père, tu viens de me parler que tu vis dans un 2,5. Je trouve ça super intéressant. Tantôt, on a flirté aussi avec le concept que je mets souvent de l'avant. C'est comme quand tu ne fais pas chez le monde, tu peux bien vivre vesti en gougoune au Guatemala ou dans une mansion avec des Lamborghinis.

Speaker 2:

Ça, il faut que je J'essaie zéro d'imposer mes vues au monde. J'essaie, zéro d'imposer mes vues au monde. En gros, moi, j'ai beaucoup de misère à comprendre comment on est capable de consommer autant. J'en fais partie. Je m'en vais encore chez IGA prendre mes affaires avec le style plastique même, puis j'essaie d'en prendre le moins possible. J'essaie encore. Il y a une génération, à un moment donné, qui vont nous regarder et vont dire Ils achetaient leur eau dans des bouteilles de. Il y avait des milliards de bouteilles par année, des millions qui étaient consommées. Oui, exact. Ils faisaient quoi avec? Ils? les jetaient, ils les recyclaient? Non, non, non, il est jeté. De quoi tu parles?

Speaker 2:

Il y a une génération, à un moment donné, qui va nous regarder? on va avoir une petite gang d'imbéciles.

Speaker 1:

Ça a évolué en pas longtemps. Mettons qu'on regarde d'un côté optimiste. Il y a quand même un awareness de tout ça.

Speaker 2:

C'est pas réglé, c'est pas OK à Québec et j'ai un pied à terre à Saint-Adalbert, où j'ai un chalet, c'est un trois saisons que j'utilise quatre saisons. Moi, éventuellement, je veux vivre là-bas, complètement Ce que j'aime de ce projet-là, le Distillecteur. Quand je vais prendre ma retraite de ma shop présentement, ou peu importe, quand je vais pas besoin de rien ou presque pour vivre, je vais avoir mes livres. Ce qui est le fun avec l'Internet et la démocratisation de la communication, des plateformes aussi, c'est que tu peux faire ça n'importe où. Je peux être dans mon chalet, me créer mon petit studio et juste lire mes livres. Mettons qu'à un moment donné, ça devient juste. Je me fais un 15-20 000 par année.

Speaker 2:

Mettons, on s'entend, avant que ça arrive, ça va être un esti de bout. Mettons que ça arrive, je suis capable juste d'aller. Il y a un sweet spot que je suis capable d'exploiter. Je serais capable d'aller au chalet, vivre là-bas, faire mes petites affaires, m'occuper de mon corps, m'occu comme t'as même pas idée. Fait que présentement, j'ai un petit 2,5 au coin de la 18, puis la première je suis proche de toute. J'ai un char, mais je l'utilise pas. J'utilise pour une chose T'es venu ici t'asseoir, aller au chalet, exact, c'est ça. Il y a comme des limites à me, à Québec, pied à terre, à Sainte-Adalbert, puis j'essaie de consommer le moins possible. J'ai un petit 2,5.

Speaker 2:

À toutes les fois dans ma vie que j'ai été heureux, ça a tant été quand j'ai eu des petits appartements, pas beaucoup d'affaires à accumuler, parce que j'ai pas de place pour l'accumuler, puis c'est tout le temps propre, parce que de un, ça serait tant de soie cochon Dans ma tête, ça serait vraiment pas cool. Faire le ménage chez nous, un gros ménage, c'est 45 minutes, c'est propre en tabarnak. En 45 minutes, c'est propre en hostie. Le minimalisme parle beaucoup, sauf que j'aime pas beaucoup les doctrines ou le dogme qui vient avec Le film qui était sorti. Le minimaliste sur Netflix, c' minimaliste sur Netflix, c'était deux gars, genre.

Speaker 2:

Il faut que tu ailles huit paires de bas max avec tant d'affaires, ou deux fourchettes. En tout cas, je vais en avoir quatre, ça va être correct. Quand il y a ces règles-là, j'embarque un petit peu moins. Je ne pense pas que c'est dans l'effort que je fais. Puis, moi, ça m'a donné l'argent que je chauffe, parce que l'argent qui n'est pas dépensé, c'est de l'argent gagné. Mes finances ont complètement changé. Je travaillais au snow, à la microbrasserie, je cavlais pas longtemps. Puis j'ai changé de job. J'ai une autre petite job, mais je travaille beaucoup moins qu'avant. Mais je me suis dit aussi je vais faire une décision. Tu, tu ne dépenses plus, man. Si tu dépenses, parce que ça va être quelque chose qui va être important, voyage, si tu as besoin de changer quelque chose, tu vas faire attention à tes affaires. Si tu as besoin d'un livre, peux-tu l'avoir moins cher à quelque part? Peux-tu l'avoir usagé, puis n'acheter moins aussi.

Speaker 1:

Bon, ça, je ne réussis pas encore bien, Non, mais tu vas pouvoir. Tu veux parler à un moment donné? C'est bon, ça, c'est du respirage, absolument, même mon chalet.

Speaker 2:

Je suis au bord de la rivière, c'est comme c'est la petite paradis. C'est une scène, mais je serais intéressé de toi savoir qu'est-ce que t'en penses, parce que c'est toi qui as amené l'agrandissement de ta maison. Puis moi, la première affaire qui Pas faire un jeu de mots avec le livre. En as-tu vraiment besoin?

Speaker 1:

Oui, puis, tu sais, on pourrait, c'est le fun de développer là-dessus. Je trouve ça super intéressant, vraiment, vraiment, Au même titre que OK, on va jouer à ça. Tu viens de dire je dépense le moins possible. Pour moi, ce qui est important, c'est les voyages et les livres. Peut-être que moi, ce qui est important, c'est les voyages et les livres, peut-être que les voyages. Je trouve ça fucking cave, c'est-tu le cas? Pas en tout, j'allais avoir ça, voyagé.

Speaker 2:

Tu sais que je n'essaie pas de faire une leçon. Ce n'est pas une science infuse. Il faut que je fasse des choix, c'est une discussion.

Speaker 1:

L'impact environnemental sur les voyages est est énorme. Un avion, ça tire du jeu en crisse à la planète, mais moi, c'est financier. Par contre, moi, c'est les restaurants que j'arrête. Tu vois, moi je trouve que c'est une perte de temps à faire à manger, oh shit. Pourtant, même tes steaks, tantôt, ça te capote les mains, oui, mais un steak, tu crisses ça dans la poêle et c'est fait, je ne cuisine pas.

Speaker 2:

Je ne fais pas de recettes.

Speaker 1:

Ma blonde n'avait pas plus de recettes que moi. Elle fait des crêpes et des muffins de temps en temps. C'est pas mal les plus grosses recettes qu'on fait.

Speaker 2:

Donc DoorDash ces trucs-là, tu fais au resto, non les deux.

Speaker 1:

Moi, je vais plus au resto que ma blonde Par économie de temps. Je suis beaucoup sur la route, je suis au bureau, je ne veux pas me traîner des lunchs parce que la friction de tout préparer, traîner ça, finalement, s'il n'y a pas d'économie de temps là-dedans pour moi, ça me rend malade. Juste de penser, ça me tire de l'énergie à des places que je ne veux pas mettre. Oui, c'est parfait. Le coût d'opportunité aussi, de toutes ces petites affaires-là de la, s'il faut que tu fasses ta pelouse, que tu déneiges toi-même, que tu fasses ton ménage toi-même, que tu fasses à manger toi-même, ça finit que, sérieusement, une job de 40 heures, si tu veux avoir un minimum de loisirs et d'activités qui te font sourire dans la vie, ça finit que c'est juste ça ta vie.

Speaker 1:

Moi, j'ai décidé que ça allait pas être ça ma vie fait que j'ai délègue tout ce que je n'ai pas de valeur ajoutée à faire. On a quelqu'un qui vient faire le ménage. La vaisselle, ah, absolument La vaisselle. Pour de vrai, ma blonde, tous les deux jours, on se regarde et on se dit ce n'est pas ça notre futur, de faire la vaisselle. Je te le jure qu'un moment donné, on ne fera plus la calisse de la vaisselle.

Speaker 1:

Oui, c'est une calisse de perte de temps. Non, mais tu ris On, jase. Tu me parles d'agrandissement, mais je ne dirais pas si grosse que ça ma maison, quand tu y penses.

Speaker 2:

Il y a une affaire je veux vraiment mettre les affaires au clair, moi une affaire qui est super importante, parce que, des fois, j'ai ces réflexions-là et il faut que je m'arrête, parce que je me dis T'es-tu heureux? Oui, tout de même, juste le fait qu'une personne soit heureuse, mettons qu'elle dit Moi, aller au restaurant». Je ne parle pas de toi, je parle de ne pas faire à manger et aller au restaurant, découvrir et aider, parce qu'ultimement peut-être un entrepreneur, il aime se faire à manger, il faut qu'il y ait du monde qui vienne à me manger. Ça ne sera pas moi, évidemment, son client. Je vais dans un restaurant, encore juste, beaucoup moins. Je vais me faire à manger vraiment beaucoup. Un verre de vin avec de la musique ou un podcast avec ma blonde, c'est malade.

Speaker 2:

Une personne qui décide d'y aller et qu'elle, elle est dans un restaurant. Quand elle arrive dans un petit casse-croûte ou dans un grand restaurant, elle sent bien, elle a la dopamine Juste de savoir qu'elle va y aller, elle va être heureuse. Man, je me ferme la gueule Tantôt. Si tu l'as pris comme si tu te jugeais, je peux comprendre, je m'assume tellement. On a comme un prisme différent. C'est juste pour ça, évidemment, moi, c'est qu'il a fallu que mes priorités changent. Je veux triper avec ma blonde, je veux sortir quand je veux sortir, les shows, les sorties, parce que j'aime ça, me divertir vraiment beaucoup Le soir, et ou les voyages, puis aller voir des shows, j'adore ça, mais en échange, good. Mais même le restaurant tous les jours, moi, pour mes finances, il faut que j'arrête, parce que ça gruge, ça va vite, on va jaser.

Speaker 1:

Tu penses-tu que tu t'es créé une croyance de maximum de revenus, peut-être. Puis tu t'es dit bon, je crois plus que je suis capable de diminuer mes dépenses plutôt que d'augmenter mes revenus.

Speaker 2:

Oui, c'est pour le futur. Moi, la retraite. Moi-même, je suis presque en pré-retraite présentement. La manière que je vois mes affaires, je ne sais pas si tu comprends.

Speaker 1:

Je respecte tout ça. Ma blonde est quasiment plus économique que moi. Mes parents sont ultra safe avec leurs finances, finance. Moi j'ai un estime, malade, c'est que ça fait longtemps que j'en ai Même à l'autre. penses-tu que l'énergie que tu mets à t'empêcher de dépenser, si t'en mettais à créer plus de valeur dans tes projets, ça t'amènerait plus vite? C'est une question.

Speaker 2:

Parce qu'on se crée tous nos croyances par rapport à ça, c'est brillant, ce que Parfait, parce que je veux que comme challenge je n'ai jamais, je te le dis. Puis, si tu m'avais dit ça il y a un an, je t'aurais dit il y a du travail à faire, et je l'ai fait. Je n'ai jamais été aussi heureux que là, nice, jamais. Parce que je me sens enlevé des Ça. Évidemment, c'est pour mes Ça t'a stressé mettons.

Speaker 2:

Moi, moi, j'ai une belle relation avec l'argent parce que j'ai eu la chance d'avoir un père, parce que ma mère ne s'en occupait pas. J'adore ma mère, c'est une perle. J'ai eu la chance d'avoir un père qui n'a jamais rien manqué chez nous, mais il savait dire non, ça, je l'ai tout le temps apprécié parce qu'à un moment donné, ça m'a fait C' est-ce que je n'ai besoin d'un? Mais je n'ai jamais rien manqué, jamais, jamais. J'avais mon sport l'été, j'avais mon sport l'hiver, j'avais tout le temps les meilleurs jambières ou des nouvelles. J'avais besoin de quelque chose, pas de trouble. Par contre, mon père, il n'a jamais eu de compte de visa. Tu comprends Les visas autres, ils payent pour la carte, ils payent pour le système et ils payent pour toi. Chris man, t'as jamais de solde. Mais mon père a tout le temps pensé à mon argent va être bien investi là. Puis tout le temps safe, tout le temps conservateur. Puis ça, moi, dès le début, ça fait depuis presque. J'ai dit 43,. Ça fait presque 20 ans.

Speaker 2:

C'est pour ça que les intérêts composés sont importants de ma vie générale, puis aussi de la vie des finances. C'est que j'ai vu au début. Si tu dis, tu mets 20 piastres Au début, je mettais 20 piastres quand j'étais jeune dans mon compte d'épargne par semaine, avec un tout petit compte d'intérêt, c'est comme c'est arrivé après un mois de 80. Je vais prendre ma retraite avec quoi, moi là? Sauf Avec les intérêts, ça se multiplie.

Speaker 1:

C'est insane. C'est des intérêts composés.

Speaker 2:

Warren Buffett. Je pense que 85 % de sa fortune a été faite après l'âge de 65 ans. C'est des intérêts qui font juste, comme parmi tout le temps, c'est un bon investisseur. Il y a comme 5 bons investissements qu'il a fait. Il est très discipliné. Donc, au caco là, il est discipliné. Il n'a jamais voulu sortir de certaines affaires quand il est sorti au bon moment. Mais non, pour répondre à ta question, je sais exactement ce que tu veux dire.

Speaker 2:

Moi, j'ai perdu beaucoup d'argent étant entrepreneur. J'ai perdu beaucoup d'argent au début. J'ai fait des mauvaises associations avec une personne en particulier, puis j'ai vraiment perdu de l'argent. J'ai presque tout perdu en fait, pour après ça, la personne qui était dans le projet, qui était comme connexe à ça, qui était Evans Desbiens, qui est mon partenaire d'affaires avec Creative Custom présentement. C'est le genre de gars qui on se complète tellement bien parce que toutes ses passions ne sont pas les miennes, toutes les miennes ne sont pas les siennes, toutes mes forces sont ses faiblesses. Il me laisse faire mes hosties d'affaires. Moi, je ne crosse pas parce que je me suis fait crosser. Tout l'argent que j'ai perdu au début, j'en fais plus maintenant pour moins de tâches. Je te dirais que, surtout, j'ai des méchants bons artistes, c'est des bonnes personnes qui ont d'excellentes conditions.

Speaker 2:

Encore une fois, pour répondre à ta question, essayer de squeezer le plus encore ou donner plus de valeur, ce serait juste le disque lecteur, parce que c'est une passion pour moi. Si je serais capable de faire de l'argent avec une passion, l'on jase. Avec une passion, l'on jase. Si je serais capable d'avoir une plateforme, comme par hasard, si tu fais ça, ça, ça, que le dit l'acteur? c'est une façon de parler de ce que je vais dire là. Si tu regardes faire 100 000 par année, je t'écouterais, mais 100 000, avec mon contenu, c'est plus néchant, un peu.

Speaker 2:

Je ne dis pas que c'est plus néchant un peu, je ne dis pas que c'est impossible, Oui, en même temps, quand tu penses au spectre de la planète au complet des YouTubers qui font 100 000 et en attaquant Oh mon Dieu, absolument.

Speaker 1:

Non, tu as raison, je n'ai pas encore la twist. As-tu une croyance limitante à quelque part en toi en les possibilités? La raison pourquoi je voulais qu'on ouvre cette parenthèse? ma blonde est un petit peu plus comme toi, malcolm et Max. Mes deux partners sont vraiment plus conservateurs.

Speaker 2:

Je parlais avec Malcolm justement.

Speaker 1:

Ils sont super et je les adore. Le conseil en ligne, je veux juste dire qu'il n'y a personne qui a raison ou tort dans ce qu'on est en train de dire. On amène des perspectives. Ma tolérance au risque à moi est vraiment élevée. Quand les affaires de base, les affaires qui m'empêchent de dormir, c'est des trucs de relation, des fois que je sens qu'il y a des gens qui ne sont pas bien à cause de moi, ça peut venir me tirer du jus. La santé des proches que j'ai, l'état mental des gens que je connais très bien autour de moi, ça vient me gratter. À part de tout ça, ça me dérange pas tant les risques dans le sens que même les risques personnels, même physiques. J'étais un gars de mountain bike, mais en même temps, je suis pas le plus crazy en mountain bike, je calcule quand même mes affaires. J'étais un gars qui aime le risque, qui est capable d'en prendre, mais qui calcule assez ses affaires pour comprendre jusqu'où j'ai envie de me rendre. Je ne sais pas si c'est de l'équilibre ou si c'est plus. Je crois en moi aussi à quelque part. Je me permets d'y croire parce que, comme je disais tantôt, si on ne commence pas par y croire à l'inconnu, comment ça pourrait être possible. Pour moi, dans le risque, il y a une notion d'inconnu aussi. C'est quand on ne connaît pas qu'on trouve ça risqué. Mais qu'est-ce que j'ai à apprendre de ça? Tantôt, quand je J'ai à apprendre de tout ça, tantôt Je disais je win ou je learn Avec tous ces mental models-là.

Speaker 1:

Ça me permet de faire la paix avec le risque que je prends. Je n'ai pas d'enfant, parles-tu? Non, ma blonde non plus. Si je crash ma business demain matin, worst case scenario, je me ramasse un mois en camping avec ma blonde. On ne mourra pas. On est tous les deux très en santé. Ça va bien. Au pire, on va aller chez nos parents. Nos parents sont encore en vie. On est tous chanceux. C'est là. Il y a tout un paquet d'affaires de main qui font tout le temps OK, je gamble, mais je gamble, je gamble, je gamble. Pas grand-chose qui vaut vraiment. De quoi Tout cet apprentissage-là? ma tête, même si je crash n'importe quel projet entrepreneurial, mettons, ou si je fais une faillite personnelle, pour moi, ça a comme Une faillite personnelle. Ça fait peur, mais ça fait peur jusqu'à quel point?

Speaker 2:

Mais donc, si je te renvoie à la question, toi t'essayes évidemment de maximiser chaque intrant monétaire, présentement, j'imagine.

Speaker 1:

Moi, j'ai réinvesti le plus possible. J'ai appris. J'ai fait plein d'erreurs par rapport à ça. Je sais qu'on n'essayait pas Il finance il y a cinq ans, quand on a commencé l'entreprise. J'ai appris plein d'affaires, c'est simple.

Speaker 2:

C'est plus simple qu'on pense.

Speaker 1:

Mais ça Oui, parce que là je l'ai appris en me pétant aïeul. Puis là, ce que ça me dit, c'est aïeul, ok, le modèle. Je me sens entouré aussi de certaines personnes. Il y en a qui m'ont fait évoluer, il y en a d'autres qui sont restés, il y en a qui sont partis, il y en a d'autres qui sont arrivés, qui me font évoluer, qui m'am plus heureux que la sécurité financière que je pourrais avoir avec n'importe quel job. Je me suis dit ça, t'aurais une job à 250 000 piastres. Wow, oh shit, le gars. Il m'appelle. Il dit by the way, j'aurais peut-être une job pour toi. Je dis ouais, c'est bien que je lâcherais pas ma business. Tu me connais, je le connais, le gars. Bref, il dit Oui, mais que tu saches c'est quoi qu'ils font les vendeurs chez nous, peut-être que ça va te tenter Vendeur. En plus, c'est mon profil en esti, si je n'étais pas entrepreneur, tu me mets dans n'importe quel siège, c'est vendeur.

Speaker 2:

Est-ce que ça ne va pas?

Speaker 1:

par exemple, il y a un côté tendance à ça, par exemple Tu vas m'en aller vendre n'importe quoi.

Speaker 2:

Je vais vendre des chars, des assurances, des maisons, mais d'être parti de ton projet pour être vendeur, ça aurait été spécial.

Speaker 1:

J'ai dit non, tout de suite. J'ai dit non, mais je suis curieux de n'en prendre plus pour le fun. Tu écoutes, tu avais offré et tout. Il dit d'après moi, avec la grand gueule que tu as, tu vas que vous avez pensé à moi, mais ça ne m'intéresse pas.

Speaker 2:

C'est très flatteur.

Speaker 1:

Oui, mais en même temps il n'y a même pas un synapse qui a même considéré, peut-être dire oui.

Speaker 2:

Ça a été un non catégorique.

Speaker 1:

Il m'a dit veux-tu une job? Ça a été non. Il m'a dit 250 000, ça a été non, mais j'étais comme assez smart Pour plein de monde. 250 000, c'était comme la solution à leurs problèmes. Puis, chris, en ce moment, je suis loin de me verser 250 000 de ma business.

Speaker 2:

I wish un jour C'est ça que tu diverses, Chris.

Speaker 1:

Je te confirme, Malcolm, que ce n'est pas ça que toi et toi, et ce n'est pas ça que moi non plus. On vit très modestement Ce que je voulais en venir avec mon commentaire.

Speaker 2:

C On vit très modestement. Ce que je voulais en venir avec mon commentaire, c'est que moi, ta place, je le verrais, ta place, excuse-moi, moi, je le verrais vraiment comme Je m'en vais dans la bonne direction. Quelqu'un voit ça en moi. Ça ne veut pas dire que je suis parfait, mais quelqu'un voit ça.

Speaker 1:

Quelqu'un m'aurait offert ça, c'est de l'outside validation sur des affaires que je savais déjà sur moi. Il me dit en bout de ligne, ce qu'il me dit, c'est Chris, tu es un bon vendeur, tu vaux quelque chose dans le marché, mais tu sais 250 000,. Je fais bien plus que ça en vente dans ma business. Oui, c'est ça. Ce que je veux dire. C'est comment je l'ai utilisé. Je reviens au purpose en tout. Mais quand, quand tu as une vision de quelque chose et que tu l'ancres quelque part dans ton subconscient, quand tu te fais offrir ça, il n'y a même pas une once de toi qui penche vers ça Ça devient, C'est catégorique, c'est comme ben non, je ne m'en vais pas là, oublie ça. Je suis dans mon journal en ce moment. Je m'en vais là-bas, puis là, tu es là, c C'est The Women in a Red Dress qu'Alex.

Speaker 2:

Ramos parle tout le temps.

Speaker 1:

Tu me crisses, une belle fille en robe rouge, je m'en sacle. Je suis marié avec celle-là. C'est là que je m'en vais. Elle n'a pas de robe rouge. Je m'en crisse de ta robe rouge, je m'en vais par la boue. J'adore. En même temps, en m'ai envie de triper. Je tripe ces chars. J'aime ça conduire, j'ai toujours aimé ça. J'aime les bikes aussi. Là, j'ai des commandites. Je suis chanceux, je suis capable de biker des esties de machines pour pas trop cher.

Speaker 2:

Ça me nourrit à quelque part. J'avais une Audi. Pendant une couple de mois, je l'ai adorée. Après trois mois, je l'ai carré, je l'ai vendue. Je vais faire une parenthèse qui, je crois, va peut-être OK, c'est bon, checke bien ça. C'est que, dans ma vie de tous les jours, je suis économe Dans le sens que je n'ai pas besoin de rien. Moi, je suis mon caféux. Mais récemment, je me suis acheté un quad au chalet, super bon deal. T'aimes ça, tu dis C'est vraiment cool, c'est cool. Je pensais pas aimer ça.

Speaker 2:

De même, ça sera pas une obsession, parce que je suis un gars obsessif, mais j'aime ça plus que je pensais. Et puis, le gars qui est un des voisins au chalet, bien, à un moment donné, je lui ai dit quand tu vas avoir un bon deal, moi ça ne presse pas. 5 500, ça coûtait 8 000 d'habitude, puis 5 500, je pouvais l'avoir. Puis il dit la moins qu'il y ait de la rouille, tu as le deal du siècle, le 5 500, je l'ai en masse, mais je l'ai payé. Ça, je n'étais zéro, je ne me suis pas empê que je fais moins d'argent. Puis, mon mode de vie zéro, mon chalet, il a fallu que je le paye Quand je vais avoir besoin de faire des réparations et je vais avoir besoin, mettons, de 50 000, 50 000,. Je l'ai, c'est un bon trou, mais je l'ai.

Speaker 2:

Puis, ça, je vais avoir besoin, ça, je le sais. Sauf que, dans ma vie, tous les jours, j'ai pris une décision belles nuances pour toi. Il n'y a aucun luxe que je me prive présentement, je ne l'ai vu juste pas. Peut-être qu'il y a, dans 10 ans, du style lecteur où je vends ma shop pour une raison ou pour une autre, je gagne à la loterie. Ça se peut que ça change aussi ma façon de voir les choses, sauf que je me suis tellement simplifié les affaires dans ma tête. C'est le plus beau cadeau que je me souvienne de ma vie.

Speaker 2:

Évidemment, c'est pour mes valeurs à moi. Tu te vis bien mieux. De même, de même, pas idée. J'avais un 4,5 au-dessus de ma shop, super belle, appart. Il ne me faisait même pas cher. Il coûte le même prix que présentement mon 2,5. Surmets, avec l'inflation, c'est fou. Mais man, j'accumulais, j'accumulais. Quand je suis parti, j'ai chuté mon chum. Je ne sais même pas ce que je faisais avec ce stock-là À un moment donné. Je vais sûrement Puis, des fois, c'était juste d'acheter et d'acheter, mais c'est parce qu'on a évidemment toutes nos obsessions et nos façons de faire. Non, j'adore le sujet, moi. Puis j'aime ça challenge aussi, parce que ta question tantôt était parfaite Est-ce que tu t'empêches avec ta vision des choses? tu es économe par rapport à? Est-ce que tu n'essaies pas de maximiser ce que tu as? présentement, on fait un chiffre de demi-million de dollars au Creative Custom Tattoo En tattoo. Cet artiste, c'est excellent, mais il a une qualité de vie. Je ne les pousse pas trop, je veux qu'ils soient heureux. Ils ont une crise de belles cotes. C'est pas mal ça, tant mieux.

Speaker 1:

Comme on dit tout à l'heure, de toute façon, on ne cherche pas la réponse, non pas, en tout, c'est des discussions. Puis, moi, j'ai un billet de vendeur là-dedans, parce que les vendeurs, on a tout le temps pensé que we'll sell our way out of everything. Mais on, en tout cas, c'est un biais que les profils de vendeurs ont souvent, c'est que I can make more, i can make more, i can always make more because I can sell more, because I'm good at sales. I'm just going to sell more and get my ass out of it.

Speaker 2:

Imagine une personne qui serait capable, qui écoute la conversation présentement et qui pick and choose. Ah lui, il a décidé J'aime ça faire à manger. Il fait le calcul C'est 250$ aux deux semaines que je sauverais. Mais par exemple, fuck son esti de mode de vie, je veux son mode de vie, t'as 250$ de plus, c'est ça que j'aime de ces discussions, j'adore ça.

Speaker 1:

L'autre affaire, c'est C'est un exemple. Évidemment, il y a plein de façons de le rationaliser. Cet exemple-là, j'en parle avec ma blonde des fois, j'en parle avec des amis qui ont des salaires aussi, qui ont des bonnes jobs, et tout. Puis ils sont comme Non, non, non, moi je n'engagerais pas quelqu'un qui va faire ma pelouse. C'est 1500$ qui est enlevé sous ta paye. Puis d'ici, tu vas aller travailler 40 heures par semaine, tu vas faire 80 000$ par année, tu vas juste enlever 1500$ sous ta paye. Ça me fait moins mal, j'aime mieux avoir 1500$ de plus pour mes vacances, puis tourner la pelouse à tous les 10 jours pendant l'été et à toutes les 2-3 semaines au printemps et à l'automne. Ça fait du sens. Moi, pendant le temps que je suis en train de tourner la pelouse, je ne suis pas en train de closer un deal qui vaut peut-être 25, 30, 40, 50 000. Mon 1500 piastres, mon retour sur investissement de mon temps, il est complètement déconnecté par rapport au tien. C'est correct.

Speaker 1:

Je viens d'une famille de travailleurs. Je viens d'une famille de parents qui sont payés à l'année, qui travaillent dans le public. C'est un mindset. Travail sociaux, c'est payé par le public. Je les respecte, il y a plein de valeurs que j'ai gardées. Mais il a fallu que je déprogramme parce que ça faisait aucun sens. Mais la lâcheté en moi, j'étais comme voyons, je vais prendre mon temps pour tondre ma pelouse.

Speaker 1:

Ça fait aucun crisse de sens avec le mindset où je m'en allais. Ma vision long terme, c'est ça. Les gens que je regarde, qui ont le lifestyle que je veux, ils tondent pas leur pelouse. Comment je peux attacher ces morceaux-là? Il y a eu un paquet de questions qui se sont levées. Ça n'a pas été du jour au lendemain, c'est de même. Je ne dis pas que c'est une solution, je ne dis pas que c'est la réponse à personne. C'est juste des façons de réfléchir Pour moi. Même année, je m'en collisserais dans le vaisseau de mon 80 000 pour pas m'occuper de tout ça. Pis, juste me dire hé, chris, ils sont passés hier, la pelouse est toute faite, c'est donc bien beau, c'est parfait, je peux m'occuper, je peux aller faire du basic, je peux m'occuper de mes. Je reviens encore à ce que je disais tantôt mais Chris, si tu ne fais pas chier personne, tu es en pile, tu es tout sort.

Speaker 2:

Des fois, il faut que je me. Des fois, on dirait que j'impose. J'aimerais que le monde partage certaines de mes valeurs, pas parce que je suis meilleur, c'est comme du genre je pense avoir un bon filon. Il serait malheureux. De même, tu veux qu'il soit malheureux pour que toi, ta valeur, soit justifiée, ou?

Speaker 1:

que tu n'as pas de bon sens, je vais le dire. de même, la personne qui n'a aucune dette, qui est tout le temps en train de juger le monde, ou le gars qui est endetté de millions de dollars et qui sourit tout le temps et qui est toujours de bonne humeur et qui dort très bien la nuit, faisiez donc ce que vous voulez Sérieusement. Qu'ils soient endettés ou pas, ça ne change rien. Ce n'est pas ça la game. Ce n'est pas ça la vraie game. Pour moi, c'est une conversation, parce que c'est un outil qu'on utilise à tous les jours pour vivre dans la société et dans le capitalisme moderne qu'on a. Je veux dire ce n'est même pas ça la vraie game. La vraie game, c'est comment tu te sens avec tout ça, puis t'es-tu bien, puis le reste, on s'en calisse.

Speaker 2:

Tu disais je suis pas en train de closer un deal, on va continuer. Naval Show, naval Ravikant qui, très jeune dans sa carrière, je vais dire, s'est donné un salaire horaire. Tu t'en rappelles, ce concept-là, il existe. C'est lui qui me l'a communiqué. Je ne savais même pas que ça existait avant. Mettons que c'est rendu Combien tu vaux. Ça va être 5000$ à cet hour, lui c'est même plus que ça, lui, c'est 500$ Quand il était jeune, il dit qu'est-ce que je pourrais faire présentement?

Speaker 2:

Est-ce que 2000 piastres? je vais payer quelqu'un pour la faire. Ça peut être une belle unité de mesure de combien je vaux de l'argent.

Speaker 1:

C'est ton coût d'opportunité qu'il appelle, c'est carrément ça.

Speaker 1:

Est-ce que l'opportunité que je perds en allant faire cette chose-là à basse valeur vaut plus cher que ce que ça me coûterait de donner cette affaire-là déléguée à quelqu'un? je comprends. Ce n'est pas les contextes de tout le monde qui permettent de prendre ça et ce n'est pas tout le monde qui peut prendre ce même genre de risque-là. Ce n'est pas tout le monde qui est un closer non plus et qui peut aller juste sell his ass out of everything. Je comprends tout ça, mais par contre, est-ce que dans les deux sens, je reviens à la même affaire tantôt?

Speaker 1:

Est-ce que notre plus grande qualité devient notre plus grand défaut? Parce que si je fais juste prendre des risques comme un estime malade, j'accumule de la dette en fou. Un moment donné, je me ramasse avec un disconnect Si mes ventes ne sont pas où je voudrais. Oui, ça crée des enjeux de cashflow un moment donné, il faut que tu fasses de la méditation pour dormir le soir. C' mieux en mieux. Mais je veux dire, chris, ça amène des enjeux. Par contre, est-ce que de vivre toujours dans la sécurité, est-ce que tu ne perds pas des opportunités peut-être qui t'auraient amené réellement où est-ce que tu aurais envie d'être dans ta vie, peut-être aussi. Après ça, c'est propre à chacun. Puis je pense qu'on finit où on doit être. Mais oui, c'est le puis de s'entourer de gens qui sont complémentaires à nous pour balancer souvent les projets dans lesquels on navigue, il y a une couple d'affaires aujourd'hui que tu m'as dit.

Speaker 2:

Ça me fait réfléchir. J'adore ces discussions-là. Tu n'as même pas idée. Vraiment beaucoup Merci pour l'invitation. C'était extraordinaire.

Speaker 1:

Ça fait plaisir. On s'en va vers la fin. C'était vraiment intéressant Pour moi. j'ai eu l'impression de me faire interviewer au temps que je t'interviewais.

Speaker 2:

Finalement, c'était juste une discussion, C'est pour ça que je t'ai maillé dans le dos. J'ai dit est-ce que c'est une entrevue ou une discussion? Pour moi, c'était important parce que j'aurais pu se former maillé si j'avais dit que c'était une entrevue.

Speaker 1:

Non, À la fin. je pivote tout le temps. Je me suis inspiré d'un paquet de podcasts que j'ai écouté avec le temps. Peut-être que tu as déjà entendu ces questions-là. Je pique tout le temps dans des questions génériques que je demande au monde Qu'est-ce qui est le meilleur conseil que quelqu'un t'ait donné?

Speaker 2:

Oh, my God.

Speaker 1:

Pas de développement. Une phrase ou deux.

Speaker 2:

Hey man, laisse-moi deux secondes. Tu comprends son montage, au pire. C'est une excellente question, parce que je ne vais pas la laisser.

Speaker 1:

Mais en même temps, mais en même temps, je ne sais pas si c'est quelqu'un qui me l'a donné Ok.

Speaker 2:

C'est ce qui te pose mon intérêt.

Speaker 1:

Oui, c'est que, dans le fond, moi, une phrase ou deux, ou tu veux que je moi Une phrase ou deux, ou tu veux que je développe Une phrase ou deux. idéalement moins de développement. On a développé sur toi.

Speaker 2:

Parfait. Travailler sur soi-même a tout le temps été Travaille sur toi-même, parce que tu vas attirer les bonnes personnes vers toi à place de vouloir changer les personnes qui sont autour de toi. Genre, pour Exactement vers toi à la place de vouloir changer les personnes qui sont autour de toi pour pour qu'eux autres s'adaptent à toi. Puis, je ne ferai pas de développement, mais ça a été énorme pour moi, Énorme.

Speaker 2:

Le monde, tu deviens un aimant. C'est insane. Peu importe ton look, peu importe tes croyances, le monde, tu travailles sur toi. Tu t'arrêtes deux secondes, tu sais become invisible and come back. Ça marche.

Speaker 1:

Excuse-moi, j'ai développé. C'est quoi le pire conseil que quelqu'un t'a donné?

Speaker 2:

Moi un mois. Hé, man, je ne sais pas. Hé, c'est une excellente question. Hé, j'ai un blanc total. Dommage, je n'aimerais pas la personne Pour te mettre en contexte. Le chalet est super important pour moi dans ma vie, puisque je suis devenu. Une personne m'avait dit tu devrais vendre le chalet. Il savait exactement ce que ça représentait pour moi. Puis, je ne l'ai pas fait, évidemment, parce que quand je me suis séparé, c'était avec mon ex, le chalet était avec mon ex, puis on avait soit l'opportunité de le vendre ou de moi racheter ses parts. Puis, je ne reviens juste pas que cette personne-là me l'ait dit. Je suis même pas en crise, qu'elle connaisse l'importance que ça a dans ma vie. J'en reviens juste pas. C'était le pire conseil.

Speaker 1:

Il est poche, désolé. Non, c'est parfait, ça t'a marqué.

Speaker 2:

Vraiment, Parce que je suis allé changer ma vie Automatiquement. C'était très intense.

Speaker 1:

J'ai changé mes vies. Quand tu vas partir, c'est quoi la seule chose que t'aimerais? que les gens se souviennent de toi.

Speaker 2:

Ah, mon Dieu que j'ai eu un impact positif Parce que longtemps, malheureusement, j'étais négatif dans ma pensée, très axé sur moi-même aussi. Puis, j'aimerais ça savoir que j'ai fait de la différence pour quelques personnes ou qu'en général, j'ai fait de la différence. On a tous fait du mal dans la vie. J'aimerais ça savoir que j'ai fait une différence positive. Ça c'est en même histoire. J'ai répondu à cette question-là récemment.

Speaker 1:

Fainé au moins avec des points en positif, absolument.

Speaker 2:

Ah man, Ils disent tout le temps tu ne peux pas réécrire ton histoire, mais tu peux écrire comment elle va se terminer. Ça m'a marqué aussi. Je pense que c'est une bonne personne. C'est parce que je vois ce que j'ai été et je vois ce que je suis aujourd'hui et ce que je vais devenir. C'est excitant.

Speaker 1:

Tu dis-tu des fois que Tu dis-tu, des fois que Tu dis-tu, des fois que tout le monde sait ça, dans quel sens Que c'est le même pour tout le monde? Tu sais que chaque personne âgée, chaque enfant actuel, chaque adulte de notre âge, on est-tu biaisé par notre propre vie de se dire que tu sais, on évoltu biaisé par notre propre vie de se dire que on évolue. Puis, j'ai tellement progressé dans ma vie, j'en reviens pas. Quand j'étais jeune, j'étais là, puis maintenant je suis rendu là Quand j'ai au reste, tu comprends-tu?

Speaker 1:

C'est comme Dans le fond, on est-tu tous juste là Si tout le monde fait ça?

Speaker 2:

dans le fond, on fait tout ça. On s'aperçoit tout le temps qu'on s'aperçoit un petit peu des fois trop tard, qu'est-ce qu'on aurait dû faire avant? Évidemment, on n'est pas la même Ultimement. Si je suis rendu la personne que j'aime beaucoup présentement aujourd'hui, sans me vanter zéro pour mes valeurs à moi, c'est parce que les erreurs que j fait avant, j'ai appris. Si je ne les avais pas faites, probablement que je ne serais pas rendu là. Plusieurs personnes nous ont quittés parce qu'ils ont décidé de s'enlever la vie. Probablement que ces personnes-là ne voyaient pas la lumière au bout du tunnel. Je suis extrêmement désolé parce que j'en ai connu moi-même. C'était riddled with fucking problems, C'est fou. Mais fait, riddle with fucking problems, C'est fou. Mais clairement, c'est une bonne question. J'ose espérer que les personnes Je ne sais pas pourquoi ça arrive beaucoup ces temps-ci.

Speaker 2:

Il y a un livre que je n'ai pas encore lu et que je veux vraiment lire 30 Lessons for Living, qui sont les personnes âgées, Genre les trois top raisons. J'ai vu un reel. Il ne va pas longtemps, c'est de un. Les trois personnes ont dit la même affaire L'argent n'a pas l'importance que je pensais qu'elle avait. Il dit j'aurais aimé ça. Arrêtez d'en gagner. Oh, excuse-moi, moins taxer là-dessus et sur les biens matériels, puis me concentrer sur mes enfants et sur mes relations. Il y avait aussi dire au monde que je les aime. Puis il y avait la gratitude, Savoir que j'en ai assez. Ça, ça me fuck man, ces affaires-là. Sénèque, il l'a dit, Épictète, excuse-moi, Il l'a dit When one man, quand un homme sait qu'il en a assez, c'est une richesse.

Speaker 1:

J'en ai assez. Quand t'es complet, tu manques de rire. C'est pour ça que faire la paix. Il y a une notion d'être complet là-dedans, que j'en reviens tout le temps. C'est comme. C'est un temps où j'avais beaucoup de mantra, parce que je me reconditionnais, je me répétais des affaires pour essayer de changer mon subconscient, parce que je voyais que j'avais des patterns fucking toxiques pour moi-même. Un des patterns, à un moment donné que je me rendais compte, c'est que j'étais là Esti, voyons, il manque tout le temps, il manque tout le temps. Puis, là, manque, manque de quoi? L'argent. Mais là, un des mantras que j'avais, c'était pas genre I wanna make more money, ou Je veux plus avoir de dettes, ou tout ça, ça a été I wanna feel good about money, about money.

Speaker 1:

C'est un mantra-là. Je pense qu'il est ancré maintenant, j'ai plus besoin de me le dire, mais ça a été genre Whatever, c'est quoi qui se passe dans mon compte de banque, i want to feel good about it, point final. Ça a vraiment changé complètement ma relation avec l'argent. Quand je me suis dit ça, ça a été comme OK, là je peux jouer. Tu sais, les meilleurs joueurs, c'est ceux qui sont capables d'observer le jeu au complet et de ne pas rentrer dans. Ils ne sont pas tout le temps en train de tomber dans l'émotion réactive du dernier play qui a été fait. Ah, tabarnak, je n'avais pas vu le play. Il faut que je réagisse. Ceux qui font la pile et qui feel good about the game at large, ils comprennent que ça ne finira pas après ce jeu-là, ça ne finira pas après ce jeu-là, ça finira pas après cet autre jeu-là, ça finira pas après ce jeu-là. Fait que si tu feel good about the outcome, when you feel good about losing, t'es un bâtard.

Speaker 2:

Je veux pas trop en beurrer épais, pis te licher le cul, mais c'est parce que tu me sembles je suis en train de lire Breaking the Habit of Being Yourself, donc briser l' d'être vous-même, de Joe Dispenza. Puis, man d'un, tu m'as dit deux choses aujourd'hui. D'un, ton truc d'argent-là que tu t'es, tu as habitué ton cerveau à avoir un nouveau pattern de pensée. C'est tough, man, c'est tough, sois fier. Puis, tantôt, je ne reviens même pas que je n'ai pas reparlé, tu Sois fier. Puis, tantôt, je ne reviens même pas, que je n'ai pas reparlé, tu t'es désintoxiqué par toi-même.

Speaker 2:

Ça, mon chum, c'est tough. Je suis passé par là, je n'ai pas eu de la désintox. Je suis fier d'avoir arrêté ce que j'ai arrêté. Tu as mis en pratique, sans l'avoir su. Il faut être fait fort d'esprit. Je t'ai mis en pratique les leçons de Joe Dispenza. Présentement, que je trouve que c'est un fucking génie, non, mais c'est parce qu'il faut être fort. Ça ne veut pas dire que tu es parfait. Ça veut dire que, peu importe ce que tu vas vouloir entreprendre, tu es capable de le faire ou de te minder pour le faire. Il peut y avoir des obstacles, évidemment que c'est incontournable. Il y a un ouragan. Il y a un ouragan, puis ça a tout détruit, puis c'est ça qui est ça. Mais c'est fort Ton truc de désintox tes manchots, comme ça, que tu t'es répété changer sa manière de se lever, c'est top, changer ma relation avec le cadran.

Speaker 1:

La relation avec le cadran, c'est pas parfait. Je me lève pas plus. Moi, je me lève, moi c'est rendu. Je n'ai pas le choix. Moi, je me dis que je me lève.

Speaker 1:

Ça me prend une demi-heure peut-être. Et tabarnak, pourquoi Au moins? Ah oui, des fois un petit peu plus que ça. Ah oui, je m'en crie, j'ai fait de la pique, ça. Il faut que je sois assis dans mon char à 9h, ou il faut que je sois au gym à 7h30, à 8h, à whatever, c'est quoi qui se passe dans mon horaire. Je me mets le buffer que j'ai. Si je me dis que je me mets un buffer plus serré pour avoir le nombre d'heures de sommeil que j'ai envie d'avoir quand les yeux vont m'ouvrir, je vais me souvenir que j'ai seté cette intention-là. T'as deux snows pour méditer, t'en as pas cinq. Fait que au père Rentre dans ton pattern de méditation. C'est ton intention. Mais tu sais, c'est plus facile qu'on pense Puis genre, pour de vrai, l'affaire qui m'a aidé le plus, puis que je vois le plus généralisé dans l'humanité, c'est que les gens essaient trop de comprendre les micro-choses.

Speaker 2:

Ah, OK, oui, Et définir comme tu disais.

Speaker 1:

Ils essaient trop de trouver la méthode de quelque chose, les étapes exactement qu'il faut faire pour que ça fonctionne. Ce qui m'a le plus aidé, c'est des affaires tellement basiques de s'éteindre une intention, de me visualiser quelque part plus loin, puis que j'avais envie d'être là, puis de tout le temps me répéter la même affaire, d'intercepter quand j'avais une pensée que je ne voulais pas avoir. Ce n'est pas si compliqué que ça. Tu es en char, il y a quelqu'un qui te coupe, tu as envie de le tuer, tu t'interceptes tu te dis voyons, je suis donc bien cave de m'être intercepté.

Speaker 1:

Est-ce que j'ai envie de faire ça la prochaine fois que quelqu'un me coupe?

Speaker 1:

Non, Parfait, la prochaine fois, moins en train d'être en vie, de le tuer. Puis t'avances de même dans la vie. puis les intérêts composés que ça crée, tout ça, on parle pas d'argent, on parle de compound. résultat un après l'autre, un après l'autre, un après l'autre, puis de ramasser le papier, puis d'avoir des points un petit peu positifs, puis de faire ci puis dans une relation, puis de me péter c'est quoi j'ai fait de pas? bien, qu'est-ce que j'ai à apprendre de tout ça? et de repartir avec ça? Mais ces petites affaires-là qui ont un réel impact. quand tu essaies de zoomer, tu ne vois plus rien, ta marnaque, Tu vois juste l'arbre. tu ne vois plus la forêt. À toutes les fois, à cette heure, que je me pète le pas, l'arbre, parce que l'arbre, j'ai bien voulu te fâcher après. puis je donne mes coups de pied dedans, je ne te coucherai jamais. la forêt au complet, Fait qu'à un moment donné, c'est toujours. je te le dis, c'est des mental models, C'est ma clé, en tout cas.

Speaker 1:

Puis, c'est l'affaire que je satisfait, stressé, anxieux, pas bien maladroit. Il s'empêche de devenir meilleur à cause de toutes ces affaires-là. Écoute, ce n'est pas parfait. Je fais ça en continu. J'ai encore des mauvais patterns, Mais OK, je ne veux plus jamais avoir de mauvais patterns. Impossible, Non, C'est impossible. Qu'est-ce qu'on peut développer? qui va m'aider à mieux vivre avec ces patterns-là? Les intercepter quand ils arrivent, pour ne pas rester pris dans l'émotion qui me crée? Ah ben tabarnak. je vais essayer ça à l'épicerie la prochaine fois que je vois un gars que je trouve, qui est mal habillé, Plutôt que de juger et de pointer du dos, j'ai donc bien l'air. Qu'est-ce que je pourrais me dire à la place? qui m'aiderait? Je ne serais pas game d'avoir ces culottes-là sur le dos, Chris. il est donc bien game lui d'avoir ces culottes-là.

Speaker 1:

Il est game en esti. Finalement, je suis jaloux.

Speaker 2:

Il est authentique.

Speaker 1:

Il est authentique, il a voulu le mettre et il se game de sortir. Ok, c'est un autre pattern mental. Plutôt que d'être en train de pointer du doigt Qu'est-ce que j'ai à apprendre de ça, je veux dire C'est demain, non, mais c'est même pas. Je vois même pas là, parce que c'est Qu'est-ce que moi je peux faire? Ben, non, mais comment, moi je peux, c'est même pas. J'espère que le monde fait ça. Pourquoi tu fais pas ça? Tu sais, avec ma blonde, des fois, je suis plus émotif parce que je l'aime. Puis, souvent, notre vraie nature, avec les gens qu'on connaît très, très bien, elle ressort plus vite. Je suis plus impulsif avec ma blonde qu'avec mes employés, mettons Puis, parce que je me permets d'être plus transparent, parce qu'on se conna aussi, elle a ses petits mots de swing, on navigue ça de même, mais en même temps, je parle pas mal plus vite de Ah, je m'excuse, j'aurais pas dû faire ça qu'avec un employé. J'y donne plus de valeur dans des conseils, on creuse plus cru dans des discussions quand on est ensemble.

Speaker 2:

Je me fais la vapeur du diable pour pas. Tu n'as pas peur que ça s'accumule, ces petites?

Speaker 1:

égratignures-là, quand on en parle. non, ils ne s'accumulent pas. Ils ne s'accumulent pas parce que c'est comme Voyons, tu es tombé dans les jambes. 30 secondes après, comme Voyons, tu capotes, tu es là. tu es là le matin. tu es correct, tu médites le matin.

Speaker 1:

Oui mais non, je ne me souviens pas d'avoir dit des domaines ingénieurs, mais encore ça, ça arrive Un petit peu. Tout de suite après, je suis comme excuse-moi, je pensais à telle affaire, ce n'était pas intentionnel. Encore là, j'ai des modèles mentaux qui me permettent de ne pas envenimer ça et que ça reste, comme mon dernier vidéo justement, qui en parle de jamais partir avec de la rancune envers d'autres personnes. Mettons que je trouve qu'il y a des gens dans la cuisine le matin. Je le sais que ça ne traînera pas jusqu'au soir, parce que quand on va partir, on va tirer un trait sur le chapitre d'un matin.

Speaker 1:

Puis, si le chapitre d'un matin, il y avait une émotion de merde parce que j'ai mal dormi, parce que ça en vient de son bord aussi, il y a quelque chose qui a fait qu'on n'était pas dans la même énergie, on va fermer le chapitre. On va se dire sorry pour tantôt. Je te souhaite une bonne journée. Je le sais qu'il peut arriver n'importe quoi de grave dans la journée. Je n'ai pas envie que mon dernier souvenir de toi et ça soit. Je te trouvais dans les jambes pendant que je me.

Speaker 2:

Ça c'est fucking fort La maladie aussi. Tu nous enlevais dans deux secondes.

Speaker 1:

Je veux dire quand tu te dis que le pire arrive tellement plus vite qu'on pense tout d'un coup tout ce que tu prenais pour acquis, finalement, tu as de la gratitude pour ça. Puis, c'est pas de la magie, c'est pas des affaires de sorcière. Le tabarnak, c'est pas de la magie, c'est pas des affaires de sorcière, c'est juste une façon de se comporter. Après, ça, ça influence tes comportements, ça se comporte dans tes relations. Tu entretiens des relations qui sont plus saines, qui finissent par faire que tu te sens mieux parce que tu anticipes moins les affaires dans le futur, que ça fait que tu dors mieux le soir. Je veux dire Chris, on peut se comporter tout. Même On va se rendre jusqu'à la fin de mes jours en disant des effets positifs que ça pourrait avoir. En bout de ligne, je pense que j'ai juste envie d'être mieux pour moi-même.

Speaker 1:

Je me dis Chris, ça peut-tu aider d'autres mondes. Probablement, ce n'est pas de la science infuse, mais j'ai remarqué des affaires qui m'aidaient, naval. Il est drôle, on va finir le Ratnaval show là-dessus. Mais il est drôle parce qu'il dit moi, je suis un rational bouddhiste. Il dit le bouddhisme. Il dit il y a des affaires que j'ai été capable de vérifier. Il dit quand je respire, est-ce que je me sens mieux après? Oui, ça, j'adopte ça.

Speaker 1:

Est-ce que la vie après la mort, c'est le prolongement de la vie que j'avais avant ma vie? Il dit moi, avant de vivre, je me rappelle de rien. Puis, après que je vive, ça va sûrement être pareil comme avant. Il n'y a rien, c'est tout. Je ne suis pas capable de le prouver, je n'adhère pas à ça. Mais tout le reste Fait qu'à quelque part, prenez ce que vous voulez là-dedans. Mais je veux dire un moment donné, il y a des affaires qui sont fondamentales, que c'est quasiment hard science. C'est comme tu sais si tu prends pas ta blonde pour acquis, puis tu lui dis que tu l'aimes à chaque jour ça se peut que ta relation dure un petit peu plus longtemps, absolument Souvent.

Speaker 2:

Ce que tu as, c'est ce que le monde veut avoir aussi, je ne sais pas si tu comprends ce que je veux dire. Tu es avec ta blonde, tu l'as, tu penses que tout va super bien, tu la prends pour acquis jusqu'à temps qu'il y ait quelqu'un à côté qui a veut ta blonde, puis, lui, il ne ferait pas tes crises d'ignité que Il ne fallait pas faire des chrétiennes, il fallait que tu y penses Vraiment quand je me suis blessé au pied, je le prenais pour acquis mon pied droit avant de gérer ma blessure et que je manquais de le perdre.

Speaker 1:

J'étais là, chris. Je ne pensais pas que je t'aimais au tamine. Après ça, tous les jours, tu peux te regarder et te dire Chris il me semble. Tout d'un coup, tu développes de la gratitude pour des affaires que tu prenais donc bien pour acquis.

Speaker 2:

C'est ce que j'ai dit quand je sors de mon bloc, j'ai regardé la même place, parce que c'est comme le clocher de Saint-François-de-la-Sise, c'est juste beau, ça fait genre rue américaine. C'est beau, c'est vraiment beau. C'est que je sors et que je vois ça et que je me dis moi, j'ai la chance de sortir aujourd'hui et de voir ça. il y a plein de personnes aujourd'hui qui ne sont pas levées Tout de suite. c'est comme j'ai un sourire. Pas que le monde ne soit pas levé, toutes tes asthétiques problèmes, prends ça. cool, mon chum.

Speaker 1:

Souvent, je vis dans un spot de rêve, t'as vu un peu, tant que ça a l'air autour, c'est vraiment cool.

Speaker 1:

C'est correct. Mais tu sais, pour de vrai, je le réalise de plus en plus. Je pense Je le réalisais au début parce que j'avais l'espèce de lune de miel de nouvelle place, puis, bon, j'aime ça, puis c'est malade. Puis on est, tu t'habitues comme n'importe quoi, tu deviens conditionné, ça devient juste normal. Tu le vois plus. Et quand le monde vient, quand le monde vient, on m'en parle. Puis, quand je voyage, je me rends compte que mon standard de qualité pour mes voyages est augmenté. Chrissement, parce qu'on dirait que quand je voyage.

Speaker 2:

des fois c'est moins hot que chez nous souvent, puis là je suis le Chris.

Speaker 1:

Dans le fond, le monde, il vient en vacances dans ma vie de tous les jours. C'est bien dit. C'est vraiment une grosse réalisation. Tu parles au bout du monde pour être moins bien, c'est cool un.

Speaker 1:

Chris, ça arrive, on se promène et des fois, je suis comme un Chris, voyons, je finis par faire non. Non, tu as le droit de te sentir bien. Tu n'es pas dépendant de l'environnement. Tant que ça, pour te sentir bien, va chercher ce que t'as cherché dans cette place-là. Qu'est-ce que j'ai à apprendre ici? Je suis-tu obligé de revenir? Peut-être pas, mais en ce moment, je suis-tu sûr que ça a donné? Je suis-tu sûr? Profitons-en plutôt que de faire. C'est le plus beau jeu.

Speaker 1:

Je vais essayer d Mais oui, c'est ça, créer moins d'attentes un peu aussi par rapport à ça. Mais oui, ça, ça a été une grosse réalisation d'un moment donné. Puis, c'est une façon d'être vraiment grateful à tous les jours par rapport à où on habite, par rapport au Québec, par rapport à le Québec en général Pas juste que moi j'habite ici à côté d'un lac, puis c'est donc bien beau Mais vraiment, genre, la sécurité qu'on a, on prend ça pour acquis. Oui, on prend ça pour acquis.

Speaker 2:

Je parlais de mon pied droit, mais il y en a pour qui c'est? On est juste nés géographiquement à la bonne place.

Speaker 1:

On a gagné la loterie. L'auto, la grosse auto, c'est solide. Quand tu voyages, puis que tu parles avec d'autres mondes, puis que tu regardes un peu le contexte mondial, tu fais comme oh Christ, je ne le regarde pas tous les jours. Comme je te disais, je n'ai aucune idée de ce qui se passe en Israël en ce moment, puis je m'en excuse, mais je pense qu'avec le mindset de gratitude que j'ai, j'ai le droit de ne pas savoir ce qui se passe partout. Je me le donne le doigt maintenant, appelons ça comme on veut. Peut-être qu'il y en a qui vont dire que tu es la source du problème parce que tu penses de même. C'est individualiste, mais je l'assume, je l'assume vraiment, je vais le prendre. Ma dernière question Qu'est-ce que les livres t'ont appris qui n'étaient pas écrits dans eux?

Speaker 2:

Qui n'étaient pas écrits dans eux.

Speaker 1:

Je ne comprends pas la question excuse-moi, Qu'est-ce que les livres t'ont appris?

Speaker 2:

mais que tu n'as pas lu dans un livre. Je crois que c'est au niveau de la transmission de la connaissance. Moi, à chaque fois que je vois le livre provenir là-dessus de méditation de Marc Aurel, j'en reviens juste pour qu'on ait inventé une technologie que je suis capable de lire. C'est mon. J'espère que ça répond à ta question. J'en reviens pas. Je trouve ça plat. Remarque que, évidemment, avec les moyens de technologie qu'on a aujourd'hui, la connaissance peut se transmettre autrement. C'est pas parce que c'est un livre que c'est meilleur que n'importe quoi. Je trouve que la dynamique entre l'auteur et le lecteur, c'est quelque chose qui est extrêmement personnel. Imagines-tu tout le temps qui a été mis à un livre. J'ai eu la chance récemment de parler avec un homme qui a écrit un livre Et il m'a parlé des étapes par lesquelles il faut qu'il passe pour qu'il soit publié. Donc, lui, il l'a écrit au complet jusqu'à temps qu'il a été publié.

Speaker 2:

Je ne suis pas sûr que le monde comprenne. C'est malade dans la tête, c'est ridicule. Excuse-moi, c'est ridicule, c'est un art. Il y a tellement de personnes qui passent par-dessus, qui vérifient tes dires, qui te remettent en question carrément. Tu dis c'est quoi que tu as voulu dire? Je ne comprends rien, mon Dieu, peut-être que tu relis ça et que ça n'a juste pas de bon sens ce que tu as dit, mais non, je pense que c'est vraiment la transmission de la connaissance qui est possible grâce à l'écrit. Je trouve que cette relation-là, encore une fois, entre le lecteur et l'écrivain, c'est un privilège que j'ai de pouvoir le faire.

Speaker 1:

Vraiment pour le dessus. Très intéressant. Écoute, merci, merci à toi. C'est extraordinaire. Sonic, à la prochaine, j'ai l'impression, avec plaisir, ça, je ne lâche pas ton projet. Je pense que le dislecteur n'a que le meilleur devant lui, ça c'est sûr. Je ne passe pas en arrière, ça c'est clair. C'est un plaisir de t'accompagner là-dedans, merci man, un plaisir aussi, merci, merci, yes.

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