
LES AFFRANCHIS
Bienvenue dans LES AFFRANCHIS, le podcast des esprits libres, audacieux et ambitieux qui façonnent un nouveau modèle de réussite, à la croisée de l'art de vivre et de la parentalité.
Je crée la symbiose entre l'Intimité, l'Ambition, la Maternité et l'Héritage.
Guidé(e) par Laetitia – entrepreneure visionnaire et passionnée depuis 12 ans – ce podcast est une invitation à :
- Élever ton entreprise et ta vie de famille au rang d’œuvre d’art, empreinte de sens, d’ambition et de simplicité.
- T’affranchir sans te rebeller, en créant et incarnant un modèle entièrement nouveau, aligné sur tes valeurs profondes.
- Tisser un héritage puissant, pour toi, tes enfants et le collectif : un héritage qui nourrit l’âme et redéfinit les standards du possible.
Entrepreneur, parent, bâtisseur ou rêveur, ici, l’entreprise devient un outil d’épanouissement, de transmission et d’invention. Chaque épisode t’aide à simplifier, universaliser et réinventer avec audace – tout en honorant ta liberté et ta singularité.
Si toi aussi, tu veux bâtir une vie élégante et impactante, mêlant beauté, ambition et héritage… alors ce podcast est ton rendez-vous incontournable.
➡️ Mon métier :
Je m'appelle Laetitia Martos et je suis entrepreneur depuis 2013.
Je crée des espaces doux, confidentiels, intimes et bruts grâce auxquels tu oses et assumes pleinement qui tu es publiquement et rapidement.
Je me lève le matin pour créer des nouveaux chemins sociétaux qui peuvent être imaginés via ton parcours entrepreneurial et qui inspireront d'autres à faire bouger les lignes de nouvelles normes.
🫦 Je suis performante quand j’accompagne des entrepreneurs rapides, courageux et excellents dans leurs métiers.
🎁 Et si en plus tu es neurodivergent(e), mon profil te permettra d’exceller.
😋 Delicious Different Brains
Tous les codes concrets pour créer un business unique, sexy et prospère sans aucune méthode toute faite. On trouve ta méthode et on démultiplie tes succès.
🫦 eXpression
One To One pour révéler ton X Facteur, l’Assumer au niveau cellulaire, l’Exprimer et Oser le Révéler publiquement, le tout en un temps record.
💻 Retrouve mon site internet et mes propositions d'accompagnement ici
LES AFFRANCHIS
14 mois non stop de clients idéaux, le secret bien gardé est ici | Saison 3 ✨
Laetitia explore l'idée de se défaire de son déguisement professionnel pour embrasser son authenticité. Elle partage son parcours personnel et les vérités sur son identité entrepreneuriale, tout en invitant les auditeurs à réfléchir à leur propre rapport aux titres et à l'authenticité.
• COMMENT définir qui nous sommes vraiment au-delà des titres
• L'impact de la vulnérabilité sur le succès professionnel
• Questionnements sur la place de la créativité et de la liberté dans le travail
• Invitation à se révéler sans faux-semblants
Si toi aussi, tu veux m'écrire une lettre manuscrite clique ici et envoie le mot "LETTRE""
Bienvenue dans LES AFFRANCHIS, le podcast des audacieux qui osent bâtir leur propre modèle de réussite.
Je suis Laetitia, entrepreneure, ambitieuse et libre. Depuis 12 ans, je guide les bâtisseurs atypiques, les ambitieux et les esprits libres à transformer leur vie en véritables œuvres d’art.
Si tu veux bâtir une vie où beauté et simplicité se rencontrent pour laisser un héritage puissant – pour toi, tes enfants et le collectif – alors tu es au bon endroit.
Bienvenue dans LES AFFRANCHIS, le podcast des esprits libres, audacieux et ambitieux qui façonnent un nouveau modèle de réussite, à la croisée de l'art de vivre et de la parentalité.
Je crée la symbiose entre l'Intimité, l'Ambition, la Maternité et l'Héritage.
Guidé(e) par Laetitia – entrepreneure visionnaire et passionnée depuis 12 ans – ce podcast est une invitation à :
🌸 Élever ta vie de famille au rang d’œuvre d’art, empreinte de sens, d’ambition
🌸 T’affranchir sans te rebeller, en créant et incarnant un modèle entièrement nouveau, aligné sur tes valeurs
🌸 Tisser un héritage puissant, pour toi, tes enfants et le collectif : un héritage qui nourrit l’âme et redéfinit les standards du possible.
Entrepreneur, parent, bâtisseur ou rêveur, ici, l’entreprise devient un outil d’épanouissement, de transmission et d’invention. Chaque épisode t’aide à simplifier, universaliser et réinventer avec audace – tout en honorant ta liberté et ta singularité.
Si toi aussi, tu veux bâtir une vie élégante et impactante, mêlant beauté, ambition et héritage… alors ce podcast est ton rendez-vous incontournable.
Retrouve moi dans des espaces intimes et puissants d'accompagnement, c'est mon métier depuis 12 ans sur www.laetitiamartos.com
aujourd'hui, je viens vous parler d'une thématique qui a longtemps été difficile pour moi d'aborder, et donc je vais essayer cet exercice aujourd'hui avec vous, grâce à vous, grâce à toi qui m'écoutent. Alors, dans mon métier, ce que je faisais avant, c'était que j'étais expert en stratégie marketing on va dire ça comme ça. Et et puis, un jour, je me suis aperçue, dans la façon dont les clients me racontaient le travail qu'ils avaient fait avec des collègues, des gens qui faisaient supposément comme moi, c'est que ça n'avait rien à voir ce qu'on faisait avec moi, alors que ça, évidemment, ça arrivait avec des résultats, mais que je n'avais pas du tout la même façon d'y parvenir. Je trouvais ça étrange. Je me demandais d'ailleurs comment les gens faisaient pour faire autrement, évidemment.
Speaker 1:Et puis, un jour, avec la rencontre d'autres personnes, d'autres clients, je me suis aperçue qu'en fait, il y avait des choses où je ne pouvais pas faire mon métier si je n'avais pas telle information, tel ressenti, tel travail, tel questionnement avec mes clients. Et donc, toute cette partie-là, en fait, je ne la faisais pas payer parce que j'estimais que, finalement, c'était de mon fait, c'était parce que moi, sans ça, je ne pouvais pas faire mon travail. Donc, on va appeler ça un audit de situation, un appel découverte qui durait deux heures, trois heures, quatre heures. Voilà, j'avais tout un tas de processus qui variaient en fonction de chacun de mes clients. Je ne faisais jamais la même chose Et donc, ça, je ne le faisais pas payer parce que c'était le nécessaire pour pouvoir leur faire une proposition adaptée et pour pouvoir ensuite travailler avec eux. Et puis, quand j'ai rencontré ces nouvelles personnes, je me suis aperçue que, finalement, ce travail-là, rien que ce travail-là, il était très intéressant pour mes clients et que même des clients qui auraient voulu s'arrêter là avaient déjà une énorme valeur entre les mains, parce qu'évidemment, j'écrivais tout ça, je faisais des comptes rendus PDF, etc.
Speaker 1:Et puis, un jour, j'ai arrêté de travailler avec l'un de mes clients, avec qui j'ai travaillé depuis 6 ans, et je lui ai demandé qu'on fasse le point plus tard, un peu plus tard, sur la façon dont il avait vu le travail que nous avions fait ensemble. Donc, c'était un monsieur qui avait une soixantaine d'années et voilà, qui avait une très belle entreprise, qui venait de revendre plusieurs millions d'euros. Et ce monsieur-là m'a dit en fait, j'ai le sentiment que ce que tu as fait avec moi, tu n'aurais pas pu le faire avec quelqu'un d'autre. C'est comme s'il n'y avait pas de méthode, mais que c'était très méthodologique Et donc, ça, je ne sais pas comment tu fais, parce que c'est jamais la même méthode. Et là, je m'aperçois qu'en fait mon client, c'est ma méthode Et donc, forcément, c'il a quand même une sacrée expérience professionnelle.
Speaker 1:Il m'explique vraiment comment ça se passe avec des gens qui font le même métier que moi, mais qui s'y prennent comme tous les autres, sauf moi, puisqu'évidemment vous doutez bien qu'à 60 ans, il en a rencontré des gens comme moi. Et donc, il m'explique chose que moi j'apprends là, ça fait à ce moment-là, à peu près 10 ans que je suis entrepreneur Et donc il m'explique comment les autres font. Donc, mes concurrents, on va dire mes collègues, et là, je tombe des nues, je me demande vraiment comment ils arrivent à faire comme ça. Je trouve ça très efficace, très efficient. Mais en tout et pour tout, mon client me dit que lui, ça ne lui a pas du tout plu de travailler comme ça. Et il me dit, en fait, avec toi, ce qu'on a, c'est qu'on ne fait jamais de marketing, c'est qu'on s'interroge, on prend une hauteur qui a un tel niveau que la conséquence, c'est du marketing, alors que les gens, ils ne font que du marketing. Et donc, je m'aperçois, ce jour-là que je suis en réalité déguisée.
Speaker 1:Je suis déguisée en experte marketing et donc les gens viennent à moi, mes clients viennent à moi parce que, comme je suis déguisée en marketing, en experte marketing, en stratège marketing, en ce que vous voulez, qui est lié à du marketing, les gens en font une porte d'entrée nécessaire pour travailler avec moi et donc, à ce moment-là, je mentrée nécessaire pour travailler avec moi. Donc, à ce moment-là, je m'arrête de travailler avec ce client et un autre client que j'aime profondément, et donc je me dis maintenant, j'arrête les déguisements, j'arrête, j'arrête d'être déguisée. Je n'étais pas travestie, je ne me faisais pas passer pour quelqu'un d'autre que ce que j'étais, mais en fait, j'étais déguisée. Voilà, j'étais déguisée comme quelqu'un qui porterait un vêtement un peu trop grand, quoi, voilà, ou un peu trop court, ou je ne sais pas quoi, mais un vêtement qui n'est pas exactement le sien Et, en même temps, qui nourrit le fait de quand même continuer à mettre le déguisement, mais j'ai quand même accepté de le porter pendant plusieurs années. Et donc, là, je me dis qu'est-ce que ça ferait si je ne portais plus le déguisement Et qu'au lieu que le marketing soit une question, soit une excuse pardon pour dans les entreprises, aller s'interroger, aller prendre de la hauteur sur où on va, comment on y va, pourquoi on y va, qu'est-ce qui change, quel héritage on va laisser à nos salariés, à notre monde, à nos enfants en travaillant de cette façon-là, en produisant ce qu'on produit, en accompagnant nos clients comme on le fait, etc. Je vais essayer de ne plus être déguisée, je vais enlever le déguisement et, au lieu de faire croire entre guillemets, parce que je n'avais pas l'impression de faire croire, mais voilà mes clients, ils me prenaient pour ça Je me suis dit on va travailler directement sur ces sujets.
Speaker 1:On va travailler sur la liberté dans l'entreprise. On va travailler sur la souveraineté dans l'entreprise. On va travailler sur prendre de la hauteur, alors que quand on est entrepreneur et dirigeant, on est happé par un quotidien qui est remplie de tâches. On va travailler sur notre rapport au temps et au travail dans l'entreprise. On va questionner la place du travail, alors que nous sommes entrepreneurs et dirigeants. C'est ça que j'aime faire, et le marketing était une excuse pour faire ça, parce qu'en fait, quand on fait du marketing, on est obligé normalement de se poser ces questions-là. En tout cas, si on ne se les pose pas, le marketing va être de bas étage. Et donc, je me suis dit on va faire ça Et là, j'ai eu une baisse drastique en nombre de clients, c'est-à-dire que là, mon chiffre d'affaires, il a diminué Parce que, d'un coup, en fait, au lieu de parler de l'excuse, je parlais du vrai sujet.
Speaker 1:Et là, je reviens, après de nombreux mois, en ayant enlevé mon déguisement, c'est-à-dire qu'on ne me prend plus pour mon apparence, on me prend pour qui je suis et non plus pour l'apparence que j'avais jusque-là. Et je reviens pour vous faire un rapport. Qu'est-ce que ça fait quand, au lieu d'être pris pour son apparence, on est choisi pour qui on est vraiment. Alors là, je pense qu'on est dans les vrais sujets de fond, et je pense, dans le domaine du service, dans l'entrepreneuriat du service. Je pense que ça va beaucoup vous amener au questionnement.
Speaker 1:Alors déjà, dans cette première partie, la question phare, c'est est-ce que je suis déguisée en quelque chose? Pour moi, parfois, ce n'est même pas nous qui avons choisi le déguisement. Moi, je n'avais jamais dit je suis marketing, je ne sais pas quoi. D'ailleurs, vous avez vu, j'ai vachement de mal à le prononcer. C'était les gens qui je les entendais me dire Ah oui, je te présente Laetitia.
Speaker 1:Elle s'occupe de toute la partie marketing et communication chez nous, ça fait trois ans. Ah oui, je te présente, laetitia, c'est notre directrice marketing. Ah, je te présente Laetitia. Alors, laetitia, je l'ai embauchée parce que, vraiment, elle m'aide à monter toute la stratégie marketing et puis, après, à la mettre en place. C'est comme ça que je l'entendais.
Speaker 1:Ce n'est pas moi qui mettais cette fonction, parce que, d'ailleurs, ça ne m'intéresse pas vraiment de mettre une fonction en dessous de mon prénom et de mon nom. Ça ne m'a jamais trop parlé. Et donc, la première question, c'est, en gros, comment les gens vous appellent, les gens avec qui vous travaillez, comment ils vous surnomment, c'est quoi le déguisement qu'ils vous mettent dessus, voilà. Et puis, est-ce que ce déguisement, il vous convient, est-ce qu'il vous va? Est vrai ce déguisement? Et la troisième question que pose cette première partie, c'est ce déguisement, il est une excuse pour travailler quoi avec vous, sous couvert que vous soyez? hum, hum, hum, hum, hum, hum. De quoi les gens ont envie de parler avec vous? Qu'est-ce que les gens ont envie de partager avec vous? Qu'est-ce que les gens font vraiment avec vous? Et là-ce que les gens font vraiment avec vous. Et là, on va arriver à la deuxième partie, c'est cette partie de vérité, c'est-à-dire qui nous sommes vraiment pour nos clients, qu'est-ce que nous venons de servir.
Speaker 1:Alors, parfois, tu es formateur en communication non-violente, mais en fait, ce que tu fais vraiment, c'est que tu es psy. Parfois, t'es psy et ce que tu fais en fait dans ton cabinet, c'est de la formation en PNL. Parfois, en fait, t'es un stit et, en fait, ce que tu fais, c'est d'accompagner les parents à accepter leurs enfants. Parfois, tu es directeur et ce que tu fais en fait, c'est écouter les gens dans ton bureau et leur faire percevoir une autre réalité que celle qu'ils ont perçue jusque-là. C'est là que je veux toucher, en fait, quelle est la porte que les gens poussent? Parce que, du coup, cette porte, ce titre, ce qui est écrit sur ta porte, sur ta carte de visite, ça les rassure Et, en fait, à l'intérieur du bureau, on fait toute autre chose. C'est cette autre chose que j'aimerais toucher en toi Et moi. Cette autre chose.
Speaker 1:Les gens viennent toujours me voir pour la même chose Pour la liberté et pour la créativité. Pour la liberté et pour la créativité, toujours Liberté, créativité. On peut appeler ça du coup une manière atypique de vivre, parce que je suis très libre. La créativité, c'est comment j'utilise les choses pour créer quelque chose qui n'existait pas jusque-là. Je fais toujours en sorte que ça aille à la personne. Ben oui, c'est ça la liberté Et comment je fais, parce que j'ai la créativité qui va en moi. Donc, vous voyez, c'est vraiment finalement un grand truc. C'est pas du tout un grand titre.
Speaker 1:Les gens viennent me voir toujours pour cette liberté et cette créativité. Tu peux le mettre dans l'autre sens. La créativité et la liberté, et donc le fait que jusque-là, je fasse du marketing, c'était la bonne excuse pour pousser ma porte, voire même pour me payer. Ça donnait une bonne excuse pour financer ce service-là. C'est-à-dire, jamais je ne pourrais payer et jamais ça ne m'aurait traversé l'esprit de payer.
Speaker 1:Laetitia pour travailler, ma liberté, ma créativité, ma souveraineté, mon acceptation totale de moi, ça, la remise en question totale de la place du travail, du temps que j'accorde au travail et du fait d'être libre de mon temps, parce que ça, souvent, le mental, il n'en veut pas de ça, souvent, le mental, il n'a pas voulu financer quelque chose sur ce sujet, parce que c'est difficilement palpable. Alors que si, par exemple, je te propose de faire ton site internet dans la semaine, alors là c'est mieux. Oui, il y a une vraie raison. Il y a une vraie raison. Ça, c'est le titre sur la porte Et pourquoi je t'invite vraiment à regarder ce que vous faites quand la porte est fermée, vraiment, comparé à ton déguisement. C'est parce que, depuis 13 mois, 14 mois, les clients avec lesquels je travaille sont uniquement les clients parfaits, parfaits. Parfaits pour moi, parfaits pour eux, parfaits pour l'entreprise, parfaits pour leur façon d'être, les valeurs qu'ils défendent, les rythmes avec lesquels ils travaillent, les questions qu'ils se posent, la direction qu'ils prennent.
Speaker 1:Pourquoi le bureau? sans prendre de pincettes, sans prendre le déguisement de ce que les gens avaient mis jusque-là comme titre sur ma porte. Peut-être que c'est toi qui as mis un titre sur ta porte, c'est aussi possible, ça peut être les deux. Les gens t'ont mis un titre sur la porte, puis toi, t'en avais mis aussi un ou plusieurs, mis un titre sur la porte, puis toi tu en avais mis aussi un ou plusieurs.
Speaker 1:Et donc, quand on enlève ce titre qu'on a écrit sur la porte et qu'on va un peu plus loin et qu'on s'intéresse à ce qu'on fait dans le bureau et qu'on propose uniquement ce qu'on fait vraiment dans le bureau, c'est-à-dire qu'au lieu que je sois créatrice de bijoux en de bijoux, en fait, je crée des bijoux que tu vas pouvoir faire hériter à tes enfants. Je crée des bijoux qui remontent ton niveau énergétique. C'est pas du tout pareil. Je crée des bijoux, ça, c'est le devant la porte. En fait, je montre au monde qu'on peut vivre de son art. Oh, très différent, parce que, du coup, je peux créer autre chose que des bijoux aussi si j'ai envie.
Speaker 1:Donc, qu'est-ce qu'on fait vraiment dans le bureau? Et quand tu t'attaches à parler uniquement de ça et je vais faire vraiment cette dernière partie en plusieurs morceaux pour apporter de la nuance, chose qui n'est pas facile pour moi, puisque je ne suis pas quelqu'un de nuancé c'est que les gens qui viennent travailler avec toi, c'est immédiatement les bonnes personnes. Pourquoi? Parce qu'elles sont prêtes non seulement à travailler, à financer, à mettre l'énergie, à mettre les ressources dans ce sujet-là même, dans ce sujet-là même, dans ce sujet presque précis, peut-on dire.
Speaker 1:Donc, forcément, c'est des gens à qui on n'a pas besoin d'expliquer, ce n'est pas des gens à qui on a besoin de donner plus d'informations, c'est des gens qui savent, ils savent. Parfois même leur mental ne sait pas très bien, mais eux, ils savent, ils savent au fond d'eux. Waouh. Et donc là, moi, quand j'ai commencé à recevoir des clients comme ça, je me suis dit waouh, je suis bénie, Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter des clients de ce calibre-là?
Speaker 1:Alors, parmi tout ce que j'ai fait je ne sais pas, il y a peut-être des choses aussi qui sont au-delà de moi mais parmi les choses que j'ai faites, et la chose que j'ai faite, c'est me faire suffisamment confiance pour expliquer ce qu'on fait dans le bureau, au-delà du titre que j'avais eu jusque-là. Ça demande une désidentifier du titre que les gens nous ont donné et du titre que tu t'es donné peut-être toi aussi, et, du coup, sortir de cette identification un peu confortable et rassurante, qui borne un peu, qui donne un peu des limites, pour sortir vers un espace complètement libre. Alors, ça, pour le coup, si tu as besoin, je suis là parce que ça, c'est vraiment l'univers dans lequel moi, je m'éclate et dans lequel je suis bien. Et donc, ça laisse un moment de vide, parce que tu peux tout choisir Et tu peux choisir que ce qu'on fait dans le bureau, ce n'est pas forcément ce que tu as choisi, mais parmi toutes les choses qui se passent dans le bureau, toi tu choisis de faire celle-ci spécifiquement. Et donc, là, il y a un peu chez moi en tout cas, il y a un peu, chez moi en tout cas, il y a eu un peu une vague, une vague creuse qui a duré plusieurs semaines de vide, de vide en moi, de vide à l'extérieur de moi, de vide de chiffre d'affaires.
Speaker 1:Vraiment, là, on parle de finances. Pourquoi? Parce que c'était le temps. Alors, il n'a pas besoin d'être long ce temps. Moi, il a été un peu long parce que j'en avais besoin. De ce temps, il aurait pu être compté en quelques jours, je le suppose.
Speaker 1:En tout cas, moi, je viens ici pour relater mon expérience et, en fait, ça a été le temps, le temps pour moi de me ressourcer et de me dire que je pouvais, je pouvais proposer, sans expliquer ce qu'on fait dans le bureau, sans passer par une étape préalable qui serait donc le titre sur la porte. À partir de là, je n'ai eu que des clients, que des clients qui venaient uniquement pour faire ce que j'avais affiché, que nous ferions dans le bureau, que nous ferions dans le bureau. Et donc, deuxième partie de cette dernière partie, de cette troisième partie, c'est que ça a mis de côté aussi et ça, vraiment, je suis en train de le travailler, c'est un partage qui me semble important ça a mis de côté Tous les gens qui, jusque-là, travaillaient avec moi, parce qu'ils avaient besoin d'une excuse rationnelle. Et alors, là, on parle à nouveau de liberté et de choix, parce que, dans l'entreprenariat, on a toujours le choix. C'est-à-dire, est-ce que, du coup, tous ces gens, écoute, si tu as besoin d'une excuse rationnelle, concrète, avec un titre, pour travailler avec moi, c'est que tu n'es pas la bonne personne. Oui, c'est que tu n'es pas la bonne personne.
Speaker 1:Ouais, c'est possible, c'est possible, on peut choisir ça. Après, on peut choisir autre chose, par exemple, qui pourrait être ben, c'est pas suffisant pour que je me passe de t'aider, c'est pas suffisant, ça pour que je me passe de ne pas travailler avec toi. Et peut-être que, ouais, pour l'instant, tu as besoin de ces excuses-là. Tu sais quoi? Je vais t'en donner des excuses Parce que ce que j'ai envie de faire, c'est vraiment ce que je fais dans le bureau Et, pour l'instant, s'il n'y a pas le titre sur la porte, voir si tu n'as pas besoin de toquer à la porte et d'ouv aussi la bonne personne que je peux aider, parce que plus tard t'auras plus besoin de la porte, t'auras plus besoin de titres sur la porte Et, juste, tu te feras suffisamment confiance, tu t'aimeras au point de rentrer, même sans excuses, et ça, si tu apprends à me connaître par ce podcast, je t'invite vraiment à aller peut-être écouter d'autres éléments ou à me faire un petit message pour que je t'envoie un élément précis que j'avais fait à ce sujet.
Speaker 1:Tu pourrais m'envoyer, par exemple, le mot liberté ou le switch et je t'enverrai ces partages-là. Mais vous qui me connaissez, vous savez que moi, je suis là pour cette vie sans compromis. Vous savez que moi, je suis là pour cette vie sans compromis, cette vie de liberté, cette vie qui refuse la médiocrité. Et peut-être qu'il y a des gens à qui je n'ai pas besoin de tendre la main. C'est ce qui se passe depuis les 14 derniers mois. Je n'ai plus besoin de tendre la main.
Speaker 1:Donc, après ce creux, j'ai eu plein de clients, et surtout les bons clients, et du coup, quand j'ai les bons clients, moi, ça me remet de l'énergie, ça me remplit, ça me nourrit. Je dis ces mots comme je suis bénie. Vous imaginez le niveau de réussite que ça m'apporte, au-delà de la réussite financière, de se dire mais quel chance j'ai? Comment ils font ces gens pour savoir, parce que je n'explique pas, je n'ai pas besoin de leur expliquer, ils savent déjà. Waouh, quel niveau de réussite.
Speaker 1:En fait, on pourrait dire là, j'ai la réussite totale et parfaite. J'ai la réussite financière, j'ai la liberté de temps, j'ai la liberté de lieu, qui sont les critères pour moi d'une vie réussie. Je vis à la campagne, même si j'aimerais vivre encore plus remote que ce que nous sommes là, et c'est en cours. Et donc, cette réussite magnifique, est-ce que si je ne suis pas là pour tendre la main à ceux qui ont encore besoin d'une excuse? Et c'est là où le choix s'opère, parce que je peux dire ben, non, non, non, non. Je me sens bénie comme ça et je veux ça, je veux ça tout le temps. Je veux que ces clients-là, qui n'ont pas besoin d'excuses, qui n'ont pas besoin du titre devant la porte et qui savent déjà, qui sont, comme attirés, comme un aimant, jusqu'à moi, ok, ok, ok. Et puis je peux dire il y en a quelques-uns qui ont besoin encore du titre sur la porte Et, en fait, peut-être que je serai, moi, le pont qui leur permettra plus tard de se dire c'était la dernière fois que j'ai eu besoin d'un titre devant la porte, c'est la dernière fois que j'ai eu besoin d'une excuse, c'est la dernière fois que mon mental me fait croire que, pour m'aimer moi-même, pour être libre moi-même dans mon entrepreneuriat, pour être passionnée par ce que je fais, pour vivre de mon talent, pour créer un nouvel héritage pour cette société, j'ai besoin d'une excuse Et peut-être qu'avec l'intention que je porte aujourd'hui de tendre cette main à nouveau, maintenant que j'ai fait cette analyse-là, ça va me permettre aussi, rien que dans le processus d'achat, d'imaginer avec ma créativité et aussi ma liberté, comment je pourrais embarquer ces gens-là dans leur processus d'achat, à ne plus avoir besoin d'excuses, peut-être en leur posant un certain nombre de questions.
Speaker 1:Quand je vais proposer des choses avec un panneau devant la porte et quand ils vont rentrer, peut-être que je vais leur demander, en attendant que la session arrive, ou en attendant que le programme commence ou que la formation débute, peut-être que je vais leur demander de réfléchir à la façon dont ils ont acheté Et peut-être qu'en effet, cette réflexion leur mènera à voir qu'ils avaient besoin d'une excuse. Peut-être que ça leur amènera à voir tout à fait autre chose, parce que ça, j'en suis pas maîtresse et presque ça ne m'appartient pas, donc, c'est pas à moi d'en juger, Mais peut-être que cette première réflexion leur permettra de planter une graine pour autre chose et j'aurais fait ma part, comme le petit colibri, et ça, vraiment, je souhaite le donner avec beaucoup de vulnérabilité et beaucoup de transparence, parce qu'en fait, cette désidentification du titre, alors du titre que les gens me donnaient, puisque, je le répète, ce n'est pas moi qui me donnais ce titre, d'accord? Donc voilà, je mets du contexte. Parfois, vous vous êtes donné un propre titre Et donc, ça demande de se désidentifier de ça, d'aller voir ce qu'on fait derrière dans le bureau et puis ensuite de dire quelle est la main que je tends ou pas, pour ceux qui ont besoin d'excuses entre le titre et ce qui est fait réellement. Et ça, pour moi, c'est vraiment un sujet phare dans l'entreprenariat, parce qu'il n'y a pas une réponse qui est meilleure que l'autre.
Speaker 1:Moi, j'ai décidé, quand j'ai fait cette analyse, au tout début, j'ai décidé que j'allais tendre la main et que j'allais aider ceux qui ont encore besoin d'une excuse en leur tendant la main pour leur montrer une autre voie, parce que mon rôle, il est là aussi. Il est là aussi. Il est là évidemment pour les gens qui sont prêts et qui savent directement investir dans le vrai sujet et que j'annonce clairement leur liberté, leur souveraineté, leur expression libre d'eux-mêmes. Oui, oui, ça c'est sûr, il n'y a pas de doute sur ça. De même, oui, oui, ça c'est sûr, il n'y a pas de doute sur ça. Et, en fait, j'ai décidé que je voulais aussi aussi tendre la main à ceux qui avaient encore besoin de l'étiquette, mais toi, tu vas pouvoir décider que non, tu vas pouvoir décider que non, et il n'y a rien qui est mieux ou moins bien.
Speaker 1:C'est un vrai choix et sur lequel tu peux en plus décider de revenir, puisqu'on est libre de ça en étant entrepreneur.
Speaker 1:Et donc, la conclusion de tout ça, c'est vraiment pour venir dire que la réussite que j'ai eue dans mon entrepreneuriat dans les derniers mois, elle a été vraiment liée à ce déclencheur de parler sans expliquer, de parler sans expliquer, voilà, de parler sans identification, et de venir parler vraiment de ce qu'on fait dans le bureau, sans passer par un titre, sans passer par une excuse, aller dans le sujet directement, vraiment. Voilà, c'est un peu comme si on avait une coiffeuse qui changeait son panneau Et, en fait fait, c'est Venez vider votre sac pendant que je vous coiffe, ce qui n'a rien à voir avec le titre de coiffeuse.
Speaker 1:Mais qu'est-ce qu'on fait vraiment dans le salon de coiffure? Qu'est-ce qu'on fait vraiment dans mon salon de coiffure? Parce qu'on pourrait très bien dire qu'on fait du coaching et que, pendant qu'on fait du coaching, on joue, coupe les cheveux, et peut-être qu'on en a marre de faire du coaching alors qu'on est coiffeuse Et que, dans ce qui se passe. Nous, ce qu'on aimerait, c'est faire de la coiffure, mais pas du coaching, mais pas de la psychothérapie, pas de la psychologie, pas du vidage de sac.
Speaker 1:Donc, cette conclusion, c'est aussi qu'est-ce qui se passe dans le bureau, mais qui vous convient bien. Je ne l'ai pas dit avant, mais c'est vraiment important. Moi, je ne me suis pas dit ok, je vais enlever le titre sur la porte, je vais laisser maintenant la porte ouverte et je vais expliquer ce qu'on fait dans le bureau. Ah non, c'est parce que ce qu'on faisait dans le bureau, déjà, ça m'allait très bien, c'est ça que je voulais faire, c'était mon rêve, ça, je vivais déjà mon rêve. Donc, il n'y a pas tout qui m'intéresse quand même. Et puis, si je pouvais éviter de faire un certain nombre de trucs, ça m'arrangerait fortement. On est bien d'accord, ça peut nécessiter cette petite étape entre guillemets de déblayage du printemps.
Speaker 1:Donc, vraiment, cette conclusion, elle est dans fait d'arrêter de se cacher derrière des masques. Et moi, mon partage là, il est au sujet des masques que les autres m'avaient mis. Et, comme tu le sais, moi, je déteste le mot coach, alors, j'aime pas du tout. Alors, moi, j'allais dire plutôt crever que de dire que je suis coach quoi. Mais en fait, si mes clients, ils disent que je suis coach aujourd'hui, j'en ai rien à cirer, en vrai, parce qu'ils m'appellent comme ils veulent m'appeler Et souvent d'ailleurs ils ne m'appellent pas Ils disent, en fait, ce qu'on fait avec Laetitia, c'est, et ils expliquent ce qu'on fait.
Speaker 1:Ben oui, parce qu'en fait ils expliquent ce qu'on fait dans le bureau, parce que la porte est ouverte et il n' un bureau, c'est un peu l'extérieur, c'est un peu dehors, et c'est un peu un dehors qui ressemble à ce qu'on veut, c'est un peu un dehors qui peut changer aussi, c'est un dehors qui s'emporte partout. Donc, mon partage, vraiment, vraiment, il se veut intime et vulnérable. Donc, vous le prendrez à la hauteur de ce qu'il est Et de vous dire qu grande chance que la réussite, elle, soit déjà là. En enlevant le masque, en enlevant le masque que vous vous êtes mis ou le masque qu'on vous a mis, peut-être les deux, et en parlant de ce que vous faites derrière cette porte-là et qui vous met en joie, au fond, au fond de vous, qui vous fait vous sentir béni des dieux, on va se dire mais c'est pas possible. En fait, ce n'est pas possible.
Speaker 1:Je suis payée pour faire ce que j'aime faire le plus au monde. Voilà, c'est ça, c'est de plus de ça dont j'ai besoin, avec vous, pour vous, pour nous, ensemble, à faire ce qui nous passionne vraiment, ce qui nous fait nous sentir vivants, ce qui nous fait nous sentir vibrants, où on se dit mais quelle chance j'ai. Et quand vous serez là et que vous en parlerez, que vous le communiquerez sur les réseaux sociaux, taguez-moi dans vos commentaires, dans vos messages. Je veux voir ça. Je veux voir ces exemples-là avec vous, pour vous. Je prendrai le temps, vraiment, allez. Je vous souhaite peut-être de fermer la porte, de vous mettre devant votre propre porte, de regarder les titres qui ont été apposés, peut-être de faire un petit coup de ménage, peut-être d'ouvrir la porte quand le coup de ménage est fait et de réaliser tout ce que vous faites dans votre bureau, à quoi il ressemble ce bureau, et de parler de ça, ce qu'on fait dans votre bureau, dans votre magie, dans votre espace.