Dans cet épisode empreint de spiritualité, Nicolas Donzé réfléchit sur le sens de Noël et la lumière qu’elle symbolise. Partant d’une référence au film L’Associé du Diable, il explore l’idée de l’orgueil comme un péché fondamental, incarné par Lucifer, le porteur de lumière déchu, dont le refus de servir a conduit à sa chute. Ce récit, tiré de la mythologie chrétienne, illustre selon lui les dangers d’une lumière éblouissante qui brûle, symbole de l’orgueil et de l’égoïsme.
En opposition, Donzé évoque une lumière plus douce et bienveillante, comme celle du buisson ardent dans la Bible ou celle apportée par l’enfant de Noël, symbole d’espoir et d’amour. Il invite à réfléchir sur la dualité entre une lumière matérielle et superficielle, souvent associée au bruit et à l’agitation, et une lumière intérieure, apaisante et véritable.
Dans cet épisode, Nicolas Donzé aborde le thème de l’inflammation, une réponse naturelle du corps face à une agression, mais qui devient problématique lorsqu’elle devient chronique. Il critique l’utilisation massive des opioïdes pour traiter la douleur, notamment aux États-Unis, où ces substances causent souvent des dépendances et des effets secondaires graves. En réponse, il explore le potentiel des cannabinoïdes, comme le CBD, pour soulager les douleurs chroniques et inflammatoires, et réduire la dépendance aux opioïdes tels que l’oxycodone ou le tramadol. Le CBD, qui agit sur le système endocannabinoïde en régulant les fonctions inflammatoires, pourrait également être bénéfique pour des pathologies comme le rhumatisme, les douleurs dorsales, ou même la sclérose en plaques.
Donzé insiste sur la nécessité de changer la perception du cannabis, trop souvent réduit à une simple drogue. Il appelle à considérer les phyto-cannabinoïdes comme des outils thérapeutiques prometteurs, capables d’apporter une alternative efficace et moins dangereuse aux traitements traditionnels. Bien qu’il ne s’agisse pas d’une solution miracle, il souligne l’importance de reconnaître et d’exploiter ces molécules pour mieux gérer les inflammations chroniques et améliorer la qualité de vie des patients.
Dans cet épisode, Nicolas Donzé explore le potentiel thérapeutique des cannabinoïdes, notamment le CBD, dans le traitement des maladies psychiatriques, qui touchent près de 25 % de la population mondiale. Il critique le dogme traditionnel axé sur la sérotonine comme unique cause de la dépression et met en avant le rôle du système endocannabinoïde, régulateur central des neurotransmetteurs. Ce système pourrait constituer une cible plus efficace pour des pathologies comme la dépression, les troubles anxieux ou les psychoses. Les études récentes montrent que le CBD améliore les interactions sociales chez les enfants autistes et calme l’anxiété ou les symptômes du stress post-traumatique, ouvrant ainsi des perspectives prometteuses.
Donzé souligne également que certains cannabinoïdes, en combinaison spécifique (CBD, THC, cannabigérol, etc.), pourraient représenter un véritable outil pour améliorer la santé mentale, notamment dans des cas où les traitements conventionnels échouent. L’OMS elle-même, dans un rapport de 2018, a reconnu que le CBD n’est pas dangereux et présente un potentiel thérapeutique. Ces avancées appellent à une exploration scientifique plus approfondie pour maximiser ces bénéfices, malgré la réticence de certains milieux scientifiques.
Dans cet épisode, Nicolas Donzé met en lumière l’importance cruciale du système endocannabinoïde, souvent sous-estimé, dans la régulation de fonctions fondamentales comme l’appétit et la relation avec la nourriture. Il explique que ce système agit comme un chef d’orchestre, orchestrant la symphonie complexe des sensations liées au goût, à l’odorat, et au plaisir alimentaire. Historiquement, les effets du cannabis sur l’appétit étaient déjà connus, mais ce n’est qu’au XXe siècle que l’on a compris son rôle dans la régulation de l’appétit, parfois perturbée par des médicaments comme le rimonaban, qui bloquaient cet appétit mais provoquaient des effets secondaires graves, tels que la dépression.
Donzé évoque également les implications modernes de ce système, en particulier dans le contexte des troubles alimentaires tels que l’obésité et l’anorexie, où un système endocannabinoïde déséquilibré “panique”. Il suggère que des cannabinoïdes comme le CBD pourraient offrir des pistes thérapeutiques prometteuses pour traiter non seulement l’obésité, mais aussi certaines complications métaboliques comme le diabète. Tout en rappelant l’importance d’une approche psychothérapeutique pour les troubles alimentaires, il invite à explorer davantage le potentiel des cannabinoïdes pour restaurer cet équilibre vital.
Nicolas Donzé explore ici les possibilités de traiter l’hyperactivité (TDAH) en considérant le rôle du système endocannabinoïde dans la régulation de la dopamine. Actuellement, la ritaline, un stimulant proche des amphétamines, est couramment prescrite, mais elle entraîne souvent des effets secondaires importants (perte de poids, stress). Les recherches montrent que le système endocannabinoïde, impliqué dans la régulation de la dopamine, pourrait être une voie alternative intéressante pour moduler les niveaux de dopamine chez les personnes atteintes de TDAH.
Les études sur le CBD (cannabidiol) suggèrent qu’il pourrait réguler la dopamine sans les effets indésirables des amphétamines, ce qui en fait une alternative prometteuse pour traiter l’hyperactivité. Donzé plaide pour une approche plus douce qui commencerait par des cannabinoïdes, permettant d’éviter des traitements plus lourds. Il encourage également la recherche clinique pour valider ces hypothèses et mieux comprendre les effets des cannabinoïdes dans ce contexte.
Nicolas Donzé explore ici les liens entre le système endocannabinoïde et le système des endorphines, montrant qu’ils font partie de la même famille de récepteurs. Il explique qu’une stimulation des récepteurs endorphiniques par des opioïdes (comme la morphine ou le tramadol) pourrait aussi activer le système endocannabinoïde. Avec la crise des opioïdes, notamment aux États-Unis, des recherches suggèrent que des cannabinoïdes comme le CBD pourraient réduire la dépendance à ces médicaments, en offrant une alternative efficace pour soulager la douleur, tout en diminuant le besoin en opioïdes et en réduisant les effets secondaires liés.
Des études récentes montrent des résultats positifs pour le traitement de douleurs chroniques, comme le rhumatisme ou la fibromyalgie, avec le CBD ou une combinaison de THC et CBD. Ces cannabinoïdes semblent être aussi efficaces que les opioïdes ou les myorelaxants, mais avec moins d’effets indésirables. Donzé propose d’étendre ces observations en réalisant des études scientifiques contrôlées en hôpital, pour valider ces traitements. Il exprime son optimisme quant à l’efficacité des cannabinoïdes dans le soulagement de diverses pathologies, tout en soulignant l’importance d’une approche rigoureuse pour consolider ces avancées thérapeutiques.
Dans ce nouvel épisode, Nicolas Donzé se concentre sur le système endocannabinoïde, un système découvert dans les années 1990 et qui fonctionne différemment des autres neurotransmetteurs. Contrairement aux systèmes classiques de neurotransmission, ce système est rétroactif et régule de nombreux processus dans le corps, comme un “modérateur” ou “casque bleu” qui harmonise les signaux neuronaux. Il nécessite du cholestérol pour transporter les cannabinoïdes entre les neurones et influence des fonctions vitales allant de l’appétit et l’humeur à la reproduction et au développement de l’embryon.
Donzé évoque aussi l’impact potentiel du système endocannabinoïde sur le traitement de conditions telles que la dépression, soulignant les limites des traitements actuels, souvent centrés sur la dopamine ou la sérotonine. En ouvrant de nouvelles perspectives thérapeutiques, il suggère que mieux comprendre ce système pourrait offrir des solutions médicales novatrices et plus complètes. Il appelle à une exploration continue pour découvrir l’influence que ce système pourrait avoir dans le soulagement de diverses souffrances humaines.
Dans cet épisode, Nicolas Donzé retrace l’histoire du cannabis et compare son parcours à celui du pavot somnifère. Il rappelle que les usages thérapeutiques de ces plantes datent de milliers d’années, avec des vertus reconnues pour apaiser douleurs et insomnies, bien que leur mode d’action n’était pas compris à l’époque. Avec le temps, des découvertes majeures, comme la morphine dans le pavot au XIXe siècle, et plus tard le THC dans le cannabis en 1964, ont permis de mieux saisir les effets de ces substances, en particulier leurs impacts sur le cerveau. Ces avancées scientifiques ont également ouvert la voie à l’usage médical des cannabinoïdes, un champ désormais prometteur pour la gestion de la douleur et d’autres troubles.
Donzé souligne également l’importance de dépasser la vision simpliste du cannabis comme simple drogue récréative, en expliquant que le cannabis contient de nombreux composants actifs, dont les cannabinoïdes qui interagissent avec notre système endocannabinoïde. En parallèle, il révèle que certaines molécules similaires se trouvent dans des aliments courants comme le chocolat et le houblon, renforçant l’idée que les cannabinoïdes sont loin d’être uniques au cannabis. Au final, il encourage une exploration plus approfondie des molécules de cette plante et de leurs cousins, pour exploiter tout leur potentiel dans le domaine médical.
Dans cette nouvelle vidéo, Nicolas Donzé explore les questions médico-légales et les complexités entourant l’usage du cannabis, en illustrant le propos par le cas d’un jeune homme au comportement dangereux au volant, influencé par le THC et le LSD. Donzé rappelle les enjeux autour de la consommation régulière de THC, pouvant indiquer une addiction, et souligne l’évolution des substances psychoactives et leur interaction avec la conduite. Il met en garde contre une approche dogmatique de la science, insistant sur l’importance de poser des questions sans chercher de vérités absolues.
Il relate ensuite une étude de cas intrigante aux États-Unis, où un patient en coma, présentant les symptômes typiques d’une overdose d’opioïdes, a été réveillé grâce à l’administration de naloxone, un antidote des opioïdes, alors que seules des traces de THC ont été retrouvées dans son sang. Ce phénomène remet en question la compréhension actuelle des interactions entre les systèmes opioïde et cannabinoïde, et soulève la possibilité d’une overdose de THC. Pour Donzé, cette situation inattendue ouvre une réflexion sur les mécanismes encore inconnus entre ces substances et promet une série de discussions à venir pour explorer ces liens mystérieux.
La chronique de Nicolas Donzé. Après la cigarette, l'alcool, les stimulants, les médicaments, la nourriture, le toxicologue et biologiste chef adjoint de l'Institut Central des Hôpitaux (ICH) revient sur le cannabis et les cannabinoïdes et l’exploration de leur dimension médicamenteuse.
Dans cette première vidéo de l’automne 2024, Nicolas Donzé aborde la question de la libéralisation du cannabis en Suisse et propose une réflexion plus large sur les cannabinoïdes. Selon lui, la question de libéraliser ou non le THC est obsolète et ne reflète pas la complexité du sujet. Il souligne que les cannabinoïdes, en tant que substances ayant des effets sur le système endocannabinoïde, peuvent agir à la fois comme drogues et médicaments. Il insiste sur l’importance d’explorer la dimension médicamenteuse des cannabinoïdes, surtout dans le cadre des maladies, tout en évitant de limiter la réflexion à l’usage récréatif.
Il remet également en question la distinction traditionnelle entre drogue et médicament, expliquant que l’effet d’une substance dépend du contexte dans lequel elle est utilisée. Par exemple, une personne atteinte de sclérose en plaques qui utilise des cannabinoïdes bénéficie de leurs vertus thérapeutiques, tandis qu’un adolescent consommant du cannabis à des fins récréatives en fait un usage de drogue. Finalement, Nicolas Donzé évoque l’augmentation de la consommation de médicaments en Suisse, notamment chez les personnes âgées, et se demande si les cannabinoïdes pourraient représenter une nouvelle catégorie de traitements efficaces pour certaines maladies.
La chronique de Nicolas Donzé. Après la cigarette, l'alcool, puis le cannabis et les stimulants, le toxicologue et biologiste chef adjoint de l'Institut Central des Hôpitaux (ICH) nous invite à découvrir les médicaments et à réfléchir sur leur usage, leurs effets sur le corps humain et, finalement, à nous poser quelques questions sur l'être humain en général et nous-mêmes.
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La chronique de Nicolas Donzé. Après la cigarette, l'alcool, le cannabis, les stimulants et les médicaments, le toxicologue et biologiste chef adjoint de l'Institut Central des Hôpitaux (ICH) nous invite à réfléchir sur la nourriture et la relation que nous entretenons avec elle, ses effets sur le corps et, finalement, à engager une réflexion sur l'être humain en général et nous-mêmes.
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