Tes excuses sont l'unique raison valable de faire CETTE CHOSE dès maintenant | Saison 2 ✨

Dans cet épisode, nous explorons comment les excuses peuvent nous freiner dans notre quête de bonheur et d'épanouissement. À travers le partage d'expériences personnelles, nous découvrons l'importance de transformer les excuses en motivations pour mener une vie authentique et riche de sens.

• Réflexion sur la responsabilité financière familiale 
• Importance du choix dans la réalisation de ses rêves 
• La parentalité comme source de motivation 
• Auto-sabotage chez les entrepreneurs 
• Ralentir pour mieux se recentrer 
• L'importance du respect de soi 
• Transformer les distractions en opportunités 
• Redéfinir le discours intérieur pour favoriser l'épanouissement

Bienvenue dans LES AFFRANCHIS, le podcast des audacieux qui osent bâtir leur propre modèle de réussite.

Je suis Laetitia, entrepreneure, ambitieuse et libre. Depuis 12 ans, je guide les bâtisseurs atypiques, les ambitieux et les esprits libres à transformer leur vie en véritables œuvres d’art.

Si tu veux bâtir une vie où beauté et simplicité se rencontrent pour laisser un héritage puissant – pour toi, tes enfants et le collectif – alors tu es au bon endroit.

Chapters

• 0:54 Bilan d'Une Année Chargée
• 16:17 Se Respecter Et Se Valoriser

Transcript

Speaker 1: 0:55

Je fais le bilan, cette année, d'une année où, pour la deuxième fois, j'ai donné le choix à mon conjoint de s'arrêter de travailler ou de continuer à travailler. Ma société générait suffisamment de revenus pour qu'il puisse avoir le choix. La première année, il a choisi de continuer à travailler parce qu'il ne voyait pas vraiment le principe de s'arrêter, et la deuxième année, nous avons choisi de partir en voyage, et notamment un voyage au Canada, où notre grand rêve, c'était évidemment de voir l'automne au Québec. Et donc, l'automne au Québec, c'était sur un mois pendant lequel il ne pouvait de toute façon pas, tout au long de sa carrière, avoir de vacances pendant ce mois de septembre. Donc, pour pouvoir aller au Canada en septembre, il lui fallait de toute façon arrêter de travailler pendant au moins un an. C'était soit tout soit rien. Et donc il a choisi de s'arrêter de travailler. Et je viens de partager ici cette compréhension des grandes excuses, grandes excuses.

Speaker 1: 2:06

Donc, pendant cette année-là, j'ai donc été, l'année se terminant, pendant plus de 18 mois, j'ai été le seul revenu familial. Nous, on fait l'instruction en famille, ce qui veut dire qu'on n'a pas l'école gratuite. Un enfant qui est de 8h à 17h entre 4 murs et qui est à l'école, on a un enfant avec des lourdes charges, puisque quand on fait l'instruction en famille, en général, on le fait pour pouvoir avoir des projets. Nous, on fait beaucoup de projets. Donc, ça demande un énorme budget, on ne va pas se le cacher. Et nous, en plus, nous avions choisi de partir au Canada d'ouest en est On a fini avec le Québec, mais nous étions à l'ouest aussi Et le Québec, mais nous étions à l'ouest aussi.

Speaker 1: 2:38

Et cette même année-là, j'ai eu envie d'inviter mon père en voyage. Donc, nous sommes partis à trois générations en voyage, puisque je me disais qu'il n'y aurait peut-être pas d'autres moments pour faire ça. Donc, il y avait quand même deux grands voyages à payer et surtout, j'étais le seul revenu pendant tous les autres mois. Donc, je viens ici te rapporter, en fait, que j'aurais pu utiliser cette charge pour en faire une bonne excuse. J'ai trouvé que c'était vraiment le fait d'être le seul revenu familial une magnifique excuse pour ne pas s'écouter Pourquoi? Parce qu'en fait, il faut faire tourner la famille, il faut faire tourner le budget familial, il faut faire des courses, il faut acheter de la nourriture, il faut payer la maison, il faut payer les charges, il faut faire face à des imprévus, évidemment, des augmentations.

Speaker 1: 3:34

Alors, nous, en plus, on a fait ça quand il y a eu une augmentation très, très, très importante des tarifs partout. Et, en réalité, ce qui s'est passé cette année a été exactement le contraire, c'est-à-dire que je me suis retrouvée à la place qu'occupent de nombreuses femmes entrepreneurs, bien sûr, bien sûr, et à la place que beaucoup d'hommes ont depuis la nuit des temps, c'est-à-dire avoir la charge du foyer, et c'était la charge financière aussi, en plus de la charge émotionnelle que nous avons à gérer au quotidien de notre famille, de nos enfants, de notre partenaire de vie, etc. Et en fait, cette année, quand je la regarde avec recul, je m'aperçois que je prends très peu de choses extérieures à moi comme excuses. En fait, je ne trouve jamais qu'il y a d'excuses. Au moment où j'enregistre cet épisode, je suis en Inde, en voyage d'un mois avec d'autres familles, et parmi ces autres familles, on vit dans une communauté, dans une ferme en Inde. Il y a d'autres familles qui sont là et qui disent souvent Oui, mais comme on voyage, comme on est en Inde, comme il y a des problèmes de connexion». Tout ça, ce sont des excuses.

Speaker 1: 4:51

En fait, on ne peut pas faire tourner nos business. Donc, on fera tourner nos business quand on rentrera à la maison dans deux mois, trois mois, quatre mois, six mois, huit mois, à 1 an, et, en fait, pour moi, il n'y a aucune excuse extérieure valable, non pas pour faire tourner le business, mais pour faire ce qu'on aime. Parce que moi, dans ma façon de faire du business, je ne fais pas du business, je fais ce que j'aime Et donc, je suis payée à faire ce que j'aime. Je suis payée à faire ce que je suis, à être qui, je suis no-transcript. Je vois que c'est une excuse pour se rouler sous le travail, pour faire des horaires exécrables, pour ne pas prendre soin de sa santé, pour dormir très peu de sa santé, pour dormir très peu.

Speaker 1: 6:02

Et cette année, j'ai décidé de faire le contraire. Cette année, j'ai décidé de faire le contraire. J'ai décidé que, puisque j'étais le seul revenu de la famille, puisque c'est moi qui devais assurer la sécurité de notre noyau familial, puisque c'était moi qui devais financer les voyages et on l'avait choisi, je n'avais justement aucune excuse pour pas prendre soin de moi, prendre du temps pour moi, faire des choses encore plus qui me plaisent, justement parce que je suis le seul revenu de la famille. Et donc, il faut encore plus que je me fasse plaisir. Et après, on va dire, à peu près huit mois je l'ai pas calculé à la semaine près je me suis aperçue que, voilà, on a perdu mon beau-père cette année aussi, et je me suis aperçue que j'avais besoin de ralentir, sauf que si moi, je ralentis, il y a de fortes chances que ça impacte mon business. Voilà de fait. Et alors, pas immédiatement, mais dans les quelques mois qui suivent, voilà, il y a une certaine inertie pour que les choses se fassent. Je savais que ça allait impacter mon business Et, à la fois, je n'avais pas d'excuses, parce que c'est au contraire la seule raison pour laquelle il faut que je ralentisse et que je m'écoute.

Speaker 1: 7:32

Justement parce que, parce que quoi? Parce que je suis le seul revenu, et donc, ça, ça s'applique à n'importe quelle chose que tu utilises comme excuse, et j'aimerais que tu changes simplement cette phrase et que tu te dises mais c'est justement la raison pour laquelle je dois on va prendre d'autres éléments comme ça que j'entends, par exemple les enfants. Alors ça, moi, ça me fait des frissons dans le dos quand j'entends des gens qui disent oui, mais tu comprends souvent des femmes, comme je m'occupe des enfants, comme je dédie beaucoup de temps à mes enfants, je ne peux pas faire telle chose ou telle autre, faire telle chose ou telle autre, et du coup, je ne peux pas développer mon business, je ne peux pas faire ma passion, je ne peux pas faire de danse, je ne peux pas faire ce qui me plaît, je ne peux pas. Et donc, ça, ça fait porter finalement une charge sur nos enfants, sur nos familles. Eux, ils n'ont rien demandé, ils n'ont pas demandé d'être l'excuse de rien du tout.

Speaker 1: 8:20

Donc, déjà, on a un vrai premier problème, c'est qu'on leur fait porter quelque chose sur lequel ils n'ont pas le choix, et peut-être que rien que si on leur demandait, on leur disait est-ce que tu es d'accord, toi, pour porter pendant 5 ans, 10 ans, 20 ans, la temps, la charge que j'aurais pas pu faire ceci ou cela, demandez à vos enfants, ils seront certainement pas d'accord. Et donc, ça veut dire que, finalement, c'est une excuse. Mais c'est pas ok. Quoi? C'est pas ok? parce que ça n'a pas été validé par les personnes qui sont impliquées dans la relation.

Speaker 1: 8:52

Donc, du coup, si on change cette phrase et qu'on se dit mais c'est justement parce que j'ai des enfants que je prends soin de moi, c'est justement parce que j'ai des enfants que c'est la raison pour laquelle je dois me faire plaisir, je dois faire du sport, je dois développer mon business, je dois développer ma passion, je dois me former, je dois gagner plus d'argent, je dois me faire plaisir, je dois Et ça, c'est vraiment important qu'on passe de l'excuse à justement être la raison pour laquelle, parce qu'en vrai, c'est la raison pour laquelle, et en faisant l'instruction en famille, je veux dire, je suis quand même assez bien placée pour dire que nos enfants ne peuvent pas être l'excuse pour ne pas faire.

Speaker 1: 9:39

Voilà pourquoi, moi, je n'ai jamais eu de meilleur chiffre d'affaires après 5 ans d'instruction en famille, alors que ça fait 12 ans que je suis entrepreneur. Donc, dire que nos enfants nous empêchent d'eux, c'est une responsabilité qu'on leur fait porter qui n'a pas lieu d'être, parce que ça peut se faire autrement. Parfois, parfois, j'ai d'autres excuses qui sont bah oui, mais ça, c'est pas, c'est pas, ça coule pas de source pour moi, c'est pas facile pour moi de communiquer, de faire mon site internet, d'aller chercher des nouveaux clients, d'aller participer à des du réseautage, c'est pas facile pour moi, ok, d' d'accord. Et si on change le truc et qu'au lieu de dire c'est ce qui m'empêche d'eux, voilà, parce que c'est ça, quand on utilise une excuse, c'est ça qui m'empêche d'eux, c'est ma difficulté qui m'empêche d'eux. Et si on le change et qu'onique moi, j'avais un client un cerveau délicieusement différent et qui avait beaucoup de mal à comprendre les interactions sociales. Dans l'autisme, c'est quelque chose qui est extrêmement courant.

Speaker 1: 10:55

Donc, c'est un adulte, il, et, en fait, comme il comprenait très mal les interactions sociales quand il a commencé à participer à des réseaux entrepreneuriaux, il m'a dit Laetitia, il faut que tu me files les codes là de comment ça se passe, ce genre de truc, parce que je ne comprend pas très bien ce qu'il me faut faire, ce qu'il me faut dire, ce qu'il faut que je fasse ou ce qu'il faut que je ne fasse pas. Donc, je l'avais expliqué avec mon regard, comment ce genre de situation pouvait se passer Et il me disait mais en fait, j'ai tellement de difficultés à être en lien avec les gens dans une session de groupe que je dois, justement. Alors, ce n'est pas je dois, c'est que, justement, j'ai envie d'aller dans ce genre d'endroit pour mieux me connaître à moi et pour voir si je pourrais être différemment, si je pourrais faire différemment, si je pourrais envisager les choses différemment, si ça pouvait me faire réaliser des choses sur moi, si je pourrais peut-être me découvrir une compétence, une qualité que, jusque-là, je n'avais pas vue. Alors qu'il avait 50 ans et donc, ça faisait quand même un petit moment qu'il vivait avec lui-même. Et donc, à partir du moment où on tourne le disque dans l'autre sens, où on arrête d'utiliser les gens, les choses, les situations, en se disant oui, mais tu sais, moi j'aime pas choisir.

Speaker 1: 12:16

Donc, du coup, c'est toujours difficile de Ou bien moi, par exemple, en vrai, j'ai une petite voix à l'intérieur de moi qui fait que je connais la réponse à ce que je veux immédiatement. Cela dit, j'aime prendre le temps de choisir, j'aime prendre le temps de choisir un vêtement, j'aime prendre le temps de choisir un cadeau. Ça me prend du temps et j'aime ça. Je connais la réponse, je sais ce que je veux tout de suite, mais j'aime prendre ce temps d'être nourrie par le choix que je suis en train de faire. Quand j'achète un accompagnement, je prends le temps.

Speaker 1: 12:47

Je sais que c'est ça qu'il me faut, je sais que c'est ça que je veux, mais je prends le temps et je pourrais dire ah, oui, mais tu sais, moi, c'est ces trucs où il faut se décider vite, où, tu sais, moi, je n'ai pas beaucoup de temps pour me décider. Mais en fait, je fais un choix. Et si je me disais que, justement, moi qui adore prendre le temps pour faire des choix. C'est justement la raison pour laquelle je me libère du temps, pour avoir du temps de faire les choses bien comme moi, je l'entends. Donc, tu vois, c'est simplement une façon différente.

Speaker 1: 13:23

Et ce que j'ai appris vraiment de cette année où mon conjoint n'a pas travaillé, c'est que ça aurait pu être l'excuse pour foncer, l'excuse pour aller droit au burn-out. Alors ça, je ne sais pas faire. Donc, on va dire que ça aurait pu être l'excuse pour quelqu'un d'autre, mais pas pour moi. Ça aurait pu être l'excuse pour continuer à vendre des choses qui n'étaient plus vraiment dans mon intérêt d'aujourd'hui. Ça aurait pu être plein de choses.

Speaker 1: 13:51

Mais comme mes clients me disent t'es de la team no excuse ou zéro excuse, pourquoi je comprends pas l'idée? je comprends pas l'idée parce que c'est justement parce que mon conjoint s'arrête de travailler que je suis le seul revenu de la famille, que je me dois envers moi-même un respect profond d'aller à mon rythme, parce que sinon, en fait, je le ferais, quand C'est justement là que je me dois le respect de ralentir, parce que j'en ai besoin, parce que j'en ai envie, parce que c'est nécessaire, parce que je perçois que c'est correct, parce que je perçois que c'est juste. J'aurais pu avoir l'excuse de plein de choses. C'est tout le contraire. Ça a été la raison majeure pour, justement, ne pas faire comme ça, ne pas me maltraiter, ne pas me blesser, ne pas me contraindre, me compromettre. Et souvent, quand je vois les situations avec les enfants, le conjoint, le chien, le chat, la grand-mère, etc. Mais c'est justement le parfait moment, parce que c'est exactement pour ça que je me dois du respect Et ça, vraiment, j'aimerais que tu essayes de te l'appliquer.

Speaker 1: 15:08

Tu prends tes petites phrases là que tu dis oui, les enfants, la belle-mère, le chien, le chat et le perroquet, et tu retournes simplement la phrase Parce que si moi, si moi, quand j'ai un business, voilà, j'ai un business que je développe depuis 12 ans, on est en instruction en famille. Depuis cinq ans, mon conjoint s'arrête de travailler, je suis le seul revenu familial. Ok, si je m'applique tes excuses. Déjà, il n'a beau plus beaucoup qui tiennent. Si déjà tu avais besoin d'une preuve que c'est possible, tu l'as. Mais ensuite, si j'ai pu faire tout ça, c'est parce que rien ni personne n'a jamais été une excuse pour faire ou ne pas faire. C'est justement une raison. C'est justement parce que je suis maman que je me dois le respect de faire ce que j'aime. Parce que quand moi, je suis nourrie, quand je fais ce que j'aime et qui ressemble pour certaines personnes à du travail, alors moi, ça ressemble à ma passion et j'ai une grande chance, c'est que je suis très fortement rémunérée pour ma passion. Mais quand je suis nourrie, je peux nourrir l'autre.

Speaker 1: 16:18

J'ai fait un épisode de podcast sur ce sujet, sur mettre son masque avant de le mettre à quelqu'un d'autre le masque dans l'avion. Tu pourras aller l'écouter Et c'est vraiment, vraiment important parce que j'entends tellement, tellement de petites phrases sur Oui, tu sais, ce n'est pas toujours facile, tu sais, la vie c'est pas toujours facile. Tu sais, la vie c'est pas facile. Tu sais, c'est complexe, c'est très facile. En fait, c'est très facile Ce que tu vis. C'est la raison pour laquelle tu dois te respecter.

Speaker 1: 16:45

Et si moi, en étant le seul revenu familial, en faisant l'instruction en famille et avec de tels voyages, je n'ai pas utiliser tous ces éléments-là comme des excuses pour ne pas me respecter, je veux dire, c'est donc possible. C'est donc possible Et c'est très grave en fait, d'utiliser les choses ou les gens à l'extérieur de nous pour continuer à se maltraiter. C'est très grave.

Speaker 1: 17:13

Et dans le milieu de l'entrepreneuriat il y a un épisode sur ça aussi. La maltraitance est tellement fréquente et tellement normalisée que, attention quoi? Attention dans le vrai sens. Mettons de l'attention dessus, parce que c'est pas normal Et la seule personne qui puisse prendre soin de toi, c'est toi. On va pas attendre que ce soit quelqu'un d'autre. Ça paraît évident, mais je me permets de renforcer ce sujet.

Speaker 1: 17:48

Donc, essaye, dans ton langage justement, ces choses-là, de les utiliser comme la raison majeure pour te faire plaisir, pour la raison majeure pour faire des vrais choix, la raison majeure pour faire ce que t'aimes, parce que, de toute façon, il n'y a que toi qui pourras le faire. Donc, on va remplacer les excuses par la bonne raison. Et je vais terminer avec un dernier exemple. Quand, moi, je suis arrivée en Inde, je voulais reprendre mes lives et, en fait, je suis arrivée ici, la connexion était mauvaise. Il y a des animaux, donc il y a des coques, il y a des poules qui font un bordel pas possible. Il y a beaucoup de personnel sur la ferme, donc il y a du bruit. Comme dans une ferme, il y a 14 enfants, donc il y a du bruit d'enfants. Il y a les parents des enfants, il y a les scooters qui klaxonnent, il y a les voitures qui passent, il y a des vaches, il y a des chiens, il y a tout ça. Et donc, quand je suis arrivée ici, je me suis dit mais jamais je vais pouvoir faire de live Dans ces conditions. Ce n'est pas possible.

Speaker 1: 18:49

Moi, mon audience, elle est habituée à des lives qui sont propres, où il y a un beau fond, où c'est beau, c'est soft, c'est recherché, c'est doux, c'est agréable. Voilà, ok, je suis arrivée à un Ici. C'était le bordel organisé Et du coup, qu'est-ce que je fais? Je reprends pas mes lives, parce que que je suis en Inde et que c'est le bordel et que mon audience, elle est habituée à ceci, à cela, où, en fait, c'est justement la raison, c'est justement parce qu'il y a le coq, c'est justement parce qu'il y a la vache, c'est justement parce qu'il y a les scooters, c'est justement parce que c'est le bazar et qu'il y a beaucoup de vie, que c'est la raison pour laquelle je vais à voir avec ce que je fais d'habitude. Et tu sais quoi, ces lives-là, ils ont eu beaucoup plus de visibilité que n'importe quel autre live que j'ai pu faire jusque-là. Donc, je te laisse ça à réfléchir.