
LES AFFRANCHIS
Bienvenue dans LES AFFRANCHIS, le podcast des esprits libres, audacieux et ambitieux qui façonnent un nouveau modèle de réussite, à la croisée de l'art de vivre et de la parentalité.
Je crée la symbiose entre l'Intimité, l'Ambition, la Maternité et l'Héritage.
Guidé(e) par Laetitia – entrepreneure visionnaire et passionnée depuis 12 ans – ce podcast est une invitation à :
- Élever ton entreprise et ta vie de famille au rang d’œuvre d’art, empreinte de sens, d’ambition et de simplicité.
- T’affranchir sans te rebeller, en créant et incarnant un modèle entièrement nouveau, aligné sur tes valeurs profondes.
- Tisser un héritage puissant, pour toi, tes enfants et le collectif : un héritage qui nourrit l’âme et redéfinit les standards du possible.
Entrepreneur, parent, bâtisseur ou rêveur, ici, l’entreprise devient un outil d’épanouissement, de transmission et d’invention. Chaque épisode t’aide à simplifier, universaliser et réinventer avec audace – tout en honorant ta liberté et ta singularité.
Si toi aussi, tu veux bâtir une vie élégante et impactante, mêlant beauté, ambition et héritage… alors ce podcast est ton rendez-vous incontournable.
➡️ Mon métier :
Je m'appelle Laetitia Martos et je suis entrepreneur depuis 2013.
Je crée des espaces doux, confidentiels, intimes et bruts grâce auxquels tu oses et assumes pleinement qui tu es publiquement et rapidement.
Je me lève le matin pour créer des nouveaux chemins sociétaux qui peuvent être imaginés via ton parcours entrepreneurial et qui inspireront d'autres à faire bouger les lignes de nouvelles normes.
🫦 Je suis performante quand j’accompagne des entrepreneurs rapides, courageux et excellents dans leurs métiers.
🎁 Et si en plus tu es neurodivergent(e), mon profil te permettra d’exceller.
😋 Delicious Different Brains
Tous les codes concrets pour créer un business unique, sexy et prospère sans aucune méthode toute faite. On trouve ta méthode et on démultiplie tes succès.
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One To One pour révéler ton X Facteur, l’Assumer au niveau cellulaire, l’Exprimer et Oser le Révéler publiquement, le tout en un temps record.
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LES AFFRANCHIS
Quand les idées restent bloquées sans pouvoir les concrétiser, voici la solution immédiate | Saison 3 ✨
Découvrez comment libérer le potentiel de vos idées les plus ambitieuses. Êtes-vous prêt à comprendre pourquoi certaines d'entre elles semblent stagner dans votre esprit? Ensemble, nous explorons les obstacles mentaux qui freinent les créatifs dotés de caractéristiques uniques comme le haut potentiel, l'autisme ou le TDAH. Ce n'est pas seulement une question de diagnostic, mais de stratégie pour dépasser ces blocages et transformer votre créativité débordante en projets concrets.
Nous partageons des conseils pratiques pour protéger et nourrir vos idées avant de les présenter au monde. Vous apprendrez à choisir judicieusement la personne de confiance à qui confier vos rêves naissants, car trop peu savent vraiment comment passer d'une simple idée à un produit abouti. Le cheminement de l'idée à la réalité est une compétence rare, et trouver les bons partenaires peut être déterminant pour voir vos projets se réaliser.
Enfin, nous remettons en question les narratifs et les influences qui façonnent nos décisions, notamment dans le domaine de l'architecture et de l'entrepreneuriat. Avec une décennie d'expérience à votre actif, il est temps de transformer votre expertise en une entreprise florissante. Engagez-vous dans une quête d'excellence professionnelle pour collaborer efficacement et voir vos aspirations se concrétiser. Connectez-vous avec nous pour démarrer ce voyage dès mars, et ensemble, donnons vie à vos idées.
Si toi aussi, tu veux m'écrire une lettre manuscrite clique ici et envoie le mot "LETTRE""
Bienvenue dans LES AFFRANCHIS, le podcast des audacieux qui osent bâtir leur propre modèle de réussite.
Je suis Laetitia, entrepreneure, ambitieuse et libre. Depuis 12 ans, je guide les bâtisseurs atypiques, les ambitieux et les esprits libres à transformer leur vie en véritables œuvres d’art.
Si tu veux bâtir une vie où beauté et simplicité se rencontrent pour laisser un héritage puissant – pour toi, tes enfants et le collectif – alors tu es au bon endroit.
Bienvenue dans LES AFFRANCHIS, le podcast des esprits libres, audacieux et ambitieux qui façonnent un nouveau modèle de réussite, à la croisée de l'art de vivre et de la parentalité.
Je crée la symbiose entre l'Intimité, l'Ambition, la Maternité et l'Héritage.
Guidé(e) par Laetitia – entrepreneure visionnaire et passionnée depuis 12 ans – ce podcast est une invitation à :
🌸 Élever ta vie de famille au rang d’œuvre d’art, empreinte de sens, d’ambition
🌸 T’affranchir sans te rebeller, en créant et incarnant un modèle entièrement nouveau, aligné sur tes valeurs
🌸 Tisser un héritage puissant, pour toi, tes enfants et le collectif : un héritage qui nourrit l’âme et redéfinit les standards du possible.
Entrepreneur, parent, bâtisseur ou rêveur, ici, l’entreprise devient un outil d’épanouissement, de transmission et d’invention. Chaque épisode t’aide à simplifier, universaliser et réinventer avec audace – tout en honorant ta liberté et ta singularité.
Si toi aussi, tu veux bâtir une vie élégante et impactante, mêlant beauté, ambition et héritage… alors ce podcast est ton rendez-vous incontournable.
Retrouve moi dans des espaces intimes et puissants d'accompagnement, c'est mon métier depuis 12 ans sur www.laetitiamartos.com
bonjour, bonjour et bienvenue. Bonjour, bonjour et bienvenue dans ce partage. Aujourd'hui, donc, on va se poser la question de pourquoi toutes tes idées, elles sont là, bloquées dans ta tête, dans ton mental, là ici, et pourquoi tu as du mal à les sortir, à leur donner vie, à leur donner corps, à leur donner une concrétisation. Voilà, je suis pour la première fois en live depuis mon ordinateur. Est-ce que vous pourriez me dire si ça fonctionne correctement? Je vais essayer de faire un commentaire pour savoir si ça marche. Ça a l'air de fonctionner. Alors, la première chose qu'on va définir aujourd'hui, pendant ce partage, c'est bloquer dans la tête. Bloquer dans la tête pourquoi on dit non, mais j'ai une idée, et souvent on fait ces gestes. Cette idée, elle est bloquée dans le mental, c'est à dire qu'elle t'est venue du corps, elle t'est venue de l'extérieur, elle t'est venue de quelque chose que tu as reçu. Il y a vraiment qu'un mouvement, à un moment donné, ça remonte, ça passe là dedans, et là, tu as du mal à le sortir. C'est un peu comme si ça, ça vient en toi, ça vit en toi, ça grandit, ça grandit, ça ressort, et là, c'est bloqué et toi, tu n'arrives pas à le faire sortir. Mais tu aimerais le faire sortir. Donc, tu essayes de le sortir de différentes façons, parce que on dit, moi, mes clients, ils me disent toujours est ce que tu peux le sortir de ma tête pour qu'en fait on puisse faire, faire face à ce qu'on a et regarder ce qu'on a dans la tête en face pour pouvoir l'améliorer.
Speaker 1:Alors, la première, première raison, alors, évidemment, pour celle qui écoute ce partage, ben, il y a tout un tas d'explications. On peut aller regarder dans le Human Design, on peut aller regarder du côté, des cerveaux délicieux, haut potentiel, très haut potentiel, asperger, troubles de l'autisme, tdah. il y a plein de façons d'outils d'aller regarder pourquoi c'est comme ça. Là, en vrai, on va être clair, je m'en fous de pourquoi. Alright, l'idée, c'est plutôt de savoir comment on va y remédier, mais on va aller chercher quand même les raisons pour qu'on puisse en discuter.
Speaker 1:Première chose quand c'est stocké dans ta tête, c'est comme si ça faisait une cocotte minute. Tu vois, ça vient puis sa vie en toi, puis tu le nourris à l'intérieur de toi. Plus tu le nourris, plus ça grandit. Ça grandit, ça commence à bouillonner, bouillonner, bouillonner. Au bout d'un moment, ça bout à tes lèvres et du coup, il te faut le sortir, il te faut en parler. Et là. Mais première idée génialissime que nous avons, c'est d'en parler à la première personne de confiance qui se trouve là au moment où ça bout jusqu'à te sortir de la bouche, tu vois.
Speaker 1:Mais cette personne là, elle est peut-être pas disponible. Elle est peut-être pas la meilleure personne'est peut-être pas disponible. Elle n'est peut-être pas la meilleure personne. Elle n'est peut-être pas à même de comprendre l'idée qui est en cuisson. Et donc, elle n'est peut-être pas capable ni d'entendre l'idée. Elle n'est pas capable, peut-être, de comprendre l'idée. Elle n'est pas capable de réceptionner l'idée, c'est-à-dire qu'on la pose sans rien dire Réceptionner. Je prends l'idée, mais je n'évoque rien De réceptionner l'idée Et elle n'est peut-être pas capable de la traduire.
Speaker 1:J'essaie de trouver chaque fois les bons mots. Elle n'est peut-être pas capable de traduire cette idée. D'ailleurs, c'est ton problème. Tu as le même problème. Tu as du mal à l'entendre. C'est pour ça que tu l'exprime en dehors de toi, pour pouvoir l'entendre quand c'est toi qui le dis. Tu as du mal à la comprendre parce que tu définis mal les bords. Tu vois où est ce que ça commence, où est ce que ça s'arrête, jusqu'où, jusqu'à quand. Voilà, tu as du mal à la réceptionner, c'est-à-dire à la poser et ne pas l'y toucher parce que tu la nourris Et tu as du mal à la traduire.
Speaker 1:La traduire en quoi? En quelque chose de concret? C'est justement notre problème. Ok, donc, la première solution que tu as trouvée on arrête ça tout de suite et on ne va pas passer dix ans pour faire ce partage.
Speaker 1:C'est une mauvaise idée. On ne parle pas à la première personne de confiance qui nous tombe sous la main. Ah, ouais, salut, j'ai une idée. Je voudrais bien savoir ce que t'en penses. Mais qu'est-ce que ça veut dire, ça? Je voudrais savoir ce que t'en penses. On n'en a rien à foutre de savoir ce qu'on veut.
Speaker 1:C'est est ce que tu peux m'écouter, juste pour que je m'entende, ou bien on dit la vérité. Quoi est ce que tu peux te taire et est ce que je peux te raconter un truc qui se passe à l'intérieur de moi, que j'ai du mal à réceptionner, que j'ai du mal à comprendre? pendant que tu te tais, je m'entendrai et ça m'aidera, mais au moins, c'est la vérité. Il vaut mieux que ce soit la vérité plutôt que de faire croire à quelque chose. Pourquoi? Parce que la personne, si on ne lui dit pas ça, elle va essayer de nous aider, parce que les gens adorent nous aider.
Speaker 1:En fait, ce qui va se passer, c'est que la personne ne va pas nous aider. Qu'est-ce qui va se passer? Cette personne, en fait, elle va sous couvert de vouloir aider, elle va poser des questions, elle va faire des remarques, elle va avoir des mimiques physiques du genre et alors là, du coup, toi, avec le verbal non verbale je savais que c'est un peu chelou, quoi? je savais que j'aurais pas dû le dire, je savais que c'était pas clair. Et là, qu'est ce qui va se passer? à ce moment là, tu vas venir nourrir ce sur quoi tu te maltraite déjà. Bah, oui, oui, sur les faiblesses. Tu vois comme des petits trous là, et toi, tu vas venir les nourrir pour les combler, pour pour que ce soit bien plat. Voilà, ok, donc, tu vas nourrir tes doutes, tu vas nourrir ce qui n'est pas terminé en toi. Ok, donc, mauvaise idée. L'étape suivante, une fois que tu as nourri tous tes doutes, c'est que ça va rabougrir J'adore ce mot. Ça va rabougrir ton idée, cette conversation.
Speaker 1:Elle va rabougrir ton idée. Elle va la faire devenir plus fade, plus terne, plus petit temps encore plus chaotique, encore moins compréhensible de toi même, encore plus intangible comme une tâche d'huile. Quoi tu es arrivé avec avait ça de tâches d'huile, autant par la halle. Cette personne a vu tout à lui le temps. Tu te dis putain bien, à partout en fait de ce truc, et donc cette idée, souvent rabougrie, voire même abîmée. Et quand ton idée, elle est rabougrie, elle est abîmée.
Speaker 1:Tu vas peut-être en vouloir à la personne d'avoir rabougri cette idée, alors que c'est toi qui en a parlé quand même. Donc, tu es quand même un peu responsable du truc. Mais en fait, cette personne, elle est aussi responsable d'avoir dit ou fait ces choses-là. Et quand ton idée, elle est rabougrie, elle est ternie. C'est comme si elle était abîmée. C'est comme si tu étais un enfant, tu vois, et que tu avais un super bel, beau jouet. Et puis il y avait quelqu'un, qui est quelqu'un, qui te l'avait pris, mais parce que tu le lui a donné aussi, et qui te l'avait abîmé. Et tu regardes ton jouet, tu fais putain, ce sera plus jamais pareil. Moins joué, il a été abîmé et plus jamais, plus jamais sera pareil. C'est un jouet abîmé comme un an.
Speaker 1:Donc, on a vachement de responsabilités quand on partage, quand on partage avec, avec, avec quelqu'un. On a énormément de responsabilités sur quand est ce qu'on le dit, à qui? on me dit comment le dit, de quoi? on parle? le sujet habituel et avoir des idées rabougris, on va parler vrai, c'est ta faute, et je vais aller plus loin.
Speaker 1:C'est ta faute d'en avoir parlé à cette personne, à ces personnes-là à ce moment-là, pleinement ta faute, et c'est ta faute parce que ta responsabilité, elle est de mettre cette idée, ces concepts, même chaotiques, même bordéliques, même moches, même tout ce que tu peux définir, dans un écran sécurisé. En fait, c'est comme si c'était une idée, un concept qui te venait de Dieu, si c'était une idée, un concept qui te venait de dieu. Et ta responsabilité, c'est de dire ok, et je protège, je protège ça. Et en fait, comme le mouvement, c'est quoi? je le protège. Et et donc quand? quand on protège, on le donne pas à tout le monde le jouer, encore moins à quelqu'un qui est susceptible de l'abîmer.
Speaker 1:Et parfois, selon le stade de notre idée, personne n'est capable d'en prendre soin. C'est ok, qu'est ce que ça veut dire? mais qu'il faut, qu'il faut le nourrir. Là, je vais aller un cran plus loin. Si tu es cerveau délicieux, problème, c'est que des idées comme ça, t'en as plein c'est pas la première fois avec des trucs qui ont marché, des trucs qui n'ont pas marché.
Speaker 1:Et les gens autour de toi, ils disent encore une idée? non, mais en fait, t'en as 150 par semaine. Je sais pas si vous vous souvenez, j'avais partagé un jour un post, ma fille qui m'a dit j'espère que tu as du gras dans le cerveau, parce que sinon dans ta tête, ça doit grincer. Depuis, je nourris le gras dans ma tête pour que ça puisse bien ne pas grincer, entre toutes mes idées. Et du coup, il y a une espèce de jugement que tu entends et qui est ouais, t'as plein d'idées, ce qui est vrai puisqu'on est comme ça, on est être, on est naître. Et donc, il y a une sorte de jugement ah oui, j'ai plein d'idées, mais et là, tu refais pareil le mouvement de nourrir les trous, de nourrir tes propres doutes, ouais, mais il y en a quand même pas beaucoup qui ont marché. Il n'y en a quand même pas beaucoup qui ont marché. Et donc, pourquoi cette idée-là? elle marcherait. Et donc, dans ce système, il n'y a rien qui peut marcher.
Speaker 1:En fait, dès le départ, c'est une grosse connerie. À un moment donné, on va se le dire c'est une grosse connerie. Et tu l'as fait par le passé, je l'ai fait par le passé. Stop, c'est bon, c'est bon, on est des grandes personnes, on n'a plus trois ans, on protège l'idée. On protège l'idée jusqu'à ce qu'elle soit un suffisamment cuite pour pouvoir en parler à quelqu'un de confiance, ou deux.
Speaker 1:Deuxième possibilité, c'est d'en parler à un cerveau similaire, capable de ce qu'on a dit tout à l'heure entendre, comprendre, réceptionner et traduire. Ça, c'est un peu le minimum syndical. C'est genre'achètes une voiture. Bon, je suis pas fan de voiture, donc je vais pas m'embarquer dans des grandes explications, mais tu t'attends à avoir un volant, des roues, des sièges et une carrosserie. Voilà, c'est le minimum pour que ça fasse une voiture. Le minimum, quand tu as une idée et que tu es en charge tu es gardien de cette idée, tu es gardienne de cette idée et tu es en charge de sa protection c'est d'en parler à une personne qui soit au minimum capable de ça. Et, en fait, ce que je vois, c'est la dernière partie, c'est quelqu'un qui peut entendre, comprendre, réceptionner et traduire. Et, en fait, là où le bas blesse, et ça, c'est quelqu'un qui peut entendre, comprendre, réceptionner et traduire. Et, en fait, là où le bas blesse, et ça, c'est la solution, c'est qu'il y a très peu de gens qui sont capables de traduire et de passer de l'idée à quelque chose de tangible Un stylo, un agenda, un podcast, un site web, une page de vente, un oracle, un livre, un cahier de journalisme, un mouvement, un séminaire, une retraite, une offre, un produit, un produit industriel, un processus, un processus de vente.
Speaker 1:Il y a énormément de gens qui ne savent pas passer de l'idée au produit fini. Alors pourquoi? On va l'expliquer rapidement Déjà, ça, c'est une compétence. C'est une compétence. Moi, je ne sais pas faire de la plomberie, je n'ai aucune compétence là-dessus.
Speaker 1:Bon, je sais à peu près que quand tu tournes, ça va tomber vers le bas, mais ça s'arrête là, quoi? OK, bon, mais un mec qui me regarde aujourd'hui, qui est plombier, un mec, une nana, qui est plombier, sûr, déjà, chacun ses talents, mais du coup, ne met pas ton idée entre les, entre les mains de quelqu'un qui va pas savoir traduire parce que c'est un fils.
Speaker 1:Non, ça sert à quoi? ça va augmenter le bordel, quoi? et du coup, ça va augmenter ce que tu nourris de la nana. Tout ce qu'on a dit. Traduire, ça veut dire quoi? ça veut dire ok, je t'entends, et là, je peux prendre un stylo et je peux dessiner ton idée de sorte que toi, tu puisses l'avoir en dehors de toi.
Speaker 1:Je donne cet exemple-là. Vous allez voir un architecte. Vous dites moi, j'ai une maison, mais elle est un peu petite. Ça veut dire quoi petite? 50, 30, 20 m² carrés, 18, 9 mètres carrés, 125 mètres carrés, 250.
Speaker 1:Moi, par exemple, on habite en Dordogne. Une petite maison, c'est 180 mètres carrés. Oui, toutes les maisons sont immenses, on a plein d'espace. Nous, ici, quand on est arrivé, on a demandé un petit jardin. On a un demi hectare Et oui, tu vas dans une autre région. C'est différent. Donc, petit ne veut rien dire.
Speaker 1:Donc, l'architecte, qu'est-ce qu'il fait? Il est obligé de te questionner sur la situation que tu vis et là où tu veux aller, pour pouvoir, en fait, passer de ce qui fourmille dans ta tête à un dessin, voilà, et donc, ça nécessite de le dessiner. Mais pour le dessiner, il faut avoir des compétences aussi. Des compétences. De là, dans mon exemple de dessin, c'est-à-dire que l'architecte, il est capable d'avoir un ordinateur avec un programme informatique, ou d'avoir de l'or entre les mains pour savoir bien dessiner, pour que tu te rendes compte des volumes, etc.
Speaker 1:Donc, ça demande qu'il ait une technique, mais, etc. Donc, ça demande qu'il ait une technique, mais ça demande qu'il soit tellement bon sur la technique qu'il s'est défait de la technique pour pouvoir te faire le dessin, parce que sinon, il serait collé à l'écran en train de dessiner et il n'écouterait rien à ce que tu dis. Donc, quelqu'un qui sait traduire, c'est quelqu'un qui, au préalable, a appris la technique, a expérimenté la technique, a passé du temps là-dessus pour pouvoir s'en détacher. C'est même plus une question du programme sur l'ordinateur, c'est même plus une question d'avoir les compétences de dessin.
Speaker 1:Ça, c'est normal, ça fait partie du normal. Tu vas voir un architecte, tu lui dis pas Vous savez vous servir du programme de dessin sur votre ordinateur. Ben non, pour toi, ça fait partie du paquet. Pour toi, ça fait partie du paquet. Donc, quand tu as une idée, va voir le bon paquet, tu vois ce que je veux dire. Et donc, le fait de le dessiner, ça veut dire que c'est quelqu'un en face de toi qui a suffisamment de techniques pour s'en être totalement détaché Et du coup, pendant qu'il t'écoute, l'architecte, il dessine, il dessine ta vision, l'architecte, il dessine, il dessine ta vision.
Speaker 1:Alors, comme moi, je m'adresse à beaucoup, à des entrepreneurs, et un amalgame, la vision, le machin, bref. Donc, on va y revenir ici. La vision, c'est ce que tu dis, ce que tu racontes. La vision d'un entrepreneur, elle se fait à plusieurs niveaux. Elle se fait la vision que j'ai de ce que je fais avec mes clients. La vision que j'ai, c'est moi, ce que je fais en tant qu'entrepreneur. La vision que je fais, c'est grâce à ça qui je suis dans ma vie personnelle.
Speaker 1:La vision de l'entrepreneur, c'est qui je fais avec mon équipe, par exemple, qu'est ce que je fais avec eux, qu'est ce que je leur apporte, qu'est ce que je leur permet de vivre? et c'est donc, il ya plein de blocs, qu'est-ce que je leur permets de vivre, etc. Donc, il y a plein de blocs. C'est comme quand tu vas faire une maison, tu ne vas pas faire une maison sans cuisine. Tu peux.
Speaker 1:Mais en fait, dans une maison, comme, le concept c'est d'y vivre, tu as quand même un certain nombre de pièces, notamment manger, dormir, te laver, quoi Tu vois. Mais ça, ça rentre dans une tiny house Et ça rentre, et ça rentre dans une maison de 500 mètres carrés aussi. Tu vois, et du coup, la vision, c'est arriver à traduire tout ce qui se joue dans ces différents espaces. Mais on ne va pas faire une maison où il y aurait Ce serait une maison avec tout fait une cuisine. Non, non, on ne peut pas faire ça. On ne peut pas faire une grande cuisine de 500 mètres carrés. Alors on peut, mais ça n'a pas d'intérêt pour y vivre.
Speaker 1:Donc, là, dans le business, ça nécessite de définir tout ça et de savoir quels sont les flux. Comme, oui, si je mets les toilettes au premier étage alors que toutes les chambres sont en bas, la nuit, je vais avoir quelques soucis pour aller faire pipi. Donc, l'architecte, il va dire c'est pas mal d'avoir mis les toilettes là-haut, mais c'est une grosse connerie quand même. Donc, moi qui ai l'habitude, en général, on met les toilettes vers les chambres, comme ça, la nuit, c'est vrai, je n'avais pas pensé à la nuit. Et oui, parce que l'architecte, il est là aussi pour te dire tiens ça, je pense que ce serait mieux, la porte, il faudrait qu'elle s'ouvre. Dans ce sens, on va faire une porte coulissante Et ça, la traduction, ça veut dire que la personne connaît suffisamment la technique pour pouvoir le dessiner pendant qu'elle t'écoute.
Speaker 1:Et surtout, surtout, et ça, je crois que j'ai dit tout ça pour arriver à ce point là, pour arriver à ce point là qui est, surtout, elle challenge ta vision, non pas pour la rabougrir, mais pour la faire devenir plus grande, plus grande, pas forcément en termes de taille, mais plus, plus vraie. Je reprends mon exemple de l'architecte. Vous allez demander à l'architecte un bureau, parce que vous travaillez depuis la maison. Et puis, une fois que vous voyez les plans et oui, parce qu'en fait, c'est quand vous voyez votre idée à l'extérieur, et c'est pour ça qu'il y a besoin d'une phase de dessin Quand vous voyez votre truc à l'extérieur, vous vous dites Ouais, putain, maintenant que je le vois, le bureau, moi, ça n'a jamais été trop mon truc de bosser de la maison.
Speaker 1:Bah alors, c'est vrai que là, depuis 5 ans, je bosse de la maison, mais bon, franchement, mon truc, ce serait vraiment de ne plus bosser à la maison. C'est l'horreur. J'arrive pas à faire la différence avec la famille. Ma femme me dérange, c'est chiant. Les enfants, ils gueulent, c'est bon.
Speaker 1:Ah, ouais, alors attend, on avait prévu 14 mètres carrés de bureau. Effectivement, ça nous fait gagner 14 mètres carrés. Qu'est ce qu'on peut faire? et du coup, là, on parle de quoi? de l'art de vivre. On peut pas se passer, quand on fait l'architecture d'une maison, de l'art de vivre, de comment on va y vivre.
Speaker 1:Et je le dis tout le temps, personne n'achète un bar dans sa cuisine. On achète un moment sympa à passer en famille ou avec des copains qui viennent prendre l'apéro, c'est les moments. Personne n'achète un salon qui fait je ne sais pas combien de mètres carrés. On achète le billard, on achète le moment agréable qu'on va passer avec les copains, avec les amis, avec la famille, et donc, quand on transpose ça à l'entrepreneuriat, c'est comment on veut vivre, comment on veut vivre notre vie entrepreneuriale, créative, spirituelle, personnelle, familiale. Parce que ça, c'est tout ce qui se joue, c'est les flux, c'est tout ce qui se joue, c'est les flux. Quoi? c'est pas les pièces, mais c'est les flux, et les pièces, c'est quoi. Ça va être ce qu'on fait dans notre entrepreneuriat, nos offres, ce qu'on vend, avec qui on est, combien de temps on passe avec qui, et tout ça, tout ça.
Speaker 1:C'est pour ça que moi, je ne travaille pas dans mon architecture. Quand je dessine l'architecture, je ne peux pas dire voilà, j'ai un certain nombre de mes clients qui sont en live là. Je ne peux pas dire que je travaille sur le business, parce que c'est beaucoup plus large. Je travaille sur l'entrepreneuriat, le processus d'être entrepreneur. Et quand on agit sur le processus d'être entrepreneur, on agit sur l'entrepreneuriat, on agit sur une partie de l'entreprise, on agit sur ce qu'on vend, à qui on le vend, comment on le propose, comment les gens le vivent dedans, comment nous on le vit.
Speaker 1:Le rapport avec la famille, le rapport, mais c'est tout ça, c'est l'art de vivre en tant qu'entrepreneur. Et, du coup, ce que je voulais dire par là, c'est que quand on est architecte comme moi je le suis et qu'on fait, c'est rendre la vision plus grande pour la réinterroger. Et moi, ma grande passion, mes clients le souligneront, c'est d'aller réinterroger pour être sûre qu'il n'y a rien qui appartienne à quelqu'un d'autre. Parce que depuis les réseaux sociaux et moi, j'ai vraiment vu une différence ça fait 12 ans que je suis entrepreneur et la recrudescence de l'utilisation des réseaux sociaux chez les entrepreneurs accentue le mal-être. Ça, j'enfonce une porte ouverte, tout le monde est au courant mais surtout accentue des espèces de modèles qui viennent de l'extérieur, des espèces de mots, des phrases toutes faites, des langages, des bon Voilà, et donc, et donc, il y a aussi une espèce d'empreinte où on a commencé à croire qu'on voulait une maison avec un toit noir parce qu'en ce moment ça se fait, alors qu'en fait on n'en a rien à cirer.
Speaker 1:On a fini par croire qu'on voulait un grand jardin, alors qu'en fait on n'a jamais voulu un grand jardin. On a fini par croire, en regardant ce que faisaient les autres et en pensant qu'en ayant ça, ça changerait quelque chose pour nous, on a tout mélangé. Et donc ça, moi, quand je fais ça et quand j''expense comme tu dis damien, quand j'expense la vision, c'est pour aller réinterroger ce qu'on a toujours raconté le narratif. Je m'installe dans mon petit narratif que je répète à tout le monde, voilà, voilà, depuis huit ans, je dis toujours pareil on réinterroge le narratif, voir ce qui est vrai de ce qui est plus tout à fait vrai, parce qu'on est des grandes personnes, et ensuite, on réinterroge ce qu'on a chopé des autres, alors qu'en fait, en vrai, on n'a jamais eu ce vocabulaire, on n'a jamais eu ces envies, on n'a jamais eu cette direction.
Speaker 1:En fait, on a fait ça, mais on se demande un peu pourquoi. Et c'est d'aller faire comme l'espace avec le bureau, c'est de dire tu m'as dit que tu voulais ça, maintenant que je te le montre et que je te le dessine, est ce que c'est ça que tu veux? ah, ouais, maintenant que je vois un bureau de 14 mètres carrés, je me dis que ben, j'aurais préféré une cave à vin. Ok, du coup, on fait quoi? parce qu'en fait, j'ai jamais voulu travailler à la maison.
Speaker 1:Alors donc, en fait, peut-être qu'on va créer une alcove, avec un placard magique, ça s'ouvre et on peut avoir un bureau ou un mutlab qui permet d'avoir une petite cabine hyper moche, mais où c'est insonorisé. Enfin, il y a plein de solutions. Et l'architecte, il est là. Pourquoi, pour apporter la solution technique au problème, ça c'est bon, ça c'est mon job. Apporter la solution technique en disant arrête d'utiliser ça, on va utiliser ça à la place.
Speaker 1:Et ça, ça répond à ta demande. Et le bureau, au lieu de faire 14 mètres carrés, on le supprime et on fait une super cave à vin qui fait peut-être 14 mètres carrés, mais peut-être qu'il en fait 8, qui nous permet d'avoir un espace où on peut goûter le vin, avec la bibliothèque. L'architecte ne peut pas se passer, on ne peut pas. Dans l'entrepreneuriat, en tout cas, dans le métier que moi j'exerce avec mes clients, je ne peux pas me passer de tout ça de vous. J'ai besoin de faire grandir votre vision pour aller jusqu'à la vérité.
Speaker 1:Et ça, ça demande un mouvement qui est d'élever la conversation. Et moi, je suis payée aujourd'hui pour élever la conversation sur l'art d'être entrepreneur, qui comprend tout un tas de questionnements sur l'héritage qu'on laisse au monde ou qu'on ne laisse pas, les modèles de réussite qu'on propose ou pas, le type de vérité qu'on délivre ou pas. Et ça, ça demande en fait, à un moment, de faire un mouvement qui est, au lieu de prendre votre vision, de la dessiner, et que vous vous chargez de le faire, ou quelqu'un d'autre, ça demande de prendre votre idée et de l'élever, c'est-à-dire de la questionner, questionner, questionner, jusqu'à arriver là, et tout en haut, il ya un espace. Alors, moi, j'ai cette chance, là où ça clique, et toi et moi, on sait que c'est la vérité, on sait, on est arrivé à ce qui est vrai pour toi. On est tout là haut, ok.
Speaker 1:Et on fait comment pour redescendre? parce que l'entrepreneuriat, c'est extrêmement concret aussi. Un, c'est pas que la liberté, non, c'est extrêmement concret. Et là, après, il faut redescendre. Il faut redescendre pour matérialiser, pour traduire la vérité donc, c'est totalement intangible la vision en une traduction concrète de tout ce qui a été dit et qui a un impact sur les offres, ce qu'on vend, produits, services, comment on le vend, à qui on le vend, pourquoi on le vend. Et là, ça nécessite quoi, de quelqu'un C'est là que j'interviens aussi d'être libéré de la technique pour pouvoir avoir les réponses à vos questions.
Speaker 1:Et ensuite, on a tout un monde, on a le plan, le plan d'architecte, donc on prend un stylo, ok. Et puis, une fois qu'on a le plan. On réajuste le bureau, on le vire, on remet Maintenant que je vois de l'extérieur, ok, ça me donne une vision plus précise On réajuste là-haut Et ensuite on concrétise, c'est à dire qu'on rentre dans la cuisine, on choisit les couleurs, on choisit l'organisation, on choisit le flux, hop, on va dans la salle de bain, on va dans les montres. Mais moi, je peux pas faire que la salle de bain. Je peux le faire, mais c'est pas intéressant pour moi, parce que moi, mon travail, c'est d'à la fois élevé la conversation entrepreneuriale et ensuite de la matérialiser en quelque chose d'hyper concret, hyper concret, et moi, je me suis voulu beaucoup. Voilà, moi, je fais, je fais l'instruction en famille, à la maison, et donc, je connais pas mal de familles en instruction en famille et dans les parents ont des métiers qu'on peut très facilement partagé avec les enfants.
Speaker 1:Je pense notamment florian, qui se reconnaîtra, qui est agriculteur, et du coup, c'est hyper facile parce que quand il fait son métier, il peut embarquer ses enfants pour faire la même chose, et des gens qui sont maçons, plombiers. C'est super, parce qu'avec les enfants, vraiment, on peut le partager. Il y en a qui font de l'élevage, on peut aller voir les vaches, les veaux. Je me suis toujours dit c'est hyper chiant, parce que moi, je sais très difficile de partager ça avec mes enfants ou avec des enfants, parce que tout se fait sur l'ordinateur et moi, ma matérialisation, elle, est numérique, c'est à dire que j'ai la capacité d'élever la conversation, de choper la vision et, quand on redescend, de le matérialiser par quelque chose de numérique. C'est là où je suis la plus forte. Voilà, et et là je suis hyper rap. Pourquoi? Parce que je me suis défaite de la technique, puisque la technique, ça fait 20 ans que je travaille en technique Et ça, pendant que je le fais, je t'écoute.
Speaker 1:J'ai l'exemple d'un client. Le dernier jour où on a travaillé ensemble, je me suis dit je vais lui faire une surprise, je vais lui faire son site internet. Le dernier jour, le dernier jour, c'était comme ça. Pourquoi? Parce que je me suis extirpée de la technique, parce que je la connais.
Speaker 1:Mais l'architecte, normalement, c'est pas celui qui va vous monter les murs. Ok, lui, il va vous dire je te fais une feuille de route, et puis tu dis à ton maçon de faire ça, tu dis à ton plombier de faire ça, tu dis machin, ou. Et puis tu dis à ton maçon de faire ça, tu dis à ton plombier de faire ça, tu dis machin, ou bien c'est lui qui demande à ses gens de le faire, et après, il y a un maître d'oeuvre ou d'ouvrage qui va faire le suivi sur le chantier. Ok, et ça, c'est tellement important, quand vous êtes bloqué dans vos têtes, d'en parler à quelqu'un qui a la capacité de vous dessiner avec un papier et un stylo, l'architecture, en élevant avant toute chose, vous l'aurez compris, la conversation Et, une fois qu'on a élevé la conversation, quelqu'un qui soit capable de la redescendre.
Speaker 1:La conversation, Parce que l'entrepreneuriat ne se nourrit pas que de liberté, de paix, de souveraineté. Oui, ça se nourrit comme intention Et c'est hyper important de le définir parce que c'est la raison pour laquelle on va faire toutes les actions. Mais ce n'est pas que ça, c'est aussi quelque chose d'extrêmement concret. Donc, à la fin, on a un site web, on a un podcast, on a un machin, mais, en vrai, au début, on ne sait pas ce qu'on va avoir, on le sait pas et ça n'a pas d'intérêt.
Speaker 1:Ça n'a pas d'intérêt parce que, sinon, en fait, on prend un maçon. Si tu te dis bon, ben, en fait, moi j'ai déjà dessiné, j'ai une idée très claire et machin, t'es pas bloqué, tu as une idée, tu l'as dessiné, tu vas voir un maçon, tu dis tu me fais ça, je veux 7 mètres, 14 mètres, et il te le fait. On a besoin d'un architecte quand on a des idées qu'on a du mal à concrétiser et où on a besoin de quelqu'un qui élève la conversation pour pouvoir définir ce qui se joue vraiment et ensuite la matérialiser. C'est important, cette conversation. Vous me partagerez ce que vous avez capté de nouveau comme nouvelles perspectives. Les perspectives m'intéressent, les nouvelles visions m'intéressent.
Speaker 1:Ensuite, je vais conclure ce live en vous disant que, cette année, j'ai décidé de vraiment me focaliser sur huit personnes maximum. Je travaille en one to one. Ça nécessite toute ma pleine énergie. Voilà, et pour me focaliser sur chaque projet, j'ai décidé de prendre huit personnes maximum. Voilà donc, du coup, il me reste de la place, pas beaucoup, mais un peu pour que je puisse en parler. Je serai ravi de mettre à disposition mes qualités d'architecte et de conceptualisation de votre entrepreneuriat, l'art d'entreprendre.
Speaker 1:Comment on fait pour travailler avec moi. C'est assez simple. Tu me contacte sur messenger, tu me dis la maison que tu habites est là où tu voudrais aller. Donc, cette image est évidemment, c'est à dire où tu en es aujourd'hui et qui te convient plus et quel switch tu voudrais faire, à quoi tu voudrais passer. Voilà donc ça, tu me le dis.
Speaker 1:Moi, j'ai simplement besoin pour travailler avec moi, il ya simplement besoin que tu sois excellent, excellente dans ton métier. Voilà, à partir de là, on peut. On peut tout faire, mais j'ai besoin que tu es quand même une certaine expérience. En général, je dis que mes clients ilsuit dix ans et plus d'expérience professionnelle sur leur métier. Même si ce n'est pas dans l'entreprenariat, on peut avoir une expérience métier dans une entreprise et vouloir en sortir pour être entrepreneur. Donc, ça, j'ai besoin de ton expertise.
Speaker 1:Tu viens à moi, tu me dis sur Messenger où t'en es, où tu veux aller, et on va travailler sur ça ensemble, sur Messenger, où tu en es, où tu veux aller et on va travailler sur ça ensemble. Ou bien tu vas directement sur mon site Internet. Je vais mettre le lien dessous, tu cliques, tu prends ta place et on peut commencer la première semaine de mars. J'ai de la dispo. À partir de ce moment là, tu peux payer en ligne, payer par virement, et je propose de payer mensuellement sans aucun frais. Voilà, j'attends ton message. Je suis disponible pour toi début mars. A très bientôt.