
Go To The Gym Podcast
Bienvenue au Go To The Gym Podcast !
Chaque semaine, nous explorerons divers sujets liés au mode de vie, à la condition physique, à la santé mentale et à la mentalité de croissance en général ! J'ai moi-même surmonté la boulimie, la toxicomanie à la cocaïne, la consommation excessive d'alcool et les bagarres de rue pour fonder mes propres salles de sport et faire don de plus de 500 000 dollars pour aider les enfants à faire de l'exercice et à pratiquer des sports dans ma région.
Mon objectif est que vous et moi vivions une vie plus saine, plus heureuse et plus longue.
Merci de partager ! Et GO TO THE GYM
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Stéphane Dubé : Transformation personnelle par les arts martiaux, résilience face à l'imprévu et inspiration de Georges St-Pierre
Stéphane Dubé partage son parcours dans le karaté et discute de l'importance des arts martiaux pour développer la confiance et la résilience. L'épisode souligne comment ces enseignements vont au-delà du combat et préparent mieux les enfants et les adultes aux défis de la vie.
• Le karaté comme outil de défense personnelle
• La discipline et le respect dans les arts martiaux
• La résilience acquise à travers l'entraînement
• Importance des arts martiaux pour les enfants
• Les différents styles d'arts martiaux et leurs bienfaits
• Histoires personnelles de croissance et de leçons de vie
• Les arts martiaux comme une philosophie de vie
• Appel à inscrire les enfants au karaté pour leur développement
Si jamais vous allez faire un essai gratuit et que c'est à cause du podcast que vous l'avez fait, dites à Stéphane que c'est GoToTheGymPodcast.
https://www.artsmartiauxkjs.com/
https://linktr.ee/jerryblackburn
Bienvenue au Go To The Gym Podcast. Mon nom est Jerry Blackburn. J'aimerais remercier notre commanditaire, me Gym Blackburn Athletics. Si jamais vous êtes intéressé à faire des cours de groupe à haute intensité adapté à tous, on a maintenant quatre gyms sur la rivière de Montréal. On va ouvrir en Mirabel février 2025. On est présentement en pré-vente. Si jamais ça vous intéresse, allez sur blackburnathleticsca. Ça va nous faire plaisir de vous donner un service à part avec un prix incroyable.
Speaker 2:Alors vous présentez monsieur Génie.
Speaker 1:Blackburn. Bienvenue tout le monde. On a le merveilleux Stéphane Dubé mon sensei. Même drôle de t'appeler Stéphane, que c'est ça. Oui, sensei, même dans mon téléphone, je vais me permettre ici de le dire Stéphane, ok. Propriétaire de KGS Karaté, kgs à Saint-Constant.
Speaker 2:Saint-Constant.
Speaker 1:Saint-Constant. But du podcast, on va vraiment plonger dans la discipline, le karaté. Des combats dans le UFC, tko, tko, mais whatever, it's still ultimate fighting against fucking monsters, les championnats mondiaux, puis finir en karaté. We're going to talk about life, about getting punched in the face. Si vous avez des enfants, c'est vraiment le podcast idéal pour écouter ça. You gotta get them in karate. Puis, si vous habitez dans le coin de KGS, on va parler de ça.
Speaker 2:Je pense que l'idée en premier, c'est qu'ils fassent des arts martiaux. Ça peut être n'importe quel art martiaux. Exactement, tu as raison.
Speaker 1:Je pense qu'autant adultes qu'enfants on parlait de ça juste avant qu'on commence les gens ne savent pas se défendre. C'est malheureux, mais dans un monde, surtout avec la récession if ever shit hits the fan quelqu'un cogne à ta porte. Either stand up or floor. Je crois que tu dois être capable de te défendre, sinon comment tu vas défendre ta famille? Au pire, commence avec tes enfants. Mais je suis d'accord, ça doit être des armatures, kickbox, muay thai, jujitsu, quelque chose qu'on se fait brasser, puis on apprend comment se défendre.
Speaker 2:Oui. puis, tu sais ce qui va arriver. C'est que 99 % des gens, ça ne leur arrivera pas. Non, ça ne m'arrivera pas à moi. Là, c'est là que ça arrive. Si ça t'arrive, tu as un temps où tu ne peux pas défendre ta famille, tu ne peux pas défendre ta fille, ton garçon, ta femme, toi. C'est là le problème. Les gens ne s'imaginent pas, Parce qu'ils se disent que la violence, c'est toujours ailleurs que ça arrive. Ça n'arrive jamais chez nous.
Speaker 2:Mais quand ça va arriver, j'aimerais essayer de prêter Tes enfants, tes élèves, tes éducs, qu'est-ce que surtout? l'école, la secondaire, je sais pas, peut-être aussi encore l'université, probablement moins, mais ça peut arriver là. Après ça, ils ont leur vie de jeunesse, ils vont vivre, ils vont sortir, ils vont aller dans les bars, parce qu'ils vont tous passer par là. Et là, tu sais pas qui tu rencontres. Tu rencontres-tu le gars qui est tout gros, t'a cassé la gueule parce qu'il a pris un verre et qu'il n'est pas capable d'assumer le verre qu'il a bu? Là, il veut t'exposer et il va être violent avec toi. C'est ça qui perd. Tu connais ça.
Speaker 1:J'ai été de tous les côtés du médaille, mais je trouve aussi dans le monde où on vit là. moi, je suis très réseau-sociaux. Il y a des gros trends de pranking, mais les gens sont méchants avec leur caméra et de film. On en a parlé juste avant de commencer le podcast. Patrick Bette-David l'a mentionné. J'aime ce règlement-là. I live by it.
Speaker 1:J'ai appris à mon fils never bully, mais never get bullied, même depuis qu'il est jeune. Des fois, les parents que je suis avec incluant la famille, ne sont pas d'accord. Mais tu sais, il arrive Ma bagne. Qu'est-ce qui est arrivé? Ils m'ont frappé. Here's what you do. Première chose que tu fais, tu le dis clairement Pousse-moi pas. Puis s'il le refait, tu lui retournes la faveur. C'est sûr, écoute, si t'as donné le warning à la personne verbal, t'as dit fais-les pas encore. puis il le refait. Et tous les trolls, ces réseaux sociaux. they never got punched in the face. I can guarantee you that.
Speaker 1:Mais je trouve le karaté qu'est-ce que t'es? bon surtout. J'en ai pas fait ailleurs, mais j'ai quand même fait beaucoup d'arts martiaux. Man, when you get that punch in the face or that sidekick in the stomach, it just brings you back to reality. OK, une des raisons que je voulais t'inviter. on peut commencer par ton parcours. À mon avis, tu as un excellent business de karaté. Tu as toujours décidé de garder un centre parce que tu voulais, you know, que tout le monde vienne là. Ils viennent là and they do it the right way. Mais par où tu as commencé?
Speaker 2:Oh boy, moi j'ai commencé le karaté, j'avais 10 ans. J'ai fait du karaté Yosekan. À l'époque, on avait un cours semaine C du karaté Yosekan. À l'époque, on avait un cours semaine, c'était vraiment ça. Puis, moi, je me souviens mon premier cours. Ça a été un cours qui a duré 5 minutes. Oui, parce que le prof est arrivé puis, à l'époque, je me souviens encore de son nom, il s'appelait Lionel, il était à Ceinture-Brun à l'époque. Puis il arrive avec tous ses manches à balais, il nous montre un cavalier, horse stance, malibu, bâton. Quand le bâton tombe, you're out. Là, on s'installe. On installe ça, tu es là. Il fallait que tu gardes les mains en avant, tu tombes. Get out. What do you mean? get out? Tu sors de la classe, c'est fini Ton cours. Get out, what do you mean? get out? Tu sors de la classe, c'est fini, ton cours est fini.
Speaker 2:Fait qu'oubli ça, son cours de karaté qu'il a donné. Il a duré à peu près six minutes, tout le monde est sorti. Qu'est-ce que tu penses qu'on a fait pendant la semaine? Tout le monde a pensé à faire juste ça. On pratiquait ça. Deuxième cours, là, c'est un coup de soupe, position avec une jambe en avant, une jambe en arrière. Fait que faut que tu sois encore 90 degrees, faut que tu sois bas. Mange ta balle entre deux personnes. Là, si il y en a un des deux qui fait le bâton glisse, puis il tombe, it's over.
Speaker 2:Fait que mon deuxième cours a duré à peu près cinq minutes. Aussi, ça, c'est incluant la présentation. Vos places go, it's over, you're gone. C'est même pas une minute et demie, c'est dur. Ça, c'était le début.
Speaker 2:Puis, après ça, on a eu des cours normales. On a pas fait ça toute l'année, mais ça a été mon parcours initial. J'ai adoré, Pour de vrai, j'étais obsédé. J'étais vraiment obsédé. Moi, à l'époque, j'étais pensionnaire.
Speaker 2:Dans l'autre soir, dans le dortoir, on avait appris que mon premier kata, c'était un kata que tu ne bougeais pas, c'était sur place. Puis, je te le dis, c'était 21 mouvements sur place. Donc, je te faisais ça couché dans mon lit, tous tes blocs, toutes tes techniques de frappe. C'était vraiment cool. Tu sais, quand tu ne connais pas ça, tu apprends de quoi. Mais tu veux être bon Parce que ton premier cours, tu minutes OK, là, tu vas être meilleur.
Speaker 2:Fait que t'apprends les choses. Pas de vrai. Cette méthode-là, j'ai trouvé ça vraiment hot. Je ne vais pas faire ça aujourd'hui, mais j'ai trouvé ça hot parce qu'il venait chercher quelque chose que t'as pas Écoute, tu veux réussir? bon, 5 minutes, je m'en vais. Après 5 minutes, c'était juste un coup par semaine. Un coup par semaine Fait que c'était top. Après ça, je suis déménagé à Villassage. Bien, je suis pas déménagé à Villassage, je suis retourné plus chez nous. Puis là, j'ai commencé les hors-marceaux. J'ai fait En premier, on a fait boxe martiale.
Speaker 2:Ça, boxe martiale, ça a été vraiment, c'était mieux. On avait aussi les low kicks. Dans le temps, on faisait des combats de koshiki aussi, qui étaient comme du full, mais tu avais un gros plastron et tu avais une visière avec une bulle. Je te dis ça cognait, c'était vraiment intense, ça taekwondo. puis, j'allais chez À l'époque, c'était Kung Fu Canada, à Ville-Lassalle. Le monsieur était spécial, le prof spécial. Le prof qu'il y avait là, c'était vraiment spécial. Il avait une autre mentalité, tellement différente. J'ai fait une couple d'années là, puis, après ça, j'ai fait plusieurs styles. Moi, j'ai fait pendant, parce que moi, je suis pas vraiment bon, j'ai pris 19 ans pour avoir une ceinture noire.
Speaker 2:Ma première ceinture noire. Ça a pris 19 ans Pour de vrai. C'est ça. Peut puis découvrir le Jiu-Jitsu japonais à travers ça, découvrir le point de parrain à travers ça. Dans mes dernières années, ça a été un beau parcours, c'est sûr. Il y a eu la transition Jiu-Jitsu brésilien, kempo Taekwondo. Comme je l'ai dit tantôt, ça a été un peu l'histoire pendant 19 ans, avant que je parte de mon école, là, après ça, en 95, c'est là que j'ai décidé d'ouvrir l'École de l'École, de l'École.
Speaker 1:Je me rappelle à Saint-Constant, on the corner, c'est là que tu as commencé, à côté du petit dépanneur chinois.
Speaker 2:C'était le dernier local au bout, c'était le 255F.
Speaker 1:Plus 540. Ça, c'était mon premier lac. Je vais le répéter souvent dans le podcast aujourd'hui. I don't remember much de ma jeunesse. I did lots of drugs. I remember so much shit from karate. C'était comme discipline autoritaire Don't fuck around. Même à ce jour, une fois par année, tu vas me voir texter au volant and I'll just get a text, yo don't text. I'll be like Fuck since they saw me». Mais je me rappelle encore dans le vieux, un des premiers souvenirs que j'ai, c'était dans ton premier. On est allé avec les Morning Runs Canjo, puis on faisait le tour, Puis je me rappelle comment je trouvais ça dur.
Speaker 1:Puis il y avait Éric le pompier, le père d'Érica Boissonneau.
Speaker 2:Non, c'était policier, c'était policier. Puis, je me rappelle, il me montrait une technique.
Speaker 1:Mais tous mes souvenirs, c'était combien ça me manquait. C'était comme si ça me manquait, c'était dur, mais tu es toujours retourné le lendemain. Je me rappelle il y avait un sous-sol. On allait, puis, à un moment donné, j'ai fait quelque chose je me rappelle pas c'est quoi, mais soit un joke, ou j'ai touché ta fille. Je me rappelle quand quelqu'un est allé voir tu as tombé. Je me rappelle pas c'est quoi, i don't remember. Quand quelqu'un est allé voir You Stormed Out. Je ne me rappelle pas c'est quoi, mais je vais sacrer beaucoup dans le podcast. Je vais se faire faire des podcasts tantôt Mais c'était plein de petites leçons.
Speaker 1:De même que je trouve qu'aujourd'hui on flatte les gens Un peu trop Exactement. Là, je vois du monde arriver en retard. Mon fils fait du karaté. Pas chez vous, parce que c'est six ans et plus pour faire du combat, mais man, il arrive en retard. Moi, je me rappelle, if you showed up late, you don't even show up at all. We bow before going in. Moi, mon fils, on fait le bow ici, ils le font pas là-bas. Quand il met son petit kimono, moi, je mets sa ceinture, c'est like on fait le bow ici.
Speaker 1:Mais ça même à ce jour. If I'm a minute late, je vais te texter pour dire Hey shh». Mais first of all, i just won't be late. Mais c'est plus le respect, pas juste pour l'autorité, mais pour les autres.
Speaker 2:C'est une forme d'éducation, mais c'est du respect aussi, mais c'est la forme d'éducation que tu as eue. Tu vas être à l'heure pour les choses. C'est ton boss. Tu vas rencontrer quelqu'un, un homme d'affaires qui t'a signé un show. Tu vas t'arriver en retard. Non, le jour de ton voyage, tu vas t'arriver en retard. Il y en a qui vont dire oui, mais non, t'arriveras pas en retard. Don't do that gentlemen, C'est ça, ça commence mal. C'est un peu tout ça. Moi, je pense que la partie quand les, à l'époque, on avait trop 50-50-50.
Speaker 1:Push-up, set-up, squat À chaque cours Attends juste pour répéter 50 push-ups, 50 squats, 50 set-up Every class, Chaque début de cours, chaque début de cours.
Speaker 2:Si tu faisais deux cours en ligne, tu l'avais fait deux fois, tu n'arrivais à rien restaurer. Si jamais il y a des élèves, du cogs est présentement quelque chose d'assez du godo, il ya pas cher, mais c'est important, parce que qu'est ce que ça fait? c'est sûr qu'ils font pas tout bien, mais c'est pas grave. C'est juste de dire je lui fais, j'ai fait le mieux que moi je peux, les parts et en acquittant, ce tristou est ce que ce pour moi. tu te restes, toi, moi, il est pompé. Un moment donné, ça commence à s'accumuler, puis là, après ça, ils deviennent de meilleurs en meilleurs. C'est un peu ça. Je pense que cette partie-là est importante. La rigueur, c'est important. L'entraînement, il faut que ça soit dur. Puis, quand tu finis un entraînement qui a été difficile, peu importe ce que tu fais gymiles, oui, moi, d'autres, on se fait un devoir de finir le Je te dirais j'ai hâte que tu viennes voir le cours des 6-9 ans. Oui, tu ne vas pas croire ce qu'ils peuvent faire.
Speaker 1:Je pense que je vais amener Jackson juste pour voir, Juste pour voir. arrêtez où je vais là. mais moi, je veux que Jackson aie l'âme de combattre Et pas devenir UFC champion. mais au moins, comme on a dit, tantôt apprends à te défendre, Quelqu'un est méchant avec toi. puis, après la première warning verbale, au moins, il faut que tu sois capable de Exact.
Speaker 2:Ça reste qu'à cet âge-là, c'est la dernière chose qu'on-bat. Par contre, je veux que tu sois capable de le faire Moi. arrêtez Ça. c'est la leçon-là que j'ai vécue avec les élèves. Pourquoi je veux qu'on fasse du combat? Moi, je me souviens, je pense, que j'avais 10 ans, 10 ans et demi, en ce coin-là sur le coin de rue de chez nous.
Speaker 2:L'autobus était sur ce coin-là, il est arrivé de quoi? avec un nouveau gars qui était dans un coin que moi, je ne connaissais pas, en tout cas, il voulait me péter la face parce qu'il m'attendait dans les marches chez nous. Là, je vois l'autobus qui s'en vient. Ça tourne Là, je regarde, je dis à la porte-là, je ne suis pas sorti.
Speaker 2:Le soir mon père est arrivé à la maison. Mon père est arrivé à la maison, il a su que j'ai manqué mon autobus. Pourquoi t'as manqué ton autobus? J'explique la situation. Il dit écoute-moi bien. Il dit demain, si tu manques ton autobus, tu vas avoir affaire à moi. J'avais bien plus peur de mon père.
Speaker 1:Que de ce gars-là.
Speaker 2:Le lendemain, le gars s'installe dans les marches. Encore une fois, pour de vrai. À l'époque, je commençais le karaté. Il fallait pas ça, mais j'avais un petit peu de drive en dedans. J'avais pas nécessairement peur, mais j'avais peur. L'autobus arrive, je dis non, non, non, j'ai vraiment peur de mon père. J'ouvre la porte, je pars courir, je donne un coup de poing, j'ai le poing sur le nez, puis je cours, je ne regarde pas en arrière, puis je cours Hit and run, puis là, je pars enfin dans l'autobus, tout ça, le lendemain. Là, je vois le gars en question avec un tape sur le nez. Puis je vois un gars qui a une tête et demie plus grande, puis lui, en passant, il était de ma grandeur déjà, fait que là, son frère est encore plus grand. Mais là, quand son frère est arrivé, il dit Ouais, il a donné une claque à son frère qui avait déjà le nez pété.
Speaker 2:Il dit c'est lui, parce que moi, j'étais tout petit à côté de lui. Il dit c'est lui qui t'a fait ça. Il dit, là, à l'arrêt de l'autobus, il a dit à tout le monde Nobody bothers this guy anymore. Fini, j'ai eu la protection de ce grand-là. J'ai pas su que ça était fini. J'ai plus de troubles. Mais arrêtez, j'ai eu à faire face à une situation qui n'était pas le fun, c'était pas cool. J'ai eu peur, mais je l'ai fait. Quand je te dis que je n'ai le guts de le faire, puis, ça c'est pas donné à tout le monde encore.
Speaker 1:Moi je me rappelle encore de mon premier fight, parce que chez vous c'est Don't ever fight. Si on prend l'acte d'un, va pas prendre ça puis l'utiliser ailleurs. Puis je me rappelle quand j'étais au secondaire, puis je me battais, puis je me bat Miss Tite would call you.
Speaker 1:Ma directrice ma vice-directrice de l'école appelait mon sensei pour juste te dire que ton élève utilise ce qu'il a appris And then I would show up to class and it was not good news. Mais moi, je me rappelle mon premier fight à Saint-Constant. J'étais avec mon frère Justin. On est allé au parc, puis là, il y avait un petit Christ il s'appelait Phil whatever, pas un grand, mais le bully du coin, avec ses amis. Puis là, on était sur les balançoires. Je vais toujours m'en rappeler. On est sur les balançoires. Puis là, lui, il menaçait Moi. J'ai débarqué du balançoire, mais j'ai tellement peur. Je ne me suis jamais battu, même si j'ai fait cinq ans de karaté. I'm scared.
Speaker 1:C'est comme la vraie chose Le corps bat vite. Ils sont plus grands que moi. Je pense qu'ils sont plus forts. Moi, je débarque pour protéger mon frère. Mon frère, il continue de courir. À un moment donné, il était devant moi et il pousssait. Il poussait, mais moi j'étais comme I can't do nothing. Puis c'est Justin, à un moment donné, qui dit go. And then it just went like not even any technique, mais just psycho mode punch, punch, punch. Mais Écoute, j'étais dans un moment qu'il fallait que je défame, moi et mon frère. On va souvent avoir peur. On va parler de ta carrière d'armes martiaux, mais sûrement, même au championnat mondial, on a cette petite peur, au moins si tu sais comment te défendre. Puis, là, ça ne va pas dire qu'à chaque fois que quelqu'un est méchant avec toi, tu vas le puncher, mais quand tu sens que tu es en danger ou que quelqu'un de ton proche est en danger, you have to know how to defend yourself.
Speaker 2:C'est une partie qui est importante. Mais tu sais, je vais aller plus loin que ça, parce que le raisonnement là-dedans, c'est if you do martial arts, si tu t'entraînes, tu fais des arts martiaux, peu importe l'art martial, mais que tu sais que tu pratiques un sport de combat. Ça, c'est vraiment la nuance. Je ne vais pas dénigrer les autres organisations, les écoles qui ne font pas de combat. Ce n'est pas la réalité. Les arts martiaux, moi, en tout cas, quand j'étais jeune, un black belt, c'était quoi pour moi? Tu as quelqu'un qui peut se défendre, qui peut dé respect la confiance. Il est tanné, intimidant, te masque la confiance. Ça, c'est un black belt, c'est un gars qui s'est développé.
Speaker 1:T'as jamais eu un black belt? Moi, en passant, je me suis rendu à brown-black, puis, à un moment donné, j'ai commencé. à Un jour il va finir. One day I'll go. One day. C'est comme des C. Il y a une autre 12 heures. Tu faisais tout, you'd go run, you'd fight technique.
Speaker 2:C'est l'examen encore difficile, c'est encore la même chose.
Speaker 1:Je me rappelle tu me dirais c'est encore pareil À la fin de l'examen. on ferme les yeux et on est comme assis en 16 heures. Puis là on attend Quand on ouvre les yeux. peut-être qu'il y a une ceinture devant toi, puis peut-être pas. Je faisais ça à l'époque.
Speaker 2:J'ai changé un peu la méthode. Plus avancé on fait ça, mais pour les Pour les publics, c'est différent, c'est différent.
Speaker 2:Je vais revenir au point d'avant. On parlait de que tu fais, puis que tu fêtes. Tu t'apprends à combattre, que ce soit en jiu-jitsu brésilien, que ce soit en boxe, en kickbox, en motard, en pointe fighting. Puis tu pratiques, puis tu pratiques, puis ça en prend des années d'entraînement. Là, tu sais, ça devient pas naturel, il devient plus confiant. Puis là, c'est ça qui se développe. C'est pas du jour au lendemain, un kid qui est rendu ceinture bleue, ça peut être qu'il est capable de se défendre encore, parce qu'il est encore un kid, il n'a pas encore appris nécessairement, Il y a des choses qu'il n'a pas compris encore. Mais plus tu en fais, puis les gens autour de toi, ils la ressentent. Puis ça, quand t'arrives, t'as confiance, tu vas pas te faniser And you don't get to fight, t'as pas besoin. J'ai vu des situations là hé man, si t'as pas avec lui, écoute, lui, c'est un killer. Le monde, il, lui, c'est un killer, le monde, il parle pour toi. You don't need to do anything, parce que tu respectes la confiance.
Speaker 2:Pis, des fois, tu te dis j'espère qu'il y a un autre, il va te battre contre lui il vend tellement ta salade stop, stop, au cas que le gars, il se dit I gotta try this, mais pour de vrai, non, l'entraînement, ce travail-là fait que tu as confiance. Tu sais, on prend les gars qui font les CrossFit Games. Les gars arrivent, on met le premier champion, meneros Jeffral Ou Matt Fraser, juste avant Fraser, rich Froning, exactement Rich Froning, le gars qui s'entraîne super fort, ce gars-là, quand les gens arrivaient, il allait compétitionner contre ce gars-là. Puis, juste, avec les reportages que j'ai vus de lui, les gars étaient intimidés. Ils avaient le moins bonne performance, juste parce qu'ils étaient intimidés de lui.
Speaker 2:C'est fort là. Ça, ça veut dire que ta confiance, de ce que tu dégages, ça a une incidence sur tout le monde autour. Les enfants peuvent avoir la même chose Avec le temps, avec la persévérance. Tu sais, comme moi, je dis ça aussi nous tous, ceux qui sont devenus Black Belt chez nous, c'est pas à cause d'eux autres, c'est à cause que leurs parents ont persévéré. Ça, c'est les parents qui ont persévéré. Parce qu'il y a eu des journées difficiles. On venait à la maison, je leur ai pété les jambes, parce qu'ils n'ont plus de jambes, ils sont scrap. Ils ont pleuré parce que c'était tough, c'était ça à l'époque. Il faut comprendre aussi qu'à l'époque, c'était, on est vraiment soft aujourd'hui Ça a changé.
Speaker 2:Mais quand même. Mais il faut toujours tenir. À l'époque, tu te souviens, on avait un petit warm-up, les 50-50-50,. Mais le cours d'adulte, je vais te donner un exemple du cours d'adulte que je faisais à l'époque. Toi, tu faisais encore les enfants, mais on commençait le cours, c'était un cours de deux heures. Premièrement, le premier 45 minutes, il y avait trois choses qu'on pouvait faire. Soit que c'était Un des soirs, je faisais ça, ce que ça me tentait de faire, je faisais des dricks. On faisait non-stop. La seule personne qui faisait tout, c'était moi. Tout le monde cassait, mais ils revenaient, pareil, ils revenaient tout le temps.
Speaker 2:Ça, c'était le warm-up. Après ça, on avait tout ce qu'on faisait à part. Mais cette partie difficile-là, tu as besoin d'un support des parents. Tu, parents, surtout si l'un jeune castel parti, qui est à la joie y aller, fait trop dur, se fait trop mal. Les parents, c'est ça ta job. Ta job, c'est de l'amener, parce de persévérer, et avec mon dire ah, mais mon enfant veut plus. Je n'avais plus comme ça et a commencé à la bonne manche, soit à signer pour un an à ton année. Ça se passe à toutes les parents, peu importe l'activité. Ça devrait être ça. Tu, tu t'engages, fais une branée, comprends, c'est quoi? C'est ceux qui en ont qui vont lâcher parce qu'ils ne sont pas pour eux autres.
Speaker 1:C'est correct.
Speaker 2:Comme parent, tu dois persévérer, parce que si tu savais ce que ça amène à ton jeune dans les années qui vont suivre, c'est ça que les gens ne comprennent pas, les Surtout s'ils n'ont jamais fait. S'ils n'ont jamais fait leur morceau, dis-leur non.
Speaker 1:Je vous dis, pour les gens qui écoutent ça, j'ai fait une dizaine d'années de karaté chez vous, puis jujitsu, muay thai, puis je suis tu sais, c'est con, mais ponctuel, je suis respectueux des temps des autres. Contrôler les forces, je me rappelle, on se mettait des fois, c'est des comics, mais s'il y avait un kick que j'ai lancé qui était un peu moins contrôlé dans ce temps-là, you'd be like oh yeah, tu veux pas le contrôler, embarque dans le ring avec moi. Hey, papa, you get your ass kicked.
Speaker 2:Est-ce que t'as pas ce pic à ça. Non, non, non, C'est comme ça que j'ai. Tu sais, à mon âge, je voyais ça.
Speaker 1:Oh my God, le sensei va me tuer, you know. Mais le respect pour les autres, mais à la fin de la journée, if somebody comes in the house now, i can. Mais même en entrepreneuriat, comme tu as dit, if you're on time, you're late, je suis toujours à l'heure. Encore là, mon gars, il va au karaté. Moi, je rentrais là en pensant que ça allait être similaire, parce que c'était la première personne que j'ai contactée. Tu me dis que tu étais trop jeune, mais là, quand j'ai vu que c'était Encore là, je sais qu'il y a trois ans, it has to be more fun. Mais moi, j'ai juste le feeling de like you show up, on salue en rentrant, t'arrives à l'heure.
Speaker 2:Mais il faut comprendre aussi que Je dénigrerai pas les organisations qui font ça, parce qu'elles ont un beau modèle d'affaires, puis les enfants sont contents. La seule chose qu'il faut qu'ils comprennent il n'y a aucun de ces organisations-là, il n'y a aucun de leurs enfants qui compétitionnent Zéro, zéro parce qu'ils n'ont rien fait, ils n'ont rien. La qualité n'est pas nécessairement mise à l'avant. Ce qui est mis à l'avant, c'est souvent plus OK. On a du fun dans les cours, on s'amuse. Ta ceinture, tu croches, c'est pas grave. Ton salut, tu croches, c'est pas grave. Tu t'es trompé dans ton kata, tu passes ta ceinture. Pareil, il n'y a pas de Cette partie-là est oubliée. Moi, chez nous, il y en a qui ont coulé les examens, autant les couleurs. Maintenant, cette année, ça va être la première fois qu'on fait. On va commencer deux fois par année, parce qu'il y a un temps à un moment donné. Je ne peux pas trop les faire à temps de trop, on a juste ça. Cette année, ça va être la première fois que je fais un examen au mois d'avril ils ont des choses à.
Speaker 2:C'est ma montre qui sonne depuis tantôt parce que ça, c'est ma femme qui rentre à la maison. Salut, karine, c'est ça, c'est ça.
Speaker 1:On donne énormément de contenu gratuit sur le podcast. La meilleure façon de nous encourager, c'est de vous abonner Apple, spotify, youtube, laissez un commentaire et même partagez nos podcasts sur les réseaux sociaux. Merci, enjoy the podcast. Non, tu parlais la deuxième fois c'est sûr noir dans la nuit.
Speaker 2:Oui, c'est ça. Tu peux manquer ton. Tu peux manquer ton examen. C'est parti, et voilà, tu peux manquer ton examen. Ça peut arriver Parce que tu ne peux pas accepter la médicrité. Tu as un standard à avoir, comme chez nous, exemple. Non, tu sais, tu as un standard à avoir. Tu sais, comme chez nous, exemple, ils ont un nombre de cours à voir, à faire. Ils font le nombre de cours après ça, après ce nombre de cours-là, tu as un temps à voir. Si tu as le temps, tu as le nombre de cours, tu peux recevoir ton ruban rouge. Ça, c'est si tu es prêt à l'examen, si tu sais tout ton stock. Si tu ne sais pas pas ton ruban rouge, bien là, t'entends. Puis, des fois, tu sautes un examen parce que t'es pas prêt.
Speaker 1:Je me rappelle, c'était les meilleurs moments quand Blackburn m'appelait en avant. Puis là, je recevais ma tape, ou je sais pas. Puis, chaque fin de cours, t'espérais pendant un mois, deux mois, un an que c'était ton moment, mais j'étais tellement fier. Puis, je me rappelle en temps, tu faisais les kata, mais I could probably still do my first, second, third and fourth kata. You know what I mean.
Speaker 1:Pas avec la bonne qualité je collerais l'examen, mais je me rappelle, on pouvait faire des kata, puis là, tu remarquais une petite affaire, que les mains n'étaient pas par-dessus l'autre, start again. Puis on pleurait des fois, start again. Mais la résilience, c'est ça que j'essaie d'apprendre à mon gars dans un monde qui, selon moi, il nous éduque moins à être résilients. Autant, c'est con. Quand mon fils, il veut zipper son affaire, papa, c'est dur, zippe ton manteau. Puis là, je vais être là pendant huit minutes, attends, you have to like. Puis, lui, j'ai appris Quand c'est dur, qu'est-ce qu'on fait? On recommence And he cries, but it's like hey, life is a lot harder than time. De mettre tes bottes, mon chum là, oui, c'est ça qui m'a amené en business, d'être attentionné à tous les petits détails. Absolument, j'ai jamais gagné un affaire de kata, ever. I was not a kata guy, i was a fighter. Mais quand même, même si on était connu pour un centre de karaté de combat, on était quand même obligé, à ce temps-là, de faire des katas Puis on se pratiquait comme Il n'y en a plus.
Speaker 1:Maintenant, il n'y en a plus. Puis on se pratiquait Maybe that's why I'll go back, mais on se pratiquait pour quand même être le meilleur à faire des kata.
Speaker 2:On avait les bons, on avait les bons élèves.
Speaker 1:Exact, c'est tous des petits détails qui faisaient en sorte que le kata était magnifique. Même en business, ok, les cours sont nice, mais tous les petits détails font en sorte que l'expérience client, ça m'a vraiment. J'avais hâte que tu viennes sur le podcast, toi. Tu vois, c'est cool, mais tous les petits détails, c'est malade. Je veux parler un peu de ta carrière. On a sauté des étapes de practice what you preach. On avait quand même le sensei qui faisait tous les night fights, les championnats mondiaux, you'll be fighting all the time. Ce n'était pas juste. Fais ça, les élèves, puis toi tu ne le fais pas. On avait un modèle aussi, comme un nutritionniste qui dit Quoi manger, puis tu es gros, c'est comme Dude, sorry, mais ça ne marche pas. Nous, on voyait OK, tu faisais autant les cours avec nous autres, je faisais tous les cours, Tous les push-ups que je demandais j'ai tout fait Ça.
Speaker 2:je te dirais moins les dernières années, j'avoue, mais quand même, comme je fais les warm-ups avec eux autres, je fais encore les warm-ups avec les jeunes.
Speaker 1:La seule raison, c'est juste d' que tu veux projeter, puis ça me garde en forme aussi, C'est cette partie-là Plus t'en fais, plus ils vont en faire.
Speaker 2:Bien que ça va être.
Speaker 1:Pas de doute là-dessus. Puis, là, tu l'as commencé sérieusement, parce que toi, au début, c'était juste karaté Là t'as commencé à faire du jiu-jitsu.
Speaker 2:Le jiu-jitsu, ça a été en 2002. À l'époque, une fille que je fréquentais, sa meilleure amie. Elle fréquentait un gars qui faisait du jiu-jitsu brésilien, puis il donnait un cours à Ville-Lassalle. Mon premier soir, ça, c' Elle me dit que je peux aller faire un coup avec eux. C'était à l'époque des Oars Gracie. Elle m'a dit que je pouvais aller sur la ville de La Salle. Je m'en vais là, J'arrive le soir, et j'arrive quelques minutes en retard parce que je n'étais pas dans le trafic. Je suis allé dans la minute. Je m'en vais sur un kimono, on fait les techniques, on fait des combats. Elle m Alors, il m'a mis le bras ici, lui, il me dit Ah ça, tu penses que t'es king shit?
Speaker 2:Ah, ouais je pense que je suis king shit, pas à peu près. Il pèse peut-être 150 livres Et moi, il m'a mis la main dessus. Comment puis? je le brasse, je le brasse, puis, d'un coup, je me suis réveillé. Ha É dodo, c'était mon premier temps de juger du judo, Ce gars-là.
Speaker 1:je l'ai engagé.
Speaker 2:Ça a été mon premier.
Speaker 1:Le jeune italien.
Speaker 2:je pense C'était lui, non c'était pour Luciano, c'était Sylvain Moreau. Il est décédé maintenant. Il est décédé il y a quelques années. Mais ce gars-là, ah bien, jjitsu, incroyable. Tu sais, des fois, je me dis c'est-tu parce que je ne connaissais pas ça, que tout était merveilleux. Mais à bien y réfléchir, j'en ai eu beaucoup de profs de Jiu-Jitsu, des meilleurs gros canadens qui sont venus enseigner chez nous. C'était le meilleur prof que j'ai eu En fait d'enseignement de passer le message. Il y avait une façon de le faire. C'est parce que c'est ça aussi Passer l'information. Ce n'est pas facile La passer, pour que les gens, wow, ils accrochent tout le temps. Lui, il avait cette quelque chose-là, le special touch.
Speaker 1:Think you can't learn in school? Oui, exact, lui, il l'avait.
Speaker 2:Il l'avait. On a fait ça pendant deux ans-là. Après ça, ça a été Georges St-Pierre qui est rentré chez nous. Je me rappelle de ça, georges était chez nous pendant trois ans.
Speaker 1:Puis, sais-tu, quand Georges était là, lui était déjà dans le MMA. Il commençait le MMA. Est-ce que vous avez commencé à vous intéresser au MMA en même temps?
Speaker 2:Non, moi je ne faisais même pas ça, je regardais le fc, les premiers ou pas. C'était vraiment cool maintenant. Mais j'ai entendu parler de georges vraiment souvent. C'est que le saint isidore le connaissait, poste qui, il. C'est drôle parce que, jean, je lui ai parlé, moi, tout le temps, parce qu'il me voyais les journaux, c'était trop les journa À l'époque, on était tout le temps dans les journaux. La façon que ça s'est passé, c'est que le prof que j'ai super adoré, il y avait des problèmes de personnalité. À un moment donné, j'ai dit c'est fini, tu ne seras plus chez nous, je me mettais dehors. Mais la veille, avant que je me mette dehors, il y a un parent. Il venait porter à lui des billets pour le TKO Genre. Je se battais sur cette carte-là. Je te dis le hasard, c'est.
Speaker 1:La vie peut bien être des choses. C'est quoi TKO? C'est une autre organisation de combat Mixed Martial Arts.
Speaker 2:Oui, au Canada. À l'époque, c'était l'organisation numéro un au Canada, qui était chapeautée par le UFC En passant, qui avait l'hôpital réel du fc. Ok, la même. Donc, pour faire soit course m'accroche, soit le parent avait les biens. Si, ben paul, parce qu'il est parti avant qu'on a mieux. Du coup, il est parti, puisque ça, c'est ma suite qui a fait que le stade, c'est le lendemain matin, il est pas le plus. Le coach donne le coup, bien fait. Du coup, quand il est arrivé 45 minutes après, j'ai pas dit un mot aux élèves, à savoir ce qui se passe. Je règle ça. Mais après ça, j'ai réglé ça. Le vendredi soir, je m'en vais au TKO, j'ai les billets, je m'en vais au show, puis, à la fin, du gars là, georges Nesbap, il venait de gagner broder, un gars, c'est ça Fait qu'il est en train de se dire que c'est grave. Puis, j'attends peut-être, je suis peut-être à 50 pieds en arrière, puis j'attends, tu sais, je vais attendre, je vais essayer de se dire que c'est grave. Puis là, d'un coup, il se lève de la tête, puis je dis hey, je te connais, toi, t'es gars de KJS. Il Parfait.
Speaker 2:Ça a commencé la relation entre nous autres d'entraînement. Après ça, on est devenus aussi partenaires d'entraînement. En musculation, on faisait de la muscu avec moi. On a fait pas mal de choses ensemble. Ça a été une belle expérience. Georges, à l'époque, il était blue belt, il était juste blue belt en jiu-jitsu brésilien. Moi, j'étais encore un white belt, je pensais que c'était bon. C'est vrai, parce que le vendredi s'est battu, je fais, je fais un offre, on va se pile le samedi, puis le dimanche, on faisait un entraînement ensemble, que j'ai parce que je veux savoir si c'est beau, le dé, ça, les combats de ce métier. C'est capable de m'enseigner quelque chose. Bien, on se fait un training ensemble demain, on commence à à se tiroyer un peu Et boy, je sais pourquoi, c'est Georges St-Pierre.
Speaker 2:Pour de vrai, j'étais tout jeune. Il y avait une force Pour pousser les poids. Il ne pouvait même pas me suivre, pas de joke. Mais quand il mettait la main sur toi, je ne sais pas ce qu'il y avait, c'est comme si tu ne pouvais rien faire. C'est sûr, c'est knowledge, c'est la connaissance de ce que tu fais. Ça, ça avait été OK man, l'engager.
Speaker 1:Bien sûr, je l'ai engagé, you're hired, you can kick my ass.
Speaker 2:You're hired, that's it, c'est ça, il faut que ça soit ça. Ça a été vraiment cool. Ça a été un beau moment d'échange. Je parle de développement aussi pour Georges dans sa vie, il pourrait l'en parler. Puis je sais pas moi l'aider aujourd'hui, mais lui, il pourrait l'en parler. Ces trois années-là ont été autant bonnes pour lui que pour moi. C'est sûr que pour moi, dans le business, c'était le fun, parce que les gens viennent chez nous, puis Georges St-Pierre est là, ils s'enferment avec Georges, parce que c'est cool. Ça fait à ce qu'on disait tantôt je suis brésilien, c'est une des choses. J'ai rentré Après ça. À l'époque, je faisais déjà du kickboxing, qui partait originalement de mon premier martial art, mon deuxième martial art que j'ai dit, que je faisais la boxe martiale. Ça, c'était du kick fait qu'on a fait, on a rentré ça aussi. Puis, à l'époque, j'avais engag Marlène Lalonde, qui je pense qu'elle est encore chez Apex. Elle est encore chez Apex, elle a une déco cardio-képoque solide.
Speaker 1:Elles sont super populaires, oui, et bonnes. Je me rappelle dans le temps. Marlène elle était assez. Je la trouvais belle, Marlène. Je ne me rappelle pas quel âge 6 ans, 7 ans, Marlène, je l'ai recroisé quand j'étais adulte. J'étais encore pareil Marlène. Hey, Blackburn, le mec, Tu sais quand tu vois ton high school crush, mais quand t'es plus vieux. J'ai déjà fait un couple de cours avec elle, justement chez Apex. She can still throw a kick, my friend.
Speaker 2:Oh yeah, punch and a kick. Ah, elle est solide. yeah, c'est drôle, parce qu'on était allé en 99, j'avais amené au US Open, puis elle a fait du point de fight, puis elle a fait du combat continu. aussi, on a fait les deux. J'ai dit qu'est-ce que ça me va, on va finir premier. en novembre, on a des trophées de six pieds, des six pieds, je me rappelle.
Speaker 1:Ma mère gardait les trophées de six pieds que j'avais comme mom class à ton garage. Ils sont tous en train de tomber. Toi, t'étais dans les années, t'avais quel âge toi ben 34, ok, toi t'as l'âge d'Hugo Bouffard, exactement moi, c'était Caldrépanier. Caldrépanier est un peu plus vieux, je pense deux ans plus vieux est-ce que tu es plus vieux ou plus jeune?
Speaker 1:non, caldrépanier est plus vieux parce que, je me rappelle, il y à l'école même si c'est drôle, je dirais pas de nom mais un de ces gars que j'ai toujours voulu puncher dans la face, mais j'étais trop jeune et effrayé. Pas mal sûr que je l'ai croisé au karaté hier. J'ai quand même regardé deux fois. Mes vieux habitudes sont rentrées. Je vais écouter les conseils que la madame donne à mon enfant Just breathe.
Speaker 2:Lui, je vais écouter les conseils que la madame donne à mon enfant Just breathe. Mais oui, lui, il était plus vieux. Oui, puis, c'est drôle, parce que Hugo Bouffard, il était solide, c'était le meilleur frère qu'on avait, But he was messed up lui, éventuellement.
Speaker 2:Je pense qu'il a des problèmes de drogue, oui, mais ce qui est arrivé, lui, il était jusqu'à 14 ans chez nous, 14 à l'époque. Moi, il y a un homme qui m'a dit en 1995 je ne sais pas pourquoi il m'a dit ça quand j'ai dit j'ouvrais mon cas de gestion, le président à l'époque de la WACO, andré Raymond. Il m'avait dit Stéphane, il y a une chose que je vais te dire attache-toi pas à tes élèves, parce que ça fait mal. Qu'est-ce?
Speaker 2:qu'il connait lui Attache-toi pas à tes élèves, parce que ça fait mal. Qu'est-ce qu'il connaît, lui. Le gars est fort, il a 7 ans, ses parents sont séparés, mais ils ont eu de belles ententes ensemble Toutes les fins de semaine. Je faisais 30-35 tournois à l'époque par année. Je l'amenais avec moi, j'avais le team, on avait le team de compétition, le Hugo Sport, montreal All-Star, on avait ce team-là, puis il venait avec nous autres, mais là, moi, je l'avais tout le temps. Il venait toutes les soirs de la semaine, la fin de semaine, avec moi. C'était comme mon gars.
Speaker 2:Tu n'avais pas d Ah, c'est vrai.
Speaker 1:Oui, J'avais ma fille.
Speaker 2:Parce que ma fille à ton âge?
Speaker 1:tu as dit 34?. Oui, Stéphanie, Elle va avoir 34.
Speaker 2:OK, elle va avoir 34. Fait que là, il me shoot, ça, tu sais, il part son père, on s'en va. On s'en va Pour le vrai. là, i cried like a baby. j'ai vraiment eu de la peine, parce que le kid, je l'avais tout le temps avec moi. tu l'as vu grandir, j'ai mis du temps avec lui. tout ça, last year, l'année passée, ça fait 20 ans. last year, j'arrive d'un tournoi, je tombe face à face à Kigo bouffon, on se fait un freaking hug, c'est ça J'ai encore des frissons qui sont pensés Une chance, j'ai une chemise.
Speaker 2:Ça a été un moment vraiment incroyable. Puis là, il était là avec ses enfants.
Speaker 1:Il fait bien, Il fait bien Encore. Je ne me rappelle pas, mais je me rappelle. À cette époque-là En fait, moi j'étais plus jeune, presque le même âge, mais ça n'allait pas bien entre les deux oreilles, Mais vous autres.
Speaker 2:Peut-être que vous autres vous en rendez compte. Moi je ne le savais pas, je ne connaissais pas ça, les drogues. C'était ce gars-là. Il n'est pas agent, comme je l'avais dit, il avait 14 ans. Ah, ouais, ok.
Speaker 1:Qu'est-ce qu'il a?
Speaker 2:C'était ça. Là Fait que Faire une histoire à la coupe. Je le revois L'année passée. Il décide de faire les championnats provinciaux, lui. Il s'entraîne dans une autre école, il fait encore du karat. Il a recommencé ce fait un an. On arrive là-bas et il est tombé dans la division d'un de mes élèves.
Speaker 1:C'est comme un film. Je ne pouvais pas coacher, j'étais incapable c'est comme coacher pour battre contre ton gars lui.
Speaker 2:Là, je ne pouvais pas. Depuis le mois de septembre cette année, il est revenu au KGS. Ah non, c'est trop hâte depuis le mois de septembre cette année, il est de retour au KGS. Ah, no way, oui, oui, c'est trop bien, il est revenu au KGS Sick, oui, ses enfants, lui, il donne des cours dans une école Sonfuki à Lachute. Ça existe encore, sonfuki.
Speaker 1:Ses enfants. Ils ont 40 écoles eux autres. Ils ont une belle organisation.
Speaker 2:Ils ont vraiment une belle organisation. Ils donnent des cours dans l'école là-bas, ils portent sur Kimono ou sur Fukui, qui est là-bas, mais en tournoi, c'est un KGS, ils s'entraînent chez nous. Je pense que lui, il le fait pour ses enfants. Moi, je suis d'accord avec ça. Ça ne change rien. L'idée, c'est d'échanger, même, même si j'ai des enfants d'autres écoles, d'autres organisations qui viennent. Ils sont rien chez nous. Ça fait quoi.
Speaker 1:C'est comme moi, c'est des gens qui s'entraînent à d'autres gyms viennent à mon gym. T'es chez nous aujourd'hui. Merci, moi, c'est sûr quand Jackson commence chez vous. Je sais pas comment ça marche l'horaire tout ça, mais that's probably when I'm gonna get back, juste pour qu'ils puissent voir que papa fait ça aussi.
Speaker 2:Tu es encore tout jeune, tu es capable de faire ça.
Speaker 1:Ça ne me dérange pas, je ne vais pas avoir le coup à la hauteur, tu as du temps Si tu fais un petit peu tous les jours, 10 minutes par jour. Tu sais ce qui va arriver Dans trois ans. on va arriver là.
Speaker 2:Je vais faire mes premiers combats, Je vais avoir mon premier coupbat de gueule et c'est là que je me dis OK, tu sais quoi, tu ne vas pas avoir ton débat de gueule. Tu sais pourquoi? Parce que tu es l'original, oh mon.
Speaker 1:Dieu. Mais c'est ça que je veux dire? OK, oublie la mobilité et l'étirement. Tu me mets dans un débat de points maintenant, les gens qui écoutent, il faut comprendre. ce n'est pas du street fight là-bas, c'est du point fight. Le but, c'est de toucher la personne le plus vite possible et pas de faire toucher Man. I could still drill, jump fake side back, you know.
Speaker 2:Ouais, moi je te le dis, les originaux Hugo.
Speaker 1:C'est sûr. On fait un rematch, moi et Hugo Non.
Speaker 2:mais écoute quand il est revenu. Puis, moi, je fais trop à la fin des cours, je fais trop comme OK, les journées qu'on fête, on fait une élimination. Je crois qu'il en reste un, un point. Un point, il gagne la reste. Tu as perdu deux fois, you're out. Tu as deux chances.
Speaker 1:Tu retournes dans le line-up, tu retournes dans le line-up 5-5-5,.
Speaker 2:Finale Hugo contre Ryan, un de mes jeunes de 17 ans qui marchait super bon, Puis go going. Wow, sérieusement, j'étais heureux.
Speaker 1:Les OGs. Oui, je te le dis, tu ramèneras toute la gang. Tu sais que je croise des fois, une fois par année. Marco, lui, c'était avec des coups de poing, comme un grand blond. Tu as montré les frottos, marco Dubé.
Speaker 2:Oui, Je me rappelle lui, dès qu'il partait c'est hook, son père aussi en avait fait.
Speaker 1:Je l'ai croisé à un moment donné Quand, en armes martiaux, tu vas comprendre, ce n'est pas juste faire un sport, tu fais vraiment un sport, tu fais un sport, tu fais un sport, tu fais un sport, tu fais un sport, tu fais un sport, tu fais un sport, tu fais un sport, tu fais un sport, tu fais un sport, tu fais un sport, tu fais un sport, tu fais un sport, tu fais un sport, tu fais dans le front. Tellement de fois, i'd go home and I'd cry, but then I'd come back. C'est ça que je trouve ce qui est nice avec les sports de combat.
Speaker 2:T'as été dans les mêmes années que Marco, en plus.
Speaker 1:Cal La Vallée.
Speaker 2:Ouais, tu calmes, steven Laroche Ça me dit rien Il y avait. David Loisel.
Speaker 1:Ça, ça me dit de quoi, mais je me rappelle pas Simon Murphy. Simon Murphy, lui, c'est une belle preuve, not a big guy, tout un phénomène, c'est son reach. Je pense que je l'ai recroisé une fois, c'est un ingénieur, lui, c'est sûr que c'est un smarty. Je vois le Simon de 12 ans. This guy is a smart guy. Yo, je pense qu'il est au Apex, lui.
Speaker 2:Oui, il fait des fois Apex, pretty sure, oui il fait Apex, il fait Apex, il va aussi Je pense qu'il fait encore des combats.
Speaker 1:Il est en forme. le gars, Oui, il est en forme. Un petit jeune cocky là.
Speaker 2:Oui, il y a une trentaine d'années. Oui, oui.
Speaker 1:Tu le vois, le gars est Les policiers, Mais man, tu ferais un événement comme tous les OGs. Ça fait 10 ans plus qu'on n'a pas fait du karaté Nous avons tellement de plaisir.
Speaker 2:L'année passée, c'était l'examen de Black Belt. L'année passée, puis, j'avais un gars qui, tous les Black Belt sont venus, il en connaissait 3 ou 4. Le reste, je ne connais personne. Là, ok, le reste, je ne connais personne, là, ok. L'épée, c'était un grand, quand même grand, 200 livres. Ok, on va fêter Nice. Il y a pas tous les vieux, tous les anciens, les gars, il y en a que ça faisait sept ans qu'il n'a pas mis des gants et des kicks, Péter la face, pareil. Il dit comment ça, comment ça, il m'a fait péter la face, ce gars-là.
Speaker 1:Oh jeez, c'est ça Moi. Mettons. If I would think now, qu'est-ce que j'aurais les misères avec Moi, tous les drilled back fist punts counter. Il y a tellement eu de répétition. I can still do it, je pense.
Speaker 1:Je pense que la chose que j'aurais le plus de misère avec, c'est la même chose que j'avais le plus de misère avec dans le temps. C'est bien beau timé, mais c'est le Marco effect. Tu prends pas ça en dessous de la jambe maintenant. Ça, c'est une technique, à la fin de mon époque, de repasser. Je vais te conter une histoire. Je sais pas si tu te rappelles de mon dernier tournoi au Québec Open. C'est-tu ce qu'on appelle les combats d'équipe? Non, il ne faut pas oublier que j'ai arrêté parce que j'ai découvert les femmes et la drogue Les soirs de semaine. I was busy. Éventuellement, à 18 ans, j'ai décidé de retourner faire un comeback au karaté.
Speaker 1:I came back. Je me rappelle, je voulais faire du UFC. Je suis revenu pour je me rappelle pas combien de temps. Puis, là, il y avait le Québec Open, puis Steph Bouchard, la fille à Donald, elle aussi, elle faisait du karaté, Fait que Donald et Reno, le père, ils étaient là. Hey, on va-tu à Québec Open? OK, cool, on y va». Là, on a fait comme avant. On est descendus à un char ou deux, Mais là, on avait l'âge de bois.
Speaker 2:Oui à Québec Open.
Speaker 1:Moi, je ne voyais pas ça quand j'étais un kid, mais là je comprends. Je me rappelle on dormait à terre parce qu'on n'avait pas d'argent pour avoir plusieurs chambres d'hôtel. On dormait à terre et tout le monde se défonçait avec sa terrasse. Mais là, on va au bâton rouge, on commence à boire Donald's wasted à 4 heures l'après-midi. Donald va se coucher, reno est chaud mort. Reno va se coucher, moi et Steph va se coucher Là, moi et Steph. Écoute, on est sortis après. Là, vous avez 18 ans à ce moment-là.
Speaker 1:Le lendemain, on compétitionnait, mais moi, je me suis réveillé dans le corridor de l'hôtel avec du vomi sur moi encore, avec un verre dans les mains, and I just woke up. I'm like.
Speaker 2:Pas fier de toi gros? Non, non, mais écoute it's a story.
Speaker 1:Je suis pas plus fier.
Speaker 1:Mais c'est aussi la phase de ma vie. I was still doing all the bad stuff, but I was like let's try this karate thing again. Fait que là, je rentre dans la chambre, on regarde l'art, don't forget. Dans le corridor, tout le monde faisait du karaté. Fait que t'as tout le monde qui passe à côté de nous autres, ça nous regarde avec du grouillement. Mais we're late And I wanna puke. Là, on court. On arrive, là, j'ai manqué, j'ai manqué ma division. Fait que là, on va trouver, i invent some bullshit. I'm sorry, don't forget. Nous, on a du monde ponctuel. On arrive en retard, notre division est fermée. Faut que là, je monte une division. Toi, tu me sors un black belt, tu mets un black belt and je dis OK, go, je vais toujours me rappeler de ça. Tu commences à me coacher.
Speaker 1:Puis là, whatever le début, ça va bien, mais à un moment donné, blackburn, spin, kick, and then she said what the fuck was that? J'ai lancé sûrement le pire spin de l'histoire. Don't do that again. Puis, je me répète à un moment donné, i went to counter a punch, Puis le gars est arrivé avec un counter back kick. Je m'en souviens pas, i didn't shit my pants, but I had une chance que c'était la fin du combat And I just got totally whooped. Puis, je me rappelle encore les deux, on s'est un peu regardés Like what the Puis I smelled. Il faut toujours me rappelle toujours. À ce moment-là, je me disais que le karate n'était pas pour moi, parce qu'encore là je retournerais faire un combat. Ça serait malade, je pense honnêtement. Si jamais tu ferais un dimanche, annonce-le d'avance. Si on a tous des enfants un dimanche, ce serait de la bonne lutte. Ça pourrait être le fun un dimanche, whatever OGs it would be some good fighting.
Speaker 2:Ça peut être le fun.
Speaker 1:Une chose que je voulais te parler aussi avant qu'on parle du UFC. Je t'en ai parlé par texte. Ça, c'est un business decision à toi de prendre, mais je trouve qu'on pourrait faire une belle équipe À cette heure, quelque chose pour montrer les gens à se défendre. On dirait les gens, c'est pas par où commencer. Moi, je créerais un encore là. Faire quatre week-ends, c'est quand même long, parce qu'il y a des gens qui sont pas assez durs. Mais un intensif de six hours of real life basics, un, c'est quoi? un position de combat, Comment te déplacer si quelqu'un te choque, un genre de 4 à 6 heures self-defense class basics, pis toi, pour ta business, que ça pourrait être nice. C'est comme tu fais goûter aux gens un peu de karate, qui aide les gens en vie, un peu de grapple, un peu de toutes les armes mart, en vie réelle, un peu de grapple, un peu de Toutes les arts martiaux. Les gens sortent de là un, ils savent comment se défendre un peu plus.
Speaker 1:Puis, deux, ils ont goûté un petit peu à tous tes produits. Puis là, ils vont dire moi, j'ai vraiment aimé ça. Comment apprendre à? tu sais comment me défendre? Moi, je viendrais faire un cours de jujitsu. Moi, je trouve like, il y a personne qui offre ça, à part des gourous TikTok qui demandent comment se défendre. But like a real life, like on promouvoit ça pendant un mois, on accepte, je sais pas, whatever, 40 people. On prend des réseaux sociaux, but it's like real. On prend des réseaux sociaux, mais c'est comme des bases de vie réelles. Quelqu'un t'arrive à l'école, puis il te pousse, qu'est-ce que tu fais? Tu te réveilles. Comment faire un?
Speaker 2:jab, je ne sais pas. L'idée est super bonne, mais il y a une chose que moi, je n'ai jamais crue. Si c'est l'idée pour convaincre des gens pour qu'ils viennent chez nous, qu'ils viennent faire de l'entraînement, qu'ils comprennent l'importance, ok. Si c'est pour l'idée de dire tu vas savoir te défendre après, it's not going to happen. Ça ne marche pas. Pourquoi? Parce que la raison est simple How many repetitions you did to make sure you got a counter-cycle? Milliers, des milliers, puis des fois, on en manquait, parce qu'il y a le timing, il y a la distance, il y a la vitesse, il y a l'angle, il y a tout ça qu'il faut créer. C'est sûr que, comme initiation, si c'est un genre d'initiation aux arts marceaux qu'est, je pense qu'il est plus réaliste que de dire tu vas savoir plus se défendre. Les policiers, ils viennent à tourner mercredi chez nous. Ils viennent le jour, ils font des formations. Les policiers font des formations à d'autres policiers. Ils font un refresh, eux autres, ils le font deux fois par année. Ils font un refresh deux fois par année, c'est leur métier. Il y en a qui arrivent et Ils oublient tout. Je me souviens pas. Ils font plein d'erreurs, c'est leur métier. C'est pour ça que je dis c'est important, la répétition De faire un sport de combat, peu importe le sport, peu importe le sport que tu fasses, peu importe le sport que tu veux faire, peu importe le sport que tu veux faire, il faut que tu fasses des répétitions pour que tu deviennes bon, pour que tu comprends, pour que tu le sens.
Speaker 2:Parce que savoir se défendre, comme on parlait au début, oui, c'est de la confiance. Mais tu as eu confiance pourquoi? Parce que tu l'as fait, tu l'as pratiqué, tu as vécu des situations, tu as été en classe, tu as mangé des kicks, les kicks d'en face, les enfants ont des visières. Ça, c'est moins pire. Il y a eu toute cette partie-là qui fait que, pour les enfants, honnêtement, ça fait juste un mois que j'ai eu des visières pour eux autres, qu'on le fait avec des visières. Meilleur choix que j'ai fait, pourquoi?
Speaker 2:Parce que la différence de size, avec mes kicks, je t'ai montré tantôt le petit gars, il, il a 7 ans, mais il a de l'air d'un 4 ans, pas de joke, c'est tout petit, lui. Il fait de l'onigra, c'est sûr qu'il mange des kits d'enfants, mais il n'a pas peur de personne. Il va essayer n'importe quoi. Il va l'essayer, il se fait frapper, il tombe à terre, il sort de là, il recommence. Il n? Qu'est-ce que tu penses qui va arriver dans ce petit gars-là dans 5 ans, après 5 ans qu'il fait du sport de combat, il va être 12 ans. Bien, il va dire l'enfer, cette équipe de 12 ans-là. Boy, il va être bon en temps, puis il va être. Il a déjà eu le courage, mais je pense qu'il va être encore meilleur son courage. Il va être plus, grand, plus, c'est ça.
Speaker 2:Mais les jeunes de 7-9 ans, ça fait des cours. 6-9 ans, arrêtez, ils font trois cours par semaine. Je te dis 90 % de mes jeunes font les trois cours dans ce groupe d'âge-là, ils font toutes les cours, toutes les cours ils font. J'en ai un qui a commencé cette semaine, deuxième cours, Son deuxième cours de karaté. Il fait du combat. Il avait aucun idée de ce qu'il faisait. Nice fait faire, mais il y avait un plastron, il y avait pas de plastron, mais il y avait du visage dans le ventre ou t'sais ok, écoute.
Speaker 2:Pis, il était avec un autre petit qui commence aussi. Pis, ils ont eu du point d'au bout. Et comme ça, j'ai eu des plus vieux qui ben un petit peu plus expérimenté qu'avant quelques jours, qui était meilleur. Pis, au bout de 30 secondes, tu voyais déjà 30 secondes, pas 5 minutes 30 secondes. Il avait déjà compris qu'il ne fallait pas garder les doigts. Je vais aller en langue.
Speaker 1:Imagine, don't forget, moi, j'ai vraiment développé un marketing sales aspect of business. Moi, exemple, je serais un copropriétaire avec Karate KGS. I would do monthly quelque chose either free or like a $10 thing. like a tu prends maximum people you can take, tu fais à telle heure c'est pour les enfants, à telle heure c'est les adultes and it's intro martial arts. And it's like a four hour thing, si tu comprends, but it's like an hour, maybe less 3 is good. 45 minutes karate, 45 minutes. This pis là à fin love.
Speaker 1:Don't forget t'as les numéros, t'as les noms, t'as les courriels ouais absolument là après ça soit t'es close sur le coup, mais toi, hey guys, on a un petit forfait, c'est promotion, promotion, c'est celui que tu as décidé. De plus, donc, tout le mois, tu travailles à remplir ce trial low ticket, ou gratuit, puis après ça, là, ils ont goûté. Moi je vais faire karaté. Je regarde l'horaire, moi, tu as deux salles, moi je peux faire ça. Juste, une génération de lead Basics, comme tu dis, à la place de faire self-defense. Un intro aux arts martiaux chez KGS And then from there, si un kid qui tripe sur Muay Thai, puis l'autre tripe sur pointe-faite, on a un forfait familial pour vous autres, ça ça, ça serait plus allure.
Speaker 2:Moi, ça, ok, parce que là, c'est un intro. Tu vis les trois disciplines. Là, ça, c'est bon. C'est sûr que dans le cas des plus jeunes, j'ai juste deux disciplines. Quand t'es adulte, là t'as trois disciplines. Adulte, je te dirais que t'as deux, pourquoi? Parce que les adultes, j'y rentre pas en point.
Speaker 2:De fait, je comprends, ça va trop vite. Il va mieux faire du time, parce qu'on frappe l'impact, ils ont un bon feeling, puis ils retiennent des paires, parce qu'ils font du sparring. Parce que là, maintenant, on fait le sparring à tous les cours. Avant, on ne faisait pas ça Le mercredi, on avait le sparring, mais maintenant, ça va être à partir de janvier, c'est obligatoire, parce que c'est sûr que mes instructeurs sont plus âgés, puis il faut trois minutes de trois rangs, de deux minutes de sparring à chaque cours. Nice ont toutes les équipements, ça va pas, mais tranquillement, parce que c'est moi, j'ai ma clientèle. Adulte, le regard, ça va dire je te dirais oui, 15 mai, 15, 62 malades et le 50-60, j'en ai une bonne gagne. Là, j'ai du 40 ans, puis après ça, j'ai du 16-23-24 mais c'est ça qui est le fun dans les cours.
Speaker 1:Je me rappelle encore je me battais contre des adultes, ça faisait 8 tout ça. Et je me rappelle même que j'étais un petit jeune qui voulait juste se battre. Mais tu te bats différemment avec les plus vieux. You gotta respect them. You know what I mean.
Speaker 1:Even if they're gonna kick your ass, tu vas aller plus doux avec certaines armbars, because you know that guy's got a bad shoulder. Ça monte sparring. Ce qui est le fun, c'est Moi et Marco. On reviendra la semaine prochaine Sûrement, moi et lui, on va avoir un peu plus de fun, un peu plus de durée. Mais le deuxième partenaire, ça va être peut-être quelqu'un de 50 ans. Moi, je vais calculer.
Speaker 2:Tu vas aller, mollo Çaiers c'est vraiment, c'est contrôler ses pourcentages de vitesse, pourcentage de force, puis tu calcules, tu sais, j'ai exemple, j'ai michael, c'est ses 4 280 livres. c'est sûr que s'il lance un one, two full pin, ben, ben, ben, ben, si tu touches, et route exacte, route. des fois, il fallait malade à saint-pierre. t'as bien beau, t'es bien bon, mais s'il te touche, you're out. Des fois, il fait avec des petites malades de 5 pieds, c'est pas un qu'ils ont, mais super tranquillement, il laisse travailler, ça se frappe. C'est de mettre les gens en confiance.
Speaker 2:Il faut que ce soit un environnement qui est sécuritaire, autant qu'il y en a d'autres, comme tu as dit, il y a deux autres, deux petits gars qui disent on va ensemble, mais quand il arrive avec ton partenaire oh, diffuse Ça, c'est de l'intelligence au combat, Parce que si tu peux faire ça, ça veut dire que tu vas permettre à tes partenaires d'entraînement de devenir meilleurs. C'est tes plantes à toutes les fois. Ils n'ont pas meilleur, Ils vont dire OK, I'm quitting this thing.
Speaker 1:Je viens d'avoir un flash. Mon frère faisait du Jiu-Jitsu avant. Je me rappelle, on a fait un cours ensemble. Je ne comprenais rien au Jiu-Jitsu. Je l'ai fait taper, juste en squeezant dans ma galpe. Quand elle a tapé, tu es venu en salle, tu m'as banné pour, je pense, un mois de Jiu-Jitsu. C'est pas comme ça qu'on fait ça ici. Juste ça, même dans tous les sports. I do not ever. Même en compétition, je suis jamais le premier à like I will never, je vais jamais niaiser l'autre, ou like trying to but le moment. Des fois, on fait du sport avec des amis. Dès que t'en as un fucking baveur, then you're finished. Mais je vais jamais baveer. I'll beat someone. Ça peut être une game d'échecs Always respect this and that. Mais tu commences à baver, i'm going to bave you, mais ça c'est encore des leçons de respect.
Speaker 2:Tu devrais toujours gagner aussi. Tu gagnes la communauté, tu perds la communauté. C'est la même façon. Ça ne devrait pas rien changer. Ça devrait toujours être la même façon, que tu vois la victoire ou la défaite. Autant que pour celui qui veut s'améliorer, tu as gagné. Mais là, j'ai perdu. Watch your tape, watch your fight. Est-ce que tu as fait de bon? Maintenant, tu as gagné. Watch your tape, watch your fight. Est-ce que tu as fait de bon ou est-ce que tu as fait de moins bon? Il faut que tu le fasses ça. C'est ça qui fait que tu grandis et que tu t'améliores. C'est cette partie-là. Charles, te souviens-tu de ta ceinture verte? Je ne sais pas si tu te souviens. À l'époque, il fallait t'aider des gens dans la classe. Il fallait que j'aide, il fallait que tu viennes t'aider dans la classe. Tu te souviens?
Speaker 2:de ça, je vais vous conter de quoi, à l'époque, au centre, les gens y venaient librement, mais à l'époque, j'assignais un jeune à un jeune. Tu ne te souviens pas de ça? Non, oh my God, je n'en reviens pas. Je parlais de ça avec ma femme un moment donné. Je ne sais pas si tu te souviens de ça. Je te montre l'histoire. Je te match avec un jeune et je ne me souviens pas de son nom. Je m'excuse de ne pas me souviendre de son nom, mais ce petit gars-là, il était comme vraiment terrible. C'est peut-être mieux que je ne me souvienne pas de son nom, ok, Oui, c'est ça.
Speaker 2:Il était tout jeune, il avait 6 ans peut-être. J'avais quel âge moi? ça fait 12 ans. Je suis assis avec ce petit gars là un coup, deux coups, trois coups. C'est marrant c'est ça, c'est ça c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça À l'époque, je ne sais pas si tu te souviens, mais tu arrivais avec une chemise, tu avais de la bleue, tu avais une couleur dans les cheveux.
Speaker 2:À un moment donné, ce gars-là, il arrive au centre, il a les cheveux avec du bleu parce que dans la semaine, tu avais du bleu Et tu n'étais pas là. Tu ne te souviens pas de ce que j'ai fait? Non, puis, j'ai passé le téléphone. Tu t'es emmené au centre tout de suite. No way, je te jure de God, j'ai des frissons malades. Tu t'es emmené au centre tout de suite. Tu es venu faire ton cours avec lui. J'ai dit appelle-le. Le petit gars était vraiment déçu parce qu'il avait fait ses cheveux comme toi, parce que he wanted to be Toi. Tu te dis I don't want to be with him anymore.
Speaker 1:Puis lui, il est comme I want to be him».
Speaker 2:C'est l'influence, le pouvoir, la force que ça a, parce que t'as, étape par étape, t'as évolué, t'es devenu. On ne s'en rend pas compte de la transformation, des fois, on ne la voit pas tout de suite, mais tu t'entraînaient fort, les canjos que tu faisais.
Speaker 1:Ce n'était pas des canjos où on jouait la flûte.
Speaker 2:Non, c'était 8 semaines de torture. Tu t'entraînais super fort Les gens.
Speaker 1:ils voulaient être comme toi, je ne sais pas.
Speaker 2:On ne sait jamais, l'influence qu'on a sur des gens, peu importe dans la vie, c'est quoi. On ne sait jamais, tu rencontres quelqu'un, tu lui as dit une chose une fois, puis d'un coup, 15 ans après, personne ne vient te voir. Tu te souviens-tu? Tu m'avais dit certaines choses, puis, ça a changé ma vie Des fois. c'est ça Pour ce jeune-là qui avait 6 ans, jérémy Blackburn, qui avait 12 ans. il a été cherché Malade. C'est une bonne histoire. Moi, je pense que cette partie-là, elle est là parce que tu as mis le temps, tu as mis l'énergie, même si tu n'aimais pas aider ce petit gars-là. à ce moment-là, ça a changé. Tu ne t'en souviens pas, mais ça a changé à ce moment-là.
Speaker 2:Je voulais aider ce gars-là. Après ça, exact, exact, parce que c'est là que tu t'es rendu compte, je l'ai marqué. C'était positif, il voulait être là. Moi je me souviens de ce petit gars-là je m'arrachais, j'étais vraiment à tort. J'avais dit ça, c'est le gars Jérémy, parce que Jérémy et son frère, c'était quelque chose. Je ne le connais pas depuis longtemps, mais c C'est vrai que c'était intense. Tu en as fait des squats et des push-ups, des squats surtout. Celui qu'on a fait le plus chez nous.
Speaker 1:Qui.
Speaker 2:Tristan.
Speaker 1:Fortier, c'est sûr Il a encore sa style. Le gars est en shape.
Speaker 2:Tu le vois encore. C'est drôle. Parce que je rentrais dans la classe Fortier ton mur, fais des squats. Ce que j'ai fait, c'est drôle, parce que je rentrais dans la classe Fortier ton mur, fais des squats. Ce que j'ai fait, c'est de dire Arien, c'est juste au cas que tu fasses de quoi». J'en allais au mur, j'ai fait des squats. Après, des fois, je l'oubliais, désolé pour ça que des fois, je l'ai oublié. C'est arrivé souvent. Rentrer dans la classe après le pire. Mais celui qui a eu la pire, pire leçon j'espère qu'il verra pas le podcast c'est Xavier. Lui, on s'en va dans un tournoi. Pis, il y a un jeune, raphaël Paradis, qui arrive après, il fait le tournoi, il dit si tu trouvais ça, ça ne sait pas être écrit, ça ne sait Xavier ouh ça c'est un tournoi.
Speaker 2:Il dit j'ai trouvé ça. ça ne sait pas être écrit. Ça ne sait pas être écrit. Ça, c'est la ceinture noire, je l'avais dans mon sac. On s'en va au dojo, C'est tout. Biais ta ceinture. À l'époque, Xavier donnait les cours, Moi j'ai la ceinture dans mes affaires Il arrive au centre, c'est sûr qu'il m'en veut encore Oui, oui.
Speaker 1:C'est un jeu.
Speaker 2:Il arrive au centre.
Speaker 2:Puis là, je ne sais pas Ma ceinture, je ne la trouve pas. Je ne la trouve pas dans un jeu. Il va faire des squats, des push-ups. Là, c'est dans son cours. Il est en arrière de la classe Pendant que son groupe d'élèves est dans la classe. C'est moi qui vais leur donner le cours, parce que là, il n'a pas sa ceinture. Il va faire des squats et des push-ups. Il fait ça tout le cours, mais tous les cours de la semaine qu'il avait à faire. J'ai fait ça avec lui. Ça fait une semaine et demie qu'il fait des squats. C'est vraiment méchant, ce que l'ai dans la ceinture. Eh boy, là, j'ai vu comment il avait du caractère. Il vient voir.
Speaker 2:Il avait des couteaux dans les yeux. J'ai dit oh my God, C'est ta ceinture.
Speaker 1:Mais je me rappelle, ça m'amène des flashs, c'était toujours ça. Tu n ça m'amène des flashs, même c'était toujours ça. T'es jamais against the rules. Moi, j'ai oublié ma ceinture. T'sais, parce que je pense que je place dans le cours en ordre dans ma ceinture, mais tout plus dans la ceinture, you're a white belt en arrière du code, à l'autre bout. ouais, ça j'aime, c'est like even as as you get better, puis tu montes les échelons de karaté, it's the same rules for everybody, On va faire ça.
Speaker 2:le passé, Un de mes gars, Ryan, il se parlait 17 ans, il avait un sourire brune, noir. puis, oh sorry, buddy, bout de la ligne, pas ta ceinture, on est dans l'autre bout.
Speaker 1:C'est comme ça c'est la même réportation. Jordan je le vois sur Facebook. C'est une machine, ça.
Speaker 2:Il fight, il s'en vient. Il a beaucoup d'expérience à prendre encore, mais il a. Il a fait un Dans la dernière année. I like him, i like him a lot.
Speaker 2:Avant, il y avait beaucoup de. Je suis pas venu de le dire, je suis capable de le dire. Moi j'assume ce que je dis, c'était plus me myself and I Je comprends. Là, i see another man. Là, je vois un homme Pour de vrai. Je vois un homme. Il a eu des choses cette année difficiles. Il a appris, il avait averti que ça allait arriver. C'est arrivé. C'est des leçons de vie. Là, il s'en vient, un beau jeune homme.
Speaker 1:Il travaille fort, c'est un beau modèle.
Speaker 2:Les gens veulent être comme lui. On a été à Toronto en fin de semaine, tournoi de NASCA. Le gars a fini premier dans sa division Black Belt et NASCA, c'est les meilleurs au monde, les meilleurs fighters au monde. Il a fini première Calitale-Line Grand. Elle a perdu, mais quand même. Là c'est l'expérience, parce que lui, il a commencé il avait 3 ans, il en a 23. Ça fait 20 ans. Bonne sape là. Puis tu sais, tu penses que Parce que quand tu commences, il y a des gars qui sont déjà ceinture noire, là tu noir, là tu commences, tu fais ton chemin, puis, 15 ans après, tu es rendu à 18 ans, tu fêtes avec ces gars là qui étaient déjà ceinture noire, tu fais ta même. Disons que les autres way more experience than you fait que tu penses que tu sais tout et tu es bon là, tu vois bien les tournois locaux, tu gagnes tout ça.
Speaker 2:Mais quand tu arrives au on a fait le championnat du monde en Portugal cette année, il y avait une couple de jeunes qui étaient là. Puis ce qui est arrivé, c'est que quand tu les matches, c'est à rendre en finale. Puis là, c'est un super affaire, la finale, c'est tout un combat serré. Puis il a perdu. Puis, je dis quand tu es blanc, tu es là, le black belt est là, tu te rends, tu te rends, tu te rends, tu te rends, you're this close, t'es un black belt aussi, but you're this close. Parce que là, lui, c'est un black belt, mais c'est un champion, toi, tu l'es pas encore, but that space, it's huge. C'est là qu'il a compris, il l'a compris là. Pis ça, back to work. Là, c'est drôle, parce qu'on parlait la semaine passée Il faut que je remonte mon fighting IQ Absolument. C'est ce que je me disais en fin de semaine. Que je suis en train de fighter, tu ne fightes pas. Pense-toi comme tu fightes.
Speaker 2:Aussitôt qu'il sent la pression, il devient linéaire parce qu'il a un sacré blitz. Il a un punch flashé, rien, mais blitzé, blitzé, mais tu peux pas les changer, et toujours en ligne droite, parce que les gars, ils vont s'adopter. Quand ils sont arrivés dans le grand, les gars des autres divisions l'ont fait. Ils ont fait ça, ils ont regardé, ils ont dit Ce gars, c'est une ligne straight. Ils sont arrivés là, ils s'est fait spreader vers 10 points. Oh my God, comment ça se peut.
Speaker 2:Il a compris. On a d'autres choix de travailler. Il y a beaucoup de travail à faire. Quand tu penses que tu es proche, tu es toujours loin. C'est là que le travail doit se faire. Tu es Black Belt, c'est toute ta vie. Mais toute ta vie, tu vas progresser encore, tu vas évoluer, tu as de l'expérience à prendre. C'est pour ça que les maires par auteurs, c'est des plus vieux au world ils ont fait maintenant division 18, 23 ans ou 21, 18, 21, je pense qu'en fait une nouvelle division maintenant qu'on fait depuis l'année passée. la raison est simple, c'est que toutes les gueules qui tombent à 18 ans, ils gagneront jamais dans ces divisions, le fait qu'ils ont fait une vision 18, 21, soit des gains experience nice.
Speaker 2:là, après ça, les autres vont aller dans le 23 et plus, ils vont falloir la division avec les gars plus expérience, parce que 30 ans est encore en france, quand un gars de 25 ans le nom probable est que ça le tout peut ou sans, surtout ce qui fait attention à toi, tu vas être aussi en chèque. moi, je me souviens qu'à 45 ans, je comprenais l'indivision des jeunes. Ça allait bien paraître. Condition physique, façon de faire les choses, travailler pour prendre soin de ta santé, c'est ça le secret. Pas de blessures, idéalement. Tu peux rivaliser avec ces gars-là, mais t'as l'expérience qui compense beaucoup la vitesse.
Speaker 1:Sensei Stéphane Dubé, je te remercie pour coming on the podcast. Écoute, ça fait un an et quart déjà.
Speaker 2:Pas de vrai Yeah.
Speaker 1:Way too short, i know, mais écoute, si jamais il y a des gens qui habitent dans le coin de Roussillon, même si c'est 20-25 minutes de chars, ça vaut le détour. As-tu un essai gratuit. Comment ça marche, j'ai toujours un essai gratuit.
Speaker 2:C'est aux deux montées de boulot à Saint-Constant. Cogescom C'est armarsaukegescom. On a changé ça dernièrement.
Speaker 1:C'est le temps qu'on passe.
Speaker 2:Je ne sais pas si tu as vu mes petites pubs qui, tu vas la voir, tu cliqueras dessus, c'est bon je vais partager ça. Il faut commencer, parce que j'ai été quand même un petit bout de temps à l'arrêter dans la pub social media.
Speaker 1:Il ne faut jamais arrêter ça. Mais moi je ne te rappelle pas, mais là c'est ça et c'est ça juste.
Speaker 2:Ce podcast-là tu risques d'avoir tu vas nous dire ce que ça apporte. Moi je ne sais même pas.
Speaker 1:Je vais t'envoyer le lien. Mais si jamais vous allez faire un essai gratuit et que c'est à cause du podcast que vous l'avez fait, dites à Stéphane que c'est GoToTheGymPodcast.
Speaker 2:Ah oui, si vous faites ça, je vous donnerai un rabais en plus.
Speaker 1:There you go Rabais GoToTheGymPodcast Exact. Merci, mon chum.
Speaker 2:Merci beaucoup, ça fait plaisir.